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ATROPINE (SULFATE) AGUETTANT 0,25 mg/mL, solution injectable - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - ATROPINE (SULFATE) AGUETTANT 0,25 mg/mL, solution injectable

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

ATROPINE (SULFATE) AGUETTANT 0,25 mg/mL, solution injectable

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Sulfated’Atro­pine.........­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­............0,25 mg

Pour une ampoule de 1 mL.

Un mL de solution injectable contient 0,25 mg de monohydrate de sulfated’atropine, équivalant à 0.208 mg d’atropine.

Une ampoule de 1 mL contient 0,25 mg de monohydrate de sulfated’atropine, équivalant à 0.208 mg d’atropine.

Excipient(s) à effet notoire : sodium

Une ampoule de 1 mL contient 3,5 mg de sodium, équivalent à 0,154 mmolde sodium.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Solution injectable.

Solution limpide et incolore

pH 3.2– 4.5

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Le sulfate d’atropine Aguettant 0,25 mg/mL solution injectable estindiqué chez les adultes et la population pédiatrique.

· Médicament pré-anesthésique pour prévenir les réactions vagalesassociées à l’intubation trachéale et à la manipulation chirurgicale.

· Limitation des effets muscariniques de la néostigmine utilisée après lachirurgie pour la neutralisation des curares non dépolarisants.

· Traitement de la bradycardie compromettant l’hémodynamique et/ou dubloc auriculo-ventriculaire dû à un tonus vagal excessif en casd’urgence.

· Réanimation cardio-pulmonaire : traitement de la bradycardiesym­ptomatique et du bloc auriculo-ventriculaire.

· Antidote suite à un surdosage ou une intoxication par les inhibiteurs del’acétylcho­linestérase, p. ex. anticholinesté­rasiques,orga­nophosphorés, carbamates et champignons muscariniques.

4.2. Posologie et mode d'administration

Le sulfate d’atropine Aguettant 0,25 mg/mL solution injectable doit êtreadministré sous surveillance médicale

Posologie

Médication pré-anesthésique

Administration intraveineuse ou sous cutanée immédiatement avant uneintervention chirurgicale ; si nécessaire, une injection intramusculaire ousous cutanée 30 à 60 minutes avant la chirurgie est possible.

· Adultes :

0,3–0,6 mg IV (1,2–2,4 mL)

· Population pédiatrique :

La dose habituelle chez les enfants est de 0,01–0,02 mg/kg de poidscorporel (maximum de 0,6 mg par dose) ; le dosage doit être ajusté selon laréponse et la tolérance du patient.

En association à la néostigmine pour limiter ses effets muscariniques

· Adultes :

0,6–1,2 mg IV (2,4 à 4,8 mL)

· Population pédiatrique :

0,02 mg/kg IV

Traitement de la bradycardie compromettant l’hémodynamique, du blocauriculo-ventriculaire, réanimation cardiopulmonaire :

· Adultes :

Bradycardie sinusale : 0,5 mg IV (1 mL), toutes les 2 à 5 minutesjusqu’à l’obtention de la fréquence cardiaque désirée.

Bloc AV : 0,5 mg IV (1 mL), toutes les 3 à 5 minutes (maximum 3 mg)

· Population pédiatrique :

0,02 mg/kg IV en une seule dose (dose maximale de 0,6 mg).

Comme antidote aux organophosphates (pesticides, gaz neurotoxiques), auxinhibiteurs de la cholinestérase et dans l’intoxication aux champignonsmus­cariniques :

Voie intraveineuse.

· Adultes :

0,5–2 mg de sulfate d’atropine (2–8 mL), peut être répétée après5 minutes et toutes les 10 à 15 minutes par la suite au besoin, jusqu’àce que les signes et symptômes disparaissent (cette dose peut être dépasséeplusi­eurs fois).

· Population pédiatrique :

0,02 mg de sulfate d’atropine/kg de poids corporel, éventuellemen­trépétée plusieurs fois jusqu’à ce que les signes et symptômesdispa­raissent.

Ajustements posologiques :

· En général, la posologie doit être ajustée selon la réponse et latolérance du patient.

· La posologie jusqu’à une dose maximale totale de 3 mg chez les adulteset 0,6 mg chez les enfants est habituellement augmentée jusqu’à ce que leseffets indésirables deviennent intolérables ; une légère réduction de laposologie donne alors la posologie maximale tolérée par le patient.

· Population pédiatrique :

Les intervalles posologiques pour les groupes de poids pédiatrique commeindiqué ci-dessous sont des valeurs indicatives. La dose habituelle chez lesenfants est de 0,01–0,02 mg/kg de poids corporel (maximum de 0,6 mg pardose) ; le dosage doit être ajusté selon la réponse et la tolérance dupatient.

Poids corporel (kg)

Dose de 0,01 mg/kg de poids corporel Atropine (sulfate) Aguettant0,25 mg/mL, solution injectable

Dose de 0,02 mg/kg de poids corporel

Atropine (sulfate) Aguettant 0,25 mg/mL, solution injectable

< 5

< 0,2 mL

< 0,4 mL

5–10

0,2–0,4 mL

0,4–0,8 mL

10–15

0,4–0,6 mL

0,8–1,2 mL

15–20

0,6–0,8 mL

1,2–1,6 mL

20–30

0,8–1,2 mL

1,6–2,4 mL

30–50

1,2–2,0 mL

2,4–4,0 mL

Chez les nourrissons, il est recommandé d’utiliser la plus faibleconcentration disponible (Atropine (sulfate) Aguettant 0,25 mg/mL, solutioninjectable) afin d’assurer une précision de dosage maximale.

Populations particulières :

· La prudence est de mise pour les patients souffrant d’insuffisance­rénale ou hépatique et les personnes âgées (voir rubrique 4.4).

Mode d’administration

· L’atropine est administrée par injection intraveineuse, injectionintra­musculaire ou sous-cutanée.

4.3. Contre-indications

Ce médicament ne doit pas être administré en cas de :

· Hypersensibilité au principe actif ou à l’un des excipientsmen­tionnés à la rubrique 6.1.

· Glaucome à angle fermé,

· Risque de rétention urinaire lié à des troublesurétro-prostatiques,

· Achalasie de l’œsophage, iléus paralytique et mégacôlon toxique.

Toutes ces contre-indications ne s’appliquent toutefois pas aux situationsd’urgence engageant le pronostic vital (comme les situations de bradyarythmieou d’intoxication).

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Utiliser avec prudence en cas de :

· Hypertrophie de la prostate,

· Insuffisance rénale et/ou hépatique,

· Insuffisance cardiaque, arythmies, hyperthyroïdie,

· Bronchopneumopathie chronique obstructive, car une réduction dessécrétions bronchiques pourrait entraîner la formation de bouchonsbronchi­ques.

· Atonie intestinale chez les sujets âgés,

· Sténose du pylore,

· Fièvre, ou lorsque la température ambiante est élevée.

· Chez les personnes âgées et les enfants qui peuvent être plus sensiblesaux effets indésirables de l’atropine.

En cas d’œsophagite par reflux, car l’atropine peut retarder la vidangegastrique, diminuer la motilité gastrique et relâcher le sphincterœsop­hagien.

L’atropine ne doit pas être administrée à des patients présentant unemyasthénie à moins qu’elle ne soit administrée en association à untraitement anticholinesté­rasique.

L’administration d’atropine ne doit pas retarder la mise en place d’unestimulation externe pour les patients instables, en particulier ceux présentantun bloc de haut grade (second degré de type Mobitz II ou troisièmedegré).

Les antimuscariniques bloquent l’inhibition vagale de la stimulation dunœud sinusal et doivent donc être utilisés avec prudence chez les patientsprésentant des tachyarythmies, une insuffisance cardiaque congestive ou unecoronaropathie.

Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par ampoule,c.-à-d. qu’il est essentiellement « sans sodium ».

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Associations à prendre en compte

Autres médicaments ayant une activité anticholinergique, comme lesantidépresseurs tricycliques, certains antihistaminiques H1, des médicamentsan­tiparkinsonien­s, le disopyramide, la méquitazine, les phénothiazines, lesneuroleptiques, les antispasmodiques atropiniques, la clozapine et la quinidineen raison du risque de potentialisation des effets indésirables atropiniques(ré­tention urinaire, constipation, sécheresse buccale).

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Les données sur un nombre limité de grossesses exposées n’indiquentaucun effet indésirable de l’atropine sur la grossesse ou sur la santé dufoetus/du nouveau-né.

Les études effectuées chez l’animal n’ont pas mis en évidenced’effets délétères directs ou indirects sur la reproduction (voirrubrique 5.3).

Les études portant sur la pharmacocinétique de l’atropine chez la mèreet le foetus en fin de grossesse ont indiqué que l’atropine franchitrapidement la barrière placentaire. L’administration intraveineused’a­tropine pendant la grossesse ou à terme peut entraîner une tachycardiechez le foetus et la mère.

L’atropine ne doit pas être utilisée pendant la grossesse à moins quecela ne soit absolument nécessaire.

Allaitement

De faibles quantités d’atropine peuvent passer dans le lait maternel. Lesnourrissons ont une sensibilité accrue aux effets anticholinergiques del’atropine. L’atropine pourrait inhiber la production de lait, enparticulier en cas d’utilisation répétée. Il doit être décidéd’arrêter ou non l’allaitement ou d’arrêter/de s’abstenir de suivre letraitement en prenant en compte le bénéfice de l’allaitement pour l’enfantet le bénéfice du traitement pour la femme. S’il est décidé durant letraitement de poursuivre l’allaitement, l’enfant doit être surveillé pourdéceler la survenue d’effets anticholinergiques.

Fertilité

Il n’existe pas de données concernant les effets de ce sulfated’atropine sur la fertilité chez les êtres humains. Le sulfate d’atropineréduit la fertilité chez les rats mâles, en raison probablement d’un effetinhibiteur sur le transport du sperme et de la semence lors du processusd’émis­sion.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

L’atropine peut provoquer un état de confusion ou une vision trouble etles patients doivent en être avertis.

4.8. Effets indésirables

Le profil des effets indésirables observés avec l’atropine estessentiellement lié à ses actions pharmacologiques au niveau des récepteursmus­cariniques et, à doses élevées, au niveau des récepteurs nicotiniques.Les effets indésirables sont dose-dépendants et sont généralementré­versibles à l’arrêt du traitement. Les effets les plus fréquentssurvenant à des doses relativement faibles sont les troubles visuels, unediminution des sécrétions bronchiques, une sécheresse buccale, uneconstipation, un reflux, des bouffées vasomotrices, une dysurie et unesécheresse cutanée. Une bradycardie transitoire peut apparaître, suivied’une tachycardie accompagnée de palpitations et d’arythmies.

L’évaluation des effets indésirables est basée sur la définitionsuivante des fréquences :

· Très fréquent : ≥1/10 ;

· Fréquent : ≥1/100, <1/10 ;

· Peu fréquent : ≥1/1 000, <1/100 ;

· Rare : ≥1/10 000, <1/1 000 ;

· Très rare : <1/10 000 ;

· Fréquence indéterminée : ne peut être estimée sur la base desdonnées disponibles

Fréquence

Classes

de systèmes d’organes

Très fréquent (≥ 1/10)

Fréquent (≥ 1/100 à < 1/10)

Peu fréquent (≥ 1/1 000 à < 1/100)

Rare (≥ 1/10 000 à <1/1 000)

Très rare (< 1/10 000)

Fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des donnéesdisponibles)

Affections du système immunitaire

Réactions allergiques

Anaphylaxie

Affections du système nerveux

Excitation, troubles de la coordination, confusion mentale, et/ouhallucinations (en particulier avec des doses plus élevées), hyperthermie

Réactions psychotiques

Crises convulsives, somnolence

Céphalées agitation, ataxie, insomnie

Affections oculaires

Troubles visuels (mydriase, inhibition de l’accommodation, vision trouble,photop­hobie)

Affections cardiaques

Tachycardie (arythmies, exacerbation transitoire de la bradycardie)

Arythmies auriculaires, fibrillation ventriculaire, angine, crisehypertensive

Affections vasculaires

Bouffées vasomotrices

Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales

Diminution des sécrétions bronchiques

Affections gastro‑intestinales

Sécheresse de la bouche (difficulté à avaler et à parler, soif),inhibition parasympathique du tractus gastro‑intestinal (constipation etreflux), inhibition de la sécrétion gastrique, perte du goût, nausées,vomis­sements, sensation de ballonnement

Affections de la peau et du tissus sous-cutané

Anhidrose, urticaire, éruption cutanée

Affections du rein et des voies urinaires

Inhibition du contrôle parasympathique de la vessie, rétention urinaire

Population pédiatrique

Les nourrissons, les enfants et les enfants atteints de paralysie spastiqueou présentant des lésions cérébrales peuvent être plus sensibles aux effetsantimus­cariniques.

Populations particulières

L’atropine peut induire de l’excitation, des troubles de la coordination,un état confusionnel et/ou des hallucinations, en particulier chez lespersonnes âgées. Une étude épidémiologique a également indiqué unealtération des performances cognitives chez les sujets âgés recevant desantimuscari­niques.

Les patients atteints de trisomie 21 peuvent être plus sensibles aux effetsantimus­cariniques.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr

4.9. Surdosage

Symptômes :

Bouffées vasomotrices et sécheresse cutanée, dilatation des pupilless’accom­pagnant de photophobie, sécheresse de la bouche et de la langueaccompagnée d’une sensation de brûlure, difficultés à avaler, tachycardie,res­piration rapide, hyperpyrexie, nausées, vomissements, hypertension,é­ruption cutanée et excitation.

Les symptômes de la stimulation du système nerveux central (SNC)comprennent : agitation, confusion, hallucinations, réactions psychotiques etparanoïaques, troubles de la coordination, délire et occasionnellement desconvulsions.

En cas de surdosage grave, une somnolence, une stupeur et une dépression duSNC peuvent survenir ainsi qu’un coma, une insuffisance circulatoire etrespiratoire et le décès

Traitement :

Instaurer un traitement symptomatique. Maintenir les voies respiratoires­dégagées.

L’administration de diazépam peut être envisagée pour contrôlerl’ex­citation et les convulsions, mais le risque de dépression du SNC doitalors être pris en compte.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique ALCALOÏDES DE LA BELLADONE : AMINESTERTIAIRES

Code ATC : A03BA01

L’atropine est un agent antimuscarinique, qui antagonise de manièrecompétitive l’acétylcholine au niveau des terminaisons nerveusespost-ganglionnaires, affectant ainsi les récepteurs situés dans les glandesexocrines, le muscle lisse, du muscle cardiaque et du système nerveuxcentral.

Les effets périphériques comprennent une réduction de la production dessecrétions salivaires, sudorales, nasales, lacrymales et gastriques, unemotilité intestinale réduite et une inhibition de la miction.

L’atropine accroît la fréquence sinusale et, la conductionsino-auriculaire et auriculo-ventriculaire. La fréquence cardiaque estgénéralement augmentée mais une bradycardie peut survenir au début.

L’atropine inhibe les sécrétions tout au long des voies respiratoires etrelâche le muscle lisse bronchique, ce qui entraîne une bronchodilatation.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Absorption

Après une administration par voie intraveineuse, l’augmentation maximalede la fréquence cardiaque survient dans les 2 à 4 minutes. Lesconcentrations plasmatiques maximales de l’atropine suite à uneadministration intramusculaire sont atteintes dans les 30 minutes, bien que deseffets maximaux sur le coeur, la transpiration et la salivation puissentsurvenir 1 heure après une administration intramusculaire.

Distribution

Les niveaux plasmatiques après une injection intramusculaire etintraveineuse sont comparables après 1 heure. L’atropine est largementdistribuée dans le corps entier et franchit la barrière hémato-encéphaliqueainsi que la barrière placentaire.

Biotransformation

L’atropine est métabolisée de façon incomplète dans le foie et estexcrétée dans l’urine sous forme inchangée du médicament et demétabolites. Environ 50 % de la dose est excrétée dans les 4 heures et90 % dans les 24 heures.

Élimination

La demi-vie d’élimination est d’environ 2 à 5 heures. Jusqu’à50 % de la dose est liée aux protéines.

Population pédiatrique

Les enfants, en particulier ceux de moins de 2 ans, peuvent être plussensibles aux actions de l’atropine. La demi-vie d’élimination est plus quedoublée chez les enfants de moins de 2 ans par rapport aux adultes.

Personnes âgées

La demi-vie d’élimination de l’atropine est plus que doublée chez lespersonnes âgées (plus de 65 ans) par rapport aux adultes.

5.3. Données de sécurité préclinique

Des effets n’ont été observés chez l’animal qu’à des expositionscon­sidérées comme suffisamment supérieures à l’exposition maximaleobservée chez l’homme, et ont peu de signification clinique.

Le sulfate d’atropine a réduit la fertilité chez les rats mâles, enraison probablement d’un effet inhibiteur sur le transport du sperme et de lasemence lors du processus d’émission.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Chlorure de sodium, acide chlorhydrique concentré (pour l’ajustement dupH), eau pour préparations injectables.

6.2. Incompati­bilités

En l’absence d’études de compatibilité, ce médicament ne doit pasêtre mélangé à d’autres médicaments.

6.3. Durée de conservation

3 ans.

Après ouverture : le produit doit être utilisé immédiatement.

6.4. Précautions particulières de conservation

Conserver l'ampoule dans l'emballage extérieur d'origine, à l'abri de lalumière.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

Ampoule bouteille en verre incolore de type I de 1 mL. Boîte de10 ou 100.

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d’exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

LABORATOIRE AGUETTANT

1 RUE ALEXANDER FLEMING

69007 LYON

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 370 134 1 3 : 1 mL en ampoule bouteille (verre incolore) de1 mL. Boîte de 10.

· 34009 370 135 8 1 : 1 mL en ampoule bouteille (verre incolore) de1 mL. Boîte de 100.

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I

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