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BUPIVACAINE MYLAN 5 mg/ml, solution injectable en flacon - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - BUPIVACAINE MYLAN 5 mg/ml, solution injectable en flacon

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

BUPIVACAINE MYLAN 5 mg/ml, solution injectable en flacon

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Chlorhydrate debupivacaïne­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.....5,26 mg

Quantité correspondante à chlorhydrate de bupivacaïnean­hydre........­.............­.............­.......... 5,00 mg

Pour 1 ml.

1 flacon de 20 ml contient 100 mg de chlorhydrate de bupivacaïneanhydre.

Excipient(s) à effet notoire : 62,8 mg de sodium par flacon.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Solution injectable.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

· Anesthésie chirurgicale chez les adultes et les enfants de plus de12 ans : Anesthésie loco-régionale lors d'intervention chirurgicale :anesthésie tronculaire, plexique, caudale, péridurale.

· Traitement de la douleur aiguë chez l’adulte :

o Analgésie péridurale :

§ en obstétrique ;

§ dans le traitement de la douleur au cours d'algies diverses:néopla­siques, postopératoires, post-traumatiques, artéritiques ;

§ dans la préparation à certains gestes thérapeutiques douloureux(ki­nésithérapie post-opératoire, post-traumatique).

· Traitement de la douleur aiguë chez le nourrisson et l’enfant de plusd’un an.

4.2. Posologie et mode d'administration

La bupivacaïne devra être uniquement utilisée par ou sous laresponsabilité de médecins expérimentés dans les techniques d'anesthésieloco-régionale.

Le chlorhydrate de bupivacaïne existe sous forme adrénalinée ou non, auxconcentrations de 2,5 mg/ml et 5 mg/ml et dans différentespré­sentations.

La forme, la concentration et la présentation utilisées varient en fonctionde l'indication et du but recherché (anesthésie chirurgicale ou analgésiepure), de l'âge et de l'état pathologique du patient.

L'emploi des formes adrénalinées allonge la durée d'action. Les formes lesplus concentrées procurent un bloc moteur plus constant et plus intense.

Les posologies suivantes chez l’adulte sont des posologies moyennesdonnées à titre indicatif :

Anesthésie chirurgicale

· Péridurale :

Chez l'adulte : chlorhydrate de bupivacaïne 5 mg/ml : 6 à 8 mg parsegment sans dépasser 12 à 24 ml au total.

· Caudale :

Chez l'adulte : chlorhydrate de bupivacaïne 5 mg/ml : 15 à 30 ml.

· Blocs plexiques :

chlorhydrate de bupivacaïne 5 mg/ml avec adrénaline de préférence :20 à 30 ml.

chlorhydrate de bupivacaïne 2,5 mg/ml avec adrénaline de préférence :25 à 40 ml.

· Blocs tronculaires :

chlorhydrate de bupivacaïne 2,5 mg/ml ou chlorhydrate de bupivacaïne5 mg/ml : de quelques ml à 15 ou 20 ml selon le nerf.

· Bloc intercostal :

chlorhydrate de bupivacaïne 2,5 mg/ml : 1 à 2 ml par nerf (ne jamaisdépasser la dose de 100 mg, c'est-à-dire 40 ml)

Analgésie obstétricale : chlorhydrate de bupivacaïne 2,5 mg/ml

· en 2 temps :

6 à 10 ml pour la dose haute (dilatation) et 10 à 15 ml pour la dosebasse (expulsion).

· en 1 temps :

18 à 20 ml à compléter éventuellement.

Traitement de la douleur : chlorhydrate de bupivacaïne 2,5 mg/ml

· analgésie par voie péridurale :

5 à 15 ml à renouveler toutes les 6 heures environ.

· blocs divers : 8 à 20 ml.

Ne pas dépasser sans prémédication ni surveillance particulière la dosetotale de 150 mg de chlorhydrate de bupivacaïne par acte anesthésique (voirrubriques 4.8 et 5.2).

Ne pas réutiliser un flacon entamé.

Patients pédiatriques âgés de 1 à 12 ans

Les procédures d’anesthésie régionale chez les enfants doivent êtreréalisées par des médecins qualifiés, familiarisés avec cette population etavec la technique.

Les doses indiquées dans le tableau sont à prendre comme des directivespour l’utilisation en pédiatrie. Des variations individuelles sont possibles.Chez les enfants dont le poids corporel est élevé, une diminution progressivede la posologie est fréquemment nécessaire et doit être basée sur le poidscorporel idéal. Des manuels standard doivent être consultés pour connaîtreles facteurs affectant certaines techniques spécifiques de bloc et lesexigences particulières de chaque patient.

Recommandations posologiques chez les enfants

Conc

mg/ml

Volume

mg/kg

Dose mg/kg

Survenue de l’effet

min

Durée de l’effet

heures

TRAITEMENT DE LA DOULEUR AIGUË (per- et post-opératoire)

Administration épidurale caudale

2.5

0.6–0.8

1.5–2

20–30

2–6

Administration épidurale lombaire

2.5

0.6–0.8

1.5–2

20–30

2–6

Administration épidurale thoraciqueb)

2.5

0.6–0.8

1.5–2

20–30

2–6

Bloc de champ (par ex., blocs nerveux mineurs et infiltrations)

2.5

5.0

0.5–2.0

0.5–2.0

Blocs nerveux périphériques (par ex., ilio-inguinal –ilio-hypogastrique)

2.5

5.0

0.5–2.0

0.5–2.0

a)

a)

a) Le délai de survenue et la durée des blocs nerveux périphériques­dépendent du type du bloc et de la dose administrée

b) Les blocs épiduraux thoraciques requièrent une dose progressivemen­tcroissante jusqu’à l’obtention du niveau d’anesthésie désiré

Chez les enfants, la posologie doit être déterminée à partir du poidsjusqu’à 2 mg/kg.

Pour éviter toute injection intravasculaire, une aspiration doit êtreeffectuée avant et pendant l’administration de la dose principale. Celle-cidoit être injectée lentement, par doses croissantes, surtout en cas de voieépidurale lombaire ou thoracique, en en surveillant constamment etattentivement les fonctions vitales du patient.

Une infiltration péri-amygdalienne a été pratiquée chez des enfants deplus de 2 ans, avec de la bupivacaïne à la concentration de 2,5 mg/ml, àdes doses de 7,5 à 12,5 mg par amygdale.

Des blocs ilio-inguinaux ou ilio-hypogastriques ont été réalisés chez desenfants âgés au moins d’un an avec de la bupivacaïne à la concentration de2,5 mg/ml, à raison de 0,1 à 0,5 ml/kg, correspondant à 0,25 à1,25 mg/kg. Des enfants âgés de 5 ans et plus ont reçu de la bupivacaïneà la concentration de 5 mg/ml, à des doses de 1,25 à 2 mg/kg.

Pour les blocs péniens, la bupivacaïne, à la concentration de 5 mg/ml, aété utilisée à des doses totales de 0,2 à 0,5 mg/kg, correspondant à1 à 2,5 mg/kg.

La tolérance et l’efficacité de BUPIVACAINE MYLAN 2,5 mg/ml, solutioninjectable n’ont pas été établies chez les enfants âgés de moins d’unan. Les informations disponibles sont limitées.

La tolérance et l’efficacité de l’injection épidurale en bolusintermittents ou en perfusion continue n’ont pas été établies. Les donnéesdisponibles sont limitées.

4.3. Contre-indications

· voie intraveineuse, y compris l'anesthésie locale intraveineuse.

· hypersensibilité connue aux anesthésiques locaux à liaison amide.

· patients sous anticoagulants.

· porphyries.

· troubles de la conduction auriculo-ventriculaire nécessitant unentraînement électrosystolique permanent non encore réalisé.

· épilepsie non contrôlée par un traitement.

L’injection d’une solution contenant de l’adrénaline et de labupivacaïne dans les zones parcourues par des artères terminales (par ex.,bloc pénien, bloc d’Oberst) peut entraîner une nécrose tissulaireisché­mique.

Note : Aucune contre-indication spécifique n’a été identifiée chez lespatients pédiatriques.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Mises en garde spéciales

L'attention des sportifs sera attirée sur le fait que cette spécialitécontient un principe actif pouvant induire une réaction positive des testspratiqués lors des contrôles antidopage.

Un surdosage ou une injection IV rapide accidentelle peut provoquer desréactions toxiques (voir rubrique 4.8 et 4.9).

Précautions d'emploi

L'utilisation de la bupivacaïne nécessite :

· un interrogatoire destiné à connaître le terrain, les thérapeutiquesen cours et les antécédents du patient,

· si nécessaire, une prémédication par une benzodiazépine à dosemodérée,

· de disposer d'une voie veineuse et d'un matériel complet deréanimation,

· de disposer de médicaments aux propriétés anticonvulsivan­tes(thiopental, benzodiazépines), de myorelaxants (benzodiazépines), d'atropineet de vasopresseurs,

· une surveillance électrocardio­graphique continue (cardioscopie), ettensionnelle,

· de pratiquer une injection test de 5 à 10 % de la dose,

· d'injecter lentement en réaspirant fréquemment,

· de maintenir le contact verbal avec le patient.

Insuffisance hépatique : la bupivacaïne étant métabolisée par le foie,les doses doivent être limitées chez l'insuffisant hépatique sévère et unrenouvellement éventuel des injections, par exemple pour l'anesthésiepé­ridurale, doit être strictement surveillé chez de tels sujets pour éviterun surdosage relatif par insuffisance de métabolisation.

La bupivacaïne doit être utilisée avec précaution chaque fois qu'unepathologie (état de choc, insuffisance cardiaque) ou une thérapeutique­concomitante (bêta-bloquants) diminue le débit sanguin hépatique.

L'hypoxie, l'hyperkaliémie ou l'acidose majorent le risque de toxicitécardiaque de la bupivacaïne et peuvent nécessiter l'adaptation des doses.

En raison de sa toxicité cardiaque, la bupivacaïne doit être utiliséeavec précaution chez les patients présentant un allongement du QT ;l'indication, la posologie et le mode d'administration doivent être discutéspour éviter tout risque de concentration plasmatique trop élevée, quipourrait être à l'origine de troubles du rythme ventriculaire sévères.

Ce médicament contient 62,8 mg de sodium par flacon ce qui équivaut à3,14% de l’apport alimentaire quotidien maximal recommandé par l’OMS de2 g de sodium par adulte. En tenir compte chez les personnes suivant un régimehyposodé strict.

Population pédiatrique

L’utilisation de la bupivacaïne pour la réalisation de blocintra-articulaire chez les enfants âgés de 1 à 12 ans n’a pas étédocumentée.

L’utilisation de la bupivacaïne pour la réalisation de bloc nerveuxmajeur chez les enfants âgés de 1 à 12 ans n’a pas été documentée.

Pour une anesthésie épidurale, les enfants doivent recevoir des dosescroissantes, en rapport avec leur âge et leur poids, car l’anesthésieé­pidurale, surtout au niveau thoracique, peut induire une hypotensionar­térielle sévère et une insuffisance respiratoire.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Sans objet.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effettératogène mais une fœtotoxicité. En l'absence d'effet tératogène chezl'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. Eneffet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espècehumaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bienconduites sur deux espèces.

En clinique, il n'existe pas actuellement de données suffisammentper­tinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif de la bupivacaïnead­ministrée pendant le premier trimestre de la grossesse.

En conséquence, l'utilisation de la bupivacaïne ne doit être envisagée aucours de la grossesse que si nécessaire.

Au cours de l'accouchement, une bradycardie, accompagnée éventuellemen­td'acidose fœtale, cyanose, baisse transitoire des réponsesneuro­comportementa­les néonatales (atonie, réflexe de succion) ont étéretrouvées, essentiellement avec la lidocaïne et la mépivacaïne. Ces effetssont d'autant plus manifestes que l'anesthésie est proche de la délivrance. Enconséquence, on surveillera les fonctions vitales du nouveau-né.

Allaitement

Par mesure de prudence, il est souhaitable d'interrompre quelques heures(environ 4 heures) l'allaitement après l'anesthésie.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

Ce produit peut altérer les capacités de réactions pour la conduite devéhicule ou l'utilisation de machines.

4.8. Effets indésirables

La survenue d'un effet indésirable doit faire suspecter un surdosage.

Les réactions toxiques, témoins d'un surdosage en anesthésique localpeuvent apparaître dans deux conditions : soit immédiatement, par surdosagerelatif dû à un passage intra-veineux accidentel, soit plus tardivement parsurdosage vrai dû à l'utilisation d'une trop grande quantitéd'anes­thésique.

Les signes de toxicité peuvent être :

· sur le plan du système nerveux central : nervosité, agitation,bâi­llements, tremblements, appréhension, nystagmus, logorrhée, céphalées,nausées, bourdonnements d'oreille. Ces signes d'appel nécessitent unesurveillance attentive pour prévenir une éventuelle aggravation: convulsionspuis dépression du S.N.C.

· sur le plan respiratoire : tachypnée puis apnée.

· sur le plan cardiovasculaire : tachycardie, bradycardie, dépressioncar­diovasculaire avec hypotension artérielle pouvant aboutir à un collapsus,troubles du rythme (extrasystoles ventriculaires, fibrillation ventriculaire),trou­ble de la conduction (bloc auriculo-ventriculaire). Ces manifestation­scardiaques peuvent aboutir à un arrêt cardiaque.

Population pédiatrique

Les effets indésirables observés chez les enfants sont les mêmes que chezles adultes. Cependant, chez les enfants, les signes annonciateurs d’unetoxicité de l’anesthésie locale peuvent être difficiles à détecter quandle bloc est réalisé au cours d’une sédation ou d’une anesthésiegénérale.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

Les manifestations toxiques neurologiques sont, en règle générale,contem­poraines des manifestations cardiaques. Le traitement comporte intubationaprès emploi de myorelaxants, ventilation assistée, benzodiazépines. Lasurveillance doit être de longue durée en raison de la forte fixationtissulaire de la bupivacaïne.

Les concentrations plasmatiques auxquelles peuvent apparaître les premierssignes de toxicité neurologique et cardiaque sont de 1,6 µg/ml (voirrubrique 5.2).

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : ANESTHESIQUE LOCAL, code ATC : N01BB01.

(N : système nerveux central).

La bupivacaïne fait partie du groupe des anesthésiques àliaison amide.

L'activité anesthésique de la bupivacaïne se caractérise par :

· un délai lent de l'installation de l'anesthésie,

· une longue durée d'action (allongée lors de l'utilisation de la formeadrénalinée),

· l'obtention d'un bloc sensitif presque exclusif avec la concentration à2,5 mg/ml ou associé à un bloc moteur plus ou moins important avec laconcentration à 5 mg/ml.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Absorption

L'absorption et la diffusion de la bupivacaïne dépendent de très nombreuxparamètres :

· type d'injection,

· profil du patient,

· concentration, dose totale injectée,

· caractéristiques physico-chimiques de cet anesthésique: solubilité dansles graisses élevée (fixation préférentielle sur les tissus riches engraisse: cœur, poumon, cerveau) ; pKa de 8,1; au pH de 7,4 83 % de la fractionlibre du produit est sous forme ionisée.

Distribution

Fixation aux protéines plasmatiques (préférentiellement les alpha1 glucoprotéines) très élevée : de l'ordre de 95 pour cent aux dosesutilisées en thérapeutique.

La demi-vie de distribution tissulaire est d'environ 30 minutes et le volumede distribution est de 72 litres.

Il existe une diffusion placentaire: le rapport sang fœtal/sang maternel estde l'ordre du tiers.

Élimination

La bupivacaïne est presque exclusivement métabolisée par le foie pardégradation par le système mono-oxygénasique dépendant du cytochromeP.450. La presque totalité de la bupivacaïne injectée est éliminée sousforme de métabolites.

Environ 5 à 10 % du produit sont éliminés par voie urinaire sous formeactive.

La demi-vie apparente d'élimination est de 3h30.

Concentrations plasmatiques

Lors d'une anesthésie péridurale réalisée avec une dose totale de 150 mgde bupivacaïne, la concentration plasmatique maximale est obtenue en 10 à30 minutes et atteint environ 1 µg/ml.

Après anesthésie péridurale en obstétrique réalisée avec des doses de50 mg à 100 mg de bupivacaïne, les concentrations plasmatiques chez la mèrevarient entre 0,4 à 0,8 µg/ml.

Après bloc du plexus brachial réalisé avec 150 mg de bupivacaïne laconcentration plasmatique maximale est obtenue en 15 à 20 minutes et atteintde l'ordre de 1,50 à 1,70 µg/ml.

Les concentrations plasmatiques auxquelles peuvent apparaître les premierssignes de toxicité neurologique et cardiaque sont de 1,6 µg/ml.

Chez les enfants, la pharmacocinétique est la même que chez lesadultes.

5.3. Données de sécurité préclinique

Non renseigné.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Chlorure de sodium, eau pour préparations injectables.

6.2. Incompati­bilités

En l’absence d’études de compatibilité, ce médicament ne doit pasêtre mélangé avec d’autres médicaments.

6.3. Durée de conservation

Avant ouverture : 3 ans.

Après ouverture, le produit doit être utilisé immédiatement.

6.4. Précautions particulières de conservation

Avant ouverture : A conserver à une température inférieure à 25°C.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

20 ml en flacon (verre). Boîte de 1.

20 ml en flacon (verre). Boîte de 5.

20 ml en flacon (verre). Boîte de 10.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d’exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

MYLAN S.A.S

117 ALLEE DES PARCS

69800 SAINT PRIEST

FRANCE

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· CIP 557 409–4 ou 34009 557 409 4 0 : 20 ml en flacon (verre). Boîtede 1.

· CIP 557 410–2 ou 34009 557 410 2 2 : 20 ml en flacon (verre). Boîtede 5.

· CIP 562 605–2 ou 34009 562 605 2 2 : 20 ml en flacon (verre). Boîtede 10.

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste II.

Médicament réservé à l’usage hospitalier.

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