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INDOCOLLYRE 0,1 %, collyre en solution - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - INDOCOLLYRE 0,1 %, collyre en solution

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

INDOCOLLYRE 0,1 %, collyre en solution

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Indométacine.­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­...0,10 g

Pour 100 mL

Excipient à effet notoire : Mercurothiolate sodique.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Collyre en solution.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

· Inhibition du myosis per-opératoire

· Prévention des manifestations inflammatoires liées aux interventionschi­rurgicales de la cataracte et du segment antérieur de l’œil.

· Traitement des manifestations douloureuses oculaires liées à lakératectomie photoréfractive au cours des premiers jourspost-opératoires.

4.2. Posologie et mode d'administration

Voie ophtalmique.

Posologie chez l’adulte

· inhibition du myosis per-opératoire :

4 gouttes la veille de l’intervention, 4 gouttes dans les 3 heures quiprécèdent l’intervention.

· prévention des manifestations inflammatoires liées aux interventionschi­rurgicales de la cataracte et du segment antérieur de l’œil :

1 goutte, 4 à 6 fois par jour jusqu’à complète disparition de lasymptomatologie en débutant le traitement 24 heures avantl’interven­tion.

· traitement des manifestations douloureuses oculaires liées à lakératectomie photoréfractive au cours des premiers jourspost-opératoires :

1 goutte, 4 fois par jour, au cours des premiers jourspost-opératoires.

Population pédiatrique

Aucune étude spécifique n’a été réalisée chez l’enfant.

Mode d’administration

Pour une bonne utilisation du collyre, certaines précautions doivent êtreprises :

· Se laver soigneusement les mains avant de procéder à l'instillation.

· Eviter le contact de l'embout avec l'œil ou les paupières.

· Instiller une goutte de collyre dans le cul de sac conjonctival del’œil à traiter en regardant vers le haut et en tirant sur la paupièreinférieure légèrement vers le bas.

· Reboucher le flacon, après utilisation.

Le passage systémique peut être réduit par une occlusion nasolacrymale oupar la fermeture des paupières pendant 2 minutes. Cette méthode peutcontribuer à diminuer les effets indésirables systémiques et à augmenterl’ef­ficacité locale.

En cas de traitement concomitant par un autre collyre, instiller les collyresà 15 minutes d’intervalle.

4.3. Contre-indications

Ce médicament est contre-indiqué dans les situations suivantes :

· Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipientsmen­tionnés à la rubrique 6.1.

· allergie avérée à l’indométacine et aux substances d’activitéproche telles que les autres anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS ycompris l’aspirine),

· grossesse, à partir du début du 6ème mois (au-delà de 24 semainesd’a­ménorrhée) (voir rubrique 4.6),

· antécédent de crise d’asthme liée à la prise d’aspirine ou àd’autres AINS,

· par analogie avec les AINS administrés par voie générale et bien que lerisque soit faible après instillation oculaire : ulcère gastro-duodénal enévolution,

· insuffisance hépatocellulaire sévère,

· insuffisance rénale sévère.

Ce médicament ne doit généralement pas être utilisé en casd’association avec : (voir rubrique 4.5)

· les anticoagulants oraux,

· d’autres AINS (y compris les salicylés à fortes doses, à partir de3g/jour chez l’adulte),

· l’héparine,

· le lithium,

· le méthotrexate à fortes doses (≥ 15mg par semaine),

· la ticlopidine,

· le diflunisal.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Ce médicament contient un composé organomercuriel qui peut provoquer desréactions allergiques.

Mises en garde spéciales

· Un AINS peut provoquer une augmentation de la tendance au saignement destissus oculaires lors d’une intervention chirurgicale notamment chez lespatients ayant une tendance connue au saignement ou qui reçoivent d’autrestraitements pouvant prolonger le saignement.

· L'utilisation d'un AINS topique peut entraîner une kératite. Chezquelques patients ayant une prédisposition, l'utilisation continue d'AINStopiques peut entraîner une perte épithéliale, un amincissement de lacornée, une érosion cornéenne, un ulcère cornéen ou une perforation de lacornée. Ces effets peuvent menacer le pronostic visuel. Les patientsprésentant une perte épithéliale cornéenne doivent interrompreim­médiatement l'utilisation d’INDOCOLLYRE, collyre en solution et l'état deleur cornée doit être soigneusement surveillé.

· Les AINS topiques peuvent ralentir ou retarder la cicatrisation. Lescorticoïdes topiques sont également connus pour ralentir ou retarder lacicatrisation. L'utilisation concomitante d'AINS topiques et de stéroïdestopiques peut ainsi augmenter ces risques. Par conséquent, il est recommandéde faire attention si INDOCOLLYRE, collyre en solution est administré en mêmetemps que des corticostéroïdes, en particulier chez les patients ayant unrisque élevé de survenu d'effets indésirables cornéens décritsci-dessous.

· Les données obtenues suite à la commercialisation d'AINS topiquessuggèrent que les patients présentant une intervention ophtalmologiqu­ecompliquée, une dénervation cornéenne, des pertes épithéliales cornéennes,un diabète sucré, des maladies de la surface oculaire (ex : syndrome de l'œilsec), une arthrite rhumatoïde ou des interventions ophtalmologiques répétéessur une courte période peuvent présenter une augmentation du risque d'effetsindési­rables cornéens pouvant menacer le pronostic visuel. Les AINS topiquesdoivent être administrés avec précaution chez ces patients. L'utilisation­prolongée d'AINS topiques peut augmenter la fréquence et la gravité deseffets indésirables cornéens.

Précautions d’emploi

· Le collyre ne doit pas être employé en injection péri ouintra-oculaire, ni avalé.

· En cas d’hypersensibilité, interrompre le traitement.

· En cas de risque infectieux oculaire, un traitement approprié doit êtreprescrit.

· Le port des lentilles de contact est déconseillé pendant letraitement.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Si nécessaire l’indométacine par voie oculaire peut être associée auxcollyres corticoïdes.

Bien que les quantités d’indométacine passant dans la circulationsys­témique soient très faibles après instillation oculaire, le risqued’interac­tions médicamenteuses existe. Il convient donc de tenir compte desinteractions observées avec les AINS administrés par voie générale.

Associations déconseillées

+ Autres AINS (y compris les salicylés à forte dose, à partir de 3 g/jourchez l’adulte)

Augmentation du risque ulcérogène et hémorragique digestif (synergieadditive).

+ Anticoagulants oraux

Augmentation du risque hémorragique de l’anticoagulant oral (inhibition dela fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastroduodénale parles AINS).

Si l’association ne peut être évitée, surveillance clinique etbiologique étroite.

+ Héparines (voie parentérale)

Augmentation du risque hémorragique (inhibition de la fonction plaquettaireet agression de la muqueuse gastroduodénale par les AINS).

Si l’association ne peut être évitée, surveillance clinique (etbiologique pour les héparines non fractionnées) étroite.

+ Lithium

Décrit pour le diclofénac, le kétoprofène, l’indométacine, laphénylbutazone, le piroxicam.

Augmentation de la lithémie pouvant atteindre des valeurs toxiques(diminution de l’excrétion rénale du lithium).

Si l’association ne peut être évitée, surveiller étroitement lalithémie et adapter la posologie du lithium pendant l’association et aprèsl’arrêt de l’anti-inflammatoire non stéroïdien.

+ Méthotrexate utilisé à des doses supérieures ou égales à15 mg/semaine

Augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate (diminution dela clairance rénale du méthotrexate par les anti-inflammatoires).

+ Ticlopidine

Augmentation du risque hémorragique (synergie des activités antiagrégantes­plaquettaires).

Si l’association ne peut être évitée, surveillance clinique etbiologique étroite (incluant le temps de saignement).

+ Diflunisal

Hémorragies digestives fatales avec augmentation des concentration­splasmatiques d’indométacine (compétition enzymatique au niveau de laglucuroconju­gaison).

Associations faisant l'objet de précautions d’emploi

+ Diurétiques, inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC), inhibiteurs del’angiotensine II

Insuffisance rénale aiguë chez le malade déshydraté (diminution de lafiltration glomérulaire par inhibition des prostaglandines vasodilatatri­ces,due aux AINS). Par ailleurs, réduction de l’effet antihypertenseur pour lesIEC et les inhibiteurs de l’angiotensine II.

Hydrater le malade ; surveiller la fonction rénale en début detraitement.

+ Méthotrexate utilisé à des doses inférieures à 15 mg/semaine

Augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate (diminution dela clairance rénale du méthotrexate par les anti-inflammatoires).

Contrôle hebdomadaire de l’hémogramme dans les premières semaines del’association. Surveillance accrue en cas d’altération (même légère) dela fonction rénale, ainsi que chez le sujet âgé.

+ Pentoxifylline

Augmentation du risque hémorragique.

Renforcer la surveillance clinique et contrôler plus fréquemment le tempsde saignement.

+ Zidovudine

Risque de toxicité accrue sur la lignée rouge (action sur lesréticulocytes) avec anémie sévère survenant 8 jours après l’introductionde l’AINS.

Contrôle de la NFS et du taux de réticulocytes 8 à 15 jours après ledébut du traitement par l’AINS.

Associations à prendre en compte

+ Bêta-bloquants

Par extrapolation, à partir de l’indométacine.

Réduction de l’effet antihypertenseur (inhibition des prostaglandines­vasodilatatri­ces par les AINS).

+ Ciclosporine

Risque d’addition des effets néphrotoxiques, notamment chez lesujet âgé.

+ Desmopressine

Potentialisation de l’activité antidiurétique.

+ Dispositif intra-utérin

Risque (controversé) de diminution d’efficacité du dispositifintra-utérin.

+ Thrombolytiques

Augmentation du risque hémorragique.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

L’inhibition de la synthèse des prostaglandines par les AINS peut affecterle déroulement de la grossesse et/ou le développement de l’embryon oudu fœtus.

Risques associés à l’utilisation au cours du 1er trimestre

Les données des études épidémiologiques suggèrent une augmentation durisque de fausse-couche, de malformations cardiaques et de gastroschisis, aprèstraitement par un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines en début degrossesse. Le risque absolu de malformation cardiovasculaire est passé de moinsde 1% dans la population générale, à approximativement 1,5 % chez lespersonnes exposées aux AINS. Le risque paraît augmenter en fonction de la doseet de la durée du traitement. Chez l’animal, il a été montré quel’administration d’un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines­provoquait une perte pré et post-implantatoire accrue et une augmentation de lalétalité embryo-foetale. De plus, une incidence supérieure de certainesmalfor­mations, y compris cardiovasculaires, a été rapportée chez des animauxayant reçu un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines au cours de laphase d’organogénèse de la gestation.

Risques associés à l’utilisation à partir de la 12ème semained’aménorrhée et jusqu’à la naissance :

A partir de la 12ème semaine d’aménorrhée et jusqu’à la naissance,tous les AINS, par l’inhibition de la synthèse des prostaglandines, peuventexposer le fœtus à une atteinte fonctionnelle rénale :

· in utero pouvant s'observer dès 12 semaines d'aménorrhée (mise enroute de la diurèse fœtale) : oligoamnios (le plus souvent réversible àl'arrêt du traitement), voire anamnios en particulier lors d'une expositionpro­longée.

· à la naissance, une insuffisance rénale (réversible ou non) peutpersister en particulier en cas d'exposition tardive et prolongée (avec unrisque d'hyperkaliémie sévère retardée).

Risques associés à l’utilisation au-delà de la 24ème semained’aménorrhée et jusqu’à la naissance:

Au-delà de la 24ème semaine d’aménorrhée, les AINS peuvent exposer lefœtus à une toxicité cardio-pulmonaire (fermeture prématurée du canalartériel et hypertension artérielle pulmonaire). La constriction du canalartériel peut survenir à partir du début du 6ème mois (au-delà de la 24èmesemaine d’aménorrhée) et peut conduire à une insuffisance cardiaque droitefœtale ou néonatale voire à une mort fœtale in utero. Ce risque est d'autantplus important que la prise est proche du terme (moindre réversibilité). Ceteffet existe même pour une prise ponctuelle.

En fin de grossesse, la mère et le nouveau-né peuvent présenter :

· un allongement du temps de saignement du fait d’une actionanti-agrégante pouvant survenir même après administration de très faiblesdoses de médicament ;

· une inhibition des contractions utérines entraînant un retard de termeou un accouchement prolongé.

En conséquence :

Sauf nécessité absolue, ce médicament ne doit pas être prescrit chez unefemme qui envisage une grossesse ou au cours des 5 premiers mois de grossesse(24 pre­mières semaines d’aménorrhée). Si ce médicament est administréchez une femme souhaitant être enceinte ou enceinte de moins de 6 mois, ladose devra être la plus faible possible et la durée du traitement la pluscourte possible. Une prise prolongée est fortement déconseillée.

A partir du début du 6ème mois (au-delà de 24 semaines d'aménorrhée):toute prise de ce médicament, même ponctuelle, est contre-indiquée. Une prisepar mégarde à partir de cette date justifie une surveillance cardiaque etrénale, fœtale et/ou néonatale selon le terme d'exposition. La durée decette surveillance sera adaptée à la demi-vie d'élimination de lamolécule.

Allaitement

Les A.I.N.S. passant dans le lait maternel, ce médicament est déconseilléchez la femme qui allaite.

Fertilité

Comme tous les AINS, l'utilisation de ce médicament peut temporairemen­taltérer la fertilité féminine en agissant sur l’ovulation ; il est doncdéconseillé chez les femmes souhaitant concevoir un enfant. Chez les femmesrencontrant des difficultés pour concevoir ou réalisant des tests defertilité, l'arrêt du traitement doit être envisagé.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

Les patients présentant une gêne oculaire ou une vision trouble aprèsl’instillation du collyre doivent s’abstenir de conduire ou d’utiliser desmachines.

4.8. Effets indésirables

Les effets indésirables issus des essais cliniques et des donnéespost-marketing sont catégorisés par fréquence selon la convention suivante :très fréquent (≥ 1/10), fréquent (entre ≥ 1/100 et < 1/10), peufréquent (entre ≥ 1/1 000 et < 1/100), rare (entre ≥ 1/10 000 et< 1/1 000), très rare (< 1/10 000) ou fréquence indéterminée (lafréquence ne peut être estimée sur la base des données disponibles).

Classe de système d’organes

Fréquence

Effets indésirables

Affections oculaires

Peu fréquent

douleur oculaire

irritation oculaire

Rare

kératite ponctuée

photosensibilité

Fréquence indéterminée

augmentation de la sécrétion lacrymale

défauts visuels

kératite*

hyperhémie conjonctivale

hyperhémie oculaire

œdème de la cornée

œdème des paupières

perforation cornéenne*

ulcère cornéen*

Affections du système immunitaire

Rare

réactions d’hypersensibilité avec prurit et rougeur

* Des complications cornéennes telles que des kératites ou des ulcèrescornéens pouvant aller jusqu’à la perforation ont été rapportés,par­ticulièrement chez des patients à risque traités par descorticostéroïdes administrés par voie topique oculaire et/ou chez ceux dontla cornée était déjà altérée.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr..

4.9. Surdosage

En cas de surdosage local, le collyre peut être éliminé de l’œil parlavage avec du sérum physiologique stérile.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : ANTI-INFLAMMATOIRE NONSTEROIDIEN/AN­TALGIQUE à usage local. (S : organe sensoriel), code ATC :S01BC01.

L’indométacine est un inhibiteur de la prostaglandine synthétase ; ilappartient au groupe des indoliques.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Sans objet.

5.3. Données de sécurité préclinique

Sans objet.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Mercurothiolate sodique, arginine, hydroxypropyl­bétadex, solution diluéed’acide chlorhydrique 1M, eau purifiée.

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

Avant ouverture : 18 mois.

Après ouverture : 15 jours.

6.4. Précautions particulières de conservation

A conserver à une température inférieure à 25°C.

Pour les conditions de conservation du médicament après premièreouverture, voir la rubrique 6.3.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

5 mL en flacon (PE) avec bouchon à vis (PP).

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d’exigences particulières.

Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformémentà la réglementation en vigueur.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

LABORATOIRE CHAUVIN

416, RUE SAMUEL MORSE – CS99535

34961 MONTPELLIER CEDEX 2

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 341 953 8 9 : 5 mL en flacon (PE)

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I

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