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LERCANIDIPINE TEVA 20 mg, comprimé pelliculé sécable - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - LERCANIDIPINE TEVA 20 mg, comprimé pelliculé sécable

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

LERCANIDIPINE TEVA 20 mg, comprimé pelliculé sécable

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Chlorhydrate de lercanidipine­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.......20,000 mg

Pour un comprimé pelliculé sécable.

Excipient à effet notoire : lactose (60 mg/comprimé).

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Comprimé pelliculé sécable.

Le comprimé peut être divisé en doses égales.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Hypertension artérielle essentielle.

4.2. Posologie et mode d'administration

Posologie

Ce médicament est réservé à l'adulte.

Le traitement peut être initié à la dose de 5 mg chez certains patients,et cette dose peut être suffisante.

La posologie usuelle est de 10 mg par voie orale une fois par jour. La dosepeut être augmentée si nécessaire jusqu'à 20 mg selon la réponseindividuelle du patient.

En cas de contrôle tensionnel insuffisant, un autre antihypertenseur pourraêtre associé.

Chez les sujets âgés, les données pharmacocinétiques et l'expériencecli­nique indiquent qu'il n'est pas nécessaire d'ajuster les doses.

Mode d’administration

Voie orale.

Les comprimés seront administrés une fois par jour avec un peu de liquide,de préférence le matin, avant le petit déjeuner.

Les comprimés ne doivent pas être pris avec du jus de pamplemousse.

4.3. Contre-indications

Ce médicament NE DOIT JAMAIS ETRE UTILISE en cas de :

· hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipientsmen­tionnés à la rubrique 6.1,

· grossesse et allaitement,

· femmes en âge de procréer en l’absence de contraception efficace,

· angor instable,

· infarctus du myocarde datant de moins d'un mois,

· patients avec insuffisance rénale sévère dont la clairance de lacréatinine est < 10 ml/min, patients sous dialyse,

· insuffisance hépatique sévère.

Ce médicament EST GENERALEMENT DECONSEILLE en association avec ledantrolène, le kétoconazole et l'itraconazole (voir rubrique 4.5).

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Mises en garde spéciales

Chez les patients ayant un obstacle à l'éjection du ventricule gauche(cardio­myopathie hypertrophique, sténose aortique) et chez les patients ayantune maladie sinusale (en l'absence de stimulateur cardiaque), la prudence estrecommandée.

Précautions d'emploi

En cas d'insuffisance cardiaque, d'altération de la fonction ventriculaire­gauche, l'état hémodynamique du patient sera surveillé tout particulièrementen début de traitement.

Il a été suggéré que certaines dihydropyridines à action brèvepourraient être associées à une augmentation du risque cardiovasculaire chezles patients atteints d'insuffisance coronarienne. Bien que LERCANIDIPINE TEVAait une action prolongée, des précautions sont également requises chez cetype de patient.

Excipients

Lactose

Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit enlactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladieshéré­ditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.

Sodium

Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé,c’est-à-dire qu’il est essentiellement ≪ sans sodium ≫.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Associations déconseillées

+ Dantrolène (perfusion) (par mesure de prudence)

Chez l'animal, des cas de fibrillations ventriculaires mortelles sontconstamment observés lors de l'administration de vérapamil et de dantrolènepar voie IV.

L'association d'un antagoniste du calcium et de dantrolène est doncpotentiellement dangereuse.

Cependant, quelques patients ont reçu l'association nifédipine etdantrolène sans inconvénient.

+ Kétoconazole, Itraconazole

Risque majoré d'œdèmes, par diminution du métabolisme hépatique de ladihydropyridine.

Associations faisant l'objet de précautions d’emploi

+ Baclofène

Majoration de l'effet antihypertenseur.

Surveillance de la pression artérielle et adaptation posologique del'antihyper­tenseur si nécessaire.

+ Rifampicine

Diminution des concentrations plasmatiques de l'antagoniste du calcium paraugmentation de son métabolisme hépatique.

Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie del'antagoniste du calcium pendant le traitement par la rifampicine et aprèsson arrêt.

+ Anticonvulsivants inducteurs enzymatiques : carbamazépine, phénobarbital,phé­nytoïne, primidone

Diminution des concentrations plasmatiques de la dihydropyridine paraugmentation de son métabolisme hépatique.

Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de ladihydropyridine pendant le traitement par l'inducteur et après son arrêt.

+ Ciclosporine

Augmentation modérée des concentrations plasmatiques de l'immunosuppres­seuret augmentation plus notable des concentrations de lercanidipine.

Décaler les prises des deux médicaments. Dosage des concentration­ssanguines de l'immunosuppres­seur, et adaptation, si nécessaire, de saposologie pendant l'association et après son arrêt.

Associations à prendre en compte

+ Amifostine

Majoration de l'effet antihypertenseur.

+ Jus de pamplemousse

Risque majoré d'effets indésirables, notamment d'œdèmes, par diminutiondu métabolisme hépatique de la lercanidipine.

+ Alphabloquants à visée urologique: alfuzosine, prazosine, térazosine,tam­sulosine

Majoration de l'effet hypotenseur. Risque d'hypotension orthostatique­majorée.

+ Bêta-bloquants

Hypotension, défaillance cardiaque chez les malades en insuffisancecar­diaque latente ou non contrôlée (effet inotrope négatif in vitro desdihydropyri­dines, plus ou moins marqué en fonction des produits, et susceptiblede s'additionner aux effets inotropes négatifs des bêta-bloquants).

La présence d'un traitement bêta-bloquant peut minimiser par ailleurs laréaction sympathique réflexe mise en jeu en cas de répercussionhé­modynamique excessive.

+ Antidépresseurs imipraminiques (tricycliques), neuroleptiques

Effet antihypertenseur et risque d'hypotension orthostatique majorés (effetadditif).

+ Corticoïdes, tétracosactide (voie générale) (sauf hydrocortisone­employée comme traitement substitutif dans la maladie d'Addison)

Diminution de l'effet antihypertenseur (rétention hydrosodée descorticoïdes).

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Les études réalisées chez l'animal n'ont pas mis en évidence de risquetératogène de la lercanidipine, mais ces effets ont été observés avecd’autres dihydropyridines (voir rubrique 5.3).

Aucune donnée clinique concernant les grossesses exposées à lalercanidipine n’est disponible. Par conséquent, la lercanidipine ne doit pasêtre utilisée pendant la grossesse ou chez les femmes planifiant unegrossesse.

Allaitement

L’excrétion de la lercanidipine dans le lait maternel n’est pas connue.Par conséquent, la lercanidipine ne doit pas être utilisée au cours del’allaitement.

Fertilité

Aucune donnée clinique n'est disponible avec la lercanidipine. Desmodifications biochimiques réversibles de la tête des spermatozoïdes pouvantaltérer la fertilité ont été rapportées chez des patients traités par desinhibiteurs des canaux calciques. En cas d’échecs répétés de fécondationsin vitro et lorsque aucune autre explication ne peut être trouvée, laresponsabilité des inhibiteurs calciques doit être envisagée.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

Sans objet.

4.8. Effets indésirables

Cliniques

· Les effets indésirables se manifestent plutôt au début du traitement oulors des augmentations de doses. Ils sont pour la plupart bénins etdisparaissent dès l'arrêt de celui-ci: maux de tête, rougeurs du visageaccompagnées ou non de bouffées de chaleur, palpitations, œdèmes des membresinférieurs. Dans l'étude récente COHORT, le taux observé d'œdèmes desmembres inférieurs (suivi de 6 à 24 mois) est de 9,3 % sous lercanidipine,de 19,0 % sous amlodipine (p < 0,0001) et de 4,3 % sous lacidipine pour unabaissement tensionnel non significativement différent dans les trois groupes.Dans l'étude récente de Lund-Johansen, le taux observé d'œdèmes des membresinférieurs était significativement plus faible (p = 0,02) dans le groupelercanidipine (9,1 %) que dans le groupe amlodipine (28,6 %). La baisse de lapression artérielle n'était pas significativement différente dans les2 groupes (-21.2/9.5 mmHg sous lercanidipine vs –23.3/13.1 mmHg sousamlodipine).

Des étourdissements ont également été rapportés.

· Plus rarement: fatigue, troubles gastro-intestinaux tels que dyspepsie,nausées, vomissements, douleurs épigastriques et diarrhées; polyurie,éruptions cutanées, somnolence et myalgie.

· Une hypotension peut apparaître dans de rares cas.

· Bien qu'elle n'ait pas été observée durant les essais cliniques, unehyperplasie gingivale a été signalée dans de rares cas après l'utilisation­d'autres dihydropyridines.

· Ainsi que les autres substances vasoactives, la lercanidipine peutentraîner des douleurs angineuses survenant en début de traitement. Ellesimposent l'arrêt du traitement.

Des cas exceptionnels de syndrome extrapyramidal ont été rapportés aveccertains inhibiteurs calciques.

Biologiques

Des augmentations transitoires des enzymes hépatiques peuvent survenir souslercanidipine. Elles sont réversibles à l'arrêt du médicament.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

En cas de surdosage par la lercanidipine, les symptômes sont une chute de lapression artérielle, un choc et des troubles du rythme cardiaque (tachycardieet bradycardie).

Traitement du surdosage chez l'homme :

Les mesures générales à mettre en œuvre en cas de surdosage par lalercanidipine sont le lavage gastrique avec addition de charbon actif, et lemaintien des fonctions vitales (oxygénothérapie, éventuellement ventilationmé­canique, remplissage vasculaire).

Les troubles du rythme, en particulier la bradycardie, relèvent d'untraitement symptomatique par bêta-sympathomimétiques; si ces troubles mettentle patient en danger, il peut être nécessaire de poser un stimulateurcar­diaque temporaire.

En cas de surdosage massif : une perfusion de gluconate de calcium sembleindiquée. Veillez au maintien du rythme, de la conduction et du débitcardiaque. Une hypotension importante peut être contrôlée par perfusion detout mode d'expansion volémique.

En raison de l'effet pharmacologique prolongé de la lercanidipine en cas desurdosage, il est important de surveiller l'état cardiovasculaire des patientspendant au moins 24 heures. Il n'existe pas d'information sur l'utilité d'unedialyse.

Le médicament étant fortement lipophile, les taux plasmatiques ne sont pasun indicateur de la durée de la période de risque et la dialyse pourrait êtreinefficace.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : INHIBITEURS CALCIQUES SELECTIFS A EFFETSVASCU­LAIRES, code ATC : C08CA13 : système cardiovasculaire.

La lercanidipine est un antagoniste calcique appartenant à la famille desdihydropyri­dines. Elle bloque sélectivement les canaux calciquesvoltage-dépendants de type L. Son action antihypertensive est liée à un effetrelaxant direct sur les muscles vasculaires lisses. Les résistancespé­riphériques totales sont donc diminuées. Malgré sa courte demi-vieplasmatique, la lercanidipine possède une activité antihypertensi­veprolongée, ceci peut être lié à un coefficient de partage membranaireélevé. La lercanidipine est dépourvue d'effet inotrope négatif.

La vasodilatation induite par LERCANIDIPINE TEVA survenant progressivement,les cas d'hypotension aiguë avec tachycardie réflexe ont rarement étéobservés chez les patients hypertendus.

Comme pour les autres 1,4-dihydropyridines asymétriques, l'activitéanti­hypertensive de la lercanidipine est due principalement à sonénantiomère (S).

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Absorption

LERCANIDIPINE TEVA est complètement absorbé après administration orale etles pics plasmatiques, apparaissent 1,5 à 3 heures environ après la prisemédicamen­teuse.

Distribution

La biodisponibilité absolue du LERCANIDIPINE TEVA administré par voie oraleest relativement faible en raison d'un métabolisme de premierpassage é­levé.

La biodisponibilité de la lercanidipine est de l'ordre de 10 %.

La distribution tissulaire est rapide et généralisée.

Biotransformation

La métabolisation de la lercanidipine est importante et implique lecytochrome P 450, au niveau des isoenzymes CYP 3A4. Certains inhibiteurs du CYP3A4 pourraient modifier les concentrations plasmatiques de la lercanidipine maisle retentissement clinique est improbable.

Le taux de fixation de la lercanidipine aux protéines sériques estsupérieur à 98 %.

La teneur en protéines plasmatiques étant réduite chez les patientssouffrant d'une insuffisance hépatique ou rénale sévère, la fraction libredu médicament peut être augmentée dans ces cas.

La fixation de la lercanidipine aux membranes lipidiques est élevée.

Élimination

L'élimination se produit essentiellement par biotransformation.

La demi-vie d'élimination est de 8 à 10 heures. Aucune accumulation n'aété observée à la suite d'une administration répétée.

L'administration de LERCANIDIPINE TEVA par voie orale conduit à desconcentrations plasmatiques de lercanidipine qui ne sont pas directementpro­portionnelles à la dose (cinétique non linéaire). Il existe une saturationpro­gressive du métabolisme de premier passage. En conséquence, labiodisponibilité augmente avec la dose.

La biodisponibilité de la lercanidipine administrée par voie orale estquadruplée lorsque LERCANIDIPINE TEVA est ingéré dans les 2 heures quisuivent un repas riche en lipides. En conséquence, LERCANIDIPINE TEVA doitêtre pris avant les repas.

Chez les patients âgés et chez ceux atteints d'une insuffisance rénaleet/ou hépatique légère à modérée, le comportement pharmacocinétique de lalercanidipine s'est avéré similaire à celui qui a été observé pourl'ensemble de la population de patients étudiés; ceux atteints d'insuffisance­rénale sévère dont la clairance de la créatinine est < 10 ml/min ou lespatients sous dialyse avaient des concentrations du médicament plus élevées(environ 70 %). Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique sévère,la biodisponibilité systémique de la lercanidipine devrait être augmentée,étant donné que le médicament est essentiellement métabolisé parle foie.

5.3. Données de sécurité préclinique

Les données précliniques ne révèlent aucun risque particulier pourl’homme d’après les études conventionnelles de pharmacologie sur lasécurité d’emploi, de toxicité à doses répétées, de génotoxicité, depotentiel carcinogène et de toxicité sur la reproduction.

Des études pharmacologiques de sécurité réalisées chez l'animal à dosesantihyper­tensives n'ont montré aucun effet sur le système nerveux autonome, lesystème nerveux central ou la fonction gastro-intestinale.

Les effets significatifs observés dans les études long terme chez le rat etle chien étaient reliés, directement ou indirectement, aux effets connus desinhibiteurs calciques à fortes doses, reflétant essentiellement uneexagération de l’activité pharmacodynamique.

La lercanidipine n’a montré ni génotoxicité ni risque cancérigène.

Le traitement par la lercanidipine n'a eu aucune incidence sur la fertiliténi sur la capacité générale de reproduction générale chez le rat.

Aucun effet tératogène n'a été observé chez le rat et le lapin.Cependant, chez le rat, la lercanidipine administrée à des doses élevées aentraîné des pertes avant et après implantation et un retard dudéveloppemen­t fœtal.

Administrée pendant le travail, à fortes doses (12 mg/kg/jour), lechlorhydrate de lercanidipine a entraîné une dystocie.

La distribution de lercanidipine et/ou de ses métabolites chez l’animalgravide et leur excrétion dans le lait maternel n’ont pas étéétudiées.

Les métabolites n’ont pas fait l’objet d’études de toxicitéséparées.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Lactose monohydraté, cellulose microcristalline, carboxyméthyla­midonsodique, povidone, stéarate de magnésium.

Pelliculage : OPADRY II Rose 85F34564 (alcool polyvinylique, dioxyde detitane (E171), macrogol, talc, oxyde de fer jaune (E172), oxyde de fer rouge(E172).

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

3 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation

A conserver dans l’emballage d’origine, à l’abri del’humidité.

A conserver à une température ne dépassant pas 25°C.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

14, 28, 30, 35, 50, 90 ou 100 comprimés sous plaquettes(Alu­minium/PVC/PVDC).

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d’exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

RATIOPHARM GMBH

GRAF-ARCO-STRASSE 3

89079 ULM

ALLEMAGNE

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 321 544 5 6: 14 comprimés sous plaquettes(Alu­minium/PVC/PVDC).

· 34009 322 038 6 4: 28 comprimés sous plaquettes(Alu­minium/PVC/PVDC).

· 34009 323 894 3 8: 30 comprimés sous plaquettes(Alu­minium/PVC/PVDC).

· 34009 323 923 3 9: 35 comprimés sous plaquettes(Alu­minium/PVC/PVDC).

· 34009 324 538 6 3: 50 comprimés sous plaquettes(Alu­minium/PVC/PVDC).

· 34009 327 620 5 7: 90 comprimés sous plaquettes(Alu­minium/PVC/PVDC).

· 34009 576 610 3 8: 100 comprimés sous plaquettes(Alu­minium/PVC/PVDC).

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I

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