La Pharmacia De Garde Ouvrir le menu principal

MOXONIDINE MYLAN 0,2 mg, comprimé pelliculé - résumé des caractéristiques

Contient la substance active :

ATC classification:

Dostupné balení:

Résumé des caractéristiques - MOXONIDINE MYLAN 0,2 mg, comprimé pelliculé

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

MOXONIDINE VIATRIS 0,2 mg, comprimé pelliculé

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Moxonidine...­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­...0,2 mg

Pour un comprimé pelliculé.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Comprimé pelliculé.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Hypertension artérielle.

4.2. Posologie et mode d'administration

Posologie

La posologie recommandée est un comprimé à 0,2 mg par jour,le matin.

En cas de résultat insuffisant après 4 semaines de traitement la posologiepeut être portée à 0,4 mg en une ou deux prises par jour au début des repas(il existe des comprimés dosés à 0,4 mg).

Il est recommandé de ne pas dépasser 0,4 mg par prise et 0,6 mg par jour(en deux prises par jour).

Chez les patients ayant une insuffisance rénale modérée (filtrationglo­mérulaire comprise entre 30 et 60 ml/min) ou une insuffisance rénalesévère (filtration glomérulaire comprise entre 15 et 30 ml/min), laposologie initiale est de 0,2 mg par jour. Si nécessaire et si elle est bientolérée, la posologie pourra être augmentée à 0,4 mg par jour chez lespatients ayant une insuffisance rénale modérée et à 0,3 mg par jour ayantune insuffisance rénale sévère (voir rubrique 4.4).

Chez les patients hémodialysés, la dose journalière est de 0,2 mg. Sinécessaire, et si elle est bien tolérée, la posologie peut être augmentéeà 0,4 mg par jour.

MOXONIDINE VIATRIS peut être pris pendant ou en dehors des repas.

Le traitement doit être poursuivi indéfiniment.

Population pédiatrique

Ce médicament ne doit pas être utilisé chez l’enfant et l’adolescenten dessous de 18 ans compte‑tenu de l’absence de données concernant lasécurité et l’efficacité.

Mode d’administration

Voie orale.

4.3. Contre-indications

Ce médicament est contre-indiqué chez les patients présentant :

· une hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipientsmen­tionnés à la rubrique 6.1,

· une dysfonction sinusale,

· une bradycardie (fréquence cardiaque au repos <50 battements/minute),

· un bloc auriculo-ventriculaire du 2ème et 3ème degré,

· une insuffisance cardiaque.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Lors de la surveillance après la mise sur le marché, des cas de blocsauriculo-ventriculaires de différents degrés ont été rapportés chez despatients traités par la moxonidine. D’après ces cas, le rôle causal de lamoxonidine dans le retard de la conduction auriculo-ventriculaire ne peut pasêtre complètement exclu. Par conséquent, il est recommandé de traiter avecprudence les patients prédisposés au développement d’un blocauriculo-ventriculaire.

Une attention particulière devra être exercée lors de l’utilisation dela moxonidine chez les patients présentant un bloc auriculo-ventriculaire du1er degré, afin d’éviter une bradycardie. La moxonidine ne doit pas êtreutilisée chez les patients présentant un bloc auriculo-ventriculaire de degréplus élevé (voir rubrique 4.3).

En l'absence d'expérience clinique documentée, la moxonidine n’est pasrecommandée en cas de dépression.

La moxonidine devra être utilisée avec précaution chez les patientsprésentant une insuffisance coronarienne sévère ou un angor instable enraison de l’expérience limitée dans cette population.

La moxonidine étant principalement éliminée par le rein, une attentionparti­culière est recommandée lors de l’administration chez des patientsprésentant une insuffisance rénale. Chez ces patients, une adaptationposo­logique est recommandée, notamment en début de traitement. La posologieinitiale journalière est de 0,2 mg. Si nécessaire, et si elle est bientolérée, la posologie pourra être augmentée à 0,4 mg par jour chez lespatients ayant une insuffisance rénale modérée (filtration glomérulairecom­prise entre 30 et 60 ml/min) et à 0,3 mg par jour chez les patients ayantune insuffisance rénale sévère (filtration glomérulaire <30 ml/min).

S'il est nécessaire d'interrompre un traitement associant un bêtabloquantet la moxonidine, il faut d'abord arrêter progressivement le traitementbêta­bloquant, puis la moxonidine quelques jours après.

A ce jour, aucun effet-rebond n’a été observé sur la pressionartérielle après arrêt du traitement par la moxonidine. Cependant, il ne fautpas interrompre brutalement le traitement, mais diminuer progressivement laposologie sur une période de 2 semaines.

Les sujets âgés peuvent être plus sensibles aux effets cardiovascula­iresdes médicaments antihypertenseurs. Par conséquent, le traitement devradébuter avec la dose la plus faible et l’augmentation de la dose devra êtreréalisée avec précaution pour prévenir l’apparition de conséquencesgraves provoquées par ces réactions.

Ce médicament contient du lactose. Son utilisation est déconseillée chezles patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactasede Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose (maladieshéré­ditaires rares).

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

La moxonidine peut potentialiser l’effet sédatif des antidépresseur­stricycliques (il faut donc éviter une prescription concomitante), destranquillisants, de l’alcool, des neuroleptiques et des somnifères.

Associations déconseillées

+ Alcool

Majoration par l'alcool de l'effet sédatif de ces substances. L'altérationde la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules etl'utilisation de machines. Eviter la prise de boissons alcoolisées et demédicaments contenant de l'alcool.

+ Bêtabloquant dans l’insuffisance cardiaque

Diminution centrale du tonus sympathique et effet vasodilatateur desantihyperten­seurs centraux, préjudiciables en cas d’insuffisance cardiaquetraitée par bêtabloquant et vasodilatateur.

Associations faisant l'objet de précautions d’emploi

+ Baclofène

Majoration du risque hypotenseur ; surveillance de la pression artérielle etadaptation de la posologie si nécessaire.

+ Bêtabloquants (sauf esmolol)

Augmentation importante de la pression artérielle en cas d’arrêt brutaldu traitement par l’antihypertenseur central.

Eviter l’arrêt brutal du traitement par l’antihypertenseur central.Surve­illance clinique.

Associations à prendre en compte

+ Amifostine

Majoration du risque hypotenseur, notamment orthostatique.

+ AINS

Par extrapolation à partir de l'indométacine, réduction de l'effetantihy­pertenseur par inhibition des prostaglandines vasodilatatrices etrétention hydrosodée.

+ Alphabloquants à visée urologique

Majoration de l'effet hypotenseur. Risque d'hypotension orthostatique­majoré.

+ + Antihypertenseurs alpha-bloquants

Majoration de l'effet hypotenseur. Risque d'hypotension orthostatique­majoré.

+ Neuroleptiques, antidépresseurs imipraminiques

Majoration du risque hypotenseur, notamment orthostatique.

+ Dérivés nitrés et apparentés

Majoration du risque d’hypotension, notamment orthostatique.

+ Autres médicaments sédatifs [les dérivés morphiniques (analgésiques,an­titussifs et traitements de substitution), les neuroleptiques, lesbarbituriques, les benzodiazépines, les anxiolytiques autres que lesbenzodiazépines (par exemple, le méprobamate), les hypnotiques, lesantidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxépine, miansérine, mirtazapine,tri­mipramine), les antihistaminiques H1 sédatifs, les antihypertense­urscentraux, le baclofène et la thalidomide].

Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peutrendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.

L'administration concomitante d'autres produits antihypertenseurs renforcel'effet antihypertenseur de la moxonidine.

Les antidépresseurs tricycliques peuvent réduire l’efficacité desantihyperten­seurs centraux. Par conséquent, l’administration concomitanted’an­tidépresseurs tricycliques avec la moxonidine n’est pasrecommandée.

La moxonidine augmente modérément les performances altérées des fonctionscognitives chez les patients recevant du lorazépam. L’effet sédatif desbenzodiazépines peut être renforcé lors de l’administration concomitante demoxonidine.

La moxonidine est excrétée par excrétion tubulaire. Une interaction avecd’autres agents qui sont éliminés par excrétion tubulaire ne peut pas êtreexclue.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Il n'existe pas de données pertinentes sur l’utilisation de la moxonidinechez la femme enceinte. Les études effectuées chez l’animal ont mis enévidence des effets embryo-toxiques (voir rubrique 5.3). Le risque potentielchez les humains est inconnu.

La moxonidine ne doit pas être utilisée pendant la grossesse sauf si celas’avère nécessaire.

Allaitement

La moxonidine passe dans le lait maternel. Par conséquent, son utilisationest déconseillée chez les femmes qui allaitent.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

Les effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines n’ont pas été étudiés.

La survenue d’une somnolence et de sensations vertigineuses a étérapportée. Il faut garder cela à l'esprit lors de l'exécution de cestâches.

Il convient également d'attirer l'attention des conducteurs en cas dedépassement des doses thérapeutiques ou d'association à des médicationssus­ceptibles de diminuer la vigilance.

4.8. Effets indésirables

Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés lors de la prise demoxonidine sont :

· sécheresse buccale,

· sensations vertigineuses,

· somnolence,

· asthénie.

Ces effets diminuent le plus souvent après les premières semaines detraitement.

Les effets indésirables suivants ont été rapportés lors d’essaiscliniques contrôlés versus placebo incluant 886 patients ayant pris lamoxonidine :

Système organe/classe (MedRA)

Très fréquents

> 1/10

Fréquents

> 1/100, < 1/10

Peu fréquents

> 1/1 000, < 1/100

Affections cardiaques

Bradycardie

Affections de l’oreille et du labyrinthe

Acouphènes

Affections du système nerveux central

Céphalées*, sensations vertigineuses/ver­tiges, somnolence

Syncope*

Affections vasculaires

Hypotension* (incluant hypotension orthostatique)

Affections gastro‑intestinales

Sécheresse buccale

Diarrhée, nausées/vomis­sements/dyspep­sie

Affections de la peau et du tissu sous-cutané

Rash, prurit

Angio-œdème

Troubles généraux et anomalies au site d’administration

Asthénie

Œdèmes

Affections musculo‑squelet­tiques et systémiques

Douleur dorsale

Douleur du cou

Affections psychiatriques

Insomnie

Nervosité

* La fréquence de ces effets n’était pas augmentée par rapport auplacebo

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

Symptômes

Parmi les quelques cas de surdosage rapportés, une dose de 19,6 mg a étéingérée en une fois sans effet indésirable grave. Les effets rapportésincluaient : céphalées, sédation, somnolence, hypotension, sensationsver­tigineuses, asthénie, bradycardie, sécheresse buccale, vomissements,fa­tigue et douleurs abdominales hautes.

En cas de surdosage important, il est recommandé de surveiller notammentavec attention les troubles de la conscience et la dépression respiratoire.

De plus, sur la base des données observées dans quelques études chezl’animal à doses élevées, une hypertension transitoire, une tachycardie etune hyperglycémie peuvent également survenir.

Traitement

Il n’y a pas d’antidote spécifique connu. En cas d’hypotension, uneperfusion de solution de remplissage et l’administration de dopamine peutêtre envisagée. La bradycardie peut être traitée par l’atropine.

Les effets d’une hypertension paradoxale lors d’un surdosage par lamoxonidine peuvent être diminués ou éliminés par l’administrati­ond’antagonis­tes des récepteurs α.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : ANTIHYPERTENSEUR D'ACTION CENTRALE, codeATC : C02AC05.

Mécanisme de l'action pharmacologique

Dans différents modèles animaux, la moxonidine s'est montrée comme unantihypertenseur d'action centrale de structure et de propriétés voisines decelles de la clonidine.

La moxonidine est un agoniste sélectif d'une sous-classe de récepteursimi­dazoliniques : les récepteurs imidazoliniques de type I, qui sontconcentrés principalement dans la partie rostrale de la mœlleventro-latérale, zone impliquée dans le contrôle du système nerveuxsympathique périphérique. Le mécanisme d'action repose sur la forte affinitéde la moxonidine pour les récepteurs imidazoliniques I1 ce qui se traduit parune baisse du tonus sympathique (démontrée aux niveaux cardiaque, splanchniqueet rénal) entraînant une diminution des résistances vasculairespé­riphériques et par voie de conséquence de la pression artérielle.

La moxonidine, en revanche, se distingue des autres antihypertense­urscentraux par une affinité moindre pour les récepteurs alpha 2 adrénergiqu­escentraux qui sont considérés comme responsables d'effets indésirables commela sécheresse buccale et surtout la somnolence ; on serait donc en droitd'espérer une moindre incidence de ce type d'effets avec la moxonidine auxdoses usuelles.

Caractéristiques de l'activité antihypertensive

Chez l'homme, la moxonidine a entraîné une réduction significative desrésistances vasculaires périphériques et par conséquent de la pressionartérielle.

Après six mois de traitement par la moxonidine, au cours d'un essaithérapeutique, il a été observé une régression de l'hypertrophi­eventriculaire gauche.

Par rapport à la clonidine, la moxonidine est considérée comme 10 foisplus active au niveau central et 10 fois moins active au niveau périphérique,ainsi l'arrêt du traitement ne devrait pas s'accompagner d'un rebond del'hypertension artérielle étant donné la moindre affinité aux récepteursalpha 2 adrénergiques.

Action hémodynamique

Les études réalisées n'ont pas mis en évidence de répercussion sur lafréquence cardiaque, sur l'inotropisme et sur la conduction.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Absorption

Chez l'homme, 90 % environ d'une dose orale de moxonidine sont absorbés. Lamoxonidine ne subit pas d'effet de premier passage hépatique et sabiodisponibilité est de 88 %. Il n'y a pas d'influence de la prised'aliments.

Les taux plasmatiques maximum sont atteints 30 à 180 mn aprèsla prise.

Distribution

La liaison aux protéines plasmatiques est de 7 % seulement (volume dedistribution : Vd = 1,8 ± 0,4 l/kg).

Biotransformation

La moxonidine est métabolisée à 10–20 %, principalement en4,5 déshydro­moxonidine et en dérivé aminométhanamidine par ouverture ducycle imidazole (l'effet antihypertenseur de la 4,5 déshydromo­xonidinerepré­sente chez l'animal 1/10ème de celui de la moxonidine, celui du dérivéde l'aminométhana­midine, moins de 1/100ème).

Elimination

La moxonidine et ses métabolites sont éliminés en quasi-totalité par voierénale. Plus de 90% de la dose sont éliminés par les reins dans lespremières 24 heures suivant l'administration, alors que 1 % seulement estéliminé par les fèces. L'excrétion rénale totale de la moxonidine sousforme inchangée est d'environ 50 à 75 %.

La demi-vie moyenne d'élimination plasmatique est de 2,2 – 2,3 heures,la demi-vie d'élimination rénale de 2,6 – 2,8 heures.

En cas d'insuffisance rénale modérée (filtration glomérulaire = 30 –60 ml/mn), l'aire sous la courbe augmente de 85% et la clairance diminue à52 %.

5.3. Données de sécurité préclinique

Les données précliniques n’ont montré aucun risque particulier chezl’homme sur la base d’études standards portant sur la sécurité d’emploiet la toxicité pharmacologiques, toxicité à doses répétées, degénotoxicité, potentiel carcinogène et de toxicité sur la reproduction.

Les études chez l’animal ont montré des effets embryotoxiques à desdoses toxiques pour la mère. Les études de toxicité sur la reproductionn’ont pas montré d’effet sur la fertilité ni de potentiel tératogène.Des effets embryotoxiques ont été observés chez le rat à des dosessupérieures ou égales à 9 mg/kg/jour et chez le lapin à des dosessupérieures à 0,7 mg/kg/jour Dans une étude de péri-et post-natalité chezle rat, une influence sur le développement et la vitalité a été notée àdes doses supérieures ou égales à 3 mg/kg/jour.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Lactose monohydraté, crospovidone, povidone, stéarate de magnésium.

Pelliculage : oxyde de fer rouge (E172), OPADRY Y-1–7000 (dioxyde de titane(E171), hypromellose (E464), macrogol 400).

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

2 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation

A conserver à une température ne dépassant pas +25°C.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

14, 28, 30, 50, 84, 90 ou 100 comprimés sous plaquettes(PVC/PVDC­/Aluminium).

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d'exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

VIATRIS SANTE

1 RUE DE TURIN

69007 LYON

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 373 529–7 : 14 comprimés sous plaquettes (PVC/PVDC/Alu­minium).

· 373 530–5 : 28 comprimés sous plaquettes (PVC/PVDC/Alu­minium).

· 373 531–1 : 30 comprimés sous plaquettes (PVC/PVDC/Alu­minium).

· 373 532–8 : 50 comprimés sous plaquettes (PVC/PVDC/Alu­minium).

· 373 533–4 : 84 comprimés sous plaquettes (PVC/PVDC/Alu­minium).

· 373 534–0 : 90 comprimés sous plaquettes (PVC/PVDC/Alu­minium).

· 568 363–0 : 100 comprimés sous plaquettes (PVC/PVDC/Alu­minium).

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I

Retour en haut de la page