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OROKEN ENFANTS 100 mg/5 ml, poudre pour suspension buvable en flacon - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - OROKEN ENFANTS 100 mg/5 ml, poudre pour suspension buvable en flacon

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

OROKEN ENFANTS 100 mg/5 ml, poudre pour suspension buvable en flacon

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Céfixime trihydraté

Quantité correspondant à céfiximeanhydre­.............­.............­.............­.............­.............­...........100 mg

Pour 5 ml de suspension reconstituée.

1 flacon = 40 ml de suspension reconstituée = 8 mesurettes graduées soit8 unités de prises de 25 kg.

Excipients à effet notoire : rouge cochenille A (E124), saccharose.

5 ml de suspension OROKEN 100 mg/5 ml (soit 1 unité de prise pour 25 kg)contiennent 1,51 g de sucre environ.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Poudre pour suspension buvable.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Elles sont limitées, chez l’enfant de plus de 6 mois, aux infections duesaux germes définis comme sensibles, lorsque ces infections permettent uneantibiothérapie orale et notamment :

· Infections bronchiques et pulmonaires,

· Otites moyennes aiguës, notamment récidivantes,

· Pyélonéphrites aiguës en relais d’une antibiothérapie parentéraled’au moins 4 jours,

· Infections urinaires basses chez l’enfant de plus de 3 ans et en dehorsdes états infectieux sévères.

Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernantl'u­tilisation appropriée des antibactériens.

4.2. Posologie et mode d'administration

Posologie

La posologie d'OROKEN ENFANTS 100 mg/5 ml, poudre pour suspension buvable enflacon chez l'enfant (au-dessus de 6 mois) est de 8 mg/kg/jour en deuxadministra­tions, à 12 heures d'intervalle, soit 4 mg/kg et par prise.

La suspension buvable est à reconstituer par addition d'eau jusqu'au traitde jauge pour l'obtention d'un volume total de 40 ml et à agiter avantl'emploi.

La dose par prise est indiquée, en fonction du poids de l'enfant, sur lepiston de la pipette graduée en kg. Elle se lit donc directement sur lesgraduations de la pipette. Ainsi, le point indiqué correspond à la dose pourune prise.

Deux prises par jour sont nécessaires.

Par exemple, la graduation 10 kg correspond à la dose à administrer parprise pour un enfant de 10 kg, et ce, deux fois par jour.

Présentations préconisées en fonction de l'âge

6 à 30 mois

OROKEN 40 mg/5 ml, poudre pour suspension buvable en flacon

30 mois à 12 ans

OROKEN 100 mg/5 ml, poudre pour suspension buvable en flacon

> 12 ans et adultes

OROKEN, comprimé à 200 mg

· Chez l'insuffisant rénal

Lorsque les valeurs de la clairance de la créatinine sont supérieures à20 ml/mn, il n'est pas utile de modifier la posologie. Pour des valeursinférieures, y compris chez les patients hémodialysés, la posologie decéfixime ne devra pas dépasser 4 mg/kg/jour, en une administration.

· Chez l'insuffisant hépatique

Il n'est pas nécessaire de modifier la posologie.

Mode d’administration

Voie orale.

4.3. Contre-indications

Hypersensibilité au céfixime ou à un antibiotique du groupe descéphalosporines, ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Mises en garde

· La survenue de toute manifestation allergique impose l'arrêt dutraitement.

· La prescription de céphalosporines nécessite un interrogatoire­préalable. L'allergie aux pénicillines étant croisée avec celle auxcéphalosporines dans 5 à 10 % des cas :

o L'utilisation des céphalosporines doit être extrêmement prudente chezles patients pénicillino-sensibles ; une surveillance médicale stricte estnécessaire dès la première administration,

o L'emploi des céphalosporines est à proscrire formellement chez lessujets ayant des antécédents d'allergie de type immédiat auxcéphalosporines. En cas de doute, la présence du médecin auprès du patientest indispensable à la première administration, afin de traiter l'accidentanap­hylactique possible,

· Les réactions d'hypersensibilité (anaphylaxie) observées avec ces deuxtypes de substances, peuvent être graves et parfois fatales.

· Des cas de colite liée à l’administration d’un produitantibac­térien et de colite pseudo-membraneuse ont été signalés avec presquetous les produits antibactériens, y compris avec céfixime, avec une gravitéallant de légère à menaçant le pronostic vital. Par conséquent, il estimportant de prendre en compte ce diagnostic chez les patients qui présententdes diarrhées pendant ou après l'administration de céfixime. L’arrêt dutraitement par céfixime et l’administration d’un traitement spécifiquecontre Clostridium difficile doivent être envisagés. Toute administration­d'inhibiteurs du péristaltisme est à proscrire.

· Réactions cutanées graves :

Des réactions cutanées graves telles que la nécrolyse épidermique toxique(NET, aussi appelée syndrome de Lyell), le syndrome de Stevens-Johnson (SSJ),le syndrome d’hypersensibilité médicamenteuse avec éosinophilie etsymptômes systémiques (DRESS) et la pustulose exanthématique aiguëgénéralisée (PEAG) ont été rapportées chez des patients traités parcéfixime. Les patients doivent être informés des signes et symptômes desmanifestations cutanées graves et doivent être étroitement surveillés. Letraitement par céfixime doit être immédiatement arrêté dès la premièreapparition d’une éruption cutanée, de lésions au niveau des muqueuses ou detout autre signe d’hypersensibilité cutanée.

· Des cas graves d’anémie hémolytique, incluant des décès, ont étérapportés chez des patients recevant des antibactériens de la classe descéphalosporines (effet de classe). La réapparition d’une anémiehémolytique après réintroduction d’une céphalosporine chez un patientayant un antécédent d’anémie hémolytique sous céphalosporine, y compriscéfixime, a également été décrite. Si un patient développe une anémiesous céfixime, le diagnostic d’anémie associée aux céphalosporines doitêtre envisagé et le céfixime arrêté jusqu’à ce que l’étiologie soitétablie (voir rubrique 4.8).

· Les bêtalactamines incluant le céfixime prédisposent le patient aurisque d’encéphalopathie (qui peut inclure des convulsions, une confusion,des troubles de la conscience ou des mouvements anormaux) et, particulièrement,en cas de surdosage ou d’atteinte de la fonction rénale.

· Excipients à effet notoire :

o Ce médicament contient du saccharose. Son utilisation est déconseilléechez les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome demalabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase/isomal­tase(maladies héréditaires rares).

o Ce médicament contient un agent colorant azoïque (4R rouge cochenille)et peut provoquer des réactions allergiques.

o Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par flacon,c’est-à-dire qu’il est essentiellement « sans sodium ».

Précautions particulières d’emploi

· Chez les patients allergiques à d'autres bêtalactamines, il faut tenircompte de la possibilité d'allergie croisée.

· En cas d'insuffisance rénale sévère, il peut être nécessaired'adapter la dose quotidienne en fonction de la clairance de la créatinine(voir rubriques 4.2 et 5.2).

· Chez l’enfant de moins de 6 mois, à ce jour, en l’absenced’études spécifiques, il est recommandé de ne pas utiliser lecéfixime.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Interactions médicamenteuses

Aucune interaction cliniquement significative n'a été rapportée au coursdes essais cliniques.

En pharmacocinétique, il a été montré que l'association de 1 g deprobénécide au céfixime entraînait une diminution de 25 % de la clairancetotale du produit.

Chez l'homme, l'association d'un anti-acide ne diminue pas l'absorption ducéfixime.

Interaction avec les examens de laboratoire

o Réactions faussement positives lors de la recherche de cétones dans lesurines (par méthode au nitroprussiate).

o Réactions faussement positives lors de la recherche d'une glycosurie(employer de préférence les méthodes de dosage utilisant laglucose-oxydase).

o Une fausse positivation du test de Coombs a été décrite au cours detraitement par les céphalosporines.

Problèmes particuliers du déséquilibre de l'INR

De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ontété rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexteinfectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patientapparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaîtdifficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitementdans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classesd'anti­biotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment desfluoroquino­lones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certainescépha­losporines.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

En raison du bénéfice attendu, l'utilisation du céfixime peut êtreenvisagée au cours de la grossesse si besoin. En effet, bien que les donnéescliniques soient insuffisantes, les données animales n'ont pas mis en évidenced'effet malformatif ou fœtotoxique.

Allaitement

Il n'y a pas de données de passage dans le lait maternel du céfixime.Cependant, l'allaitement est possible en cas de prise de cet antibiotique.

Toutefois, interrompre l'allaitement (ou le médicament) en cas de survenuede diarrhée, de candidose ou d'éruption cutanée chez le nourrisson.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

En cas de survenue d’effets indésirables tel qu’une encéphalopathie(qui peut inclure des convulsions, une confusion, des troubles de la conscienceou des mouvements anormaux) (voir rubriques 4.4, 4.8, 4.9), le patient ne doitpas conduire ou utiliser de machines.

4.8. Effets indésirables

Les fréquences sont déterminées de la façon suivante : très fréquent(≥ 1/10) ; fréquent (≥ 1/100, < 1/10) ; peu fréquent (≥ 1/1 000,< 1/100) ; rare (≥ 1/10 000, < 1/1 000) ; très rare (< 1/10 000)et fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des donnéesdisponi­bles).

Affections hématologiques et du système lymphatique :

· Hyperéosinophilie, thrombocytose, thrombocytopénie, leucopénie,ne­utropénie et agranulocytose.

· Très rares cas d’anémie hémolytique (voir rubrique 4.4).

Affections gastro-intestinales

· Douleurs abdominales, diarrhées (voir rubrique 4.4), nausées,vomis­sements, dyspepsie.

Troubles généraux et anomalies au site d'administration

· Fièvre.

Infections et infestations

· Colites pseudo-membraneuses.

Affections du système immunitaire

· Rares cas de réactions anaphylactiques telles qu’urticaire ouangioedème.

Investigations

· Elévation modérée et transitoire des transaminases ASAT et ALAT et desphosphatases alcalines.

· Faible augmentation de l'urée sanguine et de la créatininémie.

Affections du système nerveux

· Céphalées, vertiges.

· Fréquence inconnue : des cas de convulsion ont été rapportés avec lescéphalosporines incluant le céfixime.

Les bêtalactamines incluant le céfixime prédisposent le patient au risqued’encép­halopathie (qui peut inclure des convulsions, une confusion, destroubles de la conscience ou des mouvements anormaux) et, particulièrement, encas de surdosage ou d’atteinte de la fonction rénale.

Affections du rein et des voies urinaires

· Insuffisance rénale aiguë par néphrite interstitielle.

Affections de la peau et du tissu sous-cutané

· Eruption cutanée, prurit,

· Très rares cas d'éruptions bulleuses (érythème polymorphe, Syndrome deStevens-Johnson (SSJ), nécrolyse épidermique toxique (NET, aussi appeléeSyndrome de Lyell)), syndrome d’hypersensibilité médicamenteuse avecéosinophilie et symptômes systémiques (DRESS), pustulose exanthématiqueaiguë généralisée (PEAG) (voir rubrique 4.4).

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

Les bêtalactamines incluant le céfixime prédisposent le patient au risqued’encép­halopathie et, particulièrement, en cas de surdosage ou d’atteintede la fonction rénale.

En cas d'ingestion de quantités importantes de céfixime, un traitementsym­ptomatique sera initié. Il n'existe pas d'antidote spécifique.L'hé­modialyse ou la dialyse péritonéale ne permet pas d'éliminer lecéfixime du plasma.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : Antibiotique de la famille desbêtalactamines, du groupe des céphalosporines de 3ème génération – codeATC : J01DD08

Comme les autres céphalosporines, le mécanisme d'action du céfixime reposesur l'inhibition de la synthèse des parois bactériennes.

Le céfixime présente une activité bactéricide in vitro vis-à-vis denombreux germes à Gram positif ou à Gram négatif.

SPECTRE D'ACTIVITE ANTIBACTERIENNE

Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches desensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :

S £ 1 mg/l et R > 2 mg/l

La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de lagéographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposerd'infor­mations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour letraitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'uneorientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienneà cet antibiotique.

Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France estconnue pour une espèce bactérienne, elle est indiquée dans le tableauci-dessous :

Catégories

Fréquence de résistance acquise en France (> 10%) (valeursextrêmes)

ESPÈCES SENSIBLES

Aérobies à Gram positif

Streptococcus

Streptococcus pneumoniae

30 – 70 %

Aérobies à Gram négatif

Branhamella catarrhalis

Citrobacter koseri

Escherichia coli

5 – 15 %

Haemophilus influenzae

Klebsiella

0 – 20 %

Neisseria gonorrhoeae

Pasteurella

Proteus mirabilis

Proteus vulgaris

Providencia

Anaérobies

Fusobacterium

10 – 20 %

Prevotella

30 – 70 %

ESPÈCES RÉSISTANTES

Aérobies à Gram positif

Corynebacterium diphtheriae

Entérocoques

Listeria

Staphylococcus

Aérobies à Gram négatif

Acinetobacter

Citrobacter freundii

Pseudomonas

Serratia

Anaérobies

Sauf Prevotella et Fusobacterium

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Les études pharmacocinétiques ont démontré la bioéquivalence des formescomprimé et granulé.

Chez l'adulte : Absorption

· Après administration par voie orale, en prise unique de 200 mg, lesconcentrations sériques maximales (Cmax) sont, en moyenne, de3 microgrammes/ml et sont atteintes (Tmax) en 3 à 4 heures environ. Aprèsadministration d'une dose de 400 mg, les concentrations sériques maximalessont plus élevées (3,4–5 microgrammes/ml) mais de façon non proportionnelleà l'augmentation des doses.

· Après administrations répétées pendant 15 jours de doses de400 mg/jour en une ou deux administrations, les concentrations sériques et labiodisponibilité ne sont pas modifiées, traduisant ainsi l'absenced'ac­cumulation du principe actif.

· La biodisponibilité du céfixime est d'environ 50 % à la dose de200 mg. Elle n'est pas modifiée par la prise de repas. Le temps d'apparitiondes concentrations sériques maximales est toutefois retardé d'environune heure.

Distribution

· Le volume apparent de distribution est de l'ordre de 15 litres. Chezl'animal, le céfixime diffuse dans la grande majorité des tissus étudiés, àl'exception du cerveau. Chez l'homme, après des prises de 200 mg à 12 heuresd'in­tervalle, les concentrations pulmonaires, 4 et 8 heures après ladernière prise, sont de l'ordre de 1 microgramme/g de tissu, cesconcentrations étant supérieures aux C.M.I 90 % des germes sensibles,res­ponsables des infections pulmonaires.

Elimination

· L'élimination du céfixime se caractérise par une demi-vie (T½)comprise entre 3 et 4 heures (moyenne : 3.3 heures). Le produit est éliminépar voie rénale sous forme inchangée (16 à 20 % de la dose ingérée),l'éli­mination extra-rénale est essentiellement biliaire (25 %).

· Aucun métabolite, sérique ou urinaire, n'a pu être mis en évidencechez l'animal comme chez l'homme.

· En cas d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <20 ml/mn), l'augmentation de la demi-vie d'élimination plasmatique et desconcentrations sériques maximales rendent nécessaire une réduction de laposologie quotidienne de 400 à 200 mg/j.

· Chez l'insuffisant hépatique, l'élimination est ralentie (T½ =6,4 heures), mais il n'est pas nécessaire de modifier la posologie.

· La fixation aux protéines sériques est de l'ordre de 70 % et se faitprincipalement sur l'albumine, indépendamment de la concentration (aux dosesthérapeu­tiques).

Les caractéristiques pharmacocinétiques du céfixime sont trèslégèrement modifiées chez le sujet âgé. La faible augmentation desconcentrations sériques maximales, de la biodisponibilité et la faiblediminution de la quantité excrétée (15 à 25 %) n'imposent aucuneréduction de posologie dans cette population.

Chez l'enfant

· Les concentrations sériques obtenues après administration, en priseunique, de 4 mg/kg de céfixime (granulé) varient de 1,7 à2,5 micro­grammes/ml.

· Cinq heures après une prise de 4 mg/kg de céfixime, les concentrationsdans les amygdales non fibreuses sont en moyenne de C 6 à 0,8 microgram­mes/gpour une concentration sérique concomitante de 1,24 ±0,94 mi­crogrammes/ml.

5.3. Données de sécurité préclinique

Sans objet.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Gomme xanthane, rouge cochenille A (E124), arôme de fraise en poudre*,benzoate de sodium, silice colloïdale anhydre, saccharose.

*Composition de l'arôme fraise : citrate d'éthyle, propylèneglycol,bu­tyrate d'éthyle, hexène-3 al-1 ; acide propionique, cinnamate de méthyle,acide citrique, maltol, vanilline, acide méthylbutyrique, caproate d'éthyle,gamma décalactone, gomme arabique.

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

2 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation

A conserver à une température ne dépassant pas 25°C.

Après première ouverture, la durée de conservation de la suspensionrecon­stituée est de 10 jours.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

13,3 g de poudre en flacon (verre) avec mesurette graduée de 5 ml(polyéthylène)

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d’exigences particulières.

Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformémentà la réglementation en vigueur.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

SANOFI-AVENTIS FRANCE

82 AVENUE RASPAIL

94250 GENTILLY

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 335 898–9 9 : 13,3 g en flacon (verre) avec mesurette graduée5 ml (polyethylène).

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I

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