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PRAZEPAM BIOGARAN 10 mg, comprimé - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - PRAZEPAM BIOGARAN 10 mg, comprimé

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

PRAZEPAM BIOGARAN 10 mg, comprimé

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Prazépam.....­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­....10 mg

Pour un comprimé.

Excipient à effet notoire : lactose.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Comprimé.

Comprimés ronds et plats de couleur bleue, portant une barre de sécabilitésur une face.

Le comprimé peut être divisé en doses égales.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Traitement symptomatique des manifestations anxieuses sévères et/ouinvalidantes.

Prévention et traitement du delirium tremens et des autres manifestations dusevrage alcoolique.

4.2. Posologie et mode d'administration

L'utilisation du prazépam n'est pas recommandée chez l'enfant. De plus, lecomprimé n'est pas une forme adaptée à l'enfant de moins de 6 ans (risque defausse route).

Posologie

Dans tous les cas, le traitement sera initié à la dose efficace la plusfaible et la dose maximale ne sera pas dépassée.

La posologie habituelle chez l'adulte est de 10 à 30 mg par jour répartisen plusieurs prises au cours de la journée. En psychiatrie : 20 à 60 mgpar jour.

Chez l'enfant, le sujet âgé, l'insuffisant rénal ou l'insuffisanthé­patique : il est recommandé de diminuer la posologie, de moitié parexemple.

Durée

Le traitement doit être aussi bref que possible. L'indication seraréévaluée régulièrement surtout en l'absence de symptômes. La duréeglobale du traitement ne devrait pas excéder 8 à 12 semaines pour lamajorité des patients, y compris la période de réduction de la posologie(voir rubrique 4.4).

Dans certains cas, il pourra être nécessaire de prolonger le traitementau-delà des périodes préconisées. Ceci suppose des évaluations précises etrépétées de l'état du patient.

Prévention et traitement du delirium tremens et des autres manifestations dusevrage alcoolique : traitement bref de l'ordre de 8 à 10 jours.

4.3. Contre-indications

Ce médicament ne doit jamais être utilisé dans les situationssui­vantes :

· Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipientsmen­tionnés à la rubrique 6.1 ;

· insuffisance respiratoire sévère ;

· syndrome d'apnée du sommeil ;

· insuffisance hépatique sévère, aiguë ou chronique (risque de survenued’une encéphalopathie) ;

· myasthénie.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Tolérance pharmacologique

L'effet anxiolytique des benzodiazépines et apparentés peut diminuerprogres­sivement malgré l'utilisation de la même dose en cas d'administrati­ondurant plusieurs semaines.

Dépendance

Tout traitement par les benzodiazépines et apparentés, et plusparticulière­ment en cas d'utilisation prolongée, peut entraîner un état depharmacodépen­dance physique et psychique.

Divers facteurs semblent favoriser la survenue de la dépendance :

· durée du traitement ;

· dose ;

· antécédents d'autres dépendances médicamenteuses ou non, y comprisalcoolique.

Une pharmacodépendance peut survenir à doses thérapeutiques et/ou chez despatients sans facteur de risque individualisé.

Cet état peut entraîner à l'arrêt du traitement un phénomène desevrage.

Certains symptômes sont fréquents et d'apparence banale : insomnie,céphalées, anxiété importante, myalgies, tension musculaire,irri­tabilité.

D'autres symptômes sont plus rares : agitation voire épisode confusionnel,pa­resthésies des extrémités, hyperréactivité à la lumière, au bruit, etau contact physique, dépersonnalisation, déréalisation, phénomèneshallu­cinatoires, convulsions.

Les symptômes du sevrage peuvent se manifester dans les jours qui suiventl'arrêt du traitement. Pour les benzodiazépines à durée d'action brève, etsurtout si elles sont données à doses élevées, les symptômes peuvent mêmese manifester dans l'intervalle qui sépare deux prises. Ceci n'est pas attenduavec le prazépam en raison de sa longue demi-vie (voir rubrique 5.2).

L'association de plusieurs benzodiazépines risque, quelle qu'en soitl'indication anxiolytique ou hypnotique, d'accroître le risque depharmacodépen­dance.

Des cas d'abus ont également été rapportés.

Phénomène de rebond

Ce syndrome transitoire peut se manifester sous la forme d'une exacerbationde l'anxiété qui avait motivé le traitement par les benzodiazépines etapparentés.

Amnésie et altérations des fonctions psychomotrices

Une amnésie antérograde ainsi que des altérations des fonctionspsycho­motrices sont susceptibles d'apparaître dans les heures qui suiventla prise.

Troubles du comportement

Chez certains sujets, les benzodiazépines et produits apparentés peuvententraîner un syndrome associant à des degrés divers une altération del'état de conscience et des troubles du comportement et de la mémoire :

Peuvent être observés :

· aggravation de l'insomnie, cauchemars, agitation, nervosité ;

· idées délirantes, hallucinations, état confuso-onirique, symptômes detype psychotique ;

· désinhibition avec impulsivité ;

· euphorie, irritabilité ;

· amnésie antérograde ;

· suggestibilité.

Ce syndrome peut s'accompagner de troubles potentiellement dangereux pour lepatient ou pour autrui, à type de :

· comportement inhabituel pour le patient ;

· comportement auto- ou hétéro-agressif, notamment si l'entourage tented'entraver l'activité du patient ;

· conduites automatiques avec amnésie post-événementielle.

Ces manifestations imposent l'arrêt du traitement.

Risque d'accumulation

Les benzodiazépines et apparentés (comme tous les médicaments) persistentdans l'organisme pour une période de l'ordre de 5 demi-vies (voirrubrique 5.2).

Chez des personnes âgées ou souffrant d'insuffisance rénale ou hépatique,la demi-vie peut s'allonger considérablement. Lors de prises répétées, lemédicament ou ses métabolites atteignent le plateau d'équilibre beaucoup plustard et à un niveau beaucoup plus élevé. Ce n'est qu'après l'obtention d'unplateau d'équilibre qu'il est possible d'évaluer à la fois l'efficacité etla sécurité du médicament.

Une adaptation posologique peut être nécessaire (voir rubrique 4.2).

Sujet âgé

Les benzodiazépines et produits apparentés doivent être utilisés avecprudence chez le sujet âgé, en raison du risque de sédation et/ou d'effetmyorelaxant qui peuvent favoriser les chutes, avec des conséquences souventgraves dans cette population.

Risque lié à l’utilisation concomitante d’opioïdes

L’utilisation concomitante de prazépam et d’opioïdes peut entraînerune sédation, une dépression respiratoire, un coma et le décès. En raison deces risques, la prescription concomitante de médicaments sédatifs tels que lesbenzodiazépines ou médicaments apparentés, tels que le prazépam avec desopioïdes doit être réservée aux patients pour lesquels d’autres optionsthérape­utiques ne sont pas possibles. Si la décision de prescrire du prazépamen même temps que des opioïdes est prise, la dose efficace la plus faible doitêtre utilisée et la durée de traitement doit être aussi courte quepossible.

Les patients doivent être suivis de près pour surveiller la survenue designes et symptômes de dépression respiratoire et de sédation. À cet égard,il est fortement recommandé d’informer les patients et leurs soignants afinqu’ils connaissent ces symptômes (voir rubrique 4.5).

La plus grande prudence est recommandée en cas d'antécédents d'alcoolismeou d'autres dépendances, médicamenteuses ou non (voir rubrique 4.5).

Chez le sujet présentant un épisode dépressif majeur

Les benzodiazépines et apparentés ne doivent pas être prescrits seuls carils laissent la dépression évoluer pour son propre compte avec persistance oumajoration du risque suicidaire.

Modalités d'arrêt progressif du traitement

Elles doivent être énoncées au patient de façon précise.

Outre la nécessité de décroissance progressive des doses, les patientsdevront être avertis de la possibilité d'un phénomène de rebond, afin deminimiser l'anxiété qui pourrait découler des symptômes liés à cetteinterruption, même progressive.

Le patient doit être prévenu du caractère éventuellement inconfortable decette phase.

Population pédiatrique

Plus encore que chez l'adulte, le rapport bénéfice/risque serascrupuleusement évalué et la durée du traitement aussi brève que possible.L'uti­lisation du prazépam n'est pas recommandée chez l'enfant.

Sujet âgé, insuffisant rénal ou insuffisant hépatique

Le risque d'accumulation conduit à réduire la posologie, de moitié parexemple (voir rubrique 4.4).

Insuffisant respiratoire

Chez l'insuffisant respiratoire, il convient de prendre en compte l'effetdépresseur des benzodiazépines et apparentés (d'autant que l'anxiété etl'agitation peuvent constituer des signes d'appel d'une décompensation de lafonction respiratoire qui justifie le passage en unité de soins intensifs).

Ce médicament contient du lactose.

Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total enlactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladieshéré­ditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Associations déconseillées

· Alcool

Majoration par l'alcool de l'effet sédatif des benzodiazépines etapparentés.

L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite devéhicules et l'utilisation de machines.

Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant del'alcool.

Associations à prendre en compte

· Autres dépresseurs du système nerveux central : dérivés morphiniques(a­nalgésiques, antitussifs et traitements de substitution autres quebuprénorphine) ; neuroleptiques ; barbituriques ; autres anxiolytiques ;hypnotiques ; antidépresseurs sédatifs ; antihistaminiques H1 sédatifs ;antihypertenseurs centraux ; autres : baclofène ; thalidomide ; pizotifène

Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peutrendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.

De plus, pour les dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs ettraitements de substitution), barbituriques: risque majoré de dépressionres­piratoire, pouvant être fatale en cas de surdosage.

· Buprénorphine

Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale.

Evaluer attentivement le rapport bénéfice/risque de cette association.In­former le patient de la nécessité de respecter les doses prescrites.

· Opioïdes

L’utilisation concomitante de médicaments sédatifs tels que lesbenzodiazépines ou médicaments apparentés tels que le prazépam avec desopioïdes augmente le risque de sédation, de dépression respiratoire, de comaet de décès en raison d’un effet dépresseur cumulatif sur le systèmenerveux central. La dose et la durée de l’utilisation concomitante doiventêtre limitées (voir rubrique 4.4).

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

De nombreuses données issues d'études de cohorte n'ont pas mis en évidencela survenue d'effets malformatifs lors d'une exposition aux benzodiazépines aucours du 1°trimestre de la grossesse. Cependant, dans certaines étudesépidémi­ologiques cas-témoins, une augmentation de la survenue de fenteslabio-palatines a été observée avec les benzodiazépines. Selon ces données,l’incidence des fentes labio-palatines chez les nouveau-nés seraitinférieure à 2/1000, après exposition aux benzodiazépines au cours de lagrossesse alors que le taux attendu dans la population générale est de1/1000.

En cas de prise de benzodiazépines à fortes doses aux 2ème et/ou 3èmetrimestres de grossesse une diminution des mouvements actifs fœtaux et unevariabilité du rythme cardiaque fœtal ont été décrits. Un traitement en finde grossesse par benzodiazépines même à faibles doses, peut être responsablechez le nouveau-né de signes d'imprégnation tels qu'hypotonie axiale, troublesde la succion entraînant une faible prise de poids. Ces signes sontréversibles, mais peuvent durer 1 à 3 semaines en fonction de la demi-vie dela benzodiazépine prescrite. A doses élevées, une dépression respiratoireou des apnées, et une hypothermie peuvent apparaître chez le nouveau-né. Parailleurs, un syndrome de sevrage néo-natal est possible, même en l'absence designes d'imprégnation. Il est caractérisé notamment par unehyperexcita­bilité, une agitation et des trémulations du nouveau-né survenantà distance de l'accouchement. Le délai de survenue dépend de la demi-vied'élimination du médicament et peut être important quand celle-ci estlongue.

Compte tenu de ces données, par mesure de prudence, l'utilisation deprazépam est déconseillée au cours de la grossesse quel qu'en soitle terme.

En cas de prescription de prazépam à une femme en âge de procréer,celle-ci devrait être avertie de la nécessité de contacter son médecin siune grossesse est envisagée ou débutée afin qu’il réévalue l’intérêtdu traitement.

En fin de grossesse, s'il s'avère réellement nécessaire d'instaurer untraitement par prazépam, éviter de prescrire des doses élevées et tenircompte, pour la surveillance du nouveau-né, des effets précédemmentdé­crits.

Allaitement

L’utilisation de ce médicament pendant l’allaitement estdéconseillée.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

Prévenir les conducteurs de véhicules et utilisateurs de machines du risquepossible de somnolence.

L'association avec d'autres médicaments sédatifs doit être déconseilléeou prise en compte en cas de conduite automobile ou d'utilisation de machines(voir rubrique 4.5).

Si la durée de sommeil est insuffisante, le risque d'altération de lavigilance est encore accru.

4.8. Effets indésirables

Ils sont en rapport avec la dose ingérée, la sensibilité individuelle dupatient.

Effets indésirables neuro-psychiatriques (voir rubrique 4.4)

· Amnésie antérograde, qui peut survenir aux doses thérapeutiques, lerisque augmentant proportionnellement à la dose ;

· troubles du comportement, modifications de la conscience, irritabilité,a­gressivité, agitation ;

· dépendance physique et psychique, même à doses thérapeutiques avecsyndrome de sevrage ou de rebond à l'arrêt du traitement ;

· sensations ébrieuses, céphalées, ataxie ;

· confusion, baisse de vigilance voire somnolence (particulièrement chez lesujet âgé), insomnie, cauchemars, tension ;

· modifications de la libido.

Effets indésirables cutanés

· Eruptions cutanées, prurigineuses ou non.

Effets indésirables généraux

· Hypotonie musculaire, asthénie.

Effets indésirables oculaires

· Diplopie.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

Le pronostic vital peut être menacé, notamment dans les cas depoly‑intoxication impliquant d'autres dépresseurs du système nerveux central(y compris l'alcool).

En cas de prise massive, les signes de surdosage se manifestentprin­cipalement par une dépression du SNC pouvant aller de la somnolencejusqu'au coma, selon la quantité ingérée.

Les cas bénins se manifestent par des signes de confusion mentale, uneléthargie.

Les cas plus sérieux se manifestent par une ataxie, une hypotonie, unehypotension, une dépression respiratoire, exceptionnellement un décès.

En cas de surdosage oral antérieur à 1 heure, l'induction de vomissementsera pratiquée si le patient est conscient ou, à défaut, un lavage gastriqueavec protection des voies aériennes. Passé ce délai, l'administration decharbon activé peut permettre de réduire l'absorption.

Une surveillance particulière des fonctions cardio-respiratoires en milieuspécialisé est recommandée.

L'administration de flumazénil peut être utile pour le diagnostic et/ou letraitement d'un surdosage intentionnel ou accidentel en benzodiazépines.

L'antagonisme par le flumazénil de l'effet des benzodiazépines peutfavoriser l'apparition de troubles neurologiques (convulsions), notamment chezle patient épileptique.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : ANXIOLYTIQUES, code ATC : N05BA11.

Le prazépam appartient à la classe des 1–4 benzodiazépines et a uneactivité pharmacodynamique qualitativement semblable à celle des autrescomposés de cette classe :

· myorelaxante ;

· anxiolytique ;

· sédative ;

· hypnotique ;

· anticonvulsivante ;

· amnésiante.

Ces effets sont liés à une action agoniste spécifique sur un récepteurcentral faisant partie du complexe « récepteurs macromoléculaires GABA-OMEGA», également appelés BZ1 et BZ2 et modulant l'ouverture du canal chlore.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Distribution

Le prazépam est entièrement métabolisé en desméthyldiazépam lors dupremier passage hépatique, avec un pic sérique atteint en 4 à 6 heures. Levolume de distribution du desméthyldiazépam est de l'ordre de 1 l/kg. Laliaison aux protéines est importante, supérieure à 97 %. La demi-vied'élimination plasmatique du prazépam varie de 30 à 150 heures (en moyenne65 heures). L'état d'équilibre des concentrations plasmatiques est atteint en10 à 15 jours. Une relation concentration-effet n'a pu être établie pourcette classe de produits, en raison de l'intensité de leur métabolisme et dudéveloppement d'une tolérance. Les benzodiazépines passent la barrièrehémato-encéphalique ainsi que dans le placenta et le lait maternel.

Biotransformation et Élimination

Le foie jour un rôle majeur dans le processus de métabolisation desbenzodiazépines, ce qui explique le pourcentage négligeable (1 à 3 %) deprazépam inchangé retrouvé au niveau urinaire. Les métabolites principaux duprazépam sont des dérivés hydroxylés ; le 3-OH-prazépam est égalementactif mais ce métabolite est éliminé beaucoup plus rapidement que lamolécule mère et son effet pharmacologique est négligeable. L'inactivation sefait par glucuroconjugaison, aboutissant à des substances hydrosolublesé­liminées dans les urines.

Populations à risque
Sujet âgé

Le métabolisme hépatique diminue ainsi que la clairance totale avecaugmentation des concentrations à l'équilibre, de la fraction libre et desdemi-vies. Il importe alors de diminuer les doses.

5.3. Données de sécurité préclinique

Sans objet.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Lactose monohydraté, cellulose microcristalline, amidon de maïs, stéaratede magnésium, laque indigotine (E132).

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

3 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation

Ce médicament ne nécessite pas de précautions particulières deconservation.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

20, 30, 40 et 50 comprimés sous plaquettes (Aluminium/PVC).

40 comprimés en flacon (PEHD) avec un bouchon (Polypropylène) muni d’unebague d’inviolabilité et d’une fermeture de sécurité enfant et contenantun dessicant.

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d'exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

BIOGARAN

15, BOULEVARD CHARLES DE GAULLE

92700 COLOMBES

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 353 392 6 3 : 20 comprimés sous plaquettes (Aluminium/PVC).

· 34009 353 393 2 4 : 30 comprimés sous plaquettes (Aluminium/PVC).

· 34009 353 394 9 2 : 40 comprimés sous plaquettes (Aluminium/PVC).

· 34009 353 395 5 3 : 50 comprimés sous plaquettes (Aluminium/PVC).

· 34009 301 526 0 7: 40 comprimés en flacon (PEHD) avec un bouchon(Polypro­pylène) muni d’une bague d’inviolabilité et d’une fermeture desécurité enfant et contenant un dessicant.

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I.

Prescription limitée à 12 semaines.

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