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QUITAXON 10 mg, comprimé pelliculé sécable - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - QUITAXON 10 mg, comprimé pelliculé sécable

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

QUITAXON 10 mg, comprimé pelliculé sécable

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Chlorhydrate de doxépine.....­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­........11,31 mg

Quantité correspondant à doxépine.....­.............­.............­.............­.............­.............­.............­......10,00 mg

Pour un comprimé pelliculé sécable.

Excipients à effet notoire : lactose, jaune orangé S (E110).

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Comprimé pelliculé sécable.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Episodes dépressifs majeurs (c'est-à-dire caractérisés).

4.2. Posologie et mode d'administration

Utiliser le dosage adapté de comprimé ou la forme solution en fonction dela dose journalière prescrite.

Posologie

La posologie usuelle est très variable selon les sujets (sévérité del'épisode dépressif, sujets à risque…). Elle est comprise, suivant les cas,entre 10 et 300 mg par jour, mais elle peut être adaptée individuellemen­tdans la fourchette des doses recommandées. Cette posologie sera éventuellemen­tréévaluée après 3 semaines de traitement effectif à doses efficaces.

Le traitement par antidépresseur est symptomatique.

Le traitement d'un épisode est de plusieurs mois (habituellement de l'ordrede 6 mois) afin de prévenir les risques de rechute de l'épisodedépressif.

Traitements psychotropes associés

L'adjonction d'un traitement sédatif ou anxiolytique peut être utile endébut de traitement, afin de couvrir la survenue ou l'aggravation demanifestations d'angoisse. Toutefois, les anxiolytiques ne protègent pasforcément de la levée de l'inhibition.

Population pédiatrique

Aucune donnée n’est disponible.

Sujet âgé

Le traitement sera initié à posologie faible, en utilisant les formesfaiblement dosées (voir rubrique 5.2). L'augmentation des doses, sinécessaire, sera progressive, en pratiquant une surveillance clinique : leseffets indésirables des imipraminiques peuvent en effet avoir des conséquencesgraves chez la personne âgée (chutes, confusions).

Insuffisants hépatiques et rénaux

Il convient de diminuer la posologie (voir rubrique 5.2).

Mode d’administration

Les caractéristiques pharmacocinétiques de ce médicament autorisent uneseule prise journalière, pendant les repas ou à distance de ceux-ci.

La prise la plus importante peut être donnée le soir pour faciliter lesommeil.

4.3. Contre-indications

Ce médicament NE DOIT JAMAIS ETRE prescrit dans les cas suivants :

· Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipientsmen­tionnés à la rubrique 6.1.

· Risque connu de glaucome par fermeture de l'angle.

· Risque de rétention urinaire lié à des troublesurétro-prostatiques.

· Infarctus du myocarde récent.

· Association au sultopride (voir rubrique 4.5).

Ce médicament NE DOIT GENERALEMENT PAS ETRE prescrit dans les cassuivants :

· Association avec l'alcool, la clonidine et apparentés, lessympathomi­métiques alpha et bêta (adrénaline, noradrénaline, dopamine pouraction systémique par voie parentérale) (voir rubrique 4.5).

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Mises en garde spéciales

Suicides/idées suicidaires ou aggravation clinique

La dépression est associée à un risque accru d'idées suicidaires, d'autoagression et de suicide (comportement de type suicidaire). Ce risque persistejusqu'à obtention d'une rémission significative. L'amélioration cliniquepouvant ne pas survenir avant plusieurs semaines de traitement, les patientsdevront être surveillés étroitement jusqu'à obtention de cetteamélioration. L'expérience clinique montre que le risque suicidaire peutaugmenter en tout début de rétablissement.

Les patients ayant des antécédents de comportement de type suicidaire ouceux exprimant des idées suicidaires significatives avant de débuter letraitement présentent un risque plus élevé de survenue d'idées suicidairesou de comportements de type suicidaire, et doivent faire l'objet d'unesurveillance étroite pendant le traitement. Une méta-analyse d'essaiscliniques contrôlés versus placebo sur l'utilisation d'antidépresseurs chezl'adulte présentant des troubles psychiatriques a montré une augmentation durisque de comportement de type suicidaire chez les patients de moins de 25 anstraités par antidépresseurs par rapport à ceux recevant un placebo. Unesurveillance étroite des patients, et en particulier de ceux à haut risque,devra accompagner le traitement médicamenteux, particulièrement au début dutraitement et lors des changements de dose. Les patients (et leur entourage)devront être avertis de la nécessité de surveiller la survenue d'uneaggravation clinique, l'apparition d'idées/compor­tements suicidaires et toutchangement anormal du comportement et de prendre immédiatement un avis médicalsi ces symptômes survenaient.

De rares cas de syndrome de sevrage (céphalées, malaises, nausées,anxiété, troubles du sommeil) ayant été observés à l'arrêt du traitement,il est recommandé de réduire progressivement les doses et de surveiller toutparticulière­ment le patient durant cette période.

Ce médicament contient du lactose. Son utilisation est déconseillée chezles patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactasede Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose (maladieshéré­ditaires rares).

Ce médicament contient un agent colorant azoïque, le jaune orangé S(E110), et peut provoquer des réactions allergiques.

Précautions d'emploi

Insomnie ou nervosité en début de traitement peuvent justifier unediminution de la posologie ou un traitement transitoire symptomatique.

En cas de virage maniaque franc, le traitement par la doxépine serainterrompu et, le plus souvent, un neuroleptique sédatif sera prescrit.

Chez les patients épileptiques ou ayant des antécédents d'épilepsie, ilest prudent de renforcer la surveillance clinique et électrique, en raison dela possibilité d'abaissement du seuil épileptogène. La survenue de crisesconvulsives impose l'arrêt du traitement.

La doxépine doit être utilisée avec prudence :

· Chez le sujet âgé présentant:

o une plus grande sensibilité à l'hypotension orthostatique et à lasédation

o une constipation chronique (risque d'iléus paralytique) ;

o une éventuelle hypertrophie prostatique;

· Chez les sujets porteurs de certaines affections cardiovasculaires, enraison des effets quinidiniques, tachycardisants et hypotenseurs de cette classede produits ;

· Dans les insuffisances hépatiques et rénales, en raison du risque desurdosage (voir rubrique 5.2).

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

L'association aux IMAO non sélectifs est une contre-indication classiquepour tous les imipraminiques; le risque majeur, bien que peu documenté,corres­pond à des modifications tensionnelles, hypo- ou hypertensives.

Associations contre-indiquées

+ Sultopride

Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades depointes, par addition des effets électrophysio­logiques.

Associations déconseillées

+ Alcool

Majoration par l'alcool de l'effet sédatif de ces substances. L'altérationde la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules etl'utilisation de machines.

Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant del'alcool.

+ Clonidine et apparentés

Décrit pour désipramine et imipramine.

Inhibition de l'effet antihypertenseur de la clonidine (antagonisme au niveaudes récepteurs adrénergiques).

+ Sympathomimétiques alpha et bêta : adrénaline, noradrénaline, dopaminepour action systémique par voie parentérale

Hypertension paroxystique avec possibilité de troubles du rythme (inhibitionde l'entrée de l'adrénaline ou de la noradrénaline dans la fibresympathique).

Associations faisant l'objet de précautions d’emploi

+ Anticonvulsivants

Risque de survenue de crises convulsives généralisées (baisse du seuilépileptogène par l'antidépresseur).

Surveillance clinique et adaptation éventuelle des posologies.

+ Acide valproïque, valpromide

Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie del'antidépresseur.

+ Carbamazépine

Risque de survenue de crises convulsives généralisées (baisse du seuilépileptogène par l'antidépresseur, d'une part), et diminution desconcentrations plasmatiques de l'antidépresseur (augmentation de sonmétabolisme hépatique par l'anticonvulsi­vant).

Surveillance clinique et adaptation éventuelle des posologies.

+ Antidépresseurs sérotoninergiques purs : citalopram, fluoxétine,flu­voxamine, paroxétine, sertraline

Augmentation des concentrations plasmatiques des deux antidépresseurs avecrisque de convulsions et augmentation des effets indésirables.

En cas d'association, surveillance clinique accrue et, si nécessaire,adap­tation posologique (en cas de relais d'un traitement à la fluoxétine parun antidépresseur imipraminique, la posologie initiale sera prudente avecaugmentation progressive en raison de la longue demi-vie de la fluoxétine et deson métabolite actif).

+ Sympathomimétiques alpha et bêta : adrénaline pour action hémostatiquelocale par injections sous-cutanée et gingivale.

Hypertension paroxystique avec possibilité de troubles du rythme (inhibitionde l'entrée de l'adrénaline ou de la noradrénaline dans la fibresympathique).

Limiter l'apport, par exemple, moins de 0,1 mg d'adrénaline en 10 minutesou 0,3 mg en une heure chez l'adulte.

Associations à prendre en compte

+ Antihypertenseurs (sauf clonidine et apparentés)

Effet antihypertenseur et risque d'hypotension orthostatique majorés (effetsadditifs). (Clonidine et apparentés : voir associations déconseillées).

+ Atropine et autres substances atropiniques : antihistaminiques H1sédatifs, antiparkinsoniens anticholinergiques, antispasmodiques atropiniques,di­sopyramide, neuroleptiques phénothiazidiques

Addition des effets indésirables atropiniques à type de rétentionurinaire, constipation, sécheresse de la bouche…

+ Autres dépresseurs du système nerveux central (SNC) : dérivésmorphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution) ;barbituriques ; benzodiazépines ; anxiolytiques autres que benzodiazépines :carbamates, captodiame, étifoxine ; hynotiques ; neuroleptiques ;antihistaminiques H1 sédatifs ; antihypertenseurs centraux ; baclofène ;thalidomide.

Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peutrendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.

+ Baclofène

Risque d’augmentation de l’hypotonie musculaire.

+ Guanéthidine (voie oculaire)

Diminution de l’effet antihypertenseur de la guanéthidine (inhibition deson entrée dans la fibre sympathique, site d’action).

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Le maintien d’un bon équilibre psychique maternel est souhaitable tout aulong de la grossesse. Si une prise en charge médicamenteuse est nécessairepour assurer cet équilibre, elle doit être instituée ou poursuivie à doseefficace tout au long de la grossesse et si possible en monothérapie.

A ce jour, si les données sont très limitées pour la doxépine, ellessemblent exclure un risque malformatif particulier des antidépresseur­simipraminiqu­es. Chez les nouveau-nés de mères traitées en fin de grossessepar un antidépresseur imipraminique, des signes d'imprégnation (notammentatro­piniques) et/ou de sevrage ont parfois été décrits :

· troubles neurologiques dans la première semaine de vie (hypotonie,hy­perexcitabili­té, trémulations, voire exceptionnellement convulsions);

· troubles respiratoires (polypnée, accès de cyanose, voireexception­nellement détresse respiratoire);

· troubles digestifs (difficulté de mise en route de l'alimentation, retardà l'émission du méconium et distension abdominale).

Tous ces signes apparaissent dans les premiers jours de vie et sont le plussouvent de courte durée et peu sévères.

Compte tenu de ces données, il est préférable d'éviter d'utiliser ladoxépine au cours de la grossesse quel qu'en soit le terme. Toutefois untraitement ne doit pas être arrêté brutalement afin d'éviter un risque desevrage pour la mère. S'il s'avère indispensable d'instaurer ou de maintenirun traitement par doxépine au cours de la grossesse, tenir compte, pour lasurveillance du nouveau-né, des effets précédemment décrits.

Allaitement

Le passage dans le lait maternel est mal connu mais probablement faible;néanmoins, par mesure de précaution, l'allaitement est à éviter pendant ladurée du traitement.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

Ce médicament peut affaiblir les facultés mentales et physiquesnéces­saires à l'exécution de certaines tâches dangereuses, telles que lamanipulation d'appareils ou la conduite de véhicules à moteur.

4.8. Effets indésirables

Ils découlent pour la plupart des propriétés pharmacologiques desantidépresseurs imipraminiques.

· Liés aux effets périphériques de la molécule : ils sont habituellemen­tbénins et cèdent le plus souvent à la poursuite du traitement ou à uneréduction de la posologie.

o Effet anticholinergique (par ordre de fréquence décroissante) :sécheresse de la bouche, constipation, troubles de l'accommodati­on,tachycardi­e, sueurs, troubles de la miction et éventuellement rétentionurinaire ;

o Effet adrénolytique : hypotension orthostatique, impuissance.

· Liés aux effets centraux :

o Fréquemment observée : somnolence ou sédation (effet antihistamini­que),plus marquée en début de traitement ;

o Beaucoup plus rares : tremblements, crises convulsives sur terrainprédisposé, états confusionnels transitoires.

· Liés à la nature même de la maladie dépressive :

o Levée de l'inhibition psychomotrice, avec risque suicidaire ;

o Inversion de l'humeur avec apparition d'épisodes maniaques ;

o Réactivation d'un délire chez les sujets psychotiques;

Des cas d'idées et de comportements suicidaires ont été rapportés durantle traitement par QUITAXON ou peu après son arrêt (voir rubrique 4.4).

· Les antidépresseurs imipraminiques peuvent également entraîner :

o Prise de poids ;

o Troubles de la conduction ou du rythme (avec des doses élevées) ;

o Troubles endocriniens : hypertrophie mammaire, galactorrhée ;

o Bouffées de chaleur ;

o Réactions cutanées allergiques ;

o Dysarthrie ;

o Hépatites cytolytiques ou cholestatiques exceptionnelles ;

o Troubles hématologiques : hyperéosinophilie, leucopénie,agra­nulocytose, thrombopénie ;

o Syncope.

Certains de ces effets indésirables peuvent être prévenus ou combattus pardes thérapeutiques adjuvantes ou correctrices, voire une réduction de laposologie.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet :

www.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

En cas de surdosage volontaire ou accidentel, on observe des manifestation­scardiovascula­ires sévères (essentiellement troubles de la conductioncon­ditionnant la gravité de l'intoxication), ainsi qu'un renforcement dessymptômes anticholinergiques, éventuellement un état confusionnel ou un coma(parfois retardé). Il y a lieu, dans ce cas, de faire hospitaliserim­médiatement le malade dans un service spécialisé et de faire évacuer leproduit ingéré.

La prise en charge doit comporter un traitement symptomatique et unesurveillance des fonctions vitales notamment cardiaques et respiratoires pendantau moins cinq jours.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : Antidépresseur / Inhibiteur non sélectifde la recapture de la monoamine, code ATC : N06AA12.

Les effets biochimiques, vraisemblablement à l'origine de l'effetthérape­utique, reposent sur une diminution du recaptage présynaptique de lanoradrénaline dont la transmission synaptique est facilitée. L'effet sédatifest en rapport avec la composante histaminergique de la molécule.

Par ailleurs, celle-ci exerce un effet anticholinergique central etpériphérique, à l'origine d'effets indésirables.

Les propriétés adrénolytiques peuvent provoquer une hypotensionor­thostatique.

L'amélioration portant spécifiquement sur l'humeur est souvent retardéepar rapport aux améliorations symptomatiques tels que le ralentissemen­tidéomoteur, l'insomnie ou l'anxiété. Cette notion doit être prise en compteavant l'interruption d'un traitement pour raison d'inefficacité, ainsi que dansl'ajustement des doses efficaces.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Métabolisme

Le foie joue un rôle majeur dans le processus de métabolisation desantidépresseurs imipraminiques : captation (effet de premier passage) puisbiotransfor­mation intense, ce qui explique :

· la forte valeur de la clairance plasmatique, rapportée au débit sanguinhépatique (1,5 l/min)

· le faible pourcentage de composés actifs retrouvés au niveauurinaire.

La doxépine est N-déméthylée, puis après hydroxylation ou N-oxydation,les métabolites sont glucuroconjugués et éliminés.

Demi-vie d'élimination

La demi-vie d'élimination plasmatique de la doxépine est voisine de10 heures.

Elimination

L'élimination est essentiellement urinaire (60 %) et fécale.

Populations à risque

· Sujet âgé : le métabolisme hépatique diminue et donc la clairancetotale avec augmentation des concentrations à l'équilibre, de la fractionlibre et des demi-vies. Il importe alors de diminuer les doses, au moins dans unpremier temps.

· Insuffisants hépatiques et rénaux : il convient de diminuer la posologiede la doxépine.

5.3. Données de sécurité préclinique

Non renseigné.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Cellulose microcristalline, lactose (FAST FLO), carboxyméthyl­cellulosecalci­que, talc, stéarate de magnésium, silice colloïdale anhydre, laquealuminique de jaune orangé S (E110).

Pelliculage: méthylhydroxy­propylcellulo­se additionnée de 10 p. cent destéarate de polyéthylèneglycol 300 (SEPPIFILM 3107), oxyde de fer jaune(E172), dioxyde de titane (E171), glycérol, laurilsulfate de sodium.

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

3 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation

Pas de précautions particulières de conservation.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

40 comprimés sous plaquettes thermoformées (PVC/Aluminium).

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d’exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

PROVEPHARM

22 RUE MARC DONADILLE

13013 MARSEILLE

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 333 292 6 6 : 40 comprimés sous plaquettes thermoformées(PVC/A­luminium)

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I

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