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QVARSPRAY 100 microgrammes/dose, solution pour inhalation en flacon pressurisé - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - QVARSPRAY 100 microgrammes/dose, solution pour inhalation en flacon pressurisé

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

QVARSPRAY 100 microgram­mes/dose, solution pour inhalation en flaconpressurisé

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Dipropionate de béclométasone­.............­.............­.............­.............­.............­.......100 mi­crogrammes

Pour une dose.

Excipient à effet notoire : Chaque dose contient 4,74 mg d'éthanol

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Solution pour inhalation en flacon pressurisé.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Traitement continu anti-inflammatoire de l'asthme persistant.

L'asthme persistant se définit par l'existence de symptômes diurnespluriheb­domadaires et/ou de symptômes nocturnes plus de 2 fois par mois.

4.2. Posologie et mode d'administration

Posologie

La posologie est strictement individuelle. La dose initiale sera déterminéeselon la sévérité de la maladie et sera ajustée en fonction des résultatsindi­viduels. Il convient de toujours rechercher la posologie minimaleefficace.

A titre indicatif les posologies initiales préconisées sont :

Adulte :

· Asthme persistant léger à modéré : 200 à 400 µg en deux prisespar jour.

(L'asthme persistant léger se définit par l'existence de symptômes diurnesplus de 1 fois par semaine et moins de 1 fois par jour et/ou de symptômesnocturnes plus de 2 fois par mois, un DEP ou un VEMS supérieur à 80 % desvaleurs prédites, une variabilité du DEP* comprise entre 20 et 30 %.

L'asthme persistant modéré se définit par l'existence de symptômesdiurnes quotidiens, de crises retentissant sur l'activité et le sommeil, desymptômes d'asthme nocturne plus de 1 fois par semaine, une utilisationqu­otidienne de bêta-2 mimétiques inhalés d'action brève, un DEP ou un VEMScompris entre 60 et 80 % des valeurs prédites, une variabilité du DEP*supérieure à 30%.)

· Asthme persistant sévère : 800 µg en deux prises par jour.

(L'asthme persistant sévère se définit par l'existence de symptômesperma­nents, de crises fréquentes, de symptômes d'asthme nocturne fréquents,une activité physique limitée par les symptômes d'asthme, un DEP ou un VEMSinférieur à 60 % des valeurs prédites, une variabilité du DEP* supérieureà 30 %).

· * la variabilité du DEP s'évalue sur la journée ou sur une semaine.

(DEP du soir – DEP du matin)

½ (DEP du soir + DEP du matin)

Population pédiatrique
Enfants de plus de 4 ans :

· Asthme léger à modéré : 100 à 200 µg en deux prises par jour.

· Asthme sévère : 300 à 400 µg en deux prises par jour.

Il conviendra de toujours rechercher la dose minimale efficace et d'envisagerune décroissance de la dose lorsque le patient est stabilisé.

Mode d'administration

Inhalation par distributeur avec embout buccal.

Pour une utilisation correcte, il est souhaitable que le médecin s'assure dubon usage de l'appareil par le patient.

En cas de mise en évidence chez le patient d'une mauvaise synchronisati­onmain/poumon empêchant la coordination des mouvementsinspi­ration/déclen­chement de l'appareil, l'utilisation d'une chambred'inhalation est indiquée.

Ce système ne nécessite pas d'agitation avant l'emploi.

Le patient devra :

· enlever le capuchon protecteur de l'embout buccal,

· expirer normalement,

· immédiatement après, présenter l'embout buccal à l'entrée de labouche, le fond de la cartouche métallique dirigé vers le haut et refermer leslèvres autour de l'embout,

· commencer à inspirer en pressant sur la cartouche métallique tout encontinuant à inspirer lentement et profondément,

· retirer l'embout buccal de la bouche et retenir sa respiration pendant aumoins 10 secondes.

Se rincer la bouche après inhalation du produit.

Par mesure d'hygiène, l'embout buccal doit être nettoyé après utilisationavec un tissu sec et propre. Ne pas utiliser d'eau pour nettoyer ledispositif.

4.3. Contre-indications

· Intolérance à ce médicament (survenue de toux ou de bronchospasmeaprès inhalation du produit). Dans ce cas il conviendra d'interrompre cetraitement et de prescrire d'autres thérapeutiques ou d'autres formesd'adminis­tration.

· Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipientsmen­tionnés à la rubrique 6.1.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Mises en garde spéciales

Prévenir le patient que ce médicament n'est pas destiné à juguler unecrise d'asthme déclarée, mais est un traitement continu de fond de la maladieasthmatique devant être poursuivi régulièrement, quotidiennement et aux dosesprescrites, et dont les effets sur les symptômes de l'asthme ne se ferontsentir qu'au bout de quelques jours à quelques semaines.

Si en dépit d'un traitement bien conduit une dyspnée paroxystique survient,on doit avoir recours à un bronchodilatateur bêta-2 mimétique par voieinhalée d'action rapide et de courte durée pour traiter les symptômes aigus.Il conviendra d'en informer le patient et de lui préciser qu'une consultationmé­dicale immédiate est nécessaire si, dans ce cas, le soulagementha­bituellement obtenu n'est pas rapidement observé après inhalation dubronchodilatateur bêta-2 mimétique.

Si un patient développe en quelques jours une augmentation rapide de saconsommation en bronchodilatateurs bêta-2 mimétiques d'action rapide et decourte durée par voie inhalée, on doit craindre (surtout si les valeurs dudébit-mètre de pointe s'abaissent et/ou deviennent irrégulières) unedécompensation de sa maladie et la possibilité d'une évolution vers un asthmeaigu grave (état de mal asthmatique).

Le médecin devra également prévenir le patient de la nécessité dans cecas, d'une consultation immédiate. La conduite thérapeutique devra alors êtreréévaluée.

Le patient doit être averti que l'amélioration de son état clinique nedoit pas conduire à une modification de son traitement, en particulier àl'arrêt de la corticothérapie par voie inhalée, sans avis médical.

L'attention des sportifs sera attirée sur le fait que cette spécialitécontient un principe actif pouvant induire une réaction positive des testspratiqués lors des contrôles antidopage.

Troubles visuels

Des troubles visuels peuvent apparaitre lors d'une corticothérapie par voiesystémique ou locale. En cas de vision floue ou d'apparition de tout autresymptôme visuel apparaissant au cours d'une corticothérapie, un examenophtalmo­logique est requis à la recherche notamment d'une cataracte, d'unglaucome, ou d'une lésion plus rare telle qu'une choriorétinopathie séreusecentrale, décrits avec l'administration de corticostéroïdes par voiesystémique ou locale.

Précautions d'emploi

En cas d'infection bronchique ou de bronchorrhée abondante, un traitementapproprié est nécessaire afin de favoriser la diffusion optimale du produitdans les voies respiratoires.

En cas de déstabilisation de l'asthme, ou de contrôle insuffisant desexacerbations d'asthme malgré des doses maximales de corticoïdes par voieinhalée, un traitement par corticothérapie par voie générale en cure courtedoit être envisagé. Il est alors nécessaire de maintenir la corticothérapi­einhalée associée au traitement par voie générale.

Des effets systémiques peuvent apparaître lors de traitement au long coursavec des doses élevées de corticoïdes par voie inhalée. Le risque deretentissement systémique reste néanmoins moins important avec lescorticoïdes inhalés qu’avec les corticoïdes oraux. Les effets systémiquespos­sibles sont syndrome de Cushing ou symptômes cushingoïdes, amincissementcu­tané, hématomes sous cutanés, insuffisance surrénalienne, retard decroissance chez les enfants et les adolescents, diminution de la densitéosseuse, cataracte, glaucome, vision floue et plus rarement, troublespsycho­logiques et du comportement comprenant hyperactivité psychomotrice,trou­bles du sommeil, anxiété, dépression ou agressivité (en particulier chezl’enfant).

Il convient donc de toujours veiller à rechercher la posologie minimaleefficace permettant de maintenir le contrôle de l’asthme.

L'administration conjointe de corticoïdes par voie inhalée chez lesasthmatiques sous corticothérapie orale au long cours (patientscorti­codépendants) ne dispense pas des précautions nécessaires lors d'uneréduction des doses de corticoïde par voie orale. Celles-ci seront diminuéestrès progressivement et le sevrage devra être effectué sous surveillancemé­dicale attentive (à la recherche de l'apparition de signes d'insuffisance­surrénale aiguë ou subaiguë) se prolongeant au-delà de l'arrêt de lacorticothérapie par voie générale.

Excipients
Ethanol

Ce médicament contient 4,74 mg d'alcool (éthanol) par dose. La quantitéen dose de ce médicament équivaut à moins de 1 ml de bière ou 1 ml de vin.La faible quantité d'alcool contenue dans ce médicament n'est pas susceptibled'en­traîner d'effet notable.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Le métabolisme de la béclométhasone est moins dépendant du CYP3A quecelui de certains autres corticostéroïdes, et les interactions sont engénéral peu probables; néanmoins, en cas d’utilisation concomitanted’in­hibiteurs puissants du CYP3A (p. ex. ritonavir, cobicistat), lapossibilité d’effets systémiques ne peut pas être exclue et il est doncconseillé d’être prudent et d’appliquer une surveillance adéquate en casd’utilisation de ces agents.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Dipropionate de béclométasone

Chez l'animal, l'expérimentation met en évidence un effet tératogène descorticoïdes variable selon les espèces.

Dans l'espèce humaine, les études épidémiologiques n'ont décelé aucunrisque malformatif lié à la prise de corticoïdes lors du premier trimestrebien qu'il existe un passage transplacentaire. Lors de maladies chroniquesnéces­sitant un traitement tout au long de la grossesse, un léger retard decroissance intra-utérin est possible. Une insuffisance surrénale néo-natale aété exceptionnellement observée après corticothérapie à dose élevée parvoie systémique.

Il semble justifié d'observer une période de surveillance clinique (poids,diurèse) et biologique du nouveau-né.

Norflurane (Tétrafluoroéthane ou HFA 134a) : gaz propulseur

L'étude des fonctions de reproduction menée chez l'animal n'a pas mis enévidence d'effet néfaste de l'administration de Norflurane(Té­trafluoroétha­ne ou HFA 134a) contenu dans ce médicament. En l'absenced'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humainen'est pas attendu. Il n'existe néanmoins actuellement pas de donnéespertinentes, ou en nombre suffisant, pour évaluer un éventuel effetmalformatif ou fœtotoxique du norflurane lorsqu'il est administré pendant lagrossesse.

Allaitement

Dipropionate de béclométasone

Les corticoïdes passent dans le lait.

Norflurane (Tétrafluoroéthane ou HFA 134a) : gaz propulseur

Le passage de HFA 134a et de ses métabolites dans le lait n'estpas connu.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

Sans objet.

4.8. Effets indésirables

Effets locaux

· Rarement, possibilité de survenue de candidose oropharyngée. Elle cèdele plus souvent spontanément ou à un traitement approprié et il estexceptionnel qu'elle nécessite l'arrêt de la corticothérapie par voieinhalée. Son risque d'apparition augmente avec la dose utilisée et le nombrede prises. Il peut être prévenu par rinçage de la bouche à l'eau aprèsinhalation.

· Possibilité de survenue de gêne pharyngée, de dysphonie, de raucité dela voie, pouvant être prévenus par rinçage de la bouche aprèsinhalation.

· Comme avec d'autres produits inhalés, possibilité de survenue de toux etrarement de bronchospasme à la suite de l'inhalation. Dans ce cas, ilconviendra d'interrompre le traitement et de prescrire d'autres thérapeutiquesou d'autres formes d'administration.

Effets systémiques

· Des effets systémiques peuvent apparaitre lors de traitement au longcours avec des doses élevées (voir rubrique 4.4).

· Ont été décrits avec la corticothérapie par voie inhalée desobservations d'amincissement cutané, d'hématomes sous cutanés, de dépressiondes fonctions surrénaliennes biologiques (diminution du cortisol plasmatique etde la cortisolurie des 24 heures) et de raréfaction du tissu osseux. Lesconséquences cliniques d'une administration à long terme notamment sur letissu osseux et la croissance ne sont pas clairement établies. L'administrationde fortes doses au long cours peut donc nécessiter une surveillance enparticulier chez les enfants et les sujets âgés. En l'état actuel desconnaissances, bien que la recherche de la posologie minimale efficace soittoujours recommandée, le risque à considérer en priorité est celui d'uncontrôle insuffisant de l'asthme et devra toujours être pesé face à celui duretentissement systémique.

· Rarement possibilité de survenue d'œdèmes localisés (visage, bouche,région péri-orbitaire) et plus rarement d'angioedème à la suite del'inhalation. Dans ce cas, il conviendra d'interrompre le traitement.

· Affections oculaires :

Fréquence indéterminée : vision floue (voir rubrique 4.4).

Fréquence très rare : cataracte et glaucome.

· Fréquence indéterminée :

Troubles psychiatriques : hyperactivité psychomotrice, troubles du sommeil,anxiété, syndrome dépressif, agressivité, troubles du comportement(prin­cipalement observés chez l’enfant).

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

L'emploi de ce médicament à des doses très supérieures aux dosesrecommandées est le reflet d'une aggravation de l'affection respiratoirené­cessitant une consultation rapide pour réévaluation thérapeutique.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : GLUCOCORTICOIDES PAR VOIE INHALEE /ANTIASTHMATIQUE, code ATC : R03BA01 (R : Système respiratoire).

Le dipropionate de béclométasone est un glucocorticoïde de synthèse.Administré par voie inhalée, il exerce un effet anti-inflammatoire­essentiellemen­t local.

Dans cette spécialité le dipropionate de béclométasone est en solutiondans les excipients. Le diamètre médian aérodynamique massique (MMAD) desparticules libérées est de l'ordre de 1,26 µm (pour une dose délivrée de100 µg). Une étude de déposition pulmonaire (dipropionate de béclométasonemarqué au TC99) réalisée chez 16 adultes asthmatiques légers a mis enévidence une distribution du principe actif à l'ensemble de l'arbre bronchiquede l'ordre de 42 % de la dose administrée à l'aide du dispositif aérosoldoseur classique. La quantité de principe actif déposée dans l'oropharynxétait de l'ordre de 23 % de la dose administrée.

Les études comparatives chez l'enfant et chez l'adulte ont mis en évidencedes concentrations plasmatiques moyennes (aires sous la courbe) de 17-BMP(métabolite actif du dipropionate de béclométasone) environ 2,5 fois plusélevées que celles mesurées après une dose identique de dipropionate debéclométasone en suspension CFC traduisant un passage systémique 2,5 foisplus important.

Ces données peuvent expliquer que, au cours des essais cliniques, uneefficacité du même ordre a pu être observée avec des doses debéclométasone 2 à 2,5 fois inférieures à celles d'un traitementcom­parateur avec un dispositif en flacon pressurisé formulé avec des CFC etdélivrant un aérosol de particules de tailles supérieures.

Les études pharmacodynamiques comparatives ont mis en évidence une baissede la cortisolurie des 24 heures équivalente après inhalation d'une dosequotidienne de 800 µg de béclométasone en solution dans HFA 134aadministrée avec cette spécialité et après inhalation d'une même dosequotidienne de 800 µg de dipropionate de béclométasone en suspension enflacon pressurisé formulée avec des CFC et administrée à l'aide d'undispositif délivrant un aérosol de particules de tailles supérieures.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Dipropionate de béclométasone

Une partie de la dose administrée, dépendant largement d'une correcteutilisation de l'appareil, est déglutie et éliminée par les fécès. L'autrepénètre dans les bronches où elle exerce ses effets, puis passe dans lacirculation générale.

Les taux sériques de béclométasone totale (dipropionate de béclométasone(DPB), monopropionates de béclométasone (17-MPB et 21-MPB) et béclométasone­inactive (BOH)) mesuré à partir des prélèvements sanguins après hydrolysein vitro de 17-MPB, 21-MPB et DPB en BOH, a mis en évidence une concentration­plasmatique maximale de béclométasone totale après environ 30 minutes.Après inhalation d'une dose de 800 µg, le taux sérique maximal atteint esten moyenne de 2 ng/ml.

Les études menées chez l'enfant ont montré que la concentration­plasmatique maximale chez l'enfant est légèrement plus élevée (environ10 %) que chez l'adulte, avec une élimination plus rapide et une augmentationde la clairance totale chez l'enfant.

Les études cinétiques comparatives ont mis en évidence, chez l'adulte etchez l'enfant, des concentrations plasmatiques moyennes de béclométasonetotale du même ordre après inhalation de 200 µg de béclométasone et aprèsinhalation d'une dose de 400 µg de dipropionate de béclométasone formuléavec des CFC et administrée à l'aide d'un dispositif délivrant un aérosol departicules de tailles supérieures.

Le dipropionate de béclométasone est métabolisé dans le foie enmonopropionate de béclométasone et en béclométasone inactive, puis estexcrété sous forme de métabolites dans la bile et les urines.

Le dipropionate de béclométasone et ses métabolites sont essentiellemen­téliminés par voie fécale. Entre 10 % et 15 % de la dose administrée sontéliminés dans les urines, sous forme de métabolites libres et conjugués.

Norflurane (Tétrafluoroéthane ou HFA 134a) : gaz propulseur

Après inhalation d'une bouffée, l'absorption de HFA 134a est très faibleet rapide, la concentration maximale est atteinte en moins de 6 minutes.

Un très faible métabolisme hépatique avec formation d'acidetriflu­oroacétique et trifluoroacétal­déhylde a été mis en évidence chezl'animal (souris et rats).

5.3. Données de sécurité préclinique

Sans objet.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Ethanol anhydre.

Gaz propulseur : norflurane (tétrafluoroéthane ou HFA-134a).

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

3 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation

Récipient sous pression : à protéger des rayons du soleil et à ne pasexposer à une température supérieure à 50°C. Ne pas percer ou brûler mêmeaprès usage.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

100 doses ou 200 doses en flacon pressurisé (Aluminium) de 10 ml munid'une valve doseuse et d'un embout buccal.

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d’exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

TEVA SANTE

100–110, ESPLANADE DU GENERAL DE GAULLE

92931 PARIS LA DEFENSE CEDEX

FRANCE

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 351 602 3 2 : 100 doses en flacon pressurisé (Aluminium).

· 34009 351 604 6 1 : 200 doses en flacon pressurisé (Aluminium).

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I

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