Résumé des caractéristiques - ACULAR 0,5 %, collyre en solution
1. DENOMINATION DU MEDICAMENT
ACULAR 0,5%, collyre en solution
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Kétorolac trométamol........................................................................................................5 mg/ml
Excipient(s) à effet notoire : Chlorure de benzalkonium 0,1 mg/ml.
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
3. FORME PHARMACEUTIQUE
Collyre en solution.
Solution aqueuse limpide, incolore à jaune pâle.
4. DONNEES CLINIQUES
4.1. Indications thérapeutiques
Prévention et traitement de l'inflammation oculaire dans les suitesimmédiates de la chirurgie de la cataracte avec ou sans mise en place d'unimplant.
ACULAR est indiqué chez l'adulte.
4.2. Posologie et mode d'administration
PosologieLa posologie recommandée est de 1 ou 2 gouttes dans l’œil atteinttoutes les 6 à 8 heures pendant 21 jours, en commençant les instillations24 heures avant l'intervention.
Population pédiatrique
Il n’existe pas d’utilisation justifiée d’ACULAR dans la populationpédiatrique dans cette indication.
Patients âgés
Aucune différence en termes de sécurité et d’efficacité n’a étéobservée entre les patients âgés et les patients plus jeunes.
Mode d’administrationVoie oculaire.
Instiller une goutte de collyre dans le cul-de-sac conjonctival inférieur del'œil à traiter, en tirant la paupière inférieure légèrement vers le baset en regardant vers le haut.
En cas d'utilisation concomitante d'ACULAR 0,5%, collyre en solution, avecd'autres produits ophtalmiques topiques, un intervalle d'au moins 5 minutesdoit être respecté entre les administrations des deux médicaments.
4.3. Contre-indications
Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipientsmentionnés à la rubrique 6.1.
Grossesse, à partir du début du 6ème mois (au-delà de 24 semainesd’aménorrhée) (voir rubrique 4.6)
Il existe une possibilité de réaction croisée avec l’acideacétylsalicylique ou d'autres anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS).C’est la raison pour laquelle, ACULAR 0,5%, collyre en solution estcontre-indiqué chez les patients ayant développé des hypersensibilités àces produits.
4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi
Il est recommandé d'utiliser ACULAR 0,5%, collyre en solution avecprécaution chez les patients présentant un risque hémorragique connu ou ayantreçu d'autres traitements susceptibles de prolonger le temps de saignement.
Comme les autres AINS, ACULAR 0,5%, collyre en solution peut masquer lessignes habituels d'une infection. S’il existe un risque d’infection, untraitement adéquat doit être prescrit.
Tous les AINS sont susceptibles de ralentir ou de retarder la cicatrisationdes plaies. L'utilisation concomitante d'AINS et de corticoïdes topiques peutaugmenter le risque d’apparition de problèmes de cicatrisation. L'utilisationconcomitante d'ACULAR 0,5%, collyre en solution et des corticoïdes topiquesdoit être effectuée avec précaution chez les patients présentant uneprédisposition à la dégradation épithéliale cornéenne.
L'utilisation des AINS topiques peut entraîner une kératite. Chez certainspatients, un traitement continu avec des AINS topiques peut entraîner unedégradation de l’épithélium, un amincissement cornéen, une ulcérationcornéenne ou une perforation de la cornée. Ces événements peuvent engager lepronostic visuel. Les patients présentant des signes de dégradationépithéliale cornéenne doivent cesser immédiatement d'utiliser les AINStopiques, et surveiller étroitement l'état de leur cornée.
Les AINS topiques doivent être utilisés avec précaution chez les patientsayant subi des chirurgies oculaires lourdes, ou présentant une dénervationcornéenne, des anomalies de l'épithélium cornéen, un diabète, des maladiesde la surface oculaire (telles qu’un syndrome de l'œil sec), une polyarthriterhumatoïde, ou des chirurgies oculaires répétées sur une courte période detemps, car ils pourraient encourir un risque accru d'événements indésirablesde la cornée pouvant engager le pronostic visuel.
L’expérience post-commercialisation avec les AINS topiques suggèreégalement qu'une utilisation des AINS topiques plus de 24 heures avant lachirurgie ou plus de 14 jours après la chirurgie pourrait augmenter le risquede survenue et la sévérité des événements indésirables cornéens.
Des cas de bronchospasme ou d’exacerbation d'un asthme ont été rapportésau cours de la surveillance post-commercialisation chez des patients ayant soitune hypersensibilité connue à l'aspirine / aux AINS, soit des antécédentsmédicaux d'asthme, en association à l'utilisation d'ACULAR 0,5%, collyre ensolution, lequel pourrait avoir contribué à la survenue de ces événements.Des précautions sont recommandées pour l'utilisation d'ACULAR 0,5%, collyre ensolution chez ces patients (voir rubrique 4.8).
Refermer soigneusement le flacon après utilisation.
Les patients doivent être informés qu’ils doivent éviter tout contactentre l’embout du flacon et l’œil ou les structures avoisinantes afind’éviter de se blesser ou de contaminer le collyre.
Les effets indésirables peuvent être réduits en utilisant la dose minimaleefficace pendant la durée la plus courte nécessaire au soulagement dessymptômes.
Informations destinées aux porteurs de lentilles de contact
Le conservateur présent dans ACULAR 0,5%, collyre en solution, le chlorurede benzalkonium, peut causer une irritation oculaire et une coloration deslentilles de contact souples. Éviter tout contact avec des lentilles souples.Retirer les lentilles de contact avant l’instillation et attendre au moins15 minutes avant de les remettre.
4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions
Aucune étude d’interaction n’a été réalisée.
ACULAR 0,5%, collyre en solution a été administré, sans mise en évidencede risque particulier de tolérance, avec des médicaments systémiques etophtalmiques tels que les antibiotiques, les sédatifs, les bétabloquants, lesinhibiteurs de l'anhydrase carbonique, les myotiques, les mydriatiques, lesanesthésiques locaux et les cycloplégiques.
ACULAR 0,5%, collyre en solution peut ralentir ou retarder la cicatrisation.Les corticoïdes topiques sont également connus pour ralentir ou retarder lacicatrisation. L'utilisation concomitante d'AINS topiques et de corticoïdestopiques peut augmenter le risque de problèmes de cicatrisation (voirrubrique 4.4).
En cas d'utilisation concomitante d'ACULAR 0,5%, collyre en solution avecd'autres produits ophtalmiques topiques, un intervalle d'au moins 5 minutesdoit être respecté entre les administrations des deux médicaments.
4.6. Fertilité, grossesse et allaitement
Il convient de tenir compte des informations et recommandations relatives auxAINS administrés par voie générale présentées dans cette rubrique, comptetenu des risques liés à ces produits, bien que les quantités de kétorolactrométamol passant dans la circulation systémique soient potentiellementfaibles après administration oculaire.
GrossesseL’inhibition de la synthèse des prostaglandines par les AINS peut affecterle déroulement de la grossesse et/ou le développement de l’embryon oudu fœtus.
Risques associés à l’utilisation au cours du 1er trimestre
Les données des études épidémiologiques suggèrent une augmentation durisque de fausse-couche, de malformations cardiaques et de gastroschisis, aprèstraitement par un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines en début degrossesse. Le risque absolu de malformation cardiovasculaire est passé de moinsde 1% dans la population générale, à approximativement 1,5 % chez lespersonnes exposées aux AINS. Le risque paraît augmenter en fonction de la doseet de la durée du traitement. Chez l’animal, il a été montré quel’administration d’un inhibiteur de la synthèse des prostaglandinesprovoquait une perte pré et post-implantatoire accrue et une augmentation de lalétalité embryo-foetale. De plus, une incidence supérieure de certainesmalformations, y compris cardiovasculaires, a été rapportée chez des animauxayant reçu un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines au cours de laphase d’organogénèse de la gestation.
Risques associés à l’utilisation à partir de la 12ème semained’aménorrhée et jusqu’à la naissance :
A partir de la 12ème semaine d’aménorrhée et jusqu’à la naissance,tous les AINS, par l’inhibition de la synthèse des prostaglandines, peuventexposer le fœtus à une atteinte fonctionnelle rénale :
· in utero pouvant s'observer dès 12 semaines d'aménorrhée (mise enroute de la diurèse fœtale) : oligoamnios (le plus souvent réversible àl'arrêt du traitement), voire anamnios en particulier lors d'une expositionprolongée.
· à la naissance, une insuffisance rénale (réversible ou non) peutpersister en particulier en cas d'exposition tardive et prolongée (avec unrisque d'hyperkaliémie sévère retardée).
Risques associés à l’utilisation à partir de la 24ème semained’aménorrhée :
A partir de la 24ème semaine d’aménorrhée, les AINS peuvent exposer lefœtus à une toxicité cardio-pulmonaire (fermeture prématurée du canalartériel et hypertension artérielle pulmonaire). La constriction du canalartériel peut survenir à partir du début du 6ème mois (au-delà de la 24èmesemaine d’aménorrhée) et peut conduire à une insuffisance cardiaque droitefœtale ou néonatale voire à une mort fœtale in utero. Ce risque est d'autantplus important que la prise est proche du terme (moindre réversibilité). Ceteffet existe même pour une prise ponctuelle.
En fin de grossesse, la mère et le nouveau-né peuvent présenter :
· un allongement du temps de saignement du fait d’une actionanti-agrégante pouvant survenir même après administration de très faiblesdoses de médicament ;
· une inhibition des contractions utérines entraînant un retard de termeou un accouchement prolongé.
En conséquence :
Sauf nécessité absolue, ce médicament ne doit pas être prescrit chez unefemme qui envisage une grossesse ou au cours des 5 premiers mois de grossesse(24 premières semaines d’aménorrhée). Si ce médicament est administréchez une femme souhaitant être enceinte ou enceinte de moins de 6 mois, ladose devra être la plus faible possible et la durée du traitement la pluscourte possible. Une prise prolongée est fortement déconseillée.
A partir du début du 6ème mois (au-delà de 24 semaines d'aménorrhée):toute prise de ce médicament, même ponctuelle, est contre-indiquée. Une prisepar mégarde à partir de cette date justifie une surveillance cardiaque etrénale, fœtale et/ou néonatale selon le terme d'exposition. La durée decette surveillance sera adaptée à la demi-vie d'élimination de lamolécule
AllaitementLes A.I.N.S. passant dans le lait maternel, ce médicament est déconseilléchez la femme qui allaite.
FertilitéComme tous les AINS, l'utilisation de ce médicament peut temporairementaltérer la fertilité féminine en agissant sur l’ovulation ; il est doncdéconseillé chez les femmes souhaitant concevoir un enfant. Chez les femmesrencontrant des difficultés pour concevoir ou réalisant des tests defertilité, l'arrêt du traitement doit être envisagé.
4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines
Une vision trouble transitoire peut survenir après l'instillation decollyre. Ne pas conduire de véhicules ni utiliser de machines dangereusesjusqu’à ce que la vision soit rétablie.
4.8. Effets indésirables
Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés avec l'utilisationd'ACULAR 0,5%, collyre en solution sont une sensation transitoire de picotementet de brûlure lors de l'instillation.
La fréquence des effets indésirables documentée durant les essaiscliniques est présentée plus loin et définie comme suit : Très fréquent(≥ 1/10) ; Fréquent (≥1/100 à <1/10) ; Peu fréquent (≥1/1000 à<1/100) ; Rare (≥1/10000 à <1/1000) ; Très rare <1/10000) ;Fréquence indéterminée (ne peut être estimée à partir des donnéesdisponibles).
Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentéspar ordre de gravité décroissante.
Affections du système immunitaire
Fréquents : Hypersensibilité, y compris réactions allergiques locales
Affections du système nerveux
Fréquents : Céphalées
Affections oculaires
Très fréquents : Irritation oculaire (y compris sensation de brûlure)
Douleur oculaire (y compris picotement)
Fréquents : Kératite superficielle (punctiforme)
Œdème oculaire et/ou palpébral
Prurit oculaire
Hyperémie conjonctivale
Infection oculaire
Inflammation oculaire
Iritis
Précipités kératiques
Hémorragies rétiniennes
Œdème maculaire cystoïde
Traumatisme oculaire
Augmentation de la pression intraoculaire
Vision floue et/ou diminuée
Peu fréquents : Kératite ulcérative
Infiltrats cornéens
Sécheresse oculaire
Épiphora
Fréquence indéterminée : Lésions de la cornée, tellesqu’amincissement, érosion, dégradation et perforation épithéliales*
Gonflement oculaire
Hyperhémie oculaire
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
Fréquence indéterminée : Bronchospasme ou exacerbationd'un asthme
*Il y a eu un nombre limité de notifications spontanées depharmacovigilance de lésions de la cornée comprenant un amincissementcornéen, une érosion cornéenne, des lésions épithéliales et uneperforation de la cornée. Ces événements sont survenus principalement chezdes patients ayant utilisé concomitamment des corticoïdes topiques et/ou chezceux présentant une prédisposition (voir rubrique 4.4 « Mises en gardespéciales et précautions d’emploi »).
Des cas de bronchospasme ou d'exacerbation d'un asthme ont été rapportésau cours de la surveillance post-commercialisation chez des patients ayant soitune hypersensibilité connue à l'aspirine / aux AINS, soit des antécédentsmédicaux d'asthme, en association à l'utilisation d'ACULAR 0,5%, collyre ensolution, lequel pourrait avoir contribué à la survenue de cesévénements.
Aux doses usuelles utilisées en ophtalmologie, aucun des effetsindésirables rapportés lors d’une utilisation systémique des AINS (ycompris le kétorolac trométamol) n'a été observé.
Déclaration des effets indésirables suspectésLa déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://www.signalement-sante.gouv.fr“>www.signalement-sante.gouv.fr.
4.9. Surdosage
Aucun cas de surdosage n'a été rapporté. La survenue d'un surdosage estpeu probable avec le mode d'administration recommandé.
En cas d'ingestion accidentelle, il faut boire des liquides afin de diluer leproduit.
5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
5.1. Propriétés pharmacodynamiques
Classe pharmacothérapeutique : anti-inflammatoires non-stéroïdiens, codeATC : S01BC05.
ACULAR 0,5 %, collyre en solution (kétorolac trométamol) est unanti-inflammatoire non stéroïdien possédant une activité anti-inflammatoireet antalgique. Il agirait en inhibant la cyclo-oxygénase, enzyme essentiellepour la biosynthèse des prostaglandines. ACULAR 0,5 %, collyre en solution amontré qu’il réduisait les taux de prostaglandines dans l’humeur aqueuseaprès administration ophtalmique.
Le kétorolac trométamol administré par voie systémique n'entraîne pas demyosis. Les résultats des études cliniques montrent qu’ACULAR 0,5 %,collyre en solution n’a pas d’effet significatif sur la pressionintraoculaire.
5.2. Propriétés pharmacocinétiques
Des solutions de kétorolac trométamol (0,1% ou 0,5%) ou un placebo ontété instillés dans les yeux de patients environ 12 heures et 1 heure avantune chirurgie. Les concentrations de kétorolac dans l'humeur aqueuse prélevéeau moment de la chirurgie étaient à la limite inférieure de détection(40 ng/ml) chez 1 patient et en deçà de la limite de quantification chez7 patients ayant reçu 0,1% de kétorolac trométamol. Le taux moyen dekétorolac dans l'humeur aqueuse chez les patients traités par 0,5% dekétorolac trométamol était de 95 ng/ml. Les concentrations de PGE2 dansl'humeur aqueuse étaient de 80 pg/ml, 40 pg/ml et 28 pg/ml chez les patientstraités par placebo, 0,1% de kétorolac trométamol et 0,5% de kétorolactrométamol respectivement.
Dans une étude de tolérance de 21 jours à dose répétée (x3/j) menéeauprès de volontaires sains, seul 1 des 13 sujets présentait un tauxplasmatique détectable (0,021 µg/ml) de kétorolac avant la prise suivante.Chez un autre groupe de 13 sujets, seuls 4 sujets ont présenté de trèsfaibles taux plasmatiques de kétorolac (0,011 à 0,023 µg/ml) 15 minutesaprès l’administration oculaire.
Ainsi, la détection de taux plus élevés de kétorolac dans l'humeuraqueuse et de taux plasmatiques très faibles ou indétectables aprèsadministration ophtalmique suggère que l'utilisation du kétorolac trométamolpar voie ophtalmique pour le traitement de troubles oculaires entraîne uneabsorption systémique plutôt faible chez les patients.
5.3. Données de sécurité préclinique
Les données non cliniques issues des études conventionnelles depharmacologie de sécurité, toxicologie en administration répétée,génotoxicité, cancérogénèse, et des fonctions de reproduction et dedéveloppement, n’ont pas révélé de risque particulier pour l’Homme.
Des études expérimentales de toxicité aiguë, subaiguë et chroniqued'ACULAR 0,5 %, collyre en solution chez l'animal ont établi la sécuritéd'emploi du médicament. En outre, l'octoxinol 40 a été évalué séparémenten termes de tolérance oculaire. ACULAR s'est avéré non-irritant, n'a pasdémontré d'effet anesthésique local, n'a pas influencé la cicatrisation deplaies de la cornée dans des conditions expérimentales chez le lapin, n'a pasfavorisé la propagation d'infections oculaires expérimentales de Candidaalbicans, du virus Herpès simplex de type 1, ou de Pseudomonas aeruginosa chezle lapin, et n'a pas augmenté la pression intraoculaire des yeux sainsdu lapin.
6. DONNEES PHARMACEUTIQUES
6.1. Liste des excipients
Chlorure de sodium.
Chlorure de benzalkonium.
Edétate disodique.
Octoxinol 40.
Hydroxyde de sodium ou acide chlorhydrique (dilué) pour ajuster le pH.
Eau purifiée.
6.2. Incompatibilités
Sans objet.
6.3. Durée de conservation
Avant ouverture : 2 ans.
Après ouverture : à utiliser dans les 15 jours après ouverture duflacon.
6.4. Précautions particulières de conservation
A conserver à une température ne dépassant pas 25°C.
6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur
Flacon compte-gouttes en polyéthylène basse densité (avec emboutcompte-gouttes en PEBD) contenant 5 ml de solution. La taille de la goutte estde 35 microlitres. Chaque flacon dispose d'un capuchon vissé enpolystyrène MIPS.
6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation
Pas d’exigences particulières pour l’élimination.
7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
ALLERGAN FRANCE
TOUR CBX
1, PASSERELLE DES REFLETS
92400 COURBEVOIE
8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
· 34009 334 295 9 1 : 5 ml en flacon compte-gouttes (PE).
9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
11. DOSIMETRIE
Sans objet.
12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES
Sans objet.
CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE
Liste I
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