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ADRENALINE AGUETTANT 0,1 mg/mL sans sulfite, solution injectable en seringue pré-remplie - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - ADRENALINE AGUETTANT 0,1 mg/mL sans sulfite, solution injectable en seringue pré-remplie

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

ADRENALINE AGUETTANT 0,1 mg/mL sans sulfite, solution injectable en seringuepré-remplie

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Chaque millilitre de solution injectable contient 0,1 mg d’adrénaline(sous forme d’adrénaline tartrate)

Chaque seringue pré-remplie de 10 mL contient 1 mg d’adrénaline (sousforme d’adrénaline tartrate).

Excipient à effet notoire : sodium

Chaque millilitre de solution injectable contient 3,54 mg de sodium, soitl’équivalent de 0,154 mmole.

Chaque seringue pré-remplie de 10 mL contient 35,4 mg de sodium, soitl’équivalent de 1,54 mmole.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Solution injectable en seringue pré-remplie

Solution limpide et incolore dans une seringue pré-remplie de 10 mL

pH = 3,0 à 3,4

Osmolarité : 270 à 300 mOsm/l

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Réanimation cardio-pulmonaire

Anaphylaxie aiguë chez l’adulte

4.2. Posologie et mode d'administration

L’adrénaline intraveineuse est réservée aux professionnels de santéexpérimentés dans l’administration et la titration des vasopresseurs dans lecadre de leur pratique clinique ordinaire.

Réanimation cardio-pulmonaire :

Administration de 10 mL de solution d’adrénaline au 1:10 000 (1 mg),par voie intraveineuse ou intra‑osseuse, répétée toutes les 3 à5 minutes jusqu’au rétablissement de la circulation spontanée.

La voie endotrachéale ne doit être utilisée qu’en dernier ressort, siaucune autre voie d’administration n’est accessible, à une dose de 20 à25 mL de solution au 1:10 000 (soit l’équivalent de 2 à 2,5 mg).

En cas d’arrêt cardiaque suivant une intervention de chirurgie cardiaque,l’a­drénaline est administrée par voie intraveineuse à des doses de 0,5 mLou 1 mL de solution au 1:10 000 (50 ou 100 microgrammes), avec beaucoup deprudence et en dosant jusqu’à obtention de l’effet souhaité.

Anaphylaxie aiguë :

Titrer l’adrénaline intraveineuse en administrant des bolus de 0,5 mL desolution au 1:10 000 (0,05 mg) selon la réponse.

Adrenaline AGUETTANT 0.1 mg/mL sans sulfite, solution injectable en seringuepré-remplie, n’est pas recommandé pour une utilisation par voieintramusculaire dans les cas d’anaphylaxie aiguë. Pour une administratio­nintramuscula­ire, une solution à 1 mg/mL (1:1000) doit être utilisée.

Population pédiatrique :

Ce médicament n’est pas adapté pour délivrer une dose inférieure à0,5 mL et ne doit par conséquent pas être utilisé par voie intraveineuse ouintra-osseuse chez les nouveaux nés et les enfants de moins de 5 kg.

Arrêt cardiaque chez l’enfant :

Voie intraveineuse ou intra-osseuse (au-dessus de 5 kgs de poids corporeluniquement) : 0,1 mL/kg de solution d’adrénaline au 1:10 000(10 m­icrogrammes/kg) jusqu’ à une dose unique maximale de 10 mL desolution au 1:10 000 (soit l’équivalent de 1 mg), répétée toutes les3 à 5 minutes jusqu’au rétablissement de la circulation spontanée.

La voie endotrachéale ne doit être utilisée, quel que soit le poids,qu’en dernier ressort, si aucune autre voie d’administration n’estaccessible, à une dose de 1 mL/kg de solution au 1:10 000(100 m­icrogrammes/kg) jusqu’à un maximum de 25 mL de solution au1:10 000, soit l’équivalent de 2,5 mg).

4.3. Contre-indications

Les patients présentant une hypersensibilité connue à un excipient,lorsqu’il existe une autre présentation d’adrénaline ou un autrevasopresseur est disponible.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

ADRENALINE AGUETTANT 0,1 mg/mL sans sulfite, solution injectable en seringuepré-remplie, est indiqué comme traitement d’urgence. Un suivi médical estnécessaire après l’administration.

Pour une administration intramusculaire, une solution à 1 mg/mL (1:1000)doit être utilisée.

Dans le traitement de l’anaphylaxie et chez d’autres patients ayant unecirculation spontanée, l’adrénaline intraveineuse peut provoquer unehypertension menaçant le pronostic vital, une tachycardie, des arythmies et uneischémie myocardique.

L’utilisation d’adrénaline intraveineuse est réservée auxprofessionnels de santé expérimentés dans l’administration et la titrationdes vasopresseurs dans le cadre de leur pratique clinique ordinaire. Lespatients qui reçoivent de l’adrénaline IV nécessitent au minimum unesurveillance continue de l’ECG, de l’oxymétrie de pouls et mesuresfréquentes de la tension artérielle.

Le risque de toxicité est augmenté dans les situations suivantes :

· Hyperthyroïdie

· Hypertension

· Maladies cardiaques structurelles, arythmies cardiaques, cardiomyopathi­eobstructive sévère

· Insuffisance coronarienne

· Phéochromocytome

· Hypokaliémie

· Hypercalcémie

· Insuffisance rénale sévère

· Maladie vasculaire cérébrale, lésions cérébrales organiques ouartériosclérose

· Patients prenant des inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO) (voirrubrique 4.5)

· Patients prenant des médicaments concomitants qui produisent des effetsadditifs ou sensibilisent le myocarde aux actions des agents sympathomiméti­ques(voir rubrique 4.5)

L’utilisation prolongée d’adrénaline peut entraîner une acidosemétabolique sévère en raison des concentrations sanguines élevées d’acidelactique.

L’adrénaline peut augmenter la pression intraoculaire chez les patientsatteints de glaucome à angle fermé.

L’adrénaline doit être utilisée avec prudence chez les patients atteintsd’hyper­plasie prostatique avec rétention urinaire.

L’adrénaline pouvant causer ou aggraver l’hyperglycémie, la glycémiedoit être surveillée, en particulier chez les patients diabétiques.

L’adrénaline doit être utilisée avec prudence chez lespatients âgés.

L’adrénaline ne doit pas être utilisée au cours du deuxième stade dutravail (voir rubrique 4.6).

Ce médicament contient 35,4 mg de sodium par seringue pré-remplie, ce quiéquivaut à 1,77% de l’apport alimentaire quotidien maximal recommandé parl’OMS de 2 g de sodium par adulte.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Anesthésiques halogénés volatils : arythmie ventriculaire grave(augmentation de l’excitabilité cardiaque).

Antidépresseurs imipraminiques : hypertension paroxystique avec possibilitéd’a­rythmie (inhibition de l’entrée des sympathomimétiques dans les fibressympathi­ques).

Antidépresseurs sérotoninergiques-adrénergiques : hypertensionpa­roxystique avec possibilité d’arythmie (inhibition de l’entrée dessympathomi­métiques dans les fibres sympathiques).

Agents sympathomimétiques : l’administration concomitante d’autressympat­homimétiques pourrait augmenter la toxicité en raison des effetsadditifs possibles.

IMAO non sélectifs : augmentation de l’action vasopressive del’adrénaline, habituellement modérée.

IMAO-A sélectifs, linézolide (par extrapolation à partir des IMAO nonsélectifs) : Risque d’aggravation de l’action vasopressive.

Alpha-bloquants adrénergiques : Les alphabloquants antagonisent les effetsvasopressifs et hypertenseurs de l’adrénaline, ce qui augmente le risqued’hypotension et de tachycardie.

Bêta-bloquants adrénergiques : Une hypertension artérielle sévère et unebradycardie réflexe peuvent survenir avec des agents bêtabloquantsnon-cardiosélectifs. Les bêtabloquants, en particulier les agentsnon-cardiosélectifs, antagonisent également les effets cardiaques etbronchodila­tateurs de l’adrénaline.

Insuline ou hypoglycémiants oraux : L’hyperglycémie provoquée parl’adrénaline peut conduire à une perte de la maîtrise de la glycémie chezles patients diabétiques traités par insuline ou parhypoglycémi­ants oraux.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Un effet tératogène a été démontré lors des expériences chezl’animal.

L’adrénaline ne doit être utilisée pendant la grossesse que si lesavantages potentiels l’emportent sur les risques éventuels pour le fœtus. Encas d’administration pendant la grossesse, l’adrénaline peut provoquer uneanoxie chez le fœtus.

L’adrénaline inhibe habituellement les contractions spontanées (ou cellesinduites par l’ocytocine) de l’utérus chez la femme enceinte et peutretarder le deuxième stade du travail. À une dose suffisante pour réduire lescontractions utérines, l’adrénaline peut provoquer une période prolongéed’atonie utérine avec hémorragie. Pour cette raison, l’adrénalinepa­rentérale ne doit pas être utilisée au cours du deuxième stade dutravail.

Allaitement

L’adrénaline passe dans le lait maternel. L’allaitement doit êtreévité chez les mères qui reçoivent de l’adrénaline.

Fertilité

On ne dispose d’aucune information concernant les répercussions del’adrénaline sur la fertilité.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

Sans objet dans les conditions normales d’utilisation.

4.8. Effets indésirables

Troubles du métabolisme et de la nutrition :

Fréquence indéterminée : hyperglycémie, hypokaliémie, acidosemétabolique.

Affections psychiatriques :

Fréquence indéterminée : anxiété, nervosité, peur, hallucinations.

Affections du système nerveux :

Fréquence indéterminée : maux de tête, tremblements, vertiges,syncope.

Affections oculaires :

Fréquence indéterminée : mydriase.

Affections cardiaques :

Fréquence indéterminée : palpitations, tachycardie. Takotsubocardi­omyopathie (cardiomyopathie de stress) peut survenir. À haute dose ou chezles patients sensibles à l’adrénaline : arythmie cardiaque (tachycardiesi­nusale, fibrillation ventriculaire/arrêt cardiaque), crises angineuses etrisque d’infarctus aigu du myocarde.

Affections vasculaires :

Fréquence indéterminée : pâleur, refroidissement des extrémités. Àhaute dose ou chez les patients sensibles à l’adrénaline : hypertension(avec risque d’hémorragie cérébrale), vasoconstriction (par exemplecutanée, au niveau des extrémités ou des reins).

Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales :

Fréquence indéterminée : dyspnée.

Affections gastro-intestinales :

Fréquence indéterminée : nausées, vomissements.

Troubles généraux et anomalies au site d’administration :

Fréquence indéterminée : transpiration, faiblesse.

Des injections locales répétées peuvent produire une nécrose au niveaudes sites d’injection résultant d’une constriction vasculaire.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

Un surdosage ou l’administration intraveineuse accidentelle d’adrénalinepou­rrait entraîner une hypertension sévère. Des accidents cérébraux,car­diaques ou vasculaires potentiellement mortels pourraient ainsi se produire(hémorragie cérébrale, troubles du rythme tels que bradycardie transitoiresuivie d’une tachycardie susceptible de conduire à une arythmie, une nécrosemyocardique, un œdème pulmonaire aigu ou une insuffisance rénale).

Les effets de l’adrénaline peuvent être antagonisés, en fonction del’état du patient, par l’administration de vasodilatateurs à actionrapide, de médicaments alpha-bloquants adrénergiques à action rapide (commela phentolamine) ou de médicaments bêta-bloquants adrénergiques (comme lepropranolol). Cependant, la demi-vie de l'adrénaline étant très brève, iln'est pas toujours nécessaire d'avoir recours à ces médicaments. En cas deréaction hypotensive prolongée, l’administration d’un autre agentvasopresseur comme la noradrénaline pourrait s’avérer nécessaire.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : agents adrénergiques et dopaminergiqu­es,adrénaline, code ATC : C01 CA 24.

L’adrénaline est un agent sympathomimétique à action directe, qui agitsur les deux types, α et β, de récepteurs adrénergiques. Elle a des effetsplus prononcés sur les récepteurs adrénergiques β que sur les récepteursα, même si les effets sur les récepteurs α prévalent aux dosesélevées.

Les effets de l’adrénaline comprennent une augmentation de la fréquenceet de la force des contractions cardiaques, une vasoconstriction cutanée et unebronchodila­tation. Aux doses plus élevées, la stimulation des récepteurs αpériphériques conduit à une augmentation des résistances périphériques etde la pression artérielle.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Les concentrations pharmacologiquement actives en adrénaline ne sont pasatteintes après administration par voie orale car elle est rapidement oxydéeet conjuguée dans la muqueuse gastro-intestinale et le foie. L’absorption àpartir du tissu sous-cutané est lente en raison de la vasoconstriction locale ;les effets se produisent dans les 5 minutes. L’absorption est plus rapideaprès injection intramusculaire qu’après injection sous-cutanée.

L’adrénaline est rapidement distribuée dans le cœur, la rate, plusieurstissus glandulaires et le système nerveux adrénergiques. Elle traversefacilement le placenta et est liée à 50 % environ aux protéinesplas­matiques.

L’adrénaline est rapidement inactivée dans l’organisme, principalementdans le foie par les enzymes catéchol-O-méthyltransférase (COMT) et monoamineoxydase (MAO). La majeure partie d’une dose d’adrénaline est excrétéesous forme de métabolites dans les urines.

Après administration intraveineuse, la demi-vie plasmatique est d’environ2 à 3 minutes.

5.3. Données de sécurité préclinique

Il n’y a pas de données précliniques pertinentes pour le prescripteur,qui viennent s’ajouter à celles déjà incluses dans d’autres rubriquesdu RCP.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Chlorure de sodium

Acide chlorhydrique (pour l’ajustement du pH)

Hydroxyde de sodium (pour l’ajustement du pH)

Eau pour préparations injectables

6.2. Incompati­bilités

En l’absence d’études de compatibilité, ce médicament ne doit pasêtre mélangé avec d’autres médicaments.

6.3. Durée de conservation

Avant ouverture : 2 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation

À conserver à une température ne dépassant pas 25°C.

Ne pas congeler.

À conserver dans le sachet en aluminium à l’abri de la lumière et del’oxygène.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

10 mL de solution en seringue pré-remplie en polypropylène, sans aiguille,condi­tionnée individuellement dans un blister transparent et suremballée dansun sachet en aluminium contenant un sachet absorbant l’oxygène ; boîtes de1 ou 10.

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

N’ouvrir le sachet en aluminium et la plaquette thermoformée de laseringue qu’immédiatement avant l’administration.

Après l’ouverture du sachet, le produit doit être utiliséimmédi­atement.

La surface externe de la seringue et son contenu sont stériles si le blisterest non-ouvert et en bon état.

Respecter scrupuleusement le protocole ci-dessous

La seringue pré-remplie est à utiliser chez un seul patient. Jetez laseringue après usage. Ne pas réutiliser.

Inspectez visuellement le produit avant l’administration pour déceler laprésence de particules ou d’une coloration anormale. Seule une solutionlimpide et incolore dépourvue de particules ou de précipités doit êtreutilisée.

Ne pas utiliser le produit si le sachet ou le blister ont été ouverts ou sila bande d’inviolabilité sur la seringue (film plastique à la base ducapuchon) est rompue.

1) Déchirez le sachet en aluminium à la main uniquement le long desencoches préformées.

Ne pas utiliser d’instruments tranchants pour ouvrir le sachet.

2) Retirez la seringue pré-remplie du blister stérile.

3) Enfoncez le piston pour libérer le bouchon. Le procédé destérilisation peut avoir fait adhérer le bouchon au corps de la seringue.

4) Enlevez le capuchon en le dévissant pour rompre la banded’inviola­bilité. Ne pas toucher le raccord Luer nu afin d’éviter toutecontamination.

5) Vérifiez que la bande d’inviolabilité à la pointe de la seringue aété complètement retirée. Si ce n’est pas le cas, remettez le capuchon enplace et dévissez à nouveau.

6) Chassez l’air en enfonçant doucement le piston.

7) Connectez la seringue au dispositif d’accès vasculaire ou àl’aiguille.

Enfoncez le piston pour injecter le volume requis.

Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformémentà la réglementation en vigueur.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

LABORATOIRE AGUETTANT

1, RUE ALEXANDER FLEMING

69007 LYON

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 300 466 1 6 : 10 mL de solution en seringue préremplie(po­lypropylène) ; boite de 1.

· 34009 300 549 7 0 : 10 mL de solution en seringue préremplie(po­lypropylène) ; boite de 10.

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I

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