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ALTIM 3,75 mg/1,5 ml, suspension injectable en seringue pré-remplie - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - ALTIM 3,75 mg/1,5 ml, suspension injectable en seringue pré-remplie

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

ALTIM 3,75 mg/1,5 ml, suspension injectable en seringue pré-remplie

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Cortivazol...­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­...3,75 mg

Pour 1,5 ml de suspension injectable.

Excipients à effet notoire : sodium (4,7 mg/seringue pré-remplie), alcoolbenzylique.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Suspension injectable en seringue pré-remplie.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Ce sont celles de la corticothérapie locale, lorsque l'affection justifieune forte concentration locale. Toute prescription d'injection locale doit fairela part du danger infectieux notamment du risque de favoriser une prolifération­bactérienne.

Ce produit est indiqué dans les affections rhumatologiques :

· en injection intra-articulaire : arthrites inflammatoires, arthrose enpoussée,

· en injection péri-articulaire : tendinites, bursites,

· en injection des parties molles : talalgies, syndrome du canal carpien,maladie de Dupuytren,

· en injection épidurale : radiculalgies.

4.2. Posologie et mode d'administration

Posologie

La posologie habituellement utilisée est de 0,5 à 1,5 ml selon lalocalisation, en injection intra-articulaire, périarticulaire, ou épidurale,unique ou renouvelée (habituellement à intervalles de 1 à 3 semaines).

Remarque :

· Ne pas utiliser plus de 1,5 ml par séance, quel que soit le nombred'articu­lations infiltrées.

Il est inutile :

· de faire plus de 2 injections dans la première semaine,

· de pratiquer des séries de plus de 4 injections.

Il faut éviter que l'injection ne soit trop superficielle en raison durisque d'atrophie sous-cutanée.

L'injection ne sera répétée qu'en cas de réapparition ou de persistancedes symptômes.

Cette spécialité n'est pas adaptée à l'administration par voie inhaléepar nébulisateur.

Mode d’administration

Equivalence anti-inflammatoire (équipotence) pour 5 mg de prednisone =0,3 mg de cortivazol.

VOIE INJECTABLE LOCALE. Ne pas administrer par voie I.V. ni parvoie I.M.

Agiter avant emploi.

4.3. Contre-indications

Ce médicament est contre-indiqué dans les situations suivantes :

· hypersensibilité au cortivazol ou à l’un des excipients mentionnés àla rubrique 6.1

· infection locale ou générale, ou suspicion d'infection,

· troubles sévères de la coagulation, traitement anticoagulanten cou­rs,

· injection épidurale chez les patients qui présentent des troublessévères de la coagulation ou traités par anticoagulants, ticlopidine,clo­pidogrel, autres antiagrégants plaquettaires ou agents anti-thrombotiques,

· par voie intra-discale,

· en raison de la présence d'alcool benzylique, ce médicament estcontre-indiqué chez les prématurés et les nouveau-nés à terme.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Mises en garde spéciales

Du fait d'une diffusion systémique potentielle, il faut prendre en comptecertaines contre-indications des corticoïdes par voie générale, enparticulier si les injections sont multiples (plusieurs localisations) ourépétées à court terme :

· certaines viroses en évolution (notamment hépatites, herpes,varice­lle, zona),

· états psychotiques encore non contrôlés par un traitement,

· vaccins vivants.

La corticothérapie peut favoriser la survenue de diverses complicationsin­fectieuses.

Des injections multiples (plusieurs localisations) ou répétées à courtterme peuvent entraîner des symptômes cliniques et biologiquesd'hy­percorticisme ainsi qu'une freination de l'axethalamo-hypophyso-surrénalien.

L'attention est attirée chez les sportifs, cette spécialité contenant unprincipe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lorsdes contrôles antidopages.

L'administration concomitante de cortivazol avec de l'acideacétyl­salicylique utilisé à dose anti-inflammatoire (≥ 1 g par prise et/ou≥ 3 g par jour) est déconseillée (voir rubrique 4.5).

Les corticoïdes oraux ou injectables peuvent favoriser l'apparition detendinopathie, voire de rupture tendineuse (exceptionnelle). Ils ne doivent doncpas être injectés en intra-tendineux. Ce risque est augmenté lors de laco-prescription avec des fluoroquinolones et chez les patients dialysés avechyperparat­hyroïdisme secondaire ou ayant subi une transplantati­onrénale.

Un traitement par glucocorticoïde par voie systémique peut causer unechorioréti­nopathie pouvant entrainer des troubles visuels incluant une perte dela vue. L’utilisation prolongée des glucocorticoïdes par voie systémiquemême à faible dose peut entrainer une choriorétinopathie.

La survenue de crises liées à la présence d’un phéochromocytome, etpouvant être fatales a été rapportée après administration decorticostéroïdes. Les corticostéroïdes ne doivent être administrés auxpatients chez qui un phéochromocytome est suspecté ou identifié, qu’aprèsune évaluation appropriée du rapport bénéfice/risque (voirrubrique 4.8).

Il semble qu'en cas de réaction allergique, l'allergène responsable soit leplus souvent la carmellose, l'agent de suspension.

Ce médicament contient 13,50 mg d'alcool benzylique par seringuepré-remplie de 1,5 ml. Il peut provoquer des réactions toxiques et desréactions de type anaphylactoïde chez les nourrissons et les enfants jusqu'à3 ans.

L’administration de médicaments contenant de l’alcool benzylique chezles prématurés et les nouveau-nés à terme a été associée à des casfatals de syndrome de suffocation (les symptômes incluent la survenue brutaled’un syndrome de suffocation, hypotension, bradycardie et collapsuscardio-vasculaire).

Ce médicament contient du sodium. Le taux de sodium est inférieur à1 mmol par dose, c'est-à-dire « sans sodium ».

Mises en garde spécifiques à la voie épidurale

Les éléments suivants ont été identifiés comme facteurs de risqued'effets indésirables neurologiques graves :

· injection foraminale radioguidée,

· injection sur rachis opéré.

Précautions d'emploi

· Il est nécessaire d'observer une asepsie rigoureuse.

· L'injection locale de corticoïdes peut déséquilibrer un diabète, unétat psychotique, une hypertension artérielle sévère.

· L'administration devra être prudente chez les patients à risque élevéd'infection, en particulier les hémodialysés ou les porteurs de prothèse.

· Le risque de réaction vasomotrice et en particulier de douleurthoracique, est à prendre en compte chez les malades ayant une maladiecardio­vasculaire évolutive sous-jacente.

· Ne pas injecter en intratendineux en raison du risque de rupture.

· Ne pas administrer par voie I.V. ni par voie I.M.

· Cette spécialité n'est pas adaptée à l'administration par voieinhalée par nébulisateur.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Les risques d'interactions des glucocorticoïdes avec d'autres médicamentssont exceptionnels par voie injectable locale dans les circonstances usuellesd'emploi. Ces risques seraient à considérer en cas d'injection multiples(plusieurs localisations) ou répétées à court terme.

L'hypokaliémie est un facteur favorisant l'apparition de troubles du rythmecardiaque (torsades de pointes, notamment) et augmentant la toxicité decertains médicaments, par exemple la digoxine. De ce fait, les médicaments quipeuvent entraîner une hypokaliémie sont impliqués dans un grand nombred'interac­tions. Il s'agit des diurétiques hypokaliémiants, seuls ou associés,des laxatifs stimulants, des glucocorticoïdes, du tétracosactide et del'amphotéricine B (voie IV).

Associations contre-indiquées

+ Vaccins vivants atténués

A l'exception des voies inhalées et locales, et pour des posologiessupé­rieures à 10 mg/j d’équivalent-prednisone (ou > 2 mg/kg/j chezl’enfant ou > 20 mg/j chez l’enfant de plus de 10 kg) pendant plus dedeux semaines et pour les « bolus » de corticoïdes : risque de maladievaccinale généralisée éventuellement mortelle.

Les vaccins vivants atténués sont contre-indiqués même pendant les3 mois suivant l'arrêt de la corticothérapie.

Associations déconseillées

(Voir rubrique 4.4)

+ Acide acétylsalicylique

Majoration du risque hémorragique.

Association déconseillée avec des doses anti-inflammatoires d'acideacétyl­salicylique (≥ 1 g par prise et/ou ≥ 3 g par jour).

+ Inhibiteurs du CYP3A

Il est prévu que l’administration concomitante d’inhibiteurs du CYP3A, ycompris de produits contenant du cobicistat, augmente le risque d’effetssecondaires systémiques. L’association doit être évitée, sauf si lesbénéfices sont supérieurs au risque accru d’effets secondaires systémiquesdes corticostéroïdes ; dans ce cas, les patients doivent être surveillés envue de détecter les éventuels effets secondaires systémiques descorticosté­roïdes.

Associations faisant l'objet de précautions d’emploi

+ Autres hypokaliémiants

Risque majoré d'hypokaliémie.

Surveillance de la kaliémie avec, si besoin, correction.

+ Digoxine

Hypokaliémie favorisant les effets toxiques des digitaliques.

Corriger auparavant toute hypokaliémie et réaliser une surveillancecli­nique, électrolytique et électrocardio­graphique.

+ Anticonvulsivants Inducteurs enzymatiques

Diminution des concentrations plasmatiques et de l'efficacité descorticoïdes par augmentation hépatique par l'inducteur; les conséquences sontparticulière­ment importantes chez les addisoniens traités par hydrocortisoneet en cas de transplantation.

Surveillance clinique et biologique; adaptation de la posologie descorticoïdes pendant le traitement par l'inducteur et après son arrêt.

+ Isoniazide

Décrit pour la prednisolone : diminution des concentrations plasmatiques del'isoniazide, Mécanisme invoqué : augmentation du métabolisme hépatique del'isoniazide et diminution de celui des glucocorticoïdes. Surveillance cliniqueet biologique.

+ Médicaments susceptibles de donner des torsades de pointes

Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades depointes. Corriger toute hypokaliémie avant d'administrer le produit etréaliser une surveillance clinique, électrolytique etélectrocardi­ographique.

+ Rifampicine

Diminution des concentrations plasmatiques et de l'efficacité descorticoïdes par augmentation de leur métabolisme hépatique par l'inducteur;les conséquences sont particulièrement importantes chez les addisonienstraités par hydrocortisone et en cas de transplantation.

Surveillance clinique et biologique; adaptation de la posologie descorticoïdes pendant le traitement par l'inducteur et après son arrêt.

+ Anticoagulants oraux

Glucocorticoïdes (voies générale et rectale) : impact éventuel de lacorticothérapie sur le métabolisme de l’antivitamine K et sur celui desfacteurs de la coagulation. Risque hémorragique propre à la corticothérapi­e(muqueuse digestive, fragilité vasculaire) à fortes doses ou en traitementprolongé supérieur à 10 jours.

Lorsque l’association est justifiée, renforcer la surveillance : le caséchéant, contrôle biologique au 8e jour, puis tous les 15 jours pendant lacorticothérapie et après son arrêt.

Associations à prendre en compte

+ Acide acétylsalicylique

Majoration du risque hémorragique.

A prendre en compte avec des doses antalgiques ou antipyrétiques (≥500 mg par prise et/ou < 3 g par jour).

+ Anti-inflammatoires non stéroïdiens

Augmentation du risque d'ulcération et d'hémorragie gastro-intestinale.

+ Curares non dépolarisants

Avec les glucocorticoïdes par voie IV : risque de myopathie sévère,réversible après un délai éventuellement long (plusieurs mois).

+ Fluoroquinolones

Possible majoration du risque de tendinopathie, voire de rupture tendineuse(ex­ceptionnelle), particulièrement chez les patients recevant unecorticothérapie prolongée.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Aucune étude de tératogénèse animale n'a été effectuée avec descorticoïdes administrés par voie locale.

Néanmoins, les études concernant la prise de corticoïdes per os chez lafemme enceinte n'ont pas mis en évidence de risque malformatif supérieur àcelui observé dans la population générale.

En conséquence, ce médicament peut être prescrit pendant la grossesse sibesoin.

L’alcool benzylique passant la barrière placentaire, les solutionsinjec­tables doivent être utilisées avec prudence chez la femme enceinte.

Allaitement

L'allaitement est possible en cas de traitement par ce médicament.

Cependant, le risque des corticoïdes par voie systémique est à considéreren cas d'injections multiples (plusieurs localisations) ou répétées àcourt terme.

Fertilité

Sans objet.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

Sans objet.

4.8. Effets indésirables

Les effets indésirables systémiques des glucocorticoïdes ont un faiblerisque de survenue après administration locale, compte-tenu des faibles tauxsanguins mais le risque d'hypercorticisme (rétention hydrosodée,dé­séquilibre d'un diabète et d'une hypertension artérielle…) ainsi que defreination de l'axe thalamo-hypophyso-surrénalien, augmente avec la dose et lafréquence des injections.

Effets indésirables communs à toutes les voies d'administration :

· Risque d'infection locale (selon le site d'injection) : arthrites,ménin­gites, épidurites.

· Atrophie localisée des tissus musculaires, sous-cutanés et cutanés.

· Quelques cas de ruptures tendineuses ont été décrits de manièreexcepti­onnelle, en particulier en co- prescription avec lesfluoroquino­lones.

· Arthrites aiguës à microcristaux (avec suspension microcristalline) desurvenue précoce,

· Calcifications locales.

· Réactions allergiques : cutanées, urticaire localisée ougénéralisée, œdème de Quincke, choc anaphylactique.

· Flush : des céphalées et des bouffées vasomotrices peuvent survenir.Elles disparaissent habituellement en un jour ou deux.

· Douleur lombaire, plus rarement douleur thoracique et/ou hypotensionsur­venant dans les minutes après l'injection et spontanément réversible.

· Poussées tensionnelles.

· Douleur au point d'injection.

· Troubles oculaires : choriorétinopat­hies.

· Troubles endocriniens : survenue de crises liées à la présence dephéochromocytome (effet classe des corticostéroïdes – Voirrubrique 4.4).

Effets indésirables spécifiques à la voie épidurale :

· Exacerbation transitoire des douleurs ayant motivé l'injection.

· Effets indésirables consécutifs à une brèche dans la dure-mère :céphalée orthostatique, méningite infectieuse ou aseptique; thrombophlébi­tecérébrale.

· Administration au rachis cervical par voie foraminale radioguidée : trèsrares cas d'infarctus cérébral ou médullaire avec tétraplégie, parfoismortels.

· Administration au rachis lombaire : très rares cas d'infarctusmé­dullaire avec paraplégie, principalement observés soit par voie foraminaleradi­oguidée, soit par diverses voies sur rachis opéré.

· Hématomes ou infections épiduraux (abcès, épidurites), avec risque decompression aiguë médullaire ou radiculaire selon l'étage.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.ansm.sante­.fr“>www.ansm­.sante.fr.

4.9. Surdosage

Il peut être observé avec la corticothérapie générale :

· Signes cliniques : surcharge pondérale, obésité, atrophie musculaire,troubles digestifs, ostéoporose, HTA, hypertrichose, purpura, acné.

· Signes neuropsychiques : excitation, agitation,

· Signes endocriniens et métaboliques : véritable syndrome de Cushingiatrogène, arrêt de croissance chez l'enfant,

· Signes biologiques : glycosurie, hyperglycémie, hypokaliémie.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : GLUCOCORTICOIDES A USAGE SYSTEMIQUE NONASSOCIES, code ATC : H02AB17.

(H : Hormones non sexuelles).

Les glucocorticoïdes physiologiques (cortisone et hydrocortisone) sont deshormones métaboliques essentielles.

Les corticoïdes synthétiques, incluant cette spécialité sont utilisésprinci­palement pour leur effet anti- inflammatoire. A forte dose, ils diminuentla réponse immunitaire. Leur effet métabolique et de rétention sodée estmoindre que celui de l'hydrocortisone.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Effet retard de 1 à 6 semaines.

5.3. Données de sécurité préclinique

Sans objet.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Alcool benzylique, carmellose sodique, chlorure de sodium, chlorure decétylpyridinium, polysorbate 80, eau pour préparations injectables.

6.2. Incompati­bilités

En l’absence d’études de compatibilité, ce médicament ne doit pasêtre mélangé avec d’autres médicaments.

6.3. Durée de conservation

2 ans.

Après ouverture : le produit doit être utilisé immédiatement.

6.4. Précautions particulières de conservation

Pas de précautions particulières de conservation.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

Seringue pré-remplie siliconée de 2,25 ml (remplie à 1,5 ml) en verreincolore de type I, avec un joint de piston en caoutchouc chlorobutyl et unembout en caoutchouc chlorobutyl.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Agiter avant emploi.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

SANOFI AVENTIS FRANCE

82 AVENUE RASPAIL

94250 GENTILLY

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 313 579 8 8 : 1,5 ml en seringue pré-remplie (verre incolore) +1 poussoir de seringue + 1 aiguille courte (25 mm de longueur et 5/10 mm dediamètre) et 1 aiguille longue (50 mm de longueur et 8/10 mm dediamètre).

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

Date de première autorisation :{JJ mois AAAA}

Date de dernier renouvellement :{JJ mois AAAA}

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

{JJ mois AAAA}

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I.

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