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ATARAX, sirop - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - ATARAX, sirop

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

ATARAX, sirop

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Dichlorhydrated'hy­droxyzine....­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.....0,2 g

Pour 100 ml.

Excipient(s) à effet notoire : saccharose, éthanol.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Sirop.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

· manifestations mineures de l'anxiété chez l’adulte,

· prémédication à l'anesthésie générale,

· traitement symptomatique de l'urticaire,

· chez l'enfant de plus de 3 ans, traitement de deuxième intention desinsomnies d'endormissement liées à un état d'hyperéveil (vigilance accrueliée à des manifestations anxieuses au coucher), après échec des mesurescompor­tementales seules.

4.2. Posologie et mode d'administration

Voie orale.

1 ml de sirop correspond à 2 mg de dichlorhydrate d'hydroxyzine.

La quantité de sirop sera mesurée à l'aide de la seringue pouradministration orale graduée de 0,25 ml en 0,25 ml.

Posologie

ATARAX doit être pris à la dose efficace la plus faible et pendant ladurée de traitement la plus courte possible.

Adultes :

La dose moyenne est 30 à 100 mg/jour, soit 15 à 50 ml desirop/jour.

Chez l’adulte, la dose maximale journalière est 100 mg.

Sujet âgé :

La dose maximale journalière est 50 mg (voir rubrique 4.4).

Insuffisant hépatique ou rénal sévère :

Il est recommandé de diminuer la posologie de moitié.

Population pédiatrique

· Dans les insomnies d'endormissement chez l'enfant de plus de 3 ans : laposologie proposée à titre indicatif est 1 mg/kg/jour, et le traitement serade courte durée (2 semaines au maximum).

· Dans les autres indications chez l'enfant de 30 mois à 15 ans : la doserecommandée est 1 mg/kg/jour, soit suivant l'âge et le poids :

o de 30 mois à 6 ans (10 à 20 kg) : 5 à 10 ml de siroppar jour.

o de 6 à 10 ans (20 à 30 kg) : 10 à 15 ml de sirop par jour.

o de 10 à 15 ans (30 à 40 kg) : 15 à 20 ml de sirop.

Ces doses peuvent être réduites de moitié lorsque seul un effet momentanéest souhaité

Chez l’enfant jusqu’à 40 kg, la dose maximale est 2 mg/kg/jour.

Chez l’enfant de plus de 40 kg, la dose maximale journalière est100 mg.

Mode d’administration

Sans objet.

4.3. Contre-indications

· Hypersensibilité à la substance active, à l'un de ses métabolites, àun autre dérivé de la pipérazine, à l'aminophylline, ou à l'éthylènediamine ou à l’un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1.

· Liées à l'effet anticholinergique :

o risque de glaucome par fermeture de l'angle,

o risque de rétention urinaire lié à un trouble urétro-prostatique.

· Patients souffrant de porphyrie.

· Patients présentant un allongement acquis ou congénital connu del’intervalle QT.

· Patients présentant des facteurs de risque connus d’allongement del’intervalle QT, incluant une pathologie cardiovasculaire connue, des troublesélectro­lytiques significatifs (hypokaliémie, hypomagnésémie), desantécédents familiaux de mort subite d’origine cardiaque, une bradycardiesig­nificative, et un traitement concomitant par un médicament connu pourallonger l’intervalle QT et/ou susceptible d’induire des torsades de pointes(voir rubriques 4.4 et 4.5).

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Mises en garde spéciales

Allongement de l’espace QT

L’hydroxyzine est associée à un allongement de l’espace QT surl’électrocar­diogramme. Lors de la surveillance post-marketing, des casd’allongement de l’intervalle QT et de torsade de pointes ont étérapportés chez des patients prenant de l’hydroxyzine. La plupart de cespatients présentaient d’autres facteurs de risque, des anomaliesélec­trolytiques et la prise d’un traitement concomitant pouvant y avoircontribué (voir rubrique 4.8).

L’hydroxyzine doit être utilisée à la dose efficace la plus faible etpendant la durée de traitement la plus courte possible.

Le traitement par hydroxyzine doit être interrompu en cas de survenue designes ou de symptômes pouvant être associés à une arythmie cardiaque et lespatients doivent immédiatement consulter un médecin.

Les patients devront être informés de la nécessité de déclarerrapidement tout symptôme cardiaque.

Sujets âgés

L’hydroxyzine n’est pas recommandée chez les patients âgés en raisonde la diminution de l’élimination de l’hydroxyzine dans cette populationpar comparaison à la population adulte et du risque plus élevé d’effetsindési­rables (par ex. effets anticholinergiques) (voir rubriques4.2 et 4­.8).

Il convient de déconseiller aux patients l'absorption de boissonsalcoolisées pendant le traitement.

Population pédiatrique

Dans le traitement des insomnies d'endormissement chez l'enfant :

· L'hydroxyzine ne constitue pas un traitement adapté pour les insomnies decause neurologique, certaines insomnies d'origine organique (syndrome d'apnéesobstruc­tives du sommeil – SAOS – de l'enfant, refluxgastro-œsophagien – RGO -, infection ORL), et les insomnies d'originepsychi­atrique.

· En cas de troubles de la vigilance le matin suivant une prise, letraitement par hydroxyzine devra être interrompu.

· En l'absence de réponse thérapeutique au traitement médicamenteux bienconduit, un avis spécialisé est recommandé.

Ce médicament contient du saccharose. Son utilisation est déconseilléechez les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome demalabsorption du glucose et du galactose ou un déficit ensucrase/iso­maltase.

Ce médicament contient 0,7 g de saccharose par ml dont il faut tenir comptedans la ration journalière en cas de régime pauvre en sucre ou dediabète.

Ce médicament contient de faibles quantités d’éthanol (alcool),infé­rieures à 100 mg pour 60 ml (dose quotidienne maximale).

Précautions d'emploi

L'hydroxyzine ne constitue pas un traitement adapté pour les insomnies decause neurologique, certaines insomnies d'origine organique (cf. Mises engarde), et les insomnies d'origine psychiatrique. Les principaux signescliniques suivants, évocateurs d'une cause organique, seront donc recherchésavant toute prescription d'hydroxyzine chez un enfant présentant des troublesdu sommeil :

· ronflement sonore, troubles alimentaires, régurgitations anormales,

· éveils nocturnes prolongés (supérieurs à 15 minutes), ou éveilsapparaissant dès la première partie de la nuit, sommeil agité entre leséveils, pleurs inconsolables,

· fatigue diurne, siestes inopinées, activité excessive, ou troubles ducomportement,

· retard staturo-pondéral ou cassure de la courbe de poids, ou examenneurologique ou psychomoteur anormal.

Ce médicament doit être utilisé avec prudence :

· chez les jeunes enfants, qui sont plus particulièrement sensibles auxeffets sur le système nerveux central (notamment convulsions),

· en cas d'insuffisance hépatique et/ou rénale sévère, en raison durisque d'accumulation (voir rubrique 4.2).

Par ailleurs, l'administration d'ATARAX est déconseillée chez les patientsprésentant des troubles cognitifs ou un syndrome confusionnel, en raison durisque d'aggravation lié aux propriétés pharmacodynamiques du produit.

En raison de ses potentiels effets anticholinergiques, l'hydroxyzine doitêtre utilisée avec prudence chez les patients souffrant de glaucome, derétention urinaire, de diminution de la motilité gastro-intestinale, demyasthénie grave, ou de démence.

Le traitement doit être interrompu au moins 5 jours (7 jours chez le sujetâgé) avant la réalisation d’un test allergique ou d’un test deprovocation bronchique à la méthacholine, afin d’éviter un effet sur lerésultat du test.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Associations contre-indiquées

La co-administration d’hydroxyzine avec des médicaments connus pourallonger l’intervalle QT et/ou induisant des torsades de pointes par exempledes anti-arythmiques de classe IA (par ex. quinidine disopyramide) et de classeIII (par ex. amiodarone, sotalol), certains antihistaminiques, certainsantip­sychotiques (par ex. halopéridol), certains antidépresseurs (par ex.citalopram et escitalopram), certains antipaludéens (par ex. méfloquine ethydroxychlo­roquine), certains antibiotiques (par ex. érythromycine,lé­vofloxacine, moxifloxacine), certains antifongiques (par ex. pentamidine),cer­tains médicaments gastro-intestinaux (par ex. prucalopride), certainsantican­céreux (par ex. torémifène, vandetanib) et la méthadone, augmententle risque d’arythmie cardiaque. Par conséquent, ces associations sontcontre-indiquées (voir rubrique 4.3).

Associations déconseillées
+ Alcool

Majoration par l'alcool de l'effet sédatif des antihistaminiques H1.L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhiculeset l'utilisation de machines.

Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant del'alcool.

Associations faisant l'objet de précautions d’emploi

Médicaments susceptibles d’induire une bradycardie et unehypokaliémie.

L’hydroxyzine est métabolisée par l’alcool déshydrogénase et lesCYP3A4/5 et une augmentation de la concentration sanguine en hydroxyzine peutêtre attendue lorsque l’hydroxyzine est co-administrée avec des médicamentsconnus pour être de puissants inhibiteurs de ces enzymes.

Associations à prendre en compte
+ Autres dépresseurs du système nerveux central

Dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements desubstitution), benzodiazépines ; anxiolytiques autres que benzodiazépines ;barbituriques ; hypnotiques ; neuroleptiques ; antidépresseurs sédatifs ;antihypertenseurs centraux ; baclofène ; thalidomide.

Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peutrendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.

+ Atropine et autres substances atropiniques

Antidépresseurs imipraminiques, antiparkinsoniens anticholinergi­ques,antispas­modiques atropiniques, disopyramide, neuroleptiques­phénothiazini­ques.

Addition des effets indésirables atropiniques à type de rétentionurinaire, constipation, sécheresse de la bouche…

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence un effettératogène.

En clinique, l'analyse d'un nombre élevé de grossesses exposées n'aapparemment révélé aucun effet malformatif particulier de l'hydroxyzine­.Toutefois, seules des études épidémiologiques permettraient de vérifierl'absence de risque.

En conséquence, l'utilisation de l'hydroxyzine ne doit être envisagée aucours du premier trimestre de la grossesse que si nécessaire.

Chez les nouveau-nés dont les mères ont pris de l’hydroxyzine en fin degrossesse et/ou pendant l'accouchement, les effets suivants ont été observésimmédi­atement ou quelques heures après la naissance : une hypotonie, desmouvements anormaux comprenant des troubles extrapyramidaux, des mouvementsclo­niques, une dépression du SNC, des troubles hypoxiques, une rétentionurinaire.

Allaitement

En l'absence de données sur le passage de l'hydroxyzine dans le laitmaternel, et compte tenu des propriétés sédatives et atropiniques de cettesubstance, l'allaitement est déconseillé lors d'un traitement à based’hydroxyzine.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

ATARAX peut provoquer une somnolence. Il importe d'en tenir compte chez lesconducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, chez lesquelsl'asso­ciation à d'autres médicaments sédatifs est par ailleursdécon­seillée. Si la durée de sommeil est insuffisante, le risqued'altération de la vigilance est encore accru.

4.8. Effets indésirables

Les effets indésirables d'ATARAX sont principalement liés à son action surle système nerveux central, à ses effets anticholinergiques et aux réactionsd'hy­persensibilité qu'il peut provoquer.

Lors d'études contrôlées versus placebo, les événements indésirables,quelle qu'en soit l'imputabilité, dont la fréquence était supérieure ouégale à 1 % au cours du traitement per os par l'hydroxyzine ont été lessuivants :

Evénements indésirables

% de patients

Hydroxyzine (N = 735)

Placebo (N = 630)

Somnolence

13,74

2,70

Céphalées

1,64

1,90

Fatigue

1,36

0,63

Sécheresse buccale

1,22

0,63

Les effets indésirables rapportés depuis sa commercialisation sont :

Réactions cutanées

· érythème, prurit, éruption maculo-papulaire, eczéma ; très rarement :érythème pigmenté fixe, pustulose exanthématique aiguë généralisée,der­matoses bulleuses incluant syndromes de Stevens Johnson/ nécrolyseépider­mique toxique et/ou syndrome de Lyell, érythème polymorphe).

Manifestations allergiques

· urticaire ; plus rarement bronchospasme, œdème de Quincke, réactionanaphy­lactoïde.

Effets psychiatriques

· confusion, plus rarement excitation, hallucinations, désorientation.

Effets neurologiques

· rarement convulsions, dyskinésies, perte de connaissance (syncope),trem­blements, vertiges, insomnie.

Effets ophtalmologiques

· troubles de l'accommodation.

Effets cardiaques

· tachycardie, fréquence indéterminée : arythmies ventriculaires (par ex.torsade de pointes), allongement de l’intervalle QT (voir rubrique 4.4).

Effets vasculaires

· Hypotension.

Affections hépatobiliaires

· fréquence indéterminée : hépatite, augmentation des enzymeshépatiques : transaminases, phosphatases alcalines, gamma-GT et de labilirubine.

Effets gastro-intestinaux

· nausées, constipation, vomissements.

Effets urologiques

· rétention urinaire.

Troubles généraux et conditions du site d’administration

· Malaise, pyrexie.

Investigations

· Fréquence indéterminée : prise de poids

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

Les symptômes observés en cas de surdosage important incluent : nausées,vomis­sements, tachycardie, somnolence, troubles de l'accommodati­on,tremblemen­ts, confusion, hallucinations et parfois, troubles de la conscience,voire coma, dépression respiratoire, convulsions, hypotension, troubles durythme cardiaque comprenant bradycardie, voire arrêt cardio-respiratoire.

Il faut toujours penser à une poly-intoxication médicamenteuse.

Une surveillance des fonctions vitales, notamment cardiaque avec unenregistrement ECG, et, si nécessaire, un traitement symptomatique devrontêtre mis en place en milieu spécialisé.

Le vomissement sera provoqué s'il ne survient pas spontanément. Un lavagegastrique immédiat est également conseillé.

Il n'y a pas d'antidote spécifique.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : ANXIOLYTIQUES, code ATC : NO5BB01, (N :Système nerveux central).

L'hydroxyzine est un dérivé de la pipérazine non apparenté chimiquementaux phénothiazines et aux benzodiazépines.

Mécanisme d’action

L'hydroxyzine est un antihistaminique antagoniste des récepteurs H1 centrauxet périphériques présentant des propriétés anticholinergiques.

Efficacité et sécurité clinique

L'hydroxyzine a montré son efficacité chez l'homme dans l'urticaire.

L'hydroxyzine présente un effet sédatif mis en évidence par desenregistrements EEG chez des volontaires sains.

L'hydroxyzine présente une activité sur les symptômes mineursd'anxiété.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Absorption

L'hydroxyzine est rapidement absorbée par le tractus gastro-intestinal. Lepic plasmatique est obtenu environ 2 heures après la prise d'une forme orale(sirop, comprimé). Après administration orale de 25 et 50 mg, laconcentration maximale plasmatique (Cmax) est de 30 et 70 ng/mlrespec­tivement. Les concentrations sont augmentées d'environ 30 % aprèsadministration répétée.

Distribution

L'hydroxyzine présente une large diffusion avec un volume apparent dedistribution d'environ 16 l/kg chez l'adulte. L'hydroxyzine diffuse au niveaucutané et traverse la barrière hémato-encéphalique.

Biotransformation

L'hydroxyzine subit un important effet de premier passage hépatique.

L'hydroxyzine est fortement métabolisée, par oxydation, en différentsméta­bolites dont la cétirizine, métabolite actif. Les autres métabolites quiont été mis en évidence sont notamment des dérivés O- ouN-désalkylés.

Élimination

La clairance totale est de 10 ml/min/kg chez le sujet sain et 32 ml/min/kgchez l'enfant. Selon les études, la demi-vie d'élimination de l'hydroxyzineest d'environ 13 à 20 heures chez l'adulte, et de 29 heures chez le sujetâgé, expliquant la nécessité d'une adaptation posologique chez cedernier.

Populations particulières
Population pédiatrique

Chez l'enfant, la cinétique de l'hydroxyzine se modifie au cours dudéveloppement : la demi-vie d'élimination est d'environ 4 heures à 1 an, etd'environ 11 heures à 14 ans.

De ce fait, une adaptation posologique est nécessaire chez l'enfant.

Insuffisant hépatique

Chez l'insuffisant hépatique, la demi-vie d'élimination de l'hydroxyzineest augmentée à environ 37 heures.

Chez l'insuffisant rénal, la demi-vie d'élimination de l'hydroxyzine estpeu modifiée, mais la clairance rénale de la cétirizine est trèsralentie.

Une adaptation posologique est donc nécessaire en cas d'insuffisance­hépatique ou rénale sévère.

5.3. Données de sécurité préclinique

Les études de reproduction chez l'animal ont montré un effet tératogèneà des doses supérieures aux doses thérapeutiques chez l'homme.

Les données précliniques ne montrent pas de risque particulier pour l'hommesur la base des études de toxicité à dose unique et doses répétées.

Le test d'AMES n'a révélé aucun effet mutagène.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Ethanol à 95°, saccharose, benzoate de sodium, lévomenthol, arômenoisette, eau purifiée.

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

2 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation

A conserver à une température ne dépassant pas 25°C.

Conserver le conditionnement primaire dans l'emballage extérieur à l'abride la lumière.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

75 ml, 125 ml, 150 ml ou 200 ml en flacon (verre brun) avec 1 seringuepour administration orale (Polyéthylène/Po­lystyrène).

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d’exigences particulières pour l’élimination.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

UCB PHARMA S.A.

DEFENSE OUEST

420 RUE D’ESTIENNE D'ORVES

92700 COLOMBES

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 334 664 4 2 : 75 ml en flacon (verre brun) avec 1 seringue pouradministration orale (Polyéthylène/Po­lystyrène).

· 34009 334 665 0 3 : 125 ml en flacon (verre brun) avec 1 seringue pouradministration orale (Polyéthylène/Po­lystyrène).

· 34009 334 663 8 1 : 150 ml en flacon (verre brun) avec 1 seringue pouradministration orale (Polyéthylène/Po­lystyrène).

· 34009 300 814 3 3 : 200 ml en flacon (verre brun) avec 1 seringue pouradministration orale (Polyéthylène/Po­lystyrène).

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I

La durée de prescription de ce médicament ne peut dépasser12 semaines.

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