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ATROVENT NASAL 0,03 POUR CENT, solution nasale en flacon pulvérisateur - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - ATROVENT NASAL 0,03 POUR CENT, solution nasale en flacon pulvérisateur

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

ATROVENT NASAL 0,03 POUR CENT, solution nasale en flacon pulvérisateur

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Bromure d'ipratropium­hydraté......­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.......0,03131 g

Quantité correspondant à bromured'ipra­tropium......­.............­.............­.............­.............­.......0,03000 g

Pour 100 ml.

Chaque pulvérisation délivre 70 µl, soit 21 µg de bromured'ipra­tropium.

Excipient(s) à effet notoire : chlorure de benzalkonium 25 mg pour 100 mlde solution (voir rubrique 4.4).

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Solution pour pulvérisation nasale.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Traitement symptomatique de la rhinorrhée séro-muqueuse des rhinitesvasomo­trices non infectées non allergiques.

Traitement d'appoint de la rhinorrhée séro-muqueuse des rhinitesallergiques non infectées.

4.2. Posologie et mode d'administration

Posologie

Réservé à l'adulte :

2 pulvérisations (42 µg) dans chaque narine, 2 à 3 fois par jour.

Mode d’administration

Se moucher avant chaque administration.

L'embout nasal devra être nettoyé avant et après chaque utilisation.

4.3. Contre-indications

Hypersensibilité à la substance active, à l’atropine ou ses dérivés ouà l’un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1

Rhinites infectieuses (risque de sinusite favorisée par l'assèchement de lapituitaire).

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Mises en garde spéciales

Il n'existe aucun bénéfice thérapeutique à multiplier le nombre de prisespar jour.

En l'absence de données chez l'enfant, l'ATROVENT NASAL 0,03%, solutionnasale en flacon pulvérisateur, ne doit pas être utilisé chez l'enfant demoins de 15 ans.

Ce médicament contient 3,75 mg de chlorure de benzalkonium par flacon de15 ml : cela peut provoquer des irritations ou un œdème de la muqueuse nasaleparticu­lièrement dans le cas d’une utilisation à long terme, et une gênerespiratoire.

En raison de son activité anticholinergique, la projection accidentelled'i­pratropium dans l'oeil provoque une mydriase par effet parasympatholytique etexpose les sujets prédisposés à un risque de crise aiguë de glaucome parfermeture de l'angle.

L’apparition de signes de glaucome par fermeture de l’angle (douleur ougêne oculaire, vision trouble, perception d’images colorées, rougeurconjon­ctivale, congestion de la cornée) nécessite l’interruption dutraitement et un avis médical spécialisé immédiat.

Précaution d’emploi

En cas d’infection bactérienne, le risque de survenue de sinusite estfavorisé par l’assèchement de la pituitaire lié à l’administration duproduit.

Le traitement par le bromure d’ipratropium doit être prescrit avecprudence chez les personnes âgées, notamment chez les sujets masculinsprésentant des antécédents d’obstruction des voies urinaires (par exemple,un adénome prostatique ou une obstruction urétrale).

Le bromure d’ipratropium sera utilisé avec prudence chez les patientsatteints de mucoviscidose plus souvent sujets à des troubles de la motilitégastro-intestinale.

Les patients doivent être formés à une utilisation correcte d’ATROVENTNASAL 0,03%, solution nasale en flacon pulvérisateur.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Associations à prendre en compte

+ Médicaments atropiniques

Il faut prendre en compte le fait que les substances atropiniques peuventadditionner leurs effets indésirables et entraîner plus facilement unerétention urinaire, une poussée aiguë de glaucome, une constipation, unesécheresse de la bouche, etc…

Les divers médicaments atropiniques sont les antidépresseur­simipraminiqu­es, les antihistaminiques H1 atropiniques, les antiparkinsoni­ensanticholiner­giques, les antispasmodiques atropiniques, le disopyramide, lesneuroleptiques phénothiaziniques ainsi que la clozapine.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effettératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effetmalformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour,les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sontrévélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduitessur deux espèces.

Les études précliniques réalisées avec l’ipratropium n’ont pas mis enévidence d’effet néfaste sur la fécondité (voir rubrique 5.3). Lesdonnées cliniques sur la fécondité ne sont pas disponibles pourl’ipratropium.

En clinique, aucun effet malformatif ou fœtoxique particulier n’est apparuà ce jour. Toutefois, le suivi de grossesses exposées au bromured’ipra­tropium est insuffisant pour exclure tout risque.

En conséquence, l’utilisation du bromure d’ipratropium ne doit êtreenvisagée au cours de la grossesse que si nécessaire. En casd’administration en fin de grossesse, tenir compte des répercussionspos­sibles pour le nouveau-né des propriétés atropiniques de cettemolécule.

Allaitement

En l’absence de données sur le passage dans le lait de l’ipratropium, etcompte tenu de ses propriétés atropiniques son utilisation est déconseilléedurant l’allaitement sauf nécessité absolue.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

Les effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines n’ont pas été étudiés. Toutefois, les patients doivent êtreinformés de la survenue possible d’effets indésirables à type de sensationverti­gineuse, troubles de l’accommodation, mydriase et vision trouble au coursdu traitement par ATROVENT®. Par conséquent, il convient de faire preuve deprudence lors de la conduite d’un véhicule ou de l’utilisation d’unemachine. En cas d’apparition des effets indésirables mentionnéspré­cédemment, les patients doivent éviter les tâches potentiellemen­tdangereuses, comme conduire ou utiliser des machines.

4.8. Effets indésirables

Un grand nombre d’effets indésirables listés peuvent être attribués auxpropriétés anticholinergiques d’ATROVENT NASAL 0,03%, solution nasale enflacon pulvérisateur. Comme tous les traitements par voie topique, ATROVENTNASAL 0,03%, solution nasale en flacon pulvérisateur peut engendrer dessymptômes d'irritation locale. Les effets indésirables ont été identifiésà partir des données obtenues d’essais cliniques et de pharmacovigilan­cedurant l'utilisation du médicament après sa mise sur le marché.

Les effets indésirables les plus fréquemment signalés lors des essaiscliniques étaient l’épistaxis, la sécheresse nasale, les céphalées, lagêne nasale et l’irritation de la gorge.

Les effets indésirables ont été classés en fonction de leur fréquence enutilisant la classification suivante :

Très fréquent (≥ 1/10) ; fréquent (≥ 1/100, < 1/10) ; peu fréquent(≥ 1/1000, < 1/100) ; rare (≥ 1/10000, < 1/1000) ; très rare (<1/10000) ; fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base desdonnées disponibles).

Terme usuel MedDRA

Fréquence

Affections du système immunitaire

Hypersensibilité

Réaction anaphylactique

Peu fréquent

Peu fréquent

Affections du système nerveux

Céphalées

Sensations vertigineuses

Fréquent

Peu fréquent

Affections oculaires

Troubles de l’accommodation visuelle

Mydriase

Douleur oculaire

Augmentation de la pression intraoculaire

Glaucome par fermeture de l’angle

Vision trouble

Vision de halo

Hyperémie conjonctivale

Œdème cornéen

Peu fréquent

Peu fréquent

Peu fréquent

Peu fréquent

Peu fréquent

Peu fréquent

Peu fréquent

Peu fréquent

Peu fréquent

Troubles cardiaques

Tachycardie supraventriculaire

Fibrillation auriculaire

Tachycardie

Palpitations

Peu fréquent

Peu fréquent

Peu fréquent

Rare

Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales

Epistaxis

Sécheresse nasale

Irritation pharyngée

Gêne nasale

Bronchospasme

Laryngospasme

Œdème pharyngé

Sécheresse de la gorge

Fréquent

Fréquent

Fréquent

Fréquent

Peu fréquent

Peu fréquent

Peu fréquent

Peu fréquent

Affections gastro-intestinales

Sécheresse buccale

Nausées

Troubles de la motilité gastro-intestinale (constipation, diarrhée,vomis­sement)

Oedème buccal

Stomatite

Peu fréquent

Peu fréquent

Peu fréquent

Peu fréquent

Peu fréquent

Affections de la peau et du tissu sous-cutané

Rash

Œdème de Quincke

Prurit

Urticaire

Peu fréquent

Peu fréquent

Rare

Rare

Affections du rein et des voies urinaires

Rétention urinaire

Peu fréquent

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

La répétition abusive des inhalations peut favoriser l'apparition d'effetsindési­rables, notamment sécheresse de la bouche, troubles del’accommodation, tachycardie.

Conduite à tenir : traitement symptomatique des troubles.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : bronchodilatateur anticholinergique parvoie nasale, code ATC : R03BB01.

Le bromure d'ipratropium est un ammonium quaternaire dérivé del’atropine. Il exerce un effet anticholinergique par action antagonistemus­carinique. Il réduit directement la sécrétion des glandes nasalesmuqueuses et séro-muqueuses, en particulier en cas d'hypersécrétion.

Dans une étude de 8 semaines menée chez des adultes atteints de rhiniteallergique, des doses allant jusqu’à 168 mcg/narine 2 fois par jour ontété bien tolérées et efficaces, avec un début d’action plus rapide.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

L’ipratropium est une amine quaternaire, qui est rapidement mais faiblementabsorbée depuis la muqueuse nasale. Chez des volontaires sains, moins de 10 %d’une dose administrée par voie nasale ont été excrétés sous formeinchangée dans l’urine sur 24 heures.

La quantité absorbée après administration par voie inhalée est minime etles taux sériques faibles correspondraient à l’absorption intestinalepar­tielle de la fraction déglutie très faiblement absorbée par voiedigestive. Après administration orale, cette absorption peut être évaluéeentre 15 et 30 % de la quantité administrée.

La fixation aux protéines plasmatiques est inférieure à 20 %.

La demi-vie d’élimination est de l’ordre de 3,5 à 4 heures.L’ex­crétion se fait essentiellement par voie urinaire.

Après administration par voie inhalée, le passage de la barrièrehémato-encéphalique est très faible.

L’absorption systémique de l’ipratropium à travers la muqueuse nasaleinflamma­toire, telle qu’elle est estimée à partir de l’excrétion rénalede l’ipratropium sur 24 heures, n’a pas été modifiée par un rhume induitexpérimen­talement. Après une dose unique ou une administration 4 fois parjour, 6 à 8 % de l’ipratropium ont été excrétés sous forme inchangéechez des volontaires sains comme chez des volontaires infectés. Aprèsadministration chronique chez des patients atteints de rhinite, la quantitéd’ipra­tropium inchangé excrétée dans l’urine sur une période de24 heures à l’équilibre était de 4 à 6 % de la dose. Si l’on appliquela valeur trouvée dans la littérature de 50 % de la dose excrétée dansl’urine après une administration intraveineuse, la biodisponibilité estiméede l’ipratropium après administration nasale est inférieure à 20 %.

Les paramètres cinétiques décrivant le sort de l’ipratropium ont étécalculés à partir des concentrations plasmatiques aprèsadministra­tion i.v.

Une baisse biphasique rapide des concentrations plasmatiques est observée.Le volume de distribution apparent à l’équilibre (Vdss) est d’environ176 l (2,4 l/kg). Le médicament se lie de manière minimale (moins de 20 %)aux protéines plasmatiques. L’amine quaternaire ipratropium ne traverse pasla barrière hématoencéphalique.

La demi-vie de la phase d’élimination terminale est d’environ1,6 heure.

L’ipratropium présente une clairance totale de 2,3 l/min et une clairancerénale de 0,9 l/min. Après administration intraveineuse, environ 60 % de ladose sont métabolisés, probablement la majeure partie dans le foie paroxydation.

Dans une étude du bilan d’excrétion, l’excrétion rénale cumulée(6 jours) de la radioactivité liée au médicament (incluant le composéparent et tous ses métabolites) a représenté 72,1 % après administratio­nintraveineuse, 9,3 % après administration orale et 3,2 % après inhalation.La radioactivité totale excrétée via les selles était de 6,3 % aprèsadministration intraveineuse, de 88,5 % après administration orale et de69,4 % après inhalation. L’excrétion dominante de la radioactivité liéeau médicament se produit donc via les reins. Les principaux métabolitesuri­naires se lient peu aux récepteurs muscariniques et doivent êtreconsidérés comme inefficaces.

5.3. Données de sécurité préclinique

La tolérance locale et systémique du bromure d’ipratropium a étéétudiée de manière approfondie dans plusieurs espèces animales, en utilisantdiverses voies d’administration. La toxicité aiguë par inhalation,ad­ministration orale et administration intraveineuse a été évaluée dansplusieurs espèces de rongeurs et de non-rongeurs.

En cas d’inhalation, la dose létale minimale chez le cochon d’Inde mâleest de 199 mg/kg. Chez le rat, aucune mortalité n’a été observéejusqu’aux doses les plus élevées techniquement possibles (c’est-à-dire0,05 mg/kg après 4 h d’administration ou 160 bouffées de bromured’ipra­tropium, 0,02 mg/bouffée). Les valeurs de DL50 orale chez la souris,le rat et le lapin sont respectivement de 1 585, 1 925 et 1 920 mg/kg. LaDL50 intraveineuse chez la souris, le rat et le chien est, respectivement, de13,6, 15,8 et environ 18,2 mg/kg. Les signes cliniques incluent une mydriase,une sécheresse de la muqueuse buccale, une dyspnée, des tremblements, desspasmes et/ou une tachycardie. Des études de toxicité à dose répétée ontété menées chez des rats, des lapins, des chiens et des singes Rhésus.

Dans les études d’inhalation d’une durée allant jusqu’à 6 mois chezdes rats, des chiens et des singes Rhésus, la NOAEL (dose sans effetindésirable observé) était de respectivement 0,38 mg/kg/jou­r,0,18 mg/kg/jour et 0,8 mg/kg/jour. Une sécheresse de la muqueuse buccale etune tachycardie ont été notées chez les chiens. Aucune lésionhistopat­hologique liée à la substance n’a été observée dans l’appareilbron­chopulmonaire ni aucun autre organe. Chez le rat, la NOAEL après 18 moisd’admi­nistration orale était de 0,5 mg/kg/jour.

Des études de toxicité de l’inhalation à dose répétée, d’une duréeallant jusqu’à 6 mois chez des rats et 3 mois chez des chiens, utilisantd’autres formulations (intranasale, avec propulseur HFA 134a et avec poudre delactose) n’ont révélé aucune information supplémentaire sur le profilgénéral de toxicité du bromure d’ipratropium. L’administrati­onintranasale pendant une durée allant jusqu’à 6 mois a révélé une NOEL(dose sans aucun effet) > 0,20 mg/kg/jour chez les chiens et a confirmé deprécédentes études portant sur une administration intranasale pendant unedurée allant jusqu’à 13 semaines. Des études de toxicité à doserépétée du bromure d’ipratropium ont montré que les profils toxicologiquesde la formulation au HFA et de la préparation classique au CFC sontsimilaires.

Une solution aqueuse de bromure d’ipratropium (0,05 mg/kg) a été bientolérée localement lors de l’administration à des rats par inhalation(ad­ministration unique sur 4 h). Dans les études de toxicité à doserépétée, le bromure d’ipratropium a été bien toléré localement.

Aucune anaphylaxie active ni réaction anaphylactique cutanée passive n’aété démontrée chez des cochons d’Inde. Il n’a pas été observé degénotoxicité in vitro (test d’Ames), ni in vivo (test du micronoyau, testlétal dominant chez la souris, essai cytogénétique sur des cellules de moelleosseuse de hamsters chinois). Aucun effet tumorigène ni carcinogène n’aété démontré lors d’études à long terme chez des souris etdes rats.

Des études visant à explorer l’influence possible du bromured’ipra­tropium sur la fertilité, la toxicité embryonnaire et fœtale et ledéveloppement péri-/postnatal ont été conduites chez des souris, des rats etdes lapins.

Des niveaux de dose orale élevés, c’est-à-dire de 1 000 mg/kg/j­ourchez le rat et de 125 mg/kg/jour chez le lapin, ont été associés à unetoxicité maternelle dans les deux espèces et à une toxicitéembry­onnaire/fœtale chez le rat, où le poids des fœtus a été réduit. Iln’a pas été observé de malformations liées au traitement.

Les doses les plus élevées techniquement possibles pour l’inhalation aumoyen de l’aérosol doseur, de 1,5 mg/kg/jour chez les rats et de1,8 mg/kg/jour chez les lapins, n’ont été associées à aucun effetindésirable sur la reproduction.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Chlorure de sodium, chlorure de benzalkonium, dihydrate d’édétate desodium, acide chlorhydrique, eau purifiée.

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

2 ans

6.4. Précautions particulières de conservation

Pas de précautions particulières de conservation.

La solution nasale est stable 1 an après ouverture.

Ne pas exposer à une chaleur excessive.

Ne pas congeler.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

Flacon pulvérisateur (verre brun) de 15 ml avec valve doseuse délivrant70 µl.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

1. Oter le capuchon protecteur en plastique clair.

2. Avant la première utilisation d'ATROVENT NASAL, il faut amorcer lavalve. Pour ce faire, placer le pouce sur le fond de la cartouche et l'index etle majeur sur l'épaulement blanc. S'assurer que le flacon est en positionverticale et qu'il n'est pas dirigé vers les yeux. Appuyer fermement etrapidement avec le pouce à sept reprises. La valve est alors amorcée. Il nesera plus nécessaire de la réamorcer, sauf en cas de non utilisation pendantplus de 24 heures. Le réamorçage ne nécessite qu'une ou deux pressions.

3. Avant de pulvériser ATROVENT NASAL, se moucher doucement pour éliminerles sécrétions nasales.

4. Boucher une narine en appuyant doucement avec un doigt sur l'aile du nez.Incliner légèrement la tête en avant et, tout en maintenant le flacon biendroit, insérer l'embout nasal dans l'autre narine. Diriger l'embout vers lefond et la face externe du nez.

5. Appuyer fermement et rapidement avec le pouce sur le fond de lacartouche, l'index et le majeur étant placés de part et d'autre del'épaulement blanc. Après chaque bouffée, inspirer profondément puis expirerpar la bouche.

6. Après la pulvérisation, sortir l'embout de la narine et pencher latête en arrière pendant quelques secondes afin de laisser le produit diffuserdans le fond du nez.

7. Répéter les étapes 4 à 6 dans l'autre narine.

8. Remettre en place le capuchon protecteur en plastique clair.

9. Nettoyage du flacon : l'embout nasal doit, par mesure d'hygiène, êtrenettoyé régulièrement. Oter le capuchon protecteur clair. Nettoyer l'emboutsous le robinet d'eau tiède pendant environ une minute. Sécher l'embout,réamorcer la valve puis remettre le capuchon protecteur.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

EG LABO- LABORATOIRES EUROGENERICS

CENTRAL PARK

9–15, RUE MAURICE MALLET

92130 ISSY-LES-MOULINEAUX

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 339 275 6 1 : 1 flacon pulvérisateur (verre brun) de 15 ml avecvalve doseuse.

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I

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