Résumé des caractéristiques - AZANTAC INJECTABLE 50 mg/2 ml, solution injectable en ampoule
1. DENOMINATION DU MEDICAMENT
AZANTAC INJECTABLE 50 mg/2 ml, solution injectable en ampoule
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Chlorhydrate deranitidine...................................................................................................56,00 mg
Quantité correspondant à ranitidinebase.............................................................................50,00 mg
Pour une ampoule.
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
3. FORME PHARMACEUTIQUE
Solution injectable.
Solution limpide, incolore à jaune pâle.
4. DONNEES CLINIQUES
4.1. Indications thérapeutiques
Adultes· Ulcère gastrique ou duodénal évolutif.
· Syndrome de Zollinger-Ellison.
· Hémorragies de la maladie ulcéreuse gastro-duodénale.
· Lésions gastro-duodénales liées au stress.
Enfants et nourrissons (de 6 mois à 18 ans)· Traitement à court terme des ulcères gastriques ou duodénaux.
· Traitement du reflux gastro-œsophagien, y compris les œsophagites parreflux et le soulagement des symptômes liés au reflux gastro-œsophagien.
4.2. Posologie et mode d'administration
PosologieAdultes
En injection intramusculaire (IM) : 1 à 4 ampoules à 50 mg répartiessur le nycthémère.
En injection intraveineuse (IV) lente (au moins 2 minutes), après dilutiond'une ampoule à 50 mg dans 20 ml de solution injectable : 1 à 4 ampoulesà 50 mg réparties sur le nycthémère.
En perfusion IV : 0,125 à 0,250 mg/kg/heure.
Si nécessaire, le relais sera pris par les comprimés dès que possible.
Les doses peuvent être augmentées dans les états hypersécrétoires(syndrome de Zollinger-Ellison).
Insuffisants rénaux :
Chez les patients ayant une insuffisance rénale (clairance de la créatineinférieure à 50 ml/min), il se produit une accumulation de ranitidineconduisant à une élévation des concentrations plasmatiques. Il estrecommandé d’administrer des doses de 25 mg chez ces patients.
Enfants (de 12 à 18 ans)
En injection IV lente (au moins 2 minutes), après dilution d'une ampoule de50 mg dans 20 ml de solution injectable : 1 à 4 ampoules de 50 mgréparties sur le nycthémère.
Enfants et nourrissons (de 6 mois à 11 ans)
Voir rubrique 5.2. Propriétés pharmacocinétiques – Populationsspéciales de patients.
Azantac injectable peut être administré en injection IV lente (au moins2 minutes) avec un maximum de 50 mg toutes les 6 à 8 heures.
Traitement à court terme des ulcères gastriques ou duodénaux et Traitementdu reflux gastro-œsophagien
Le traitement par voie intraveineuse chez l’enfant atteint de maladieulcéreuse est indiqué uniquement lorsqu’un traitement par voie orale n’estpas possible.
Pour le traitement à court terme des ulcères gastriques ou duodénaux et letraitement du reflux gastro-œsophagien chez l’enfant, Azantac injectable peutêtre administré à des doses qui se sont montrées efficaces chez l’adultedans le traitement de ces pathologies et efficaces dans la diminution de lasécrétion acide chez l’enfant sévèrement atteint. La dose initiale(2,0 mg/kg ou 2,5 mg/kg, avec un maximum de 50 mg) peut être administrée eninjection intraveineuse lente sur 10 minutes, soit à l’aide d’une seringueélectrique suivie d’un rinçage par 3 ml de sérum physiologique pendant5 minutes, soit après dilution dans 20 ml de sérum physiologique. Unmaintien du pH > 4 peut être atteint par perfusion intermittente de1,5 mg/kg toutes les 6 à 8 heures. Le traitement peut également êtreadministré de manière continue, à l’aide d’une dose de charge de0,45 mg/kg suivie d’une perfusion continue de 0,15 mg/kg/heure.
Nouveau-né (moins d’un mois)
Voir rubrique 5.2. Propriétés pharmacocinétiques – Populationsspéciales de patients.
Patients âgés de 50 ans et plus
Voir rubrique 5.2 Propriétés pharmacocinétiques- Populations spécialesde patient
Mode d’administrationSans objet.
4.3. Contre-indications
Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipientsmentionnés à la rubrique 6.1.
4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi
L’utilisation par voie i.v. de doses d’antagonistes H2 supérieures àcelles recommandées a été associée à une élévation des enzymeshépatiques lorsque le traitement a été prolongé au-delà de cinq jours.
Une bradycardie lors de l'administration rapide de ranitidine a étérarement rapportée, en général, chez des patients ayant des facteursprédisposant à des troubles du rythme cardiaque. Les vitesses d'administrationrecommandées ne doivent pas être dépassées.
La possibilité de malignité de la lésion devra être exclue avant touteinstauration de traitement chez les patients présentant un ulcère gastrique ;le traitement par la ranitidine pouvant masquer les symptômes d’un carcinomegastrique.
La ranitidine est éliminée par voie rénale, aussi les taux plasmatiques dumédicament augmentent chez les patients présentant une insuffisance rénale.En cas d’insuffisance rénale, la posologie doit être ajustée (voirrubrique 4.2).
De rares rapports cliniques suggèrent que la ranitidine peut précipiter descrises de porphyrie aiguë. Il convient donc de s'abstenir d'utiliser cemédicament chez les personnes ayant des antécédents de porphyrie aiguë.
Chez les patients tels que les sujets âgés, les sujets atteints d’unemaladie pulmonaire chronique, de diabète ou immunodéprimés, il pourrait yavoir un risque accru de développer une pneumonie communautaire acquise.
Une large étude épidémiologique a montré une augmentation du risque dedévelopper une pneumonie communautaire acquise chez les sujets prenant de laranitidine seule en comparaison avec ceux qui avaient arrêté le traitement,avec un risque relatif ajusté de 1,82 (95% IC 1,26–2,64).
Ce médicament contient du potassium. Le taux de potassium est inférieur à1 mmol par ampoule, c’est-à-dire « sans potassium ».
Ce médicament contient du sodium. Le taux de sodium est inférieur à1 mmol par ampoule, c’est-à-dire « sans sodium ».
4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions
Associations déconseillées+ Posaconazole
Diminution de l’absorption de l’azolé antifongique, par augmentation dupH intragastrique par l’antisécrétoire.
Associations à prendre en compte+ Atazanavir
Risque de diminution des concentrations plasmatiques de l’atazanavir.
+ Itraconazole
Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pHintragastrique par l'antisécrétoire.
+ Kétoconazole
Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pHintragastrique par l'antisécrétoire.
+ Cyanocobalamine
Risque de carence en cyanocobalamine après traitement prolongé (quelquesannées), la réduction de l’acidité gastrique par ces médicaments pouvantdiminuer l’absorption digestive de la vitamine B12.
+ Inhibiteurs des tyrosine kinases
Risque de diminution de la biodisponibilité de l’inhibiteur de tyrosinekinases, en raison de son absorption pH-dépendante.
+ Ulipristal
Risque de diminution de l’effet de l’ulipristal, par diminution de sonabsorption.
+Erlotinib
L’administration concomitante de 300 mg de ranitidine et d’erlotinib adiminué l’exposition (ASC) et les concentrations maximales d’erlotinib(Cmax) de 33% et 54%, respectivement. Cependant, lorsque l’erlotinib étaitadministré de façon décalée, 2 heures avant ou 10 heures après la prisede ranitidine 150 mg 2 fois par jour, l’exposition (ASC) et lesconcentrations maximales (Cmax) d’erlotinib n’ont diminué respectivementque de 15% et 17%.
4.6. Fertilité, grossesse et allaitement
GrossesseLa ranitidine traverse le placenta. En clinique, les données sur un grandnombre de femmes enceintes exposées (plus de 1000 issues de grossesses) à laranitidine n’indique aucun effet malformatif ni foetotoxique.
Azantac peut être utilisé au cours de la grossesse si nécessaire.
AllaitementLa ranitidine est excrétée dans le lait mais sa demi-vie d’éliminationest courte (environ 3 heures).
Aucun effet indésirable n’a été rapporté chez l’enfant allaité.
En conséquence, Azantac peut être utilisé au cours de l’allaitement sinécessaire.
FertilitéAucune donnée sur l’effet de la ranitidine sur la fertilité chezl’Homme n’est disponible. Les études chez l’animal n’ont pas mis enévidence d’effet sur la fertilité des mâles et des femelles (voirrubrique 5.3).
4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines
Sans objet.
4.8. Effets indésirables
Les effets indésirables sont classés par fréquence, en utilisant laclassification suivante : très fréquents (≥1/10) ; fréquents (≥1/100 à< 1/10) ; peu fréquents (≥1/1000 à < 1/100) ; rares (≥1/10000 à< 1/1000), très rares (<1/10000), fréquence indéterminée (ne peutêtre estimée sur la base des données disponibles).
Les fréquences des effets indésirables ont été estimées à partir desnotifications spontanées après commercialisation.
Affections hématologiques et du système lymphatiqueTrès rares : modifications de la numération formule sanguine (leucopénieset thrombocytopénies) généralement réversibles ; agranulocytose oupancytopénie, avec parfois hypoplasie ou aplasie médullaire.
Affections du système immunitaireRares : réactions d'hypersensibilité (urticaire, œdème angioneurotique(œdème de Quincke), fièvre, bronchospasme, hypotension et douleurthoracique).
Très rare : choc anaphylactique.
Fréquence indéterminée : dyspnée.
Ces effets ont été rapportés après administration d'une dose unique deranitidine.
Affections psychiatriquesTrès rares : confusion mentale réversible, dépression et hallucinationsrapportées principalement chez les sujets très malades, les sujets âgés etles sujets présentant une néphropathie.
Affections du système nerveuxTrès rares : céphalées (parfois sévères), sensations vertigineuses etmouvements involontaires réversibles.
Affections oculairesTrès rare : vision floue réversible, suggérant dans certains cas unemodification de l’accommodation.
Affections cardiaquesTrès rares : comme avec d’autres antagonistes des récepteurs H2,bradycardie, bloc auriculo-ventriculaire et tachycardie et asystolie.
Affections vasculairesTrès rare : vascularite.
Affections gastro-intestinalesPeu fréquents : douleurs abdominales, constipation, nausées (la plupart deces symptômes s’améliorent en poursuivant le traitement)
Très rares : pancréatite aiguë, diarrhée.
Affections hépatobiliairesRares : changements transitoires et réversibles des tests de la fonctionhépatique.
Très rare : hépatite (cytolytique, cholestatique ou mixte) avec ou sansictère habituellement réversible.
Affections de la peau et du tissu sous-cutanéRare : éruption cutanée.
Très rares : érythème polymorphe, alopécie.
Affections musculo-squelettiques et systémiquesTrès rares : symptômes musculo-squelettiques tels que myalgie etarthralgie.
Affections des reins et des voies urinairesRare : élévation de la créatinine plasmatique. (habituellement légère ;normalisée en poursuivant le traitement).
Très rare : néphrite aiguë interstitielle.
Affections des organes de reproduction et du seinTrès rares : impuissance réversible, gynécomastie et galactorrhée.
Population pédiatriqueLes données de sécurité d’emploi de la ranitidine ont été évaluéeschez des enfants âgés de 0 à 16 ans, ayant des troubles liés àl’acidité. La ranitidine a un profil d’effets indésirables proche de celuides adultes. Il existe peu de données de sécurité à long terme disponibles,notamment sur la croissance et le développement.
Déclaration des effets indésirables suspectésLa déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet :<ahref=„http://www.signalement-sante.gouv“>www.signalement-sante.gouv .
4.9. Surdosage
Symptômes et signesLa ranitidine a une action très spécifique et aucun problème particuliern’est attendu suite à un surdosage quelle que soit la formulation deranitidine.
TraitementUn traitement symptomatique et de soutien devra être administré sibesoin.
5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
5.1. Propriétés pharmacodynamiques
Classe pharmacothérapeutique : ANTAGONISTE DES RECEPTEURS H2, Code ATC :A02BA02.
(A : appareil digestif et métabolisme)
La ranitidine est un antagoniste des récepteurs H2 à l'histamine.
La ranitidine inhibe la sécrétion d'acide gastrique provoquée nonseulement par l'histamine, mais également par la pentagastrine, l'insuline, lacaféine ou par les aliments.
La ranitidine n'altère pas la production de mucus, n'affecte pas lasécrétion pancréatique et semble sans effet sur le sphincter inférieur del'œsophage.
Une étude conduite chez 1200 patients sous ventilation mécanique (COOK etal…) a montré que le traitement par ranitidine 50 mg en bolus IV (toutes les8 – 12 ou 24 heures selon la clairance de la créatinine) a diminué, parrapport au traitement par sucralfate 1 g (par voie orale ou par sondenasogastrique toutes les 6 heures) la survenue d'hémorragies digestives durantla période de ventilation.
Le traitement de 100 patients a permis d'éviter en moyenne2,1 hémorragies (p = 0.02) par rapport au sucralfate.
Population pédiatriqueQuelques données cliniques sur l’utilisation de la ranitidine chezl’enfant dans la prévention de l’ulcère de stress sont disponibles, maisil n’existe aucune preuve directe sur la prévention de l’ulcère de stress.Le traitement pour ces patients est basé sur l’observation d’un pHsupérieur à 4 après administration de la ranitidine. La valeur de ceparamètre de prédictif chez les enfants atteints d’ulcères de stress resteà établir.
5.2. Propriétés pharmacocinétiques
AbsorptionL'absorption de la ranitidine après injection intramusculaire est rapide :obtention du pic plasmatique en 15 minutes. La demi-vie d'élimination estd'environ 2,5 heures.
Suite à l’administration orale de 150 mg de ranitidine, lesconcentrations maximales plasmatiques (300 à 550 ng/ml) sont atteintes en1 à 3 heures. La biodisponibilité absolue de la ranitidine est de 50–60%et les concentrations plasmatiques augmentent proportionnellement jusqu’à ladose de 300 mg.
DistributionLa ranitidine est faiblement liée aux protéines circulantes (15%) et levolume de distribution est de 96 à 142L.
BiotransformationLa ranitidine est faiblement métabolisée. La fraction de la dose retrouvéedans les urines sous forme de métabolites est identique après administrationorale ou I.V. et représente 11–12% de la dose administrée.
EliminationLa diminution des concentrations plasmatiques de la ranitidine estbi-exponentielle, avec une demi-vie d’élimination terminale comprise entre2 et 3 heures. L’élimination se fait essentiellement par voie rénale.Après administration orale, l’élimination urinaire moyenne de la ranitidineest de 70% de la dose absorbée, dont 35% sous forme inchangée. Aprèsadministration I.V., l’élimination urinaire moyenne de la ranitidine est de93% de la dose absorbée, dont 70% sous forme inchangée.
La clairance rénale est approximativement de 500 ml/min, celle-ci dépassela filtration glomérulaire et indique une nette sécrétion tubulairerénale.
Populations spéciales de patientsEnfants de 6 mois et plus
Les données parcellaires de pharmacocinétiques ont montré, aprèscorrection de la masse corporelle, qu’il n'y avait pas de différencessignificatives relative à la demi-vie (comprise entre 1,7 à 2,2 h pour lesenfants de 3 ans et plus) ou à la clairance plasmatique (comprise entre 9 à22 ml/min/kg pour les enfants de 3 ans et plus) entre la populationpédiatrique et les adultes volontaires sains recevant de la ranitidine par voieIV. Les données pharmacocinétiques chez les nourrissons sont très limitéesmais semblent correspondre à celles chez les enfants plus âgés.
Nouveaux-nés (moins d’un mois)
Des données pharmacocinétiques issues de nouveaux-nés à terme sous ECMO(Oxygénateur Extra Corporel à Membrane) suggèrent que la clairanceplasmatique suivant une administration IV peut être réduite (1,5 à8,2 ml/min/kg) et la demi-vie augmentée chez le nouveau-né. La clairance dela ranitidine semble liée au taux de filtration glomérulaire estimé chez lesnouveaux-nés.
Patients de 50 ans et plusChez les patients de 50 ans et plus, la demi-vie est prolongée (3–4 h) etla clairance diminuée, en raison du déclin de la fonction rénale lié àl’âge. Cependant, l’exposition systémique et l’accumulation des produitsde la ranitidine est supérieure de 50%. Cette différence dépasse l’effetlié au déclin de la fonction rénale et augmente la biodisponibilité de laranitidine chez les patients âgés.
5.3. Données de sécurité préclinique
Les données non cliniques issues des études conventionnelles depharmacologie de sécurité, de toxicité avec des doses répétées, degénotoxicité, de potentiel carcinogène et de toxicité sur la reproduction etle développement n'ont pas révélé de risque particulier pour l'Homme.
6. DONNEES PHARMACEUTIQUES
6.1. Liste des excipients
Chlorure de sodium, dihydrogénophosphate de potassium, phosphate disodiqueanhydre, eau pour préparations injectables.
6.2. Incompatibilités
Sans objet.
6.3. Durée de conservation
3 ans.
6.4. Précautions particulières de conservation
A conserver dans l’emballage d’origine à l’abri de la lumière.
Il n'est pas nécessaire de protéger de la lumière les flacons pendant laperfusion.
A conserver à une température ne dépassant pas 25°C.
6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur
2 ml en ampoule (verre). Boîte de 5 ou 50.
Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.
6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation
Pas d’exigences particulières.
7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
LABORATOIRE GLAXOSMITHKLINE
23 RUE FRANCOIS JACOB 92500 RUEIL-MALMAISON
8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
· 34009 326 827 5 1 : 2 ml en ampoule (verre); boîte de 5
· 34009 554 846 4 6 : 2 ml en ampoule (verre); boîte de 5
· 34009 554 847 0 7 : 2 ml en ampoule (verre); boîte de 50
9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
11. DOSIMETRIE
Sans objet.
12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES
Sans objet.
CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE
Liste II
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