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BECLOSPRAY 50 microgrammes/dose, solution pour inhalation en flacon pressurisé - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - BECLOSPRAY 50 microgrammes/dose, solution pour inhalation en flacon pressurisé

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

BECLOSPRAY 50 microgrammes/do­se, solution pour inhalation en flaconpressurisé

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Dipropionate debéclométaso­ne...........­.............­.............­.............­.............­.............50 mi­crogrammes

Pour une dose mesurée.

La dose délivrée à l'embout buccal est de 47 microgrammes.

Excipient à effet notoire : Ethanol anhydre.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Solution pour inhalation en flacon pressurisé.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Traitement continu anti-inflammatoire de l’asthme persistant.

L'asthme persistant se définit par l'existence de symptômes diurnespluri-hebdomadaires et/ou de symptômes nocturnes plus de 2 fois par mois.

4.2. Posologie et mode d'administration

Posologie

La posologie est strictement individuelle. La dose initiale sera déterminéeselon la sévérité de la maladie avant traitement et sera ensuite ajustée enfonction des résultats individuels.

Il convient de toujours rechercher la posologie minimale efficace.

A titre indicatif :

Dans l'asthme persistant léger à modéré la dose initiale préconisée sesitue :

· chez l’enfant : entre 250 et 500 microgrammes par jour.

· chez l’adulte : entre 500 et 1000 microgrammes par jour,

L'asthme persistant léger se définit par l'existence de symptômes diurnesplus de 1 fois par semaine et moins de 1 fois par jour et/ou de symptômesnocturnes plus de 2 fois par mois, un débit expiratoire de pointe (DEP) ou unvolume expiratoire maximal par seconde (VEMS) supérieur à 80 % des valeursprédites, une variabilité du DEP* comprise entre 20 et 30 %.

L'asthme persistant modéré se définit par l'existence de symptômesdiurnes quotidiens, de crises retentissant sur l'activité et le sommeil, desymptômes d'asthme nocturne plus de 1 fois par semaine, une utilisationqu­otidienne de bêta-2 mimétiques inhalés d'action brève, un DEP ou un VEMScompris entre 60 et 80 % des valeurs prédites, une variabilité du DEP*supérieure à 30 %.

Dans l'asthme persistant sévère la dose initiale préconisée sesitue :

· chez l’enfant : jusqu’à 1000 microgrammes par jour.

· chez l’adulte : jusqu’à 2000 microgrammes par jour,

L'asthme persistant sévère se définit par l'existence de symptômesperma­nents, de crises fréquentes, de symptômes d'asthme nocturne fréquents,une activité physique limitée par les symptômes d'asthme, un DEP ou un VEMSinférieur à 60 % des valeurs prédites, une variabilité du DEP* supérieureà 30%.

*la variabilité du DEP s’évalue sur la journée (voir ci-dessus) ou surune semaine.

Les présentations plus fortement dosées sont mieux adaptées pourl'adminis­tration des posologies élevées.

Fréquence d’administration

La dose quotidienne est habituellement répartie en 2 prises par jour.

En cas d'asthme instable, la dose et le nombre de prises devront êtreaugmentés jusqu'à une administration en 3 à 4 prises par jour en fonctionde l'état clinique du patient.

Mode d’administration

Inhalation par distributeur avec embout buccal.

Il est souhaitable que le médecin s'assure, par lui-même, de l'utilisation­correcte du système d'inhalation par le patient.

Chez les petits enfants et d'une manière générale, lorsqu'il est mis enévidence chez le patient une mauvaise synchronisation main/poumon empêchant lacoordination des mouvements inspiration/dé­clenchement de l'appareil,l'u­tilisation d'une chambre d'inhalation adaptée est indiquée.

Après avoir agité l'appareil et enlevé le capuchon de l'embout buccal lepatient devra :

· expirer profondément,

· présenter l'embout buccal à l'entrée de la bouche, le fond de lacartouche métallique dirigé vers le haut,

· commencer à inspirer en pressant sur la cartouche métallique tout encontinuant à inspirer lentement et profondément,

· retirer l'embout buccal et retenir sa respiration pendant au moins10 secondes,

· se rincer la bouche après inhalation du produit,

· l'embout buccal de l'appareil de propulsion doit, par mesure d'hygiène,être nettoyé après emploi, après avoir retiré la cartouche, rincer l'emboutà l'eau tiède, sécher et remettre la cartouche,

· replacer le capuchon de protection sur l'embout buccal.

Si le dispositif est utilisé pour la première fois ou s'il n'a pas étéutilisé depuis au moins trois jours, libérer une bouffée dans l'air sansinhaler la bouffée expulsée, afin de s'assurer de son bon fonctionnement.

4.3. Contre-indications

Intolérance à ce médicament (survenue de toux ou de bronchospasme aprèsinhalation du produit). Dans ce cas, il conviendra d'interrompre ce traitementet de prescrire d'autres thérapeutiques ou d'autres formesd'adminis­tration.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Ce médicament contient de petites quantités d’éthanol (alcool),infé­rieures à 100 mg par dose mesurée.

Mises en garde spéciales

Prévenir le patient que ce médicament n'est pas destiné à juguler unecrise d'asthme déclarée, mais est un traitement continu de fond de la maladieasthmatique devant être poursuivi régulièrement, quotidiennement et aux dosesprescrites, et dont les effets sur les symptômes de l'asthme ne se ferontsentir qu'au bout de quelques jours à quelques semaines.

Si en dépit d'un traitement bien conduit, une dyspnée paroxystiquesur­vient, on doit avoir recours à un bronchodilatateur bêta-2 mimétique parvoie inhalée d'action rapide et de courte durée pour traiter les symptômesaigus. Il conviendra d'en informer le patient et de lui préciser qu'uneconsultation médicale immédiate est nécessaire si, dans ce cas, lesoulagement habituellement obtenu n'est pas rapidement observé aprèsinhalation du bronchodilatateur bêta-2 mimétique.

Si un patient développe en quelques jours une augmentation rapide de saconsommation en bronchodilatateurs bêta-2 mimétiques d'action rapide et decourte durée par voie inhalée, on doit craindre (surtout si les valeurs dudébit-mètre de pointe s'abaissent et/ou deviennent irrégulières) unedécompensation de sa maladie et la possibilité d'une évolution vers un asthmeaigu grave (état de mal asthmatique).

Le médecin devra également prévenir le patient de la nécessité dans cecas, d'une consultation immédiate. La conduite thérapeutique devra alors êtreréévaluée.

Le patient doit être averti que l'amélioration de son état clinique nedoit pas conduire à une modification de son traitement, en particulier àl'arrêt de la corticothérapie par voie inhalée, sans avis médical.

Sportifs

L'attention des sportifs sera attirée sur le fait que cette spécialitécontient un principe actif pouvant induire une réaction positive des testspratiqués lors de contrôles antidopage.

Précautions d'emploi

En cas d'infection bronchique ou de bronchorrhée abondante, un traitementapproprié est nécessaire afin de favoriser la diffusion optimale du produitdans les voies respiratoires.

En cas de déstabilisation de l'asthme, ou de contrôle insuffisant desexacerbations d'asthme malgré des doses maximales de corticoïdes par voieinhalée, un traitement par corticothérapie par voie générale en cure courtedoit être envisagé. Il est alors nécessaire de maintenir la corticothérapi­einhalée associée au traitement par voie générale.

Des effets systémiques peuvent apparaître lors de traitement au long coursavec des doses élevées de corticoïdes par voie inhalée. Le risque deretentissement systémique reste néanmoins moins important avec lescorticoïdes inhalés qu’avec les corticoïdes oraux. Les effets systémiquespos­sibles sont syndrome de Cushing ou symptômes cushingoïdes, amincissementcu­tané, hématomes sous cutanés, insuffisance surrénalienne, retard decroissance chez les enfants et les adolescents, diminution de la densitéosseuse, cataracte et glaucome et plus rarement, troubles psychologiques et ducomportement comprenant hyperactivité psychomotrice, troubles du sommeil,anxiété, dépression ou agressivité (en particulier chez l’enfant).

Il convient donc de toujours veiller à rechercher la posologie minimaleefficace permettant de maintenir le contrôle de l’asthme.

L'administration conjointe de corticoïdes par voie inhalée chez lesasthmatiques sous corticothérapie orale au long cours (patientscorti­codépendants) ne dispense pas des précautions nécessaires lors d'uneréduction des doses de corticoïde par voie orale. Celles-ci seront diminuéestrès progressivement et le sevrage devra être effectué sous surveillancemé­dicale attentive (à la recherche de l'apparition de signes d'insuffisance­surrénale aiguë ou subaiguë) se prolongeant au-delà de l'arrêt de lacorticothérapie par voie générale.

Les patients devront être informés que ce médicament contient de faiblesquantités d'éthanol et de glycérol. Toutefois, aux posologies usuelles, lesquantités d'éthanol et de glycérol sont négligeables.

Des troubles visuels peuvent apparaitre lors d'une corticothérapie par voiesystémique ou locale. En cas de vision floue ou d'apparition de tout autresymptôme visuel apparaissant au cours d'une corticothérapie, un examenophtalmo­logique est requis à la recherche notamment d'une cataracte, d'unglaucome, ou d'une lésion plus rare telle qu'une choriorétinopathie séreusecentrale, décrits avec l'administration de corticostéroïdes par voiesystémique ou locale.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Le métabolisme de la béclométasone est moins dépendant du CYP3A que celuide certains autres corticostéroïdes, et les interactions sont en général peuprobables ; néanmoins, en cas d’utilisation concomitante d’inhibiteurspu­issants du CYP3A (p.ex. ritonavir, cobicistat), la possibilité d’effetssystémiques ne peut pas être exclue et il est donc conseillé d’êtreprudent et d’appliquer une surveillance adéquate en cas d’utilisation deces agents.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Dipropionate de béclométasone

Il n’existe pas de données suffisamment pertinentes pour évaluer unéventuel effet du dipropionate de béclométasone sur la reproduction.

Chez l'animal, l'expérimentation met en évidence un effet tératogène descorticoïdes variable selon les espèces.

Dans l'espèce humaine, les études épidémiologiques n'ont décelé aucunrisque malformatif lié à la prise de corticoïdes lors du premier trimestrebien qu'il existe un passage transplacentaire. Lors de maladies chroniquesnéces­sitant un traitement tout au long de la grossesse, un léger retard decroissance intra-utérin est possible. Une insuffisance surrénale néonatale aété exceptionnellement observée après corticothérapie à dose élevée parvoie systémique. L’utilisation de dipropionate de béclométasone au cours dela grossesse ne devra être envisagée que si le bénéfice attendu par la mèrel’emporte sur tout risque éventuel pour le fœtus. Il semble justifiéd'observer une période de surveillance clinique (poids, diurèse) et biologiquedu nouveau-né.

Norflurane (tétrafluoroéthane ou HFA 134a) : gaz propulseur

L'étude des fonctions de reproduction menée chez l'animal n'a pas mis enévidence d'effet néfaste de l'administration de norflurane(té­trafluoroétha­ne ou HFA 134a) contenu dans ce médicament. En l'absenced'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humainen'est pas attendu. Il n'existe néanmoins actuellement pas de donnéespertinentes, ou en nombre suffisant, pour évaluer un éventuel effetmalformatif ou fœtotoxique du norflurane lorsqu'il est administré pendant lagrossesse.

Allaitement

Dipropionate de béclométasone

Les corticoïdes passent dans le lait mais la quantité est inconnue. Parconséquent la béclométasone sera prescrite avec précaution chez la femmeallaitante.

Norflurane (tétrafluoroéthane ou HFA 134a) : gaz propulseur

Le passage du gaz propulseur (HFA 134a) et de ses métabolites dans le laitn'est pas connu.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

Sans objet.

4.8. Effets indésirables

Les effets indésirables sont classés par organe et par fréquence. Ladéfinition des fréquences est la suivante : très fréquent (≥ 1/10),fréquent (≥ 1/100 et <1/10), peu fréquent (≥ 1/1.000 et <1/100),rare (≥ 1/10.000 et < 1/1.000), très rare (≤ 1/10.000) et fréquenceindé­terminée : (qui ne peut pas être estimée sur la base des donnéesdisponible).

Classe d'organes

Réaction indésirable

Fréquence

Infection & infestation

Candidose buccale, candidose oropharyngée,

Très fréquent

Affections du système immunitaire

Réactions d'hypersensibilité, y compris rash, urticaire, prurit,érythème

Peu fréquent

Œdème des lèvres, du visage, des yeux et du pharynx

Très rare

Affections endocriniennes

Insuffisance surrénalienne*, Retard de croissance chez l'enfant etl’adolescent*, diminution de la densité osseuse*

Très rare

Affections psychiatriques (voir section 4.4 “Mises en garde spéciales etprécautions d'emploi”)

Agitation

Hyperactivité psychomotrice, troubles du sommeil, anxiété, syndromedépressif, comportement agressif, trouble du comportement (notamment chezl’enfant)

Indéterminée

Affections du système nerveux

Céphalées*

Indéterminée

Affections oculaires

Cataracte*, glaucome*

Très rare

Vision floue (voir rubrique 4.4)

Indéterminée

Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales

Dysphonie, irritation de la gorge

Fréquent

Bronchospasme paradoxal, Sifflement, Dyspnée, Toux

Très rare

Affections gastro-intestinales

Nausées

Indéterminée

voir effets systémiques

Effets locaux

Possibilité de survenue de candidose oropharyngée. Elle cède le plussouvent spontanément ou à un traitement approprié et il est exceptionnelqu'elle nécessite l'arrêt de la corticothérapie par voie inhalée. Son risqued'apparition augmente avec la dose utilisée et le nombre de prises. Il peutêtre prévenu par rinçage de la bouche à l'eau après inhalation.

Possibilité de survenue de gêne pharyngée, de dysphonie, de raucité de lavoix, pouvant être prévenues par rinçage de la bouche après inhalation.

Comme avec d'autres produits inhalés, possibilité de survenue de toux etrarement de bronchospasme à la suite de l'inhalation. Dans ce cas, ilconviendra d'interrompre le traitement et de prescrire d'autres thérapeutiquesou d'autres formes d'administration.

Effets systémiques

Des effets systémiques peuvent apparaitre lors de traitement au long coursavec des doses élevées (voir rubrique 4.4).

Ont été décrites avec la corticothérapie par voie inhalée desobservations d'amincissement cutané, d'hématomes sous-cutanés, de dépressiondes fonctions surrénaliennes biologiques (diminution du cortisol plasmatique etde la cortisolurie des 24 heures), de raréfaction du tissu osseux et plusrarement, cataracte, glaucome, troubles psychologiques et du comportementcom­prenant hyperactivité psychomotrice, troubles du sommeil, anxiété,dépression ou agressivité (en particulier chez l'enfant).

Les conséquences cliniques d’une administration à long terme notammentsur le tissu osseux et la croissance ne sont pas clairement établies.

L'administration de fortes doses au long cours peut donc nécessiter unesurveillance en particulier chez les enfants et les sujets âgés.

En l'état actuel des connaissances, bien que la recherche de la posologieminimale efficace soit toujours recommandée, le risque à considérer enpriorité est celui d'un contrôle insuffisant de l'asthme et devra toujoursêtre pesé face à celui du retentissement systémique.

Fréquence très rare : cataracte et glaucome.

Troubles psychiatriques :

Fréquence indéterminée : hyperactivité psychomotrice, troubles dusommeil, anxiété, syndrome dépressif, agressivité, troubles du comportement(prin­cipalement observés chez l’enfant).

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

L'emploi de ce médicament à des doses très supérieures aux dosesrecommandées est le reflet d'une aggravation de l'affection respiratoirené­cessitant une consultation rapide pour réévaluation thérapeutique­.L’inhalation de doses de dipropionate de béclométasone supérieures auxdoses recommandées peut provoquer une freination surrénalienne. Ces dosesdoivent être réduites si les symptômes apparaissent.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : GLUCOCORTICOÏDE PAR VOIE INHALEE,ANTIAS­THMATIQUE, code ATC : R03BA01 (R : système respiratoire).

Le dipropionate de béclométasone en inhalation exerce un effetanti-inflammatoire essentiellement local sur la muqueuse bronchique. Chezl'adulte, son effet freinateur sur l'axe hypophysosurré­nalien ne se manifestequ'à une posologie égale ou supérieure à 2000μg par 24 heures.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Dipropionate de béclométasone

Une partie de la dose, dépendant largement d'une correcte utilisation del'appareil, est déglutie et éliminée par les fèces. L'autre pénètre dansles bronches où elle exerce ses effets, puis passe dans la circulationgé­nérale.

Le dipropionate de béclométasone est métabolisé dans le foie enmonopropionate et béclométasone-alcool, puis est excrété sous forme demétabolites dans la bile et les urines.

Norflurane (tétrafluoroéthane ou HFA 134a) : gaz propulseur

Après inhalation d'une bouffée, l'absorption de HFA 134a est très faibleet rapide, la concentration maximale est atteinte en moins de 6 minutes.

Un très faible métabolisme hépatique avec formation d'acidetriflu­oroacétique et trifluorocétal­déhyde a été mis en évidence chezl'animal (souris et rats).

Néanmoins, les études cinétiques réalisées chez des patients aprèsadministration de HFA 134a en situation pathologique, n'ont pas mis en évidencela formation d'acide trifluoroacétique.

5.3. Données de sécurité préclinique

Chez l'animal, la toxicité du dipropionate de béclométasone est liée àune exacerbation de l'effet pharmacologique glucocorticoïde.

Des malformations ont été observées au cours des études de reproductionmenées chez l'animal avec les glucocorticoïdes tels que le budésonide (fentepalatine, malformation squelettiques). Toutefois, ces résultats expérimentauxob­servés chez l'animal ne sont pas extrapolables à l'homme aux dosesrecommandées.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Glycérol, éthanol anhydre.

Gaz propulseur : norflurane (tétrafluoroéthane ou HFA 134a).

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

3 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation

A conserver à une température ne dépassant pas +30°C.

Récipient sous pression : à protéger des rayons du soleil et à ne pasexposer à une température supérieure à 50°C.

Ne pas percer ou brûler même après usage.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

200 doses en flacon pressurisé (Aluminium) avec valve doseuse et emboutbuccal.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d’exigences particulières pour l’élimination.

Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformémentà la réglementation en vigueur.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

CHIESI SAS

17 AVENUE DE L’EUROPE

92270 BOIS COLOMBES

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 369 856 7 4 : 200 doses en flacon pressurisé (Aluminium)

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Médicament soumis à prescription médicale.

Liste I

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