La Pharmacia De Garde Ouvrir le menu principal

BIOCADEXTRO 1 mg/ml ENFANTS SANS SUCRE, sirop édulcoré à la saccharine sodique et au maltitol liquide - résumé des caractéristiques

Contient la substance active :

Dostupné balení:

Résumé des caractéristiques - BIOCADEXTRO 1 mg/ml ENFANTS SANS SUCRE, sirop édulcoré à la saccharine sodique et au maltitol liquide

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

BIOCADEXTRO 1 mg/ml ENFANTS SANS SUCRE, sirop édulcoré à la saccharinesodique et au maltitol liquide

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Bromhydrate dedextrométhor­phane........­.............­.............­.............­.............­.............­.............­...1 mg

Pour 1 ml.

La graduation de 5 ml du godet doseur contient 5 mg de bromhydrate dedextrométhorphane (le godet doseur comprend deux graduations : 2,5 ml et5 ml).

Excipients à effet notoire : maltitol liquide, sodium, propylène glycol(E1520), parahydroxybenzoate de méthyle (E 218), éthanol (alcool).

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Sirop.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Traitement de courte durée des toux sèches et des toux d'irritation chezl'enfant de plus de 6 ans et pesant plus de 20 kg.

4.2. Posologie et mode d'administration

Posologie

RESERVE A L'ENFANT DE 6 A 15 ANS ET PESANT PLUS DE 20 KG.

Un godet doseur rempli à la graduation 5 ml contient 5 mg de bromhydratede dextrométhorphane.

Chez l'enfant, la dose unitaire de bromhydrate de dextrométhorphane est de0,25 mg/kg, la dose quotidienne maximale est de 1 mg/kg soit :

Enfant de plus de 20 kg jusqu'à 40 kg, soit de plus de 6 ans jusqu'àenviron 13 ans : 1 godet doseur par prise, à renouveler si nécessaire aubout de 4 heures, sans dépasser 4 godets doseurs par jour,

Enfant de 40 à 50 kg, soit environ de 13 à 15 ans : 2 godets doseurspar prise, à renouveler si nécessaire au bout de 4 heures, sans dépasser8 godets doseurs par jour.

En cas d'insuffisance hépatique : la posologie initiale sera diminuée demoitié par rapport à la posologie conseillée, et pourra éventuellement êtreaugmentée en fonction de la tolérance et des besoins.

La durée du traitement doit être courte (limitée à 5 jours).

Le traitement doit être limité aux horaires où survient la toux, sansdépasser les doses préconisées.

Mode d’administration

Voie orale.

4.3. Contre-indications

Ce médicament est contre-indiqué dans les situations suivantes :

· insuffisance respiratoire, dépression respiratoire,

· toux de l'asthmatique,

· hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipientsmen­tionnés à la rubrique 6.1,

· en association avec le cinacalcet ou avec les antidépresseurs de typeIMAO irréversibles (voir rubrique 4.5),

· allaitement,

· association avec l’oxybate de sodium (voir rubrique 4.5)

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

· Les toux productives qui sont un élément fondamental de la défensebroncho-pulmonaire sont à respecter.

· Il est illogique d'associer un expectorant ou mucolytique à unantitussif.

· Chez les patients ayant une maladie neurologique, associée à uneréduction importante du réflexe de la toux (comme un AVC, la maladie deParkinson et la démence) le traitement de la toux par ce médicament doit êtreadministré avec précaution et uniquement après avoir évalué le rapportbénéfi­ce/risque (voir section Interactions Médicamenteuses).

· Avant de délivrer un traitement antitussif, il convient de s'assurer queles causes de la toux qui requièrent un traitement spécifique ont étérecherchées.

· Si la toux résiste à un antitussif administré à une posologie usuelle,on ne doit pas procéder à une augmentation des doses, mais à un réexamen dela situation clinique.

· Ce médicament contient de faibles quantités d’éthanol (alcool),infé­rieures à 100 mg par dose de 5 ml.

· Ce médicament contient du parahydroxybenzoate de méthyle (E 218) et peutprovoquer des réactions allergiques (éventuellement retardées).

· Ce médicament contient 4,34 g de maltitol liquide (ou sirop de glucosehydrogéné) par dose de 5 ml. Les patients présentant des problèmeshéré­ditaires rares d’intolérance au fructose ne doivent pas prendre cemédicament. Valeur calorique 2,3 kcal/g de maltitol. Ce médicament peut avoirun effet laxatif léger. Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) desodium par dose de 5 ml, c.-à-d. qu’il est essentiellement « sanssodium ».

· Ce médicament contient 333 mg de propylène glycol (E 1520) par dose de5 ml.

Une surveillance médicale est requise chez les patients souffrantd’in­suffisance rénale ou de troubles de la fonction hépatique, car diverseffets indésirables attribués au propylène glycol

(E1520) ont été rapportés tels qu’un dysfonctionnement rénal (nécrosetubulaire aiguë), une insuffisance rénale aiguë et une dysfonctionhé­patique.

Chez les femmes enceintes ou allaitantes, même si le propylène glycol(E1520) n’a pas démontré de toxicité pour la reproduction ou ledéveloppement chez les animaux ou les humains, le passage dans le lait maternelainsi que le passage transplacentaire est possible.

· La prise de ce médicament est déconseillée avec lesIMAO-A réversibles, y compris oxazolidinones et bleu de méthylène (voirrubrique 4.5).

· L'utilisation concomitante de BIOCADEXTRO Enfants et de médicamentssédatifs tels que les benzodiazépines ou médicaments apparentés peutentraîner une sédation, une dépression respiratoire, un coma et le décès.En raison de ces risques, une prescription concomitante avec des médicamentssédatifs doit être réservée aux patients pour lesquels des traitementsal­ternatifs ne sont pas possibles. Si une décision de prescrire BIOCADEXTROEnfants de façon concomitante avec des médicaments sédatifs est prise, ladose efficace la plus faible doit être utilisée et la durée du traitementdoit être aussi courte que possible. Les patients doivent être suivis de prèsafin de détecter l'apparition de signes et symptômes de dépressionres­piratoire et de sédation. À cet égard, il est fortement recommandé deprévenir les patients et leurs soignants d’être attentifs à l’apparitionde ces symptômes (voir rubrique 4.5).

· La prise d’alcool (boissons ou comme excipient) est déconseillée (voirrubrique 4.5).

· Le dextrométhorphane peut entraîner des hallucinations à des dosessuprathé­rapeutiques. Des cas d’abus de consommation de dextrométhorphaneà des fins récréatives et hallucinogènes, parfois en association avecl’alcool ont été rapportés. La prudence est particulièrement recommandéechez les adolescents et les jeunes adultes, ainsi que chez les patients ayantdes antécédents d’abus de médicaments ou de substances psychoactives. Lasurvenue chez ces patients de signes ou symptômes évoquant un usage abusif oudétourné de dextrométhorphane doit faire l’objet d’une surveillanceat­tentive.

· Le dextrométhorphane est métabolisé par le cytochrome hépatique P4502D6. L’activité de cette enzyme est génétiquement déterminée. Environ10 % de la population générale sont des métaboliseurs lents du CYP2D6. Lesmétaboliseurs lents et les patients qui utilisent de façon concomitante desinhibiteurs du CYP2D6 peuvent présenter des effets exacerbés et/ou prolongésdu dextrométhorphane. La prudence est donc requise chez les patientsmétabo­liseurs lents du CYP2D6 ou consommant de façon concomitante desinhibiteurs du CYP2D6 (voir aussi rubrique 4.5).

· En cas d’insuffisance hépatique, la posologie initiale sera diminuéede moitié (voir rubrique 4.2).

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Médicaments sédatifs

Il faut prendre en compte le fait que de nombreux médicaments ou substancespeuvent additionner leurs effets dépresseurs du système nerveux central etcontribuer à diminuer la vigilance. Il s'agit des dérivés morphiniques(a­nalgésiques, antitussifs et traitements de substitution), des neuroleptiques,des barbituriques, des benzodiazépines, des anxiolytiques autres que lesbenzodiazépines (par exemple, le méprobamate), des hypnotiques, desantidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxépine, miansérine, mirtazapine,tri­mipramine), des antihistaminiques H1 sédatifs, des antihypertense­urscentraux, du baclofène et du thalidomide.

L'utilisation concomitante d'opioïdes avec des médicaments sédatifs telsque les benzodiazépines ou médicaments apparentés augmente le risque desédation, de dépression respiratoire, de coma et de mort en raison du cumuldes effets dépresseurs du système nerveux central. La posologie et la duréed'association doivent être limitées (voir rubrique 4.4).

Associations contre-indiquées (voir rubrique 4.3)

+ IMAO irréversibles

Risque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique : diarrhée, tachycardie,sueurs, tremblements, confusion voire coma.

+ Cinacalcet

Augmentation très importante des concentrations plasmatiques dedextrométhorphane avec risque de surdosage, par diminution de son métabolismehé­patique par le cinacalcet.

+ Oxybate de sodium

Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en cas desurdosage.

Associations déconseillées (voir rubrique 4.4)

+ IMAO-A réversibles, y compris oxazolidinones et bleu de méthylène

Risque d'apparition d'un syndrome sérotoninergique : diarrhée, tachycardie,sueurs, tremblements, confusion voire coma.

+ Alcool (boisson ou excipient)

Majoration par l'alcool de l'effet sédatif du dextrométhorpha­ne.L'altérati­on de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhiculeset l'utilisation de machines.

Eviter la prise de boissons alcoolisées et d'autres médicaments contenantde l'alcool.

Associations à prendre en compte

+ Autres médicaments sédatifs (cf. paragraphe introductif ci-dessus)

Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peutrendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.

+ Analgésiques morphiniques agonistes

Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en cas desurdosage.

+ Méthadone

Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en cas desurdosage.

+ Barbituriques

Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en cas desurdosage.

+ Benzodiazépines et apparentés

Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en cas desurdosage.

+ Médicaments atropiniques

Risque important d’akinésie colique, avec constipation sévère.

+ Inhibiteurs du CYP2D6

Le dextrométhorphane est métabolisé par le CYP2D6 et subit un métabolismede premier passage important. L’utilisation concomitante d'inhibiteurspu­issants de l’enzyme CYP2D6 peut augmenter les concentrations sanguines dedextrométhorphane plusieurs fois supérieures à la normale. Il en résulte uneaugmentation du risque de survenue d'effets indésirables du dextrométhorpha­ne(agitation, confusion, tremblements, insomnie, diarrhée et détresserespi­ratoire) et d'apparition d'un syndrome sérotoninergique. Les inhibiteurspu­issants du CYP2D6 incluent la fluoxétine, la paroxétine, la quinidine et laterbinafine. En cas d’administration concomitante avec de la quinidine, lesconcentrations plasmatiques de dextrométhorphane ont augmenté jusqu’à20 fois, entrainant une augmentation de la survenue d'effets indésirables dudextrométhorphane au niveau du système nerveux central. L’amiodarone, leflécaïnide et la propafénone, la sertraline, le bupropion, la méthadone, lecinacalcet, l’halopéridol et la perphénazine exercent également des effetssimilaires sur le métabolisme du dextrométhorphane. Si l'administrati­onconcomitante d'inhibiteurs du CYP2D6 et du dextrométhorphane ne peut êtreévitée, le patient doit être surveillé et il peut être nécessaire dediminuer la dose de dextrométhorphane.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Il n'y a pas de données fiables de tératogenèse chez l'animal.

En clinique, les résultats des études épidémiologiques menées sur deseffectifs restreints de femmes semblent exclure un effet malformatif particulierdu dextrométhorphane.

En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sontsusceptibles d'entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.

Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique dedextrométhorphane par la mère, et cela quelle que soit la dose, peut être àl'origine d'un syndrome de sevrage chez le nouveau-né.

En conséquence, l'utilisation ponctuelle du dextrométhorphane ne doit êtreenvisagée au cours de la grossesse que si nécessaire.

Allaitement

Le dextrométhorphane passe dans le lait maternel ; quelques cas d'hypotonieet de pauses respiratoires ont été décrits chez des nourrissons, aprèsingestion par les mères d'autres antitussifs centraux à dosessupra-thérapeutiques.

En conséquence, la prise de ce médicament est contre-indiquée pendantl'alla­itement.

Fertilité

Sans objet.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

L'attention est appelée notamment chez les conducteurs de véhicules et lesutilisateurs de machines, sur les risques de somnolence et de vertiges attachésà l'emploi de ce médicament.

4.8. Effets indésirables

· Vertiges, somnolence.

· Nausées, vomissements, constipation.

· Réactions allergiques : à type d'éruption prurigineuse, urticaire,œdème de Quincke, exceptionnellement, bronchospasme.

· En raison de la présence de maltitol liquide, risque de troublesdigestifs et de diarrhée.

Des cas d’abus à des fins récréatives et hallucinogènes ont étérapportés, notamment chez des adolescents et des jeunes adultes ainsi que chezles patients présentant des antécédents d’abus de médicaments ou desubstances psychoactives (cf. rubrique 4.4).

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.ansm.sante­.fr“>www.ansm­.sante.fr.

De plus, les professionnels de santé déclarent tout cas d’abus ou depharmacodépen­dance grave via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et leréseau des Centres d’Evaluation et d’Information sur la Pharmacodépen­dance(CEIP) – Site internet : www.sante.fr.

4.9. Surdosage

Clinique

Les symptômes observés en cas de surdosage aigu sont principalement liésà l’action sur les récepteurs NMDA ; un syndrome anticholinergique ouopiacé est possible.

Ces symptômes incluent : nausées et vomissements, tachycardie ethypertension artérielle, rétention urinaire, mydriase et troubles del’accommodation, signes neuropsychiques : vertige, ataxie, hallucination­s,nystagmus, somnolence, confusion, agitation, hyperexcitabilité ethypertonie.

Les surdosages sévères peuvent entrainer convulsions, hyperthermie, coma etdépression respiratoire.

Traitement

En cas de surdosage aigu, une surveillance hospitalière immédiate estrecommandée avec, si nécessaire, un traitement symptomatique, parexemple :

· benzodiazépines en cas de convulsions,

· naloxone en IV en cas de dépression respiratoire.

Le charbon activé peut être administré en l’absence decontre-indication, idéalement dans l’heure suivant l’absorption.

Le lavage gastrique ne doit pas être pratiqué en raison de l’hypoxiepossible lors du geste, augmentant le risque de convulsions.

Des cas d’abus à des fins récréatives ont été rapportés enparticulier chez les adolescents et les jeunes adultes et les patients ayant desantécédents d’abus de médicaments ou substances psychotropes (voirrubrique 4.4.).

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : ANTITUSSIFS, SAUF ASSOCIATIONS AUXEXPECTORANTS, ALCALOIDES DE L’OPIUM ET DERIVES, code ATC : R05DA09.

Dérivé morphinique antitussif d'action centrale. Aux doses thérapeutiques,il n'entraîne pas de dépression des centres respiratoires ; en revanche, ilpeut entraîner tolérance, abus et dépendance.

Le dextrométhorphane possède de faibles propriétésséro­toninergiques.

Le dextrométhorphane fait effet entre 15 à 30 minutes après la prise etl’effet dure environ 3 à 6 heures.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Le dextrométhorphane est bien résorbé au niveau du tube digestif. Il estpartiellement métabolisé au niveau du foie, et excrété sous forme inchangéeou sous forme de métabolite déméthylé.

Après administration par voie orale, le dextrométhorphane subit unmétabolisme de premier passage hépatique rapide et important. Chez levolontaire sain la voie métabolique prédominante observée s'exerce parO-déméthylation au niveau du CYP2D6 dont le niveau d'activité est fonction dugénotype.

Différents phénotypes d’oxydation ont été observés à l'origine d'uneimportante variabilité interindividuelle de la pharmacocinétique. Ledextrométhorphane non métabolisé, associé aux trois métabolites morphinanesdé­méthylés, le dextrorphane (également désigné3-hydroxy-N-méthylmorphinane), 3-hydroxymorphinane et 3-méthoxymorphinane ontété identifiés sous la forme de produits conjugués dans les urines.

Le dextrorphane, qui exerce également une action antitussive, est leprincipal métabolite. Certains sujets présentent un métabolisme ralenticonduisant à la présence prolongée de dextrométhorphane inchangé dans lesang et les urines.

5.3. Données de sécurité préclinique

Sans objet.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Saccharine sodique, maltitol liquide, propylèneglycol (E1520),parahy­droxybenzoate de méthyle (E 218), arôme vanille (vanilline, éthylevanilline, propylèneglycol (E1520)), arôme abricot (safrol, éthanol, acideacétique, propylèneglycol (E1520)), eau purifiée.

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

Avant ouverture : 3 ans.

Après ouverture : 5 jours.

6.4. Précautions particulières de conservation

Pas de précautions particulières de conservation.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

100 ml en flacon (verre brun de type III) avec bouchon (polyéthylène) etgodet doseur (polypropylène) gradué à 2,5 ml et 5 ml.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d’exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

ZAMBON FRANCE S.A.

13 RUE RENE JACQUES

92138 ISSY-LES-MOULINEAUX CEDEX

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 348 513 3 9 : 100 ml en flacon (verre brun) et godet doseur(polypro­pylène)

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I

Retour en haut de la page