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CEFUROXIME BGR 500 mg, comprimé pelliculé - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - CEFUROXIME BGR 500 mg, comprimé pelliculé

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

CEFUROXIME BGR 500 mg, comprimé pelliculé

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Céfuroxime...­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.........500,00 mg

Sous forme de cefuroximeaxé­til..........­.............­.............­.............­.............­.............­.............601,5 mg

Pour un comprimé pelliculé.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Comprimé pelliculé

Comprimé pelliculé bleu clair, gravé «500» sur une face et «P126» surl’autre face.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Elles procèdent de l'activité antibactérienne et des caractéristiqu­espharmacociné­tiques de la céfuroxime. Elles tiennent compte à la fois desétudes cliniques auxquelles a donné lieu le médicament et de sa place dansl'éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.

Elles sont limitées aux infections respiratoires basses :

· pneumopathies bactériennes de l'adulte.

Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernantl'u­tilisation appropriée des antibactériens.

4.2. Posologie et mode d'administration

Posologie
Adultes :

1000 mg/jour en 2 prises, soit un comprimé dosé à 500 mg matin et soir,environ 15 à 30 minutes après les repas.

En cas d'insuffisance rénale, l'élimination de la céfuroxime après priseorale de céfuroxime axétil est comparable à celle observée aprèsadministration parentérale de céfuroxime. Il est par conséquent recommandé,lorsque la clairance à la créatinine est inférieure à 20 ml par minute, dediminuer la dose de moitié en une seule prise orale par jour.

Ajouter une dose supplémentaire à chaque fin de dialyse chez les patientsdialysés chroniques.

Mode d’administration

Les comprimés doivent être avalés, sans les croquer, avec unverre d'eau.

4.3. Contre-indications

Ce médicament ne doit jamais être utilisé en cas :

· d'antécédents d'allergie au céfuroxime ;

· d'antécédents d'allergie aux antibiotiques du groupe descéphalosporines, en l'absence de bilan allergologique approprié.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Mises en garde spéciales

La survenue de toute manifestation allergique impose l'arrêt dutraitement.

La prescription des céphalosporines nécessite un interrogatoire­préalable.

En l'absence de bilan allergologique approprié et en raison d'un possiblerisque de réaction allergique croisée entre certaines pénicillines etcéphalosporines, l'utilisation du céfuroxime doit être extrêmement prudentechez les patients qui ont des antécédents d'allergie aux pénicillines ou auxautres bêta-lactamines; une surveillance médicale stricte est nécessaire dèsla première administration.

Les réactions d'hypersensibilité (anaphylaxie) observées avec ces deuxtypes de substances peuvent être graves et parfois fatales.

Précautions d'emploi

· En cas d'insuffisance rénale, adapter la posologie en fonction de laclairance de la créatinine ou de la créatininémie (voir rubrique 4.2).

· La fonction rénale doit être surveillée régulièrement en casd'insuffisance rénale préexistante, chez les sujets âgés ou en casd'association à des antibiotiques potentiellement néphrotoxiques (aminosidesen particulier) ou des diurétiques, une atteinte de la fonction rénale ayantété observée avec ces associations.

· Comme avec d'autres antibiotiques, l'utilisation du céfuroxime axetilpeut causer la prolifération de Candida. L'utilisation prolongée peut aussientraîner la prolifération de germes non sensibles (par exemple, entérocoqueet Clostridium difficile), ce qui peut nécessiter l'interruption dutraitement.

· La survenue exceptionnelle d'une diarrhée grave et persistante pendant ouaprès l'emploi de l'antibiotique peut être symptomatique d'une colitepseudo-membraneuse et impose l'arrêt du traitement. Le diagnostic établiaprès coloscopie nécessite la mise en route d'une antibiothérapi­espécifique.

Examens paracliniques

Une positivité du test de Coombs ayant été observée au cours dutraitement par les céphalosporines, une positivation du test de Coombs est doncpossible avec la céfuroxime.

Glycosurie : il peut se produire une réaction faussement positive avec lesméthodes de dosage biochimique utilisant des substances réductrices; enrevanche, il n'y a pas d'interférence avec les méthodes enzymatiques type„glucose oxydase“ ou „hexokinase“.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Problèmes particuliers du déséquilibre de l'INR

De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ontété rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexteinfectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patientapparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaîtdifficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitementdans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classesd'anti­biotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment desfluoroquino­lones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certainescépha­losporines.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. Enl'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dansl'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substancesres­ponsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révéléestératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deuxespèces.

En clinique, il n'existe pas actuellement de données suffisammentper­tinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif de la céfuroximelor­squ'elle est administrée pendant la grossesse.

En conséquence, l'utilisation de la céfuroxime ne doit être envisagée aucours de la grossesse que si nécessaire.

Allaitement

L'allaitement est possible, cependant, il faut l'interrompre (ou lemédicament) en cas de survenue de diarrhée, candidose ou éruptioncutanée.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

Sans objet.

4.8. Effets indésirables

Les classes de fréquences attribuées aux effets indésirables ci-dessousont été établies sur la base des données des essais cliniques pour classerles effets indésirables de très fréquents à très rares.

La fréquence des effets indésirables très rares (< 1/10000) a étéestimée à partir des données obtenues après l'autorisation de mise sur lemarché et correspond à un taux de notification plutôt qu'à des fréquencesréelles en raison de l'absence de données appropriées pour le calcul de leurfréquence.

Selon les conventions en vigueur les effets indésirables ont été classésen fonction de leur fréquence en utilisant la classification suivante :

Très fréquent (≥ 1/10), fréquent (≥ 1/100 et < 1/10), peu fréquent(≥ 1/1000 et < 1/100), rare (≥ 1/10000 et < 1/1 000), très rare(< 1/10 000).

Infections et infestations

Fréquent : Prolifération de Candida.

Affections hématologiques et du système lymphatique

Fréquent : Hyperéosinophilie.

Peu fréquent : Thrombocytopénie, leucopénie et/ou neutropénie (parfoissévères).

Très rare : Anémie hémolytique.

Affections du système immunitaire

Réactions d'hypersensibilité incluant :

Peu fréquent : Eruption cutanée.

Rare : Urticaire, prurit.

Très rare : Fièvre, maladie sérique, anaphylaxie.

Affections du système nerveux

Fréquent : Céphalées.

Peu fréquent : sensations vertigineuses.

Affections gastro-intestinales

Fréquent : Troubles gastro-intestinaux incluant diarrhées, nausées,douleurs abdominales.

Peu fréquent : Vomissements.

Rare : Colite pseudo-membraneuse.

Affections hépatobiliaires

Fréquent : Elévation transitoire du taux des enzymes hépatiques (ALAT,ASAT) et de la LDH.

Très rare : Hépatite, ictère cholestatique.

Affections de la peau et du tissu sous-cutané

Très rare : Erythème polymorphe, syndrome de Stevens-Johnson, syndrome deLyell (nécrose toxique épidermique).

Voir aussi les affections du système immunitaire.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.ansm.sante­.fr“>www.ansm­.sante.fr.

4.9. Surdosage

Dialyse en cas de surdosage.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : ANTIBIOTIQUES ANTIBACTERIENS de la familledes bêta-lactamines du groupe des céphalosporines de deuxième génération,code ATC : J01DC02 (J : Anti-infectieux).

Le spectre antibactérien naturel du céfuroxime axétil correspond à celuide la céfuroxime dont il est la prodrogue. Toutefois, il doit être adapté auxconcentrations critiques qui tiennent compte des propriétésphar­macocinétiques du produit.

SPECTRE D'ACTIVITE ANTIBACTERIENNE.

Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches desensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :

S £ 1 mg/l et R > 4 mg/l

CMI pneumocoque : S £ 0,5 mg/l et R > 2 mg/l (voie orale à titreprovisoire)

La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de lagéographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposerd'infor­mations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour letraitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'uneorientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienneà cet antibiotique.

Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France estconnue pour une espèce bactérienne, elle est indiquée dans le tableauci-dessous :

Catégories

Fréquence de résistance acquise en France (> 10%) (valeursextrêmes)

ESPÈCES SENSIBLES

Aérobies à Gram positif

Corynebacterium diphtheriae

Staphylococcus méti-S

Streptococcus

Streptococcus pneumoniae

20 – 60%

Aérobies à Gram négatif

Branhamella catarrhalis

Citrobacter koseri

Escherichia coli

10 – 20%

Haemophilus influenzae

Haemophilus para-influenzae

Klebsiella

0 – 30%

Catégories

Fréquence de résistance acquise en France (> 10%) (valeursextrêmes)

Neisseria gonorrhoeae

Pasteurella

Propionibacterium acnes

Anaérobies

Fusobacterium

10 – 20%

Prevotella

30 – 70%

ESPÈCES MODÉRÉMENT SENSIBLES

(in vitro de sensibilité intermédiaire)

Aérobies à Gram négatif

Proteus mirabilis

Salmonella

Shigella

Anaérobies

Clostridium perfringens

Peptostreptococcus

30%

ESPÈCES RÉSISTANTES

Aérobies à Gram positif

Entérocoques

Listeria monocytogenes

Staphylococcus méti-R <em></em>

Aérobies à Gram négatif

Acinetobacter

Citrobacter freundii

Enterobacter

Morganella morganii

Proteus vulgaris

Providencia

Pseudomonas sp.

Serratia

Anaérobies

Bacteroides

Clostridium difficile

La fréquence de résistance à la méticilline est environ de 30 à 50 %de l'ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieuhospitalier.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Absorption

Après administration orale, le céfuroxime axétil, ester 1-acétoxy-éthylde la céfuroxime, est rapidement hydrolysé par des estérases non spécifiquesde la muqueuse intestinale.

Biodisponibilité du céfuroxime axétil :

· sous forme de comprimé :

o elle est, après administration de la forme comprimé chez le sujet àjeun, de 30 à 40% ;

o elle est augmentée par la prise d'aliments atteignant 50 à 60%. Il estdonc recommandé que le médicament soit absorbé 15 à 30 minutes aprèsun repas.

· sous forme de granulé :

o elle est, après administration de la forme granulé à jeun, inférieurede 20 à 25% à celle de la forme comprimé ;

o elle n'est pas augmentée par la prise d'aliments pour cette forme.

Les Cmax suivantes ont été observées après une prise orale d'une doseunique de céfuroxime axétil :

· 10 mg/kg (granulé) : 3,3 ± 0,8 mg/l.

· 15 mg/kg (granulé) : 2,2 à 7,4 mg/l.

Elles sont atteintes en moyenne en 1 à 6 heures.

· Chez l'adulte :

o 250 mg (comprimé) : 4 à 6 mg/l.

o 500 mg (comprimé) : 7 à 9 mg/l.

Elles sont atteintes en 2 à 3 heures après la prise du médicamentlorsque celui-ci est donné après un repas.

· Chez le sujet âgé :

o 500 mg (comprimé) : 10,3 ± 6,1 mg/l.

Elle est atteinte en moyenne en 3 heures après une prise à jeun.

Après injection intramusculaire, l'absorption du produit est rapide etcomplète : la biodisponibilité de la céfuroxime administrée à la posologiede 500 mg est de 92%.

Chez l'adulte, après administration intramusculaire d'une dose unique de750 mg, la concentration plasmatique moyenne est de 17 mg/l et aprèsinjection de 500 mg de 12,3 mg/l; elle est atteinte en moyenne en60 minutes.

Après administration IV d'une dose unique de 750 mg et de 1,5 g, lesvaleurs extrêmes des Cmax sont respectivement de 53 – 73 mg/l et de101 – 168 mg/l.

Après administration de doses répétées, les paramètresphar­macocinétiques plasmatiques de la céfuroxime ne sont pas modifiés,traduisant l'absence d'accumulation du principe actif.

Distribution
Diffusion tissulaire

Le céfuroxime axétil a une bonne diffusion dans les tissus de l'appareilres­piratoire et de la sphère ORL permettant d'obtenir des concentration­ssupérieures aux CMI des germes habituellement responsables d'infectionsres­piratoires.

La diffusion tissulaire de la céfuroxime a été étudiée chez l'adulteaprès administration d'une dose de 500 mg de céfuroxime axétil (comprimé àjeun) ; les concentrations tissulaires suivantes ont été observées :

· muqueuse bronchique : 2,3 à 8,0 mg/kg ;

· crachats : 2,8 à 3,3 mg/l ;

· liquide de recouvrement de l'épithélium pulmonaire (lavagebroncho­alvéolaire) : 0,2 à 7,6 mg/kg ;

· muqueuse sinusale : 0,2 à 4,4 mg/kg ;

· tissu amygdalien : 0,2 à 1,2 mg/kg.

La diffusion tissulaire de la céfuroxime a été étudiée chez l'enfantaprès administration d'une dose de 250 mg de céfuroxime axétil (comprimésà jeun); les concentrations suivantes ont été observées dans le liquideauriculaire : 0,16 à 4,85 mg/l.

Une à 4 heures après injection IM d'une dose unique de 500 mg, lesconcentrations varient de 1,6 à 13,7 mg/l dans le parenchyme pulmonaire;0,4 à 5,6 mg/l dans les sécrétions bronchiques.

La céfuroxime diffuse également bien dans la peau et le secteurinterstitiel ainsi que dans la bile et la vésicule biliaire, le tissu osseux etarticulaire, le tissu utérin et prostatique, le tissu rénal, le tissucardiaque et l'humeur aqueuse.

Elle traverse facilement la barrière fœto-placentaire. Le passage dans lelait maternel est extrêmement faible.

Elle ne traverse pas la barrière hémato-méningée sauf en casd'inflammation des méninges.

Taux de liaison aux protéines plasmatiques :

Le taux de liaison aux protéines plasmatiques est faible, de l'ordrede 33%.

Le volume apparent de distribution de la céfuroxime est de 25 – 30 lchez le sujet sain.

Élimination

La céfuroxime n'est pas métabolisée dans l'organisme et la quantitéabsorbée est éliminée à plus de 85% par voie rénale sous forme inchangéedans les urines dans les 12 premières heures. L'élimination se fait à lafois par filtration glomérulaire et sécrétion tubulaire, cette dernièreétant ralentie par le probénécide.

La demi-vie d'élimination après administration de céfuroximeaxétil :

· chez le nouveau-né à terme de moins de 1 mois : 3 à 5 fois plusélevée que chez l'adulte, de l'ordre de 4,5 heures chez le nouveau-né àterme de 4 jours ;

· chez l'enfant : est environ de 1,9 heures (granulé), chez l'enfant deplus de 1 mois, elle est de l'ordre de 1,1 heures après injection IM de10 mg/kg ;

· chez l'adulte : est environ de 1,4 heures (comprimé), de 1,3 à1,6 heures après injection IM (1,6 heures après 750 mg IM) et en moyenne de1,1 heures après injection IV ;

· chez le sujet âgé : est augmentée, ne justifiant aucune réduction dela posologie tant que la clairance de la créatinine est supérieure à40 ml/min ;

· en cas d'insuffisance rénale, augmente proportionnellement à laclairance de la créatinine justifiant une réduction de la posologie de moitiédès que la clairance de la créatinine est inférieure à 20 ml/min.

5.3. Données de sécurité préclinique

Non renseignée.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Amidon prégélatinisé, croscarmellose sodique, laurilsulfate de sodium,cellulose microcristalline (Avicel PH 112), silice colloïdale anhydre, huilevégétale hydrogénée.

Pelliculage : OPADRY BLEU (03H50624)

Hypromellose, dioxyde de titane (E171), propylèneglycol, brillant blue FCF(E133), indigotine carmine (E132)

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

3 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation

Ce médicament ne nécessite pas de précautions particulières deconservation.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

Boîte de 8 comprimés pelliculés sous plaquettes thermoformées(PVC/A­clar).

Flacon (HDPE) de 20, 60 ou 500 comprimés pelliculés.

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d’exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

BIOGARAN

15, BOULEVARD CHARLES DE GAULLE

92700 COLOMBES

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 220 872 7 6 : 8 comprimés pelliculés sous plaquettes(PVC/A­clar).

· 34009 223 268 3 2 : 20 comprimés pelliculés en flacon (HDPE).

· 34009 581 970 4 8 : 60 comprimés pelliculés en flacon (HDPE).

· 34009 581 971 0 9 : 500 comprimés pelliculés en flacon (HDPE).

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I

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