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DETURGYLONE, poudre et solvant pour solution pour pulvérisation nasale - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - DETURGYLONE, poudre et solvant pour solution pour pulvérisation nasale

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

DETURGYLONE, poudre et solvant pour solution pourpulvérisa­tion nasale

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Phosphate disodique de prednisolone.­.............­.............­.............­.............­.............­.............­..0,178 g

Chlorhydrate d'oxymétazoli­ne...........­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.....0,025 g

Pour 100 ml de solution reconstituée

Excipient(s) à effet notoire : chlorure de benzalkonium.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Poudre et solvant pour solution pour pulvérisation nasale.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Traitement symptomatique local de courte durée des états congestifs etinflammatoires au cours des rhinites aiguës de l'adulte et des adolescents deplus de 15 ans.

4.2. Posologie et mode d'administration

Posologie

RESERVE A L'ADULTE et AUX ADOLESCENTS DE PLUS DE 15 ANS.

Adulte et adolescents de plus de 15 ans : 1 pulvérisation dans chaquenarine, 3 fois par jour.

La durée maximale du traitement est de 3 à 5 jours.

Mode d'administration

Les pulvérisations nasales se font avec le flacon en position verticale, latête légèrement penchée en avant, afin d'éviter d'avaler le produit.

4.3. Contre-indications

Ce médicament est contre-indiqué dans les cas suivants :

· Hypersensibilité aux substances actives (prednisolone ou oxymétazoline)ou à l’un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1.

· Enfant de moins de 15 ans.

· Antécédents d'accident vasculaire cérébral ou de facteurs de risquesusceptibles de favoriser la survenue d'accident vasculaire cérébral, enraison de l'activité sympathomimétique alpha du vasoconstricteur.

· Hypertension artérielle sévère ou mal équilibrée par letraitement.

· Insuffisance coronarienne sévère.

· Risque de glaucome par fermeture de l'angle.

· Risque de rétention urinaire liée à des troublesurétro-prostatiques.

· Rhinite sèche

· Phéochromocytome

· Antécédents de convulsions.

· Chez les patients ayant subi une hypophysectomie transphénoïdale

· Trouble de l'hémostase, notamment épistaxis.

· Infection oro-bucco-nasale et ophtalmique par herpès simplex virus.

· En association aux sympathomimétiques à action indirecte :vasoconstricteurs destinés à décongestionner le nez, qu'ils soientadministrés par voie orale ou nasale [phényléphrine (alias néosynéphrine),pse­udoéphédrine, éphédrine…] ainsi que méthylphénidate, en raison durisque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives (voirrubrique 4.5).

L'association de deux décongestionnants est contre-indiquée, quelle quesoit la voie d'administration (orale et/ou nasale) : une telle association estinutile et dangereuse et correspond à un mésusage.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Mises en garde spéciales

Dès l'ouverture du conditionnement, et a fortiori dès la premièreutilisation d'une préparation à usage nasal, une contamination microbienne estpossible.

Ne pas avaler.

En raison de la présence d'oxymétazoline

Tenir loin des yeux.

Il est impératif de respecter strictement la posologie, la durée detraitement de 3 à 5 jours, les contre- indications (voir rubrique 4.3).

Ne pas utiliser de façon prolongée, en raison d'un risque de rebond et derhinite iatrogène.

Aux posologies recommandées, et en cas d’utilisation prolongée, cemédicament peut augmenter les symptômes de congestion nasale par hypertrophiede la muqueuse nasale (appelée rhinite iatrogène). Une congestion nasale derebond peut également survenir à l’arrêt du traitement.

Des instillations répétées et/ou prolongées peuvent entraîner un passagesystémique non négligeable des principes actifs.

L’utilisation prolongée du médicament peut entraîner une réduction del’effet due à la répétition de l’exposition au médicament(tachyp­hylaxie), une vasoconstriction cérébrale segmentaire réversible avecvasospasme du système nerveux central et céphalées, une vasoconstriction, unehypertension, une syncope, une dépendance et une psychose.

Les patients doivent être informés que la survenue d'une hypertensionar­térielle, de tachycardie, de palpitations ou de troubles du rythme cardiaque,de nausées ou de tout signe neurologique (tels que l'apparition ou lamajoration de céphalées) impose l'arrêt du traitement.

En raison du risque potentiel d’absorption systémique, l’oxymétazolinedoit être utilisée avec précaution, et uniquement sur avis médical, chez lespatients présentant une hypertension artérielle, une maladie cardiovascula­ire,une hyperthyroïdie, un diabète, une hypertrophie de la prostate ainsi qu’unepsychose.

La prise de ce médicament est déconseillée, en raison du risque devasoconstriction et/ou de poussées hypertensives lié à son activitésympat­homimétique alpha, avec les médicaments suivants (voir rubrique4.5) :

· IMAO non sélectifs (iproniazide).

· Alcaloïdes de l’ergot de seigle dopaminergiques (bromocriptine,ca­bergoline, lisuride ou pergolide) ou vasoconstricteurs (dihydroergota­mine,ergotami­ne, méthylergométrine ou methysergide).

L’utilisation de ce médicament doit être évitée avant le coucher enraison des risques d’insomnie.

Des troubles neurologiques à type de convulsions, d'hallucinations, detroubles du comportement, d'agitation, d'insomnie, ont été décrits, plusfréquemment chez des enfants, après administration de vasoconstricteurs parvoie systémique, en particulier au cours d'épisodes fébriles ou lors desurdosages.

Par conséquent, il convient notamment :

· de ne pas prescrire ce traitement en association avec des médicamentssus­ceptibles d'abaisser le seuil épileptogène tels que : dérivésterpéniques, clobutinol, substances atropiniques, anesthésiques locaux… ouen cas d'antécédents convulsifs ;

· de respecter, dans tous les cas, la posologie préconisée, et d'informerle patient des risques de surdosage en cas d'association avec d'autresmédicaments contenant des vasoconstricteurs.

En raison de la présence d’un corticoïde

Des effets systémiques peuvent apparaître en particuliers lors detraitement au long cours avec des doses élevées de corticoïdes par voienasale. Le risque de retentissement systémique reste néanmoins moins importantqu'avec les corticoïdes oraux et peut varier en fonction de la susceptibilité­individuelle et de la composition de la spécialité corticoïde utilisée. Leseffets systémiques possibles sont syndrome de Cushing ou symptômescushin­goïdes, amincissement cutané, hématomes sous cutanés, insuffisancesu­rrénalienne, retard de croissance chez les enfants et les adolescents,di­minution de la densité osseuse, cataracte et glaucome et plus rarement,troubles psychologiques et du comportement comprenant hyperactivitép­sychomotrice, troubles du sommeil, anxiété, dépression ou agressivité (enparticulier chez l'enfant).

Troubles visuels : des troubles visuels peuvent apparaitre lors d’unecorticot­hérapie par voie systémique ou locale. En cas de vision floue oud’apparition de tout autre symptôme visuel apparaissant au cours d’unecorticot­hérapie, un examen ophtalmologique est requis à la recherche notammentd’une cataracte, d’un glaucome, ou d’une lésion plus rare telle qu’unechorioré­tinopathie séreuse centrale, décrits avec l’administration decorticostéroïdes par voie systémique ou locale.

L'administration conjointe de corticoïde par voie nasale chez les patientssous corticothérapie orale au long cours ne dispense pas des précautionsné­cessaires lors d'une réduction des doses de corticoïde par voie orale.Celles-ci seront diminuées très progressivement et le sevrage devra êtreeffectué sous surveillance médicale attentive (à la recherche de l'apparitionde signes d'insuffisance surrénale aiguë ou subaiguë) se prolongeant au-delàde l'arrêt de la corticothérapie générale.

L’administration locale par voie nasale de corticoïde n’est pasrecommandée chez les patients ayant présenté récemment une ulcération de lacloison nasale, ou ayant subi une intervention ou un traumatisme au niveau dunez, tant que la guérison n’est pas complète.

Liées à la présence d’excipient

En raison de la présence de chlorure de benzalkonium, ce médicament peutprovoquer un œdème de la muqueuse nasale, particulièrement dans le casd’une utilisation à long terme, et une gêne respiratoire.

Précautions d'emploi

En cas de tuberculose pulmonaire, d'infection mycosique pulmonaire,l'in­stauration d'une surveillance étroite et d'un traitement adaptés'impose.

L'attention des sportifs est attirée sur le fait que la prednisolone peutinduire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôlesanti­dopage.

Liée à la présence de prednisolone

Si une candidose nasale ou pharyngée apparait pendant le traitement, lacorticothérapie par voie nasale doit être interrompue et un traitementapproprié doit être initié.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Liées à la présence d'oxymétazoline
Associations contre-indiquées

+ Sympathomimétiques indirects [Phényléphrine (alias néosynéphrine),pse­udoéphédrine, éphédrine) et méthylphénidate]

Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

Associations déconseillées

+ IMAO non sélectifs (iproniazide)

Crises hypertensives (inhibition du métabolisme des amines pressives). Dufait de la longue action des IMAO, cette interaction est encore possible15 jours après l'arrêt de l'IMAO.

+ Alcaloïdes de l'ergot de seigle dopaminergiques (bromocriptine,ca­bergoline, lisuride, pergolide)

Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

+ Alcaloïdes de l'ergot de seigle vasoconstricteurs (dihydroergota­mine,ergotami­ne, méthylergométrine, méthysergide)

Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

Liées à la présence de prednisolone
Associations déconseillées

+ Inhibiteurs du CYP3A

Il est prévu que l’administration concomitante d’inhibiteurs du CYP3A, ycompris de produits contenant du cobicistat, augmente le risque d’effetssecondaires systémiques. L’association doit être évitée, sauf si lesbénéfices sont supérieurs au risque accru d’effets secondaires systémiquesdes corticostéroïdes ; dans ce cas, les patients doivent être surveillés envue de détecter les éventuels effets secondaires systémiques descorticosté­roïdes.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Il n'y a pas de données fiables de tératogenèse chez l'animal.

En clinique, l'utilisation d'oxymétazoline au cours d'un nombre limité degrossesses n'a apparemment révélé aucun effet malformatif ou fœtotoxiquepar­ticulier à ce jour. Toutefois, des études complémentaires sontnécessaires pour évaluer les conséquences d'une exposition en cours degrossesse.

En conséquence, en raison de la longue durée d'action de ce médicament etde possibles effets néonataux liés aux puissantes propriétésvaso­constrictrices de cette molécule, l'utilisation d'oxymétazoline estdéconseillée pendant la grossesse.

Allaitement

Il n'y a pas de données concernant le passage dans le lait materneld'oxy­métazoline. Par conséquent, il est déconseillé d'administrer­l'oxymétazoli­ne pendant la période d'allaitement.

Fertilité

Sans objet.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

Sans objet.

4.8. Effets indésirables

Les effets indésirables ont été classés par ordre de fréquence enutilisant la convention suivante : très fréquent ≥ 1/10 ; fréquent ≥1/100, < 1/10 ; peu fréquent ≥ 1/1000, < 1/100 ; rare ≥ 1/10 000,<1/1000 ; très rare < 1/10 000 ; fréquence indéterminée (ne peutêtre estimée avec les données disponibles).

Liés à la présence d'oxymétazoline
Troubles cardiaques
Fréquence indéterminée

· Palpitations.

· Tachycardie.

· Infarctus du myocarde.

· Bradycardie réflexe.

Troubles visuels
Fréquence indéterminée

· Vision floue (voir rubrique 4.4).

· Crise de glaucome par fermeture de l'angle.

Troubles gastro-intestinaux
Fréquence indéterminée

· Sécheresse buccale.

· Nausées.

· Vomissements.

Troubles du système nerveux
Fréquent

· Céphalées.

Fréquence indéterminée

· Accidents vasculaires cérébraux hémorragiques, exceptionnellement chezdes patients ayant utilisé des spécialités à base de chlorhydrate depseudoéphédrine; ces accidents vasculaires cérébraux sont apparus lors desurdosage ou mésusage chez des patients présentant des facteurs de risquesvasculaires.

· Accidents vasculaires ischémiques.

· Convulsions.

Troubles psychiatriques

Une fièvre, un surdosage, une association médicamenteuse susceptible dediminuer le seuil épileptogène ou de favoriser un surdosage, ont souvent étéretrouvés et semblent prédisposer à la survenue des effets ci-dessous (voirrubriques 4.3 et 4.4) :

Fréquent

· Insomnie.

Fréquence indéterminée

· Anxiété.

· Agitation.

· Troubles du comportement.

· Hallucinations.

Troubles urinaires
Fréquence indéterminée

· Dysurie (en particulier en cas de troubles urétroprostati­ques).

· Rétention urinaire (en particulier en cas de troublesurétro­prostatiques).

Troubles cutanés
Fréquence indéterminée

· Sueurs.

· Exanthème.

· Prurit.

· Urticaire.

Troubles vasculaires
Fréquence indéterminée

· Hypertension (poussée hypertensive).

· Vasoconstriction.

Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinales
Fréquent

· Sécheresse nasale.

Fréquence indéterminée

· Dyspnée.

Troubles du système immunitaire
Fréquence indéterminée

· Hypersensibilité.

Liés à la présence de prednisolone

Le risque d'effets systémiques liés au corticoïde administré par voienasale n'est pas exclu (voir rubrique 4.4). Ce risque est majoré en casd'administration concomitante d'une corticothérapie par voie inhalée ou afortiori par voie systémique.

Infections et infestations
Fréquence indéterminée

· Candidose oropharyngée.

· Candidose nasale.

En cas, d’infections à Candida albicans nasales et pharyngées lors dutraitement, il conviendra d'interrompre la corticothérapie par voie nasale etd'envisager la mise en route d’un traitement adapté.

Troubles endocriniens
(Voir Rubrique 4.4)
Fréquence indéterminée

· Insuffisance adrénocorticale : le risque d’insuffisance corticotropelatente après administration prolongée devra être considéré en casd’infection intercurrente, d’accident ou d’intervention chirurgicale.

· Syndrome de Cushing.

· Symptômes Cushingoïde.

· Insuffisance surrénalienne.

Troubles psychiatriques
(Voir Rubrique 4.4)
Fréquence indéterminée

· Dépression.

· Anxiété.

· Troubles du sommeil.

· Agressivité.

· Hyperactivité psychomotrice

Troubles du système nerveux
Fréquence indéterminée

· Dysgeusie.

· Parosmie.

Troubles visuels
(Voir Rubrique 4.4)
Fréquence indéterminée

· Choriorétinopat­hies.

· Glaucome.

· Cataracte.

· Vision floue.

· Troubles visuels.

Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux
Fréquent

· Sécheresse nasale.

Fréquence indéterminée

· Epistaxis.

· Gêne nasale.

Troubles de la peau et du tissu sous-cutané
(Voir Rubrique 4.4)
Fréquence indéterminée

· Atrophie cutanée.

· Contusion.

Troubles musculosquelettique et du tissu conjonctif
(Voir Rubrique 4.4)
Fréquence indéterminée

· Retard de croissance.

Investigations
(Voir Rubrique 4.4)
Fréquence indéterminée

· Réduction de la densité osseuse.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

En cas d’administration réitérée ou abusive, l’oxymétazoline peutprovoquer, par passage systémique : hypothermie, sédation, perte deconnaissance, coma ou dépression respiratoire.

Signes et symptômes

En cas de surdosage, les symptômes lié à une stimulation excessive desrécepteurs α-adrénergiques sont : dépression du système nerveux central(perte des réflexes des voies respiratoires et dépression respiratoire,hy­pothermie, sédation, perte de connaissance et coma), hypertension pouvantconduire à une hémorragie cérébrale ou un œdème pulmonaire.L’hy­pertension peut être suivie d’une hypotension.

Conduite à tenir

En cas de surdosage ou de prise accidentelle du médicament, les patientsdoivent être orientés vers un établissement de santé. Un traitementsym­ptomatique devra être mis en place. Des soins médicaux d’urgence doiventêtre apportés immédiatement en cas de prise orale accidentelle par unenfant.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : Décongestionnants et autres préparationsà usage topique, code ATC : R01AD52.

Ce médicament est une association d'un sympathomimétique alpha,vasocon­stricteur décongestionnant et d'un glucorticoïde ayant une activitéanti-inflammatoire sur les muqueuses nasales.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Administré par voie nasale, l'oxymétazoline est résorbée au niveau de lamuqueuse nasale, et également au niveau gastro-intestinal après déglutition.La résorption au niveau de la muqueuse nasale est diminuée par lavasoconstriction provoquée par l'application de ce produit.

5.3. Données de sécurité préclinique

Sans objet.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Mannitol, chlorure de benzalkonium, acide chlorhydrique concentré, eaupurifiée.

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

Avant reconstitution : 3 ans.

Après reconstitution, la durée de conservation est de 8 jours maximum.

6.4. Précautions particulières de conservation

A conserver à une température ne dépassant pas 25°C.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

Poudre : Flacon de 10 ml en verre blanc de type III, fermé par un bouchonen caoutchouc chlorobutyl.

Solvant : Flacon pulvérisateur de 10 ml en polyéthylène, muni d'un emboutet d'un bouchon en polyéthylène. Le tube plongeur est en polyéthylène.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

· Oter le bouchon du flacon en plastique.

· Visser à fond le flacon en verre dans le flacon en plastique.

· Retourner l'ensemble. Appuyez plusieurs fois sur le flacon en plastiquepour faire passer tout le liquide dans le flacon en verre.

· Agiter une dizaine de fois.

· Placer de nouveau le flacon en plastique en bas.

· Appuyer plusieurs fois sur le flacon en plastique pour faire redescendretout le liquide.

· Dévisser le flacon en verre. Le flacon plastique pulvérisateur est prêtà l'emploi.

· Reboucher après usage.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

SANOFI AVENTIS FRANCE

82 AVENUE RASPAIL

94250 GENTILLY

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 320 968 6 2 : 10 ml en flacon pulvérisateur (Polyéthylène) +flacon de poudre (verre).

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I.

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