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DOLI ETAT GRIPPAL PARACETAMOL/VITAMINE C/PHENIRAMINE 500 mg/200 mg/25 mg, poudre pour solution buvable en sachet - résumé des caractéristiques

ATC classification:

Dostupné balení:

Résumé des caractéristiques - DOLI ETAT GRIPPAL PARACETAMOL/VITAMINE C/PHENIRAMINE 500 mg/200 mg/25 mg, poudre pour solution buvable en sachet

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

DOLI ETAT GRIPPAL PARACETAMOL/ VITAMINE C/ PHENIRAMINE 500 mg/ 200 mg/25 mg, poudre pour solution buvable en sachet

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Paracétamol..­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­..500 mg

VitamineC....­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­..200 mg

Maléate dephéniramine­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­..25 mg

Pour un sachet de 13,1 g.

Excipient à effet notoire : saccharose (11,5 g).

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Poudre pour solution buvable en sachet.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Ce médicament est indiqué chez l’adulte et l’enfant de plus de 15 ansdans le traitement au cours des rhumes, rhinites, rhinopharyngites et des étatsgrippaux :

· de l'écoulement nasal clair et des larmoiements,

· des éternuements,

· des maux de tête et/ou fièvre.

4.2. Posologie et mode d'administration

Mode d'administration

Voie orale.

Les sachets doivent être pris dans une quantité suffisante d'eau, froide ouchaude.

Posologie

Cette présentation est réservée à l'adulte et à l’enfant de plus de15 ans.

La posologie est de 1 sachet 2 ou 3 fois par jour.

Les prises doivent être espacées d'au moins 4 heures.

Au cours d'états grippaux, il est préférable de prendre ce médicamentdans de l'eau chaude le soir.

Durée de traitement

La durée maximale du traitement est de 5 jours.

En cas d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinineinfé­rieure à 10 ml/mn), l'intervalle entre 2 prises sera au minimum de8 heures.

4.3. Contre-indications

Ce médicament est contre-indiqué dans les situations suivantes :

· en cas d’hypersensibilité aux substances actives ou à l’un desexcipients mentionnés à la rubrique 6.1,

· en cas d'insuffisance hépatocellulaire sévère,

· en cas de risque de glaucome par fermeture de l'angle,

· en cas de risque de rétention urinaire liée à des troublesurétro-prostatiques,

· chez l'enfant de moins de 15 ans.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

En cas de fièvre élevée ou persistante, de survenue de signes desurinfection ou de persistance des symptômes au-delà de 5 jours, uneréévaluation du traitement doit être faite.

Mises en garde spéciales

Le risque de dépendance essentiellement psychique n'apparaît que pour desposologies supérieures à celles recommandées et pour des traitements aulong cours.

Pour éviter un risque de surdosage, vérifier l'absence de paracétamol dansla composition d'autres médicaments.

Chez l'adulte et l’enfant de plus de 50 kg :

LA DOSE TOTALE DE PARACETAMOL NE DOIT PAS EXCEDER 4 GRAMMES PAR JOUR (voirrubrique 4.9).

Précautions d'emploi

En raison de la présence de paracétamol :

L’administration de paracétamol peut exceptionnellement entraîner unetoxicité hépatique, même à dose thérapeutique, après un traitement decourte durée et chez des patients sans antécédent de troubles hépatiques(voir rubrique 4.8).

Le paracétamol est à utiliser avec précaution sans dépasser 3 g/jourdans les situations suivantes (voir rubrique 4.2):

· poids < 50kg,

· insuffisance hépatocellulaire légère à modérée,

· insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min) (voir aussi rubrique 5.2),

· alcoolisme chronique,

· déshydratation

· réserves basses en glutathion telles que par exemple malnutritionchro­nique, jeûne, amaigrissement récent, sujet âgé de plus de 75 ans ou deplus de 65 ans et polypathologique, hépatite virale chronique et VIH,mucoviscidose, cholémie familiale (Maladie de Gilbert)

· allergie à l’aspirine et/ou aux anti-inflammatoires nonstéroïdien­s (AINS)

La consommation de boissons alcoolisées pendant le traitement estdéconseillée.

En cas de sevrage récent d’un alcoolisme chronique, le risque d’atteintehépatique est majoré.

En cas de découverte d’une hépatite virale aigüe, il convientd’arrêter le traitement.

Ce médicament contient du saccharose. Son utilisation est déconseilléechez les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome demalabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase/isomaltase.

Ce médicament contient 11,5 g de saccharose par sachet, en tenir comptedans la ration journalière en cas de diabète ou de régime pauvreen sucre.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Associations déconseillées

+ Alcool (liées à la présence de phéniramine)

Majoration par l'alcool de l'effet sédatif de l'antihistaminique H1.L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhiculeset l'utilisation de machines.

Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant del'alcool.

Associations faisant l'objet de précautions d’emploi Liées à la présence de paracétamol:

+ Anticoagulants oraux : warfarine et autres antivitamines K (AVK)

Risque d'augmentation de l'effet de la warfarine et des autres AVK et durisque hémorragique en cas de prise de paracétamol aux doses maximales(4 g/j) pendant au moins 4 jours. Contrôle biologique incluant un contrôleplus fréquent de l'INR. Adaptation éventuelle de la posologie de la warfarineet des autres AVK pendant le traitement par le paracétamol et aprèsson arrêt.

+ Les résines chélatrices :

La prise de résine chélatrice peut diminuer l’absorption intestinale, etpotentiellement l’efficacité du paracétamol pris simultanément. D’unefaçon générale, la prise de la résine doit se faire à distance de celle duparacétamol en respectant un intervalle de plus de 2 heures, si possible.

+ Flucloxacilline :

Risque d’acidose métabolique chez les patients recevant un traitementcon­comitant par flucloxacilline, en particulier chez les patients présentant unfacteur de risque de déficit en glutathion, tel qu’une septicémie, unemalnutrition, un alcoolisme chronique.

+ Médicaments hépatotoxiques :

La toxicité du paracétamol peut être augmentée chez les patients traitéspar des médicaments potentiellement hépatotoxiques ou par des médicamentsin­ducteurs enzymatiques du cytochrome P450, tels que les médicamentsanti-épileptiques (tels que phénobarbital, phénytoïne, carbamazépine,to­piramate), la rifampicine ou en cas de prise concomitante d’alcool.L’in­duction du métabolisme entraine une production importante du métabolitehépa­totoxique du paracétamol. L’hépatotoxicité se produit si la quantitéde ce métabolite dépasse les capacités de liaison au gluthation.

Interactions avec les examens paracliniques :

La prise de paracétamol peut fausser le dosage de la glycémie par laméthode à la glucose oxydase peroxydase en cas de concentrations anormalementé­levées.

La prise de paracétamol peut fausser le dosage de l’acide urique dans lesang par la méthode à l’acide phosphotungstique.

Associations à prendre en compte Liées à la présence de phéniramine :

+ Autres médicaments sédatifs : dérivés morphiniques (analgésiques,an­titussifs et traitements de substitution), neuroleptiques, barbituriques,ben­zodiazépines, anxiolytiques autres que benzodiazépines (par exempleméproba­mate), hypnotiques, antidépresseurs sédatifs (amitriptyline,do­xépine, miansérine, mirtazapine, trimipramine), antihistaminiques H1sédatifs, antihypertenseurs centraux, baclofène et thalidomide.

Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peutrendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.

+ Autres médicaments atropiniques : antidépresseurs imipraminiques, laplupart des antihistaminiques H1 atropiniques, les antiparkinsoni­ensanticholiner­giques, antispasmodiques atropiniques, disopyramide, neuroleptiques­phénothiazini­ques ainsi que clozapine.

Addition des effets indésirables atropiniques à type de rétentionurinaire, constipation, sécheresse de la bouche.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

En l'absence d'étude chez l'animal et de données cliniques humaines, lerisque n'est pas connu; par conséquent, par mesure de prudence, ne pasprescrire chez la femme enceinte ou qui allaite.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

L'attention est appelée, notamment chez les conducteurs de véhicules et lesutilisateurs de machines sur les risques de somnolence attachés à l'emploi dece médicament, surtout en début de traitement.

Ce phénomène est accentué par la prise de boissons alcoolisées, demédicaments contenant de l'alcool ou de médicaments sédatifs.

4.8. Effets indésirables

Liés à la phéniramine : Effets neurovégétatifs :

· sédation ou somnolence, plus marquée en début de traitement,

· effets anticholinergiques à type de sécheresse des muqueuses,con­stipation, troubles de l'accommodation, mydriase, palpitations, risque derétention urinaire,

· hypotension orthostatique,

· troubles de l'équilibre, vertiges, baisse de la mémoire ou de laconcentration, plus fréquents chez le sujet âgé,

· incoordination motrice, tremblements,

· confusion mentale, hallucinations,

· plus rarement, des effets sont à type d'excitation: agitation,ner­vosité, insomnie.

Réactions d'hypersensibilité (rare) :

· érythèmes, prurit, eczéma, purpura, urticaire,

· œdème, plus rarement œdème de Quincke,

· choc anaphylactique.

Effets hématologiques :

· leucopénie, neutropénie,

· thrombocytopénie,

· anémie hémolytique.

Liés au paracétamol : Affections du système immunitaire :

· Rare : réactions d’hypersensibilité à type de choc anaphylactiqu­e,œdème de Quincke. Leur survenue impose l’arrêt définitif de ce médicamentet des médicaments apparentés.

Affections de la peau et des tissus sous-cutanés :

· Rare : érythème, urticaire, rash cutané ont été rapportés. Leursurvenue impose l’arrêt définitif de ce médicament et des médicamentsap­parentés.

· De très rares cas d’effets indésirables cutanés graves ont étérapportés.

· Fréquence indéterminée : érythème pigmenté fixe.

Affections hématologiques et du système lymphatique :

· Très exceptionnels : thrombopénie, leucopénie et neutropénie.

· Fréquence indéterminée : agranulocytose, anémie hémolytique chez lespatients présentant un déficit en glucose-6-phosphate-deshydrogénase.

Affections hépatobiliaires :

· Fréquence indéterminée : augmentation des transaminases, atteintehépatique cytolytique, hépatite aiguë, hépatite massive en particulier lorsd’une utilisation dans une situation à risque (voir rubrique 4.4).

Affections cardiaques :

· Fréquence indéterminée : syndrome de Kounis.

Affections respiratoires, thoraciques et médiastinaux :

· Fréquence indéterminée : bronchospasme (voir rubrique 4.4).

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

Lié à la phéniramine :

Le surdosage en phéniramine peut entraîner: convulsions (surtout chezl'enfant), troubles de la conscience, coma.

Lié au paracétamol :

Le risque d’une intoxication grave peut être particulièrement élevéchez les sujets âgés, chez les jeunes enfants (surdosage thérapeutique ouintoxication accidentelle fréquente), chez les patients avec une atteintehépatique, en cas d’alcoolisme chronique, chez les patients souffrant deréserves basses en glutathion telles que la malnutrition chronique (voirrubrique 4.2), le jeûne, l’amaigrissement récent, le vieillissement, lesvirus de l’hépatite virale chronique et du VIH, la cholémie familiale(Maladie de Gilbert). Dans ces cas, l’intoxication peut être mortelle.

Symptômes :

Nausées, vomissements, anorexie, pâleur, douleurs abdominales apparaissentgé­néralement dans les 24 premières heures.

Un surdosage de paracétamol, peut provoquer une cytolyse hépatiquesuscep­tible d'entraîner une insuffisance hépatocellulaire, une acidosemétabolique, une encéphalopathie, un coma et le décès.

En cas de surdosage aigu, il peut être observé dans les 12 à 48 heuresune augmentation des transaminases hépatiques, de la lactico-deshydrogénase,de la bilirubine et une diminution du taux de prothrombine.

Le surdosage peut également entraîner une pancréatite, unehyperamylasémie, une insuffisance rénale aiguë et une pancytopénie.

Conduite d'urgence :

· Transfert immédiat en milieu hospitalier.

· Prélever un tube de sang pour faire le dosage plasmatique initial deparacétamol. Ce dosage sera à interpréter en fonction du délai entrel’heure supposée de la prise et l’heure de prélèvement.

· Evacuation rapide du produit ingéré par lavage gastrique.

· Le traitement du surdosage comprend classiquement l'administration aussiprécoce que possible de l'antidote N-acétylcystéine par voie I.V. ou voieorale si possible avant la dixième heure.

· Traitement symptomatique.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : Autres médicaments du rhume enassociation, code ATC : R05X

Ce médicament agit en exerçant 3 actions pharmacologiques:

· une action antihistamique qui permet de réduire les rhinorrhées et leslarmoiements souvent associés, et qui s'oppose aux phénomènes spasmodiquestels que les éternuements en salve.

· une action antalgique antipyrétique permettant une sédation de lafièvre et de la douleur (céphalées, myalgies).

· une compensation en acide ascorbique de l'organisme.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Absorption

L'absorption du paracétamol par voie orale est complète et rapide. Lesconcentrations plasmatiques maximales sont atteintes 30 à 60 minutes aprèsingestion.

Distribution

Le paracétamol se distribue rapidement dans tous les tissus. Lesconcentrations sont comparables dans le sang, la salive et le plasma. La liaisonaux protéines plasmatiques est faible.

Biotransformation

Le paracétamol est métabolisé essentiellement au niveau du foie. Les2 voies métaboliques majeures sont la glycuroconjugaison et lasulfoconjugaison. Cette dernière voie est rapidement saturable aux posologiessupé­rieures aux doses thérapeutiques. Une voie mineure, catalysée par lecytochrome P 450, est la formation d'un intermédiaire réactif (le N-acétylbenzoquinone imine), qui, dans les conditions normales d'utilisation, estrapidement détoxifié par le glutathion réduit et éliminé dans les urinesaprès conjugaison à la cystéine et à l'acide mercaptopurique. En revanche,lors d'intoxications massives, la quantité de ce métabolite toxique estaugmentée.

Élimination

L'élimination est essentiellement urinaire. 90 % de la dose ingérée sontéliminés par le rein en 24 heures, principalement sous formeglycurocon­juguée (60 à 80 %) et sulfoconjuguée (20 à 30 %).

Moins de 5 % est éliminé sous forme inchangée. La demi-vie d'éliminationest d'environ 2 heures.

Variations physiopathologiques

· Insuffisant rénal : en cas d'insuffisance rénale sévère (clairance dela créatinine inférieure à 30 ml/min), l'élimination du paracétamol et deses métabolites est retardée.

· Sujet âgé : la capacité de conjugaison n'est pas modifiée.

Le maléate de phéniramine est bien absorbé au niveau du tube digestif. Sademi-vie plasmatique est de 1h à 1h30 environ. Il possède une grande affinitétissulaire et est éliminé essentiellement par voie rénale.

La vitamine C : l'absorption digestive est bonne. En cas d'apportssupérieurs aux besoins, l'excès est éliminé par voie urinaire.

5.3. Données de sécurité préclinique

Sans objet.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Gomme arabique, acide citrique anhydre, saccharine sodique, saccharose,arôme antillais (huiles essentielles de citron, d’orange, pulpe d’orange,extraits naturels de rhum et vanille, maltol, citral sur support composé demaltodextrine, de gomme arabique et de sucre).

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

2 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation

A conserver à une température ne dépassant pas 25°C.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

8, 10, 12 ou 15 sachets (papier/Alumi­nium/PE).

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d'exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

OPELLA HEALTHCARE FRANCE SAS

82 AVENUE RASPAIL

94250 GENTILLY

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 277 328 4 3 : 6 sachets (papier/Alumi­nium/PE)

· 34009 277 329 0 4 : 8 sachets (papier/Alumi­nium/PE)

· 34009 277 330 9 3 : 10 sachets (papier/Alumi­nium/PE)

· 34009 277 331 5 4 : 12 sachets (papier/Alumi­nium/PE)

· 34009 277 332 1 5 : 15 sachets (papier/Alumi­nium/PE)

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Médicament non soumis à prescription médicale.

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