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DRILL TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE ADULTES 15 mg/5 ml SANS SUCRE, sirop édulcoré au maltitol liquide - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - DRILL TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE ADULTES 15 mg/5 ml SANS SUCRE, sirop édulcoré au maltitol liquide

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

DRILL TOUX SECHE DEXTROMETHORPHANE ADULTES 15mg/5ml SANS SUCRE, siropédulcoré au maltitol liquide

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Bromhydrate de dextrométhorpha­ne……………………...­.............­.............­.............­.............­.......0,3 g

Pour 100 ml.

Excipients à effet notoire : parahydroxybenzoate de méthyle (E218)(45mg/100ml), parahydroxybenzoate de propyle (E216) (22,5mg/100ml), éthanol à96% (0,025ml /100ml), maltitol liquide (100g/100ml).

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Sirop.

Solution visqueuse claire et incolore.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Ce médicament est indiqué dans le traitement de courte durée des touxsèches et des toux d’irritation chez l’adulte et l’adolescent à partirde 15 ans.

4.2. Posologie et mode d'administration

Voie orale.

Posologie

Réservé à l’adulte et l’adolescent à partir de 15 ans.

Une mesure de 5 ml contient 15 mg de bromhydrate de dextrométhorphane.

Il est recommandé de prendre 1 à 2 mesures de 5 ml 3 à 4 foispar jour.

En cas de besoin, renouveler la prise au bout de 4 heures.

Ne dépasser en aucun cas 8 mesures de 5 ml par jour correspondant à ladose quotidienne maximale de 120 mg de bromhydrate de dextrométhorphane.

La durée du traitement doit être limitée à 5 jours au bout desquels unavis médical est recommandé si les symptômes persistent.

Le traitement doit être limité aux épisodes de toux, sans dépasser lesdoses recommandées.

Population pédiatrique

Ce médicament ne devrait pas être utilisé chez l’enfant de moins de15 ans.

Chez le sujet âgé ou en cas d’insuffisance hépatique : la posologieinitiale sera diminuée de moitié par rapport à la posologie conseillée, etpourra éventuellement être augmentée en fonction de la tolérance et desbesoins cliniques (voir rubrique 5.2).

4.3. Contre-indications

· Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipientsmen­tionnés à la rubrique 6.1.

· Insuffisance respiratoire ou utilisation chez les patients à risque dedévelopper une insuffisance respiratoire.

· Maladie obstructive sévère des voies respiratoires ou asthme.

· Traitement concomitant avec les antidépresseurs de type IMAO et 14 joursaprès la fin du traitement (voir rubrique 4.5).

· Allaitement (voir rubrique 4.6).

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Mises en garde spéciales

· Les toux productives sont un élément fondamental du mécanisme dedéfense broncho-pulmonaire et ne doivent pas être supprimées.

· Un médicament expectorant ou mucolytique ne doit pas être combiné à unmédicament antitussif.

· Avant de délivrer un traitement antitussif, il convient de s’assurerque les causes de la toux qui requièrent un traitement spécifique ont étérecherchées.

· Le bromhydrate de dextrométhorphane ne doit pas être administré à despatients atteints de toux chroniques ou persistantes ou à des patients ayantune toux accompagnée de sécrétions excessives.

· Si la toux ne répond pas à un antitussif administré à une posologieusuelle, on ne doit pas procéder à une augmentation des doses ; la situationclinique doit être réévaluée.

· Ce médicament contient du parahydroxybenzoate de méthyle (E218) et duparahydroxy­benzoate de propyle (E216) et peut provoquer des réactionsaller­giques (éventuellement retardées).

· Ce médicament contient du maltitol liquide. Son utilisation estdéconseillée chez les patients présentant une intolérance au fructose(maladie héréditaire rare). Ce médicament peut provoquer un effet laxatifléger. Valeur calorique 2,3 kcal/g de sirop de maltitol.

· Il convient d’être prudent chez les patients atteints d’insuffisance­hépatique sévère (voir rubrique 5.2).

· Des cas d’abus de consommation et de dépendance de dextrométhorpha­neont été rapportés. La prudence est particulièrement recommandée chez lesadolescents et les jeunes adultes, ainsi que chez les patients ayant desantécédents d’abus de médicaments ou de substances psychoactives.

· Le dextrométhorphane est métabolisé par le cytochrome hépatique P4502D6. L’activité de cette enzyme est génétiquement déterminée. Environ10 % de la population générale sont des métaboliseurs lents du CYP2D6. Lesmétaboliseurs lents et les patients qui utilisent de façon concomitante desinhibiteurs du CYP2D6 peuvent présenter des effets exacerbés et/ou prolongésdu dextrométhorphane. La prudence est donc requise chez les patientsmétabo­liseurs lents du CYP2D6 ou consommant de façon concomitante desinhibiteurs du CYP2D6 (voir aussi rubrique 4.5).

Syndrome sérotoninergique

Des effets sérotoninergiques, incluant le développement d’un syndromeséroto­ninergique pouvant mettre en jeu le pronostic vital, ont été rapportésavec le dextrométhorphane lors d’administration concomitante d’agentsséroto­ninergiques, tels que des inhibiteurs sélectifs de la recapture de lasérotonine (IRS), des médicaments qui altèrent le métabolisme de lasérotonine (dont les inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO)) et lesinhibiteurs du CYP2D6.

Le syndrome sérotoninergique peut inclure des modifications de l’étatmental, une instabilité du système nerveux autonome, des anomaliesneuro­musculaires et/ou des symptômes gastro-intestinaux.

En cas de suspicion de syndrome sérotoninergique, le traitement par DRILLTOUX SECHE ADULTES 15mg/5ml SANS SUCRE doit être interrompu.

Précautions particulières d’emploi

· La prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant del’alcool pendant le traitement est déconseillée (voir rubrique4.5 et 4­.7).

· Ce médicament contient de faibles quantités d’éthanol (alcool),infé­rieures à 100 mg par 5 ml.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Associations contre-indiquées

+ IMAO non sélectifs : risque d’apparition d’un syndromeséroto­ninergique : diarrhée, tachycardie, sueurs, tremblements, confusionvoire co­ma.

+ IMAO sélectifs (moclobémide, toloxatone) : par extrapolation à partirdes IMAO non sélectifs. Risque d’apparition d’un syndrome sérotoninergique: diarrhée, tachycardie, sueurs, tremblements, confusion voire coma.

Associations déconseillées

+ Alcool : majoration par l’alcool de l’effet sédatif des antitussifscen­traux. L’altération de la vigilance peut rendre dangereuse la conduite devéhicules et l’utilisation de machines.

Eviter la prise de boissons alcoolisées et d’autres médicaments contenantde l’alcool.

Associations à prendre en compte

+ Autres dépresseurs du système nerveux central : dérivés morphiniques(a­nalgésiques, antitussifs et traitements de substitution) ; neuroleptiques ;barbituriques ; benzodiazépines ; anxiolytiques autres que benzodiazépines ;hypnotiques ; antidépresseurs sédatifs ; antihistaminiques H1 sédatifs ;clonidine et apparentés ; baclofène ; thalidomide.

Majoration de la dépression du système nerveux central. L’altération dela vigilance peut rendre dangereuse la conduite de véhicules et l’utilisationde machines.

+ Autres dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements desubstitution) : dépression respiratoire (synergie potentialisatrice) des effetsdépresseurs des morphiniques en particulier chez le sujet âgé.

Inhibiteurs du CYP2D6

Le dextrométhorphane est métabolisé par le CYP2D6 et subit un métabolismede premier passage important. L’utilisation concomitante d'inhibiteurspu­issants de l’enzyme CYP2D6 peut augmenter les concentrations sanguines dedextrométhorphane plusieurs fois supérieures à la normale. Il en résulte uneaugmentation du risque de survenue d'effets indésirables du dextrométhorpha­ne(agitation, confusion, tremblements, insomnie, diarrhée et détresserespi­ratoire) et d'apparition d'un syndrome sérotoninergique. Les inhibiteurspu­issants du CYP2D6 incluent la fluoxétine, la paroxétine, la quinidine et laterbinafine. En cas d’administration concomitante avec de la quinidine, lesconcentrations plasmatiques de dextrométhorphane ont augmenté jusqu’à20 fois entrainant une augmentation de la survenue d'effets indésirables dudextrométhorphane au niveau du système nerveux central. L’amiodarone, leflécaïnide et la propafénone, la sertraline, le bupropion, la méthadone, lecinacalcet, l’halopéridol, la perphénazine et la thioridazine exercentégalement des effets similaires sur le métabolisme du dextrométhorphane. Sil'administration concomitante d'inhibiteurs du CYP2D6 et du dextrométhorphanene peut être évitée, le patient doit être surveillé et il peut êtrenécessaire de diminuer la dose de dextrométhorphane.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Bien que le dextrométhorphane soit largement utilisé depuis de nombreusesannées, les données cliniques disponibles sur l’utilisation durant lagrossesse sont insuffisantes.

Cependant l’administration d’antitussif d’action centrale en fin degrossesse, à des posologies élevées, même en traitement bref, estsusceptible d’entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.

Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique dedextrométhorphane par la mère, et cela quelle que soit la dose, peut être àl’origine d’un syndrome de sevrage chez le nouveau-né.

Ce médicament n’est pas recommandé durant la grossesse et chez les femmesen âge de procréer n’utilisant pas de contraception.

Compte tenu de la présence d’alcool, l’utilisation de ce médicamentpendant la grossesse est à éviter.

Allaitement

On ignore si le dextrométhorphane ou ses métabolites passent dans le laitmaternel humain. Cependant, quelques cas d’hypotonie et de pausesrespiratoires ont été décrits chez des nourrissons, après ingestion par lesmères d’autres antitussifs centraux à doses supra-thérapeutiques.

Un risque chez les nouveau-nés et les nourrissons ne peut être exclu.

En conséquence, ce médicament est contre-indiqué pendant l’allaitement(voir rubrique 4.3).

Fertilité

Il n’existe pas de données à propos de la fertilité. En l’absence dedonnée, un risque ne peut être exclu (voir rubrique 5.3).

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

Les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines doiventparticu­lièrement faire attention aux risques de somnolence et de vertiges liésà l'emploi de ce médicament.

4.8. Effets indésirables

Les effets indésirables sont classés en fonction de leur fréquenced’après la convention suivante : très fréquent (≥ 1/10), fréquent (≥1/100, <1/10), peu fréquent (≥1/1 000, <1/100), rare (≥1/10 000,<1­/1 000), très rare (<1/10 000), fréquence indéterminée (ne peutêtre estimée sur la base des données disponibles).

Affections gastro-intestinales

Indéterminé (ne peut être estimée sur la base des données disponibles) :Nausées, vomissements, constipation.

Affections du système nerveux

Indéterminé (ne peut être estimée sur la base des données disponibles):- Vertiges, somnolence.

Affections du système immunitaire

Indéterminé (ne peut être estimée sur la base des données disponibles) :Réactions allergiques (à type d’éruption prurigineuse, urticaire, oedèmede Quincke, bronchospasme).

Des cas d’abus à des fins récréatives et hallucinogènes ont étérapportés, notamment chez des adolescents et des jeunes adultes ainsi que chezles patients présentant des antécédents d’abus de médicaments ou desubstances psychoactives (voir rubrique 4.4).

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

De plus, les professionnels de santé déclarent tout cas d’abus ou depharmacodépen­dance grave via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et leréseau des Centres d’Evaluation et d’Information sur la Pharmacodépen­dance(CEIP) – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

Symptômes et signes

Les symptômes observés en cas de surdosage aigu sont principalement liésà l’action sur les récepteurs NMDA ; un syndrome anticholinergique ouopiacé est possible.

Un surdosage de dextrométhorphane peut être associé à des nausées, desvomissements, une dystonie, de l’agitation, une confusion, de la somnolence,une torpeur, du nystagmus, de la cardiotoxicité (tachycardie, ECG anormal, dontallongement de l’intervalle QTc), de l’ataxie, une psychose toxique avechallucinations visuelle et hyperexcitabilité mais également de l’hypertension artérielle, de la rétention urinaire, une mydriase et destroubles de l’accommodation, ainsi que des signes neuropsychiques : vertige ethypertonie.

En cas de surdosage massif, les symptômes suivants peuvent être observés :coma, dépression respiratoire, convulsions.

Prise en charge :

En cas de surdosage aigu, une surveillance hospitalière immédiate estrecommandée avec, si nécessaire, un traitement symptomatique, parexemple :

-Du charbon activé peut être administré en l’absence decontre-indication, aux patients asymptomatiques ayant ingéré des surdosages dedextrométhorphane dans l’heure précédente.

-Pour les patients ayant ingéré du dextrométhorphane et qui sont soussédation ou comateux, l’administration de naloxone peut être envisagés auxdosages habituels pour le traitement d’une overdose d’opioïdes. Desbenzodiazépines pour les convulsions, ainsi que des benzodiazépines et desmesures de refroidissement externe pour l’hyperthermie due au syndromeséroto­ninergique peuvent être utilisées Le lavage gastrique ne doit pas êtrepratiqué en raison de l’hypoxie possible lors du geste, augmentant le risquede convulsions.

Des cas d’abus à des fins récréatives ont été rapportés enparticulier chez les adolescents et les jeunes adultes et les patients ayant desantécédents d’abus de médicaments ou substances psychotropes (voirrubrique 4.4.).

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : ANTITUSSIFS, SAUF ASSOCIATIONS AUXEXPECTORANTS, ALCALOIDES DE L’OPIUM ET DERIVES, Code ATC : R05DA09.

Dérivé morphinique antitussif d’action centrale. Aux dosesthérapeu­tiques, il n’entraîne pas de dépression des centres respiratoires ;en revanche, il peut entraîner tolérance, abus et dépendance.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Le dextrométhorphane est bien absorbé au niveau du tractusgastro-intestinal. Il est métabolisé au niveau du foie, et excrété dansl’urine sous forme inchangée ou sous forme de métabolites déméthylés telque le dextrorphan.

Absorption

Le dextrométhorphane est bien absorbé au niveau du tractusgastro-intestinal après administration orale, avec un tmax entre 1,5 et3 heures.

Distribution

En raison de son profil lipophile, le dextrométhorphane présente une largedistribution dans les tissus, notamment au niveau central, tandis que leprincipal métabolite, dextrorphane, qui est moins lipophile, est beaucoup moinsdistribué dans le système nerveux central.

Biotransformation

Après administration par voie orale, le dextrométhorphane subit unmétabolisme de premier passage hépatique rapide et important. Chez levolontaire sain la voie métabolique prédominante observée s'exerce parO-déméthylation au niveau du CYP2D6 dont le niveau d'activité est fonction dugénotype.

Différents phénotypes d’oxydation ont été observés à l'origine d'uneimportante variabilité interindividuelle de la pharmacocinétique. Ledextrométhorphane non métabolisé, associé aux trois métabolites morphinanesdé­méthylés, le dextrorphane (également désigné3-hydroxy-N-méthylmorphinane), 3-hydroxymorphinane et 3-méthoxymorphinane ontété identifiés sous la forme de produits conjugués dans les urines.

Le dextrorphane, qui exerce également une action antitussive, est leprincipal métabolite. Certains sujets présentent un métabolisme ralenticonduisant à la présence prolongée de dextrométhorphane inchangé dans lesang et les urines.

5.3. Données de sécurité préclinique

Il n’existe aucune donnée fiable de tératogénèse chez l’animal enlien avec la présence de dextrométhorphane.

Les données de sécurité préclinique dans la littérature n’ont pasrévélé de conclusion pertinente qui n’aurait pas été mentionnée dansle RCP.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Parahydroxybenzoate de méthyle (E218), parahydroxybenzoate de propyle(E216), éthanol à 96%, sirop de glucose hydrogéné, arôme punch, hydroxydede sodium (pour ajustement du pH), eau purifiée.

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

Conditionnement en flacon (verre) : 4 ans

Conditionnement en flacon (polytéréphtalate d’éthylène) : 3 ans

La préparation doit être utilisée dans les 5 jours suivant l’ouverturedu flacon.

6.4. Précautions particulières de conservation

Conditionnement en flacon (verre) : A conserver à température ambiante

Conditionnement en flacon (polytéréphtalate d’éthylène) : Pas deprécaution particulière de conservation.

Pour les précautions particulières de stockage après la premièreouverture du médicament, voir rubrique 6.3.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

125 ou 150 ml en flacon (verre brun) avec cuillère-mesure (5 ml).

125 ou 150 ml en flacon PET (polytéréphtalate d’éthylène).

Une cuillère-mesure de 5 ml peut être ajoutée dans certainscondi­tionnements.

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d’exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

PIERRE FABRE MEDICAMENT

Les Cauquillous

81500 Lavaur

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· CIP 34009 334 207 2 7 : 150 ml en flacon (verre brun) aveccuillère-mesure 5 ml.

· CIP 34009 359 761 3 0 : 125 ml en flacon PET (polytéréphta­lated’éthylène).

· CIP 34009 359 763 6 9 : 150 ml en flacon PET (polytéréphta­lated’éthylène).

· CIP 34009 343 343 2 0 : 125 ml en flacon (verre brun) aveccuillère-mesure 5 ml.

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

Date de première autorisation : 12 septembre 1991.

Date de dernier renouvellement : 05 septembre 2010.

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

19 Octobre 2017

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I.

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