Résumé des caractéristiques - FLUISEDAL, sirop
1. DENOMINATION DU MEDICAMENT
FLUISEDAL, sirop
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Benzoate de méglumine (exprimé en sel anhydre)..................................................................2,600 g
Polysorbate 20....................................................................................................................0,300 g
Chlorhydrate de prométhazine..............................................................................................0,050 g
Pour 100 ml de sirop.
Une cuillère-mesure de 5 ml contient 130 mg de benzoate de méglumine,15 mg de polysorbate 20, 2,5 mg de chlorhydrate de prométhazine, 3,6 g desaccharose.
Une cuillère à soupe (15 ml) contient 390 mg de benzoate de méglumine,45 mg de polysorbate 20, 7,5 mg de chlorhydrate de prométhazine, 10,8 g desaccharose.
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
3. FORME PHARMACEUTIQUE
Sirop.
4. DONNEES CLINIQUES
4.1. Indications thérapeutiques
Traitement symptomatique des toux non productives gênantes en particulier àprédominance nocturne.
Remarque: l'association d'un antitussif et d'un expectorant n'est pasjustifiée.
4.2. Posologie et mode d'administration
RESERVE A L'ADULTE, L'ENFANT PLUS DE 2 ANS.
Le traitement symptomatique doit être court (quelques jours) et limité auxhoraires où survient la toux.
Adulte3 à 4 cuillères à soupe (15 ml) par jour.
EnfantUtiliser la cuillère-mesure de 5 ml fournie avec ce sirop
· de 24 mois à 30 mois : 3 à 4 cuillères-mesure de 5 mlpar jour,
· de 30 mois à 12 ans : 4 à 6 cuillères-mesure de 5 mlpar jour,
· de 12 à 15 ans : 6 à 9 cuillères-mesure de 5 ml par jour.
Il convient de privilégier les prises vespérales en raison de l'effetsédatif prononcé de la prométhazine.
4.3. Contre-indications
· Hypersensibilité aux substances actives ou à l’un des excipientsmentionnés à la rubrique 6.1.
· En raison de la présence de prométhazine:
o nourrisson (moins de 2 ans) (voir rubrique 4.4).
o antécédents d'agranulocytose,
o risque de rétention urinaire liée à des troublesurétro-prostatiques,
o risque de glaucome par fermeture de l'angle.
o allaitement (voir rubrique 4.6.)
Ce médicament est DECONSEILLE pendant la grossesse (voir rubrique 4.6).
4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi
Les toux productives, qui sont un élément fondamental de la défensebroncho-pulmonaire, sont à respecter.
Il est illogique d'associer un expectorant ou un mucolytique à cemédicament antitussif.
Avant de prescrire un traitement antitussif, il convient de rechercher lescauses de la toux qui requièrent un traitement spécifique.
Si la toux résiste à un antitussif administré à une posologie usuelle, onne doit pas procéder à une augmentation des doses, mais à un réexamen de lasituation clinique.
Les mucolytiques peuvent induire un surencombrement bronchique chez lenourrisson. En effet, ses capacités de drainage du mucus bronchique sontlimitées, en raison des particularités physiologiques de son appareilrespiratoire. Ils ne doivent donc pas être utilisés chez le nourrisson (voirrubriques 4.3 et 4.8).
Le traitement devra être réévalué en cas de persistance ou d'aggravationdes symptômes ou de la pathologie.
Ce médicament contient du saccharose. Son utilisation est déconseilléechez les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome demalabsorption du glucose et du galactose ou un déficit ensucrase/isomaltase.
Ce médicament contient des sulfites (métabisulfite de sodium) qui peuvententraîner ou aggraver des réactions de type anaphylactique.
En cas de diabète, de régime hypoglucidique, tenir compte de l'apport de3,6 g de saccharose par cuillère-mesure de 5 ml et 10,8 g par cuillèreà soupe.
Ce médicament contient du saccharose. Son utilisation est déconseilléechez les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome demalabsorption du glucose et du galactose ou un déficit ensucrase/isomaltase.
Mises en garde liées à la présence de prométhazine:Dans la mesure où les phénothiazines ont été considérées commed'hypothétiques facteurs de risque dans la survenue de mort subite dunourrisson, la prométhazine ne doit pas être utilisée chez l'enfant de moinsde 2 ans (voir rubrique 4.3.).
La surveillance (clinique et éventuellement électrique) doit êtrerenforcée chez les sujets épileptiques en raison de la possibilitéd'abaissement du seuil épileptogène.
Ce médicament est déconseillé chez les sujets âgés de 75 anset plus.
La prométhazine doit être utilisée avec prudence :
· chez le sujet âgé dans la mesure où ils peuvent présenter :
o une plus grande sensibilité à l'hypotension orthostatique, aux vertigeset à la sédation,
o une constipation chronique (risque d'iléus paralytique),
o une éventuelle hypertrophie prostatique;
· chez les sujets porteurs de certaines affections cardio-vasculaires, enraison des effets tachycardisants et hypotenseurs des phénothiazines,
· en cas d'insuffisance hépatique et/ou rénale sévère (en raison durisque d'accumulation).
· en cas d'utilisation concomitante de dépresseurs centraux (en raison d'unrisque de dépression respiratoire).
En cas d'utilisation chez l'enfant, il convient d'éliminer un asthmebronchique ou un reflux gastro-œsophagien avant d'utiliser la prométhazinecomme antitussif.
La prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcoolest fortement déconseillée pendant la durée du traitement (voirrubrique 4.5.).
La prise concomitante de prométhazine et de l'oxybate de sodium estdéconseillée (voir rubrique 4.5).
Compte-tenu de l'effet photosensibilisant des phénothiazines, il estpréférable de ne pas s'exposer au soleil ou aux rayons ultraviolets (UV)pendant le traitement.
Compte tenu de ses propriétés antihistaminiques H1 sédatives, laprométhazine doit être utilisée avec prudence en raison du risque desédation. L'association avec d'autres médicaments sédatifs est déconseillée(voir rubrique 4.5).
Compte-tenu des propriétés anticholinergiques de la prométhazine, unrisque de constipation sévère voire d'entérocolite est majoré s'il estassocié à d'autres médicaments anticholinergiques ou neuroleptiques (voirrubrique 4.5).
4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions
Les interactions mentionnées sont liées à la présence deprométhazine.
+ Médicaments atropiniques
Il faut prendre en compte le fait que les substances atropiniques peuventadditionner leurs effets indésirables et entraîner plus facilement unerétention urinaire, une poussée aiguë de glaucome, une constipation, unesécheresse de la bouche, etc…
Les divers médicaments atropiniques sont représentés par lesantidépresseurs imipraminiques, la plupart des antihistaminiques H1atropiniques, les antiparkinsoniens anticholinergiques, les antispasmodiquesatropiniques, le disopyramide, les neuroleptiques phénothiaziniques ainsi quela clozapine.
+ Médicaments abaissant le seuil épileptogène
L'utilisation conjointe de médicaments proconvulsivants, ou abaissant leseuil épileptogène, devra être soigneusement pesée, en raison de lasévérité du risque encouru. Ces médicaments sont représentés notamment parla plupart des antidépresseurs (imipraminiques, inhibiteurs sélectifs de larecapture de la sérotonine), les neuroleptiques (phénothiazines etbutyrophénones}, la méfloquine, la chloroquine, les fluoroquinolones, lebupropion, le tramadol.
+ Médicaments sédatifs
Il faut prendre en compte le fait que de nombreux médicaments ou substancespeuvent additionner leurs effets dépresseurs du système nerveux central etcontribuer à diminuer la vigilance. Il s'agit des dérivés morphiniques(analgésiques, antitussifs et traitements de substitution), des neuroleptiques,des barbituriques, des benzodiazépines, des anxiolytiques autres que lesbenzodiazépines (par exemple, le méprobamate), des hypnotiques, desantidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxépine, miansérine, mirtazapine,trimipramine), des antihistaminiques H1 sédatifs, des antihypertenseurscentraux, du baclofène et du thalidomide.
+ Médicaments hypnotiques
Les hypnotiques actuellement prescrits sont soit des benzodiazépines etapparentés (zolpidem, zopiclone), soit des antihistaminiques H1. Outre unemajoration de la sédation lorsqu'ils sont prescrits avec d'autres médicamentsdépresseurs du SNC, ou en cas de consommation alcoolique, il faut prendre encompte également, pour les benzodiazépines, la possibilité de majoration del'effet dépresseur respiratoire lorsqu'elles sont associées avec desmorphinomimétiques, d'autres benzodiazépines, ou du phénobarbital, et celanotamment chez le sujet âgé.
Associations déconseillées (voir rubrique 4.4)+ Alcool (boisson ou excipient)
Majoration par l'alcool de l'effet sédatif de la prométhazine.L'altération de la vigilance peut rendre dangereuse la conduite de véhiculeset l'utilisation de machines.
Eviter la prise de boisson alcoolisées et de médicaments contenant del'alcool.
+ Oxybate de sodium
Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peutrendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
Associations faisant l'objet de précautions d’emploi+ Lithium
Risque d'apparition de signes neuropsychiques évocateurs d'un syndrome malindes neuroleptiques ou d'une intoxication au lithium. Surveillance clinique etbiologique régulière, notamment en début d'association.
+ Topiques gastro-intestinaux, antiacides et adsorbants (charbon)
Diminution de l'absorption des substances actives. Prendre les topiques,antiacides, ou adsorbants à distance de ces substances (plus de 2 heures, sipossible).
Associations à prendre en compte+ Anticholinestérasiques
Risque de moindre efficacité de l’anticholinestérasique par antagonismedes récepteurs de l’acétylcholine par l’atropinique.
+ Autres dépresseurs du système nerveux central (antidépresseurssédatifs, barbituriques, clonidine et apparentés, hypnotiques, dérivésmorphiniques (analgésiques et antitussifs), méthadone, neuroleptiques,anxiolytiques)
Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peutrendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
+ Autres médicaments abaissant le seuil épileptogène
Risque accru de convulsions.
+ Médicaments atropiniques (antidépresseurs imipraminiques,antiparkinsoniens anticholinergiques, antispasmodiques atropiniques,disopyramide, neuroleptiques phénothiaziniques)
Addition des effets indésirables atropiniques à type de rétentionurinaire, constipation, sécheresse de la bouche.
+ Autres médicaments hypnotiques
Majoration de la dépression centrale.
+ Autres médicaments sédatifs
Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peutrendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
+ Autres médicaments à l'origine d'une hypotension orthostatique
Risque de majoration des effets indésirables, notamment à type de vertigesou de syncopes.
+ Bêta-bloquants dans l'insuffisance cardiaque
Effet vasodilatateur et risque d'hypotension, notamment orthostatique (effetadditif).
+ Daxopétine
Risque de majoration des effets indésirables, notamment à type de vertigeset de syncopes.
+ Médicaments abaissant la pression artérielle
Risque de majoration d'une hypotension, notamment orthostatique.
+ Morphiniques
Rsique important d’akinésie colique, avec constipation sévère.
+ Orlistat
Risque d'échec thérapeutique en cas de traitement concomitant parorlistat.
4.6. Fertilité, grossesse et allaitement
GrossesseLa présence de benzoate de méglumine conditionne la conduite à tenirpendant la grossesse.
· Il n'y a pas de données fiables de tératogenèse chez l'animal.
· Il n'existe pas actuellement de données en nombre suffisant pour évaluerun éventuel effet malformatif ou fœtotoxique du benzoate de mégluminelorsqu'il est administré pendant la grossesse.
En conséquence, l'utilisation de ce médicament est déconseillée pendantla grossesse
Effets liés à la présence de prométhazine :
· Aspect malformatif (1er trimestre) :
Il n'y a pas de données fiables de tératogenèse chez l'animal pour laprométhazine.
En clinique, l'utilisation de la prométhazine au cours d'un nombre limitéde grossesses n'a apparemment révélé aucun effet malformatif ou fœtotoxiqueparticulier à ce jour. Toutefois, des études complémentaires sontnécessaires pour évaluer les conséquences d'une exposition en cours degrossesse.
· Aspect fœtotoxique (2ème et 3ème trimestres) :
Chez les nouveau-nés de mères traitées au long cours par de fortesposologies d'un antihistaminique anticholinergique comme la prométhazine ontété rarement décrits des signes digestifs liés aux propriétés atropiniquesdes phénothiazines (distension abdominale, iléus méconial, retard àl'émission du méconium, difficulté de la mise en route de l'alimentation,tachycardies, troubles neurologiques…).
Compte tenu de ces données, l'utilisation de la prométhazine est àéviter, par mesure de précaution, au cours de la grossesse. Sil'administration de prométhazine a eu lieu en fin de grossesse, il convientd’observer une période de surveillance des fonctions neurologiques etdigestives du nouveau-né.
AllaitementLa présence de prométhazine conditionne la conduite à tenir en casd'allaitement.
Le passage de la prométhazine dans le lait maternel n'est pas connu. Comptetenu des possibilités de sédation ou d'excitation paradoxale du nouveau-né,et plus encore des risques d'apnée du sommeil évoqués avec lesphénothiazines, ce médicament est contre-indiqué en cas d'allaitement.
4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines
L'attention est appelée, notamment chez les conducteurs de véhicules et lesutilisateurs de machines, sur les risques de somnolence attachés à l'emploi dece médicament, surtout en début de traitement.
Ce phénomène est accentué par la prise de boissons alcoolisées ou demédicaments contenant de l'alcool.
4.8. Effets indésirables
Liés à la présence de méglumine :
· risque de surencombrement bronchique chez le nourrisson et chez certainspatients incapables d'expectoration efficace (voir rubriques 4.3 et 4.4).
Liés à la présence de prométhazine :
Les caractéristiques pharmacologiques de la prométhazine sont à l'origined'effets indésirables d'inégale intensité et liés ou non à la dose (voirrubrique 5.2):
· Effets neurovégétatifs :
o sédation ou somnolence, plus marquée en début de traitement;
o effets anticholinergiques à type de sécheresse des muqueuses,constipation, troubles de l'accommodation, mydriase, palpitations cardiaques,risque de rétention urinaire;
o hypotension orthostatique;
o troubles de l'équilibre, vertiges, baisse de la mémoire ou de laconcentration;
o dyskinésie, dyskinésie tardive, mouvements anormaux, incoordinationmotrice, tremblements (plus fréquents chez le sujet âgé), akathisie,
o confusion mentale, hallucinations;
o plus rarement, effets à type d'excitation: agitation, nervosité,insomnie.
· Effets respiratoires : dépression respiratoire
· Réactions de sensibilisation :
o érythèmes, eczéma, prurit, purpura, urticaire éventuellementgéante,
o œdème, plus rarement œdème de Quincke,
o choc anaphylactique,
o photosensibilisation.
· Effets hématologiques :
o leucopénie, neutropénie, agranulocytose exceptionnelle;
o thrombocytopénie,
o anémie hémolytique.
Déclaration des effets indésirables suspectésLa déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://www.signalement-sante.gouv.fr“>www.signalement-sante.gouv.fr.
4.9. Surdosage
Signes d'un surdosage en prométhazine :
· convulsions (surtout chez l'enfant),
· troubles de la conscience, coma;
Un traitement symptomatique sera institué en milieu spécialisé.
5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
5.1. Propriétés pharmacodynamiques
ANTIHISTAMINIQUE A USAGE SYSTEMIQUE (R: système respiratoire, code ATC :R06AD02).
Prométhazine
La prométhazine, de la classe des phénothiazines à chaîne latéralealiphatique, est un neuroleptique antihistaminique H1, qui se caractérisepar :
· un effet sédatif marqué aux doses usuelles, d'origine histaminergique etadrénolytique centrale,
· un effet anticholinergique à l'origine d'effets indésirablespériphériques,
· un effet adrénolytique périphérique, pouvant retentir au planhémodynamique (risque d'hypotension orthostatique),
· un effet antidopaminergique.
Les antihistaminiques H1 ont en commun la propriété de s'opposer, parantagonisme compétitif plus ou moins réversible, aux effets de l'histaminenotamment sur la peau, les bronches, les vaisseaux, l’intestin et lesmuqueuses conjonctivales et nasales. Ils exercent pour la plupart un effetantitussive, qui est modeste mais qui potentialise les effets des antitussifscentraux morphiniques ainsi que ceux d'autres bronchodilatateurs comme lesaminés sympathomimétiques auxquelles ils sont souvent associés
5.2. Propriétés pharmacocinétiques
La biodisponibilité de la prométhazine est comprise entre 13 et 40 %.
Le temps pour atteindre la concentration plasmatique maximale est de 1,5 à3 heures.
Le volume de distribution est élevé en raison de la liposolubilité de lamolécule, d'environ 15 l/kg.
La fraction liée aux protéines plasmatiques est égale à 75–80 %.
La demi-vie est comprise entre 10 et 15 heures.
Le métabolisme consiste en une sulfoxydation suivie d'unedéméthylation.
La clairance rénale représente moins de 1 % de la clairance totale etenviron 1 % de la quantité de prométhazine administrée est retrouvée sousforme inchangée dans les urines.
Les métabolites retrouvés dans l'urine, sulfoxide notamment, représententenviron 20 % de la dose.
Insuffisants rénaux, insuffisants hépatiques : risque d'accumulation desantihistaminiques chez les insuffisants rénaux ou hépatiques
5.3. Données de sécurité préclinique
Non renseignée.
6. DONNEES PHARMACEUTIQUES
6.1. Liste des excipients
Acide ascorbique, métabisulfite de sodium (E223), colorant glucosique (E150)(caramel obtenu par chauffage du saccharose ou d'autres sucres alimentaires),arôme caramel (solution de vanilline, pipéronal, gamma nonalactone, maltol,acétylméthylcarbinol dans le propylèneglycol), saccharose, eaupurifiée.
6.2. Incompatibilités
Sans objet.
6.3. Durée de conservation
3 ans.
6.4. Précautions particulières de conservation
A conserver à une température inférieure à 30°C.
6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur
125 ml ou 250 ml flacon (verre brun) de type III, fermé par un bouchon enpolyéthylène de type Vistop et avec cuillère-mesure (polystyrène) de5 ml.
6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation
Pas d’exigences particulières.
7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
LABORATOIRE DES REALISATIONS THERAPEUTIQUES ELERTE
181 – 183, RUE ANDRE KARMAN
BP 101
93303 AUBERVILLIERS CEDEX
[Tel, fax, e-Mail : à compléter ultérieurement par le titulaire]
8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
· 306 310–7: 125 ml en flacon (verre brun) + cuillère-mesure(polystyrène) de 5 ml.
· 327 787–7: 250 ml en flacon (verre brun) + cuillère-mesure(polystyrène) de 5 ml.
9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
11. DOSIMETRIE
Sans objet.
12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES
Sans objet.
CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE
Liste I
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