Résumé des caractéristiques - FRAKIDEX, pommade ophtalmique
1. DENOMINATION DU MEDICAMENT
FRAKIDEX, pommade ophtalmique
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Dexaméthasone (phosphate sodiquede)..................................................................................0,1 g
Framycétine (sulfatede)...................................................................................................315 000 UI
Pour 100 g de pommade ophtalmique.
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
3. FORME PHARMACEUTIQUE
Pommade ophtalmique.
4. DONNEES CLINIQUES
4.1. Indications thérapeutiques
Traitement local anti-inflammatoire et antibactérien de l'œil et de sesannexes :
· dans les suites de la chirurgie ophtalmologique,
· des infections dues à des germes sensibles à la framycétine aveccomposante inflammatoire.
Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernantl'utilisation appropriée des antibactériens.
4.2. Posologie et mode d'administration
PosologieVoie ophtalmique.
1 à 3 applications par jour.
Appliquer une quantité équivalente à un grain de blé de pommade dans lecul de sac conjonctival inférieur de l'œil malade ou des yeux malades etéventuellement sur le bord de la paupière.
Pour ce faire, tirer la paupière vers le bas tout en regardant vers le hautet déposer la pommade entre la paupière et le globe oculaire.
Ne pas toucher l'œil ou les paupières avec l'extrémité du tube.
Reboucher le tube de pommade, après utilisation.
Durée du traitement : en moyenne 7 jours.
Un traitement plus long peut être prescrit sous surveillance ophtalmologiquestricte.
4.3. Contre-indications
Ce médicament est contre-indiqué en cas de :
· hypersensibilité aux substances actives ou à l’un des excipientsmentionnés à la rubrique 6.1.
· kératite herpétique épithéliale dendritique, kératite mycosique,kératoconjonctivite virale épidémique au stade précoce.
Ce médicament est généralement déconseillé :
· pendant la grossesse et l'allaitement,
· en association avec les médicaments non antiarythmiques, donnant destorsades de pointes (voir rubrique 4.5).
4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi
Mises en garde spécialesNe pas avaler.
En cas d'hypersensibilité, le traitement doit être arrêté.
Des applications répétées et/ou prolongées de la pommade peuvententraîner un passage systémique non négligeable des principes actifs.
Des applications répétées et/ou prolongées de la pommade peuvententraîner une hypertonie oculaire chez certains patients et/ou un retard decicatrisation.
Des troubles visuels peuvent apparaitre lors d’une corticothérapie parvoie systémique ou locale. En cas de vision floue ou d’apparition de toutautre symptôme visuel apparaissant au cours d’une corticothérapie, un examenophtalmologique est requis à la recherche notamment d’une cataracte, d’unglaucome, ou d’une lésion plus rare telle qu’une choriorétinopathieséreuse centrale, décrits avec l’administration de corticostéroïdes parvoie systémique ou locale.
Précautions d'emploiL'usage de ce médicament doit être évité chez le nourrisson.
En l'absence d'amélioration rapide ou en cas de traitement prolongé, unesurveillance médicale régulière comportant des contrôles bactériologiquesavec étude de la sensibilité du germe permet de dépister une résistance auproduit et d'adapter éventuellement le traitement.
Comme pour toutes les préparations ophtalmiques contenant un corticoïde,l'usage prolongé nécessite une surveillance ophtalmologique particulièrementattentive de la cornée, de la pression intra-oculaire et du cristallin.
En cas de traitement par un collyre contenant un principe actif différent,instiller le collyre à 15 minutes d'intervalle.
Le port de lentilles doit être évité durant le traitement. Par ailleurs,en cas d'inflammation/d'infection de l'œil, le port de lentille de contactest déconseillé pendant toute la durée du traitement.
L'attention des sportifs est attirée sur le fait que cette spécialitécontient un principe actif (dexaméthasone) pouvant induire une réactionpositive des tests pratiqués lors de contrôles antidopage.
Un syndrome de Cushing et/ou une inhibition de la fonction surrénalienneassociés à l’absorption systémique de dexaméthasone ophtalmique peuventsurvenir après un traitement continu intensif ou à long terme chez despatients prédisposés, y compris chez les enfants et les patients traités pardes inhibiteurs du CYP3A4 (incluant le ritonavir et le cobicistat). Dans ce cas,le traitement doit être arrêté progressivement.
4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions
Bien que la quantité de dexaméthasone passant dans la circulationsystémique soit faible après application oculaire, il convient de tenir comptedes interactions observées avec la dexaméthasone par voie générale.
Associations déconseillées+ Médicaments donnant des torsades de pointes
· astémizole, bépridil, érythromycine IV, halofantrine, pentamidine,sparfloxacine, sultopride, terfénadine, vincamine.
· Torsades de pointes (l'hypokaliémie est un facteur favorisant de mêmeque la bradycardie et un espace QT long préexistant).
Utiliser des substances ne présentant pas l'inconvénient d'entraîner destorsades de pointe en cas d'hypokaliémie.
+ Des inhibiteurs du CYP3A4 (incluant le ritonavir et le cobicistat) peuventdiminuer la clairance de la dexaméthasone ce qui entraîne une augmentation deseffets et une inhibition de la fonction surrénalienne/un syndrome de Cushing.L’association doit être évitée, sauf si le bénéfice est supérieur aurisque accru d’effets secondaires systémiques des corticostéroïdes, auquelcas les patients doivent être surveillés pour les effets systémiques descorticostéroïdes.
Associations faisant l'objet de précautions d’emploi+ Acide acétylsalicylique par voie générale et par extrapolation autressalicylés
Diminution de la salicylémie pendant le traitement par les corticoïdes etrisque de surdosage salicylé après son arrêt, par augmentation del'élimination des salicylés par les corticoïdes.
Adapter les doses de salicylés pendant l'association et après l'arrêt dutraitement par les corticoïdes.
+ Antiarythmiques donnant des torsades de pointes
· amiodarone, brétylium, disopyramide, quinidiniques, sotalol. Torsades depointes (l'hypokaliémie est un facteur favorisant de même que la bradycardieet un espace QT long préexistant). Prévenir l'hypokaliémie, la corriger sibesoin; surveiller l'espace QT. En cas de torsade, ne pas administrerd'antiarythmique (entraînement électrosystolique).
+ Anticoagulants oraux
Impact éventuel, de la corticothérapie sur le métabolisme del'anticoagulant oral et sur celui des facteurs de la coagulation.
Risque hémorragique propre à la corticothérapie (muqueuse digestive,fragilité vasculaire) à fortes doses ou en traitement prolongé supérieur à10 jours.
Lorsque l'association est justifiée, renforcer la surveillance : contrôlebiologique au 8ème jour, puis tous les 15 jours pendant la corticothérapie etaprès son arrêt.
+ Autres hypokaliémiants (diurétiques hypokaliémiants seuls ou associés,laxatifs stimulants, amphotéricine B IV)
Risque accru d'hypokaliémie par effet additif.
Surveiller la kaliémie, la corriger si besoin surtout en cas dethérapeutique digitalique.
+ Digitaliques
Hypokaliémie favorisant les effets toxiques des digitaliques.
Surveiller la kaliémie, la corriger si besoin et éventuellement ECG.
+ Héparines par voie parentérale
Aggravation par l'héparine du risque hémorragique propre à lacorticothérapie (muqueuse digestive, fragilité vasculaire) à fortes doses ouen traitement prolongé supérieur à 10 jours.
L'association doit être justifiée, renforcer la surveillance.
+ Inducteurs enzymatiques : carbamazépine, phénobarbital, phénytoineprimidone, rifabutine, rifampicine.
Diminution des taux plasmatiques et de l'efficacité des corticoïdes paraugmentation de leur métabolisme hépatique. Les conséquences sontparticulièrement importantes chez les addisoniens et en cas detransplantation.
Surveillance clinique et biologique, adaptation de la posologie descorticoïdes pendant l'association et après arrêt de l'inducteurenzymatique.
+ Insuline, metformine, sulfamides hypoglycémiants
Elévation de la glycémie avec parfois cétose (diminution de la toléranceaux glucides par les corticoïdes). Prévenir le patient et renforcerl'autosurveillance sanguine et urinaire, surtout en début de traitement.Adapter éventuellement la posologie de l'antidiabétique pendant le traitement,par les corticoïdes et après son arrêt.
+ Isoniazide (décrit pour la prednisolone)
Diminution des taux plasmatiques de l'isoniazide. Mécanisme invoqué :augmentation du métabolisme hépatique de l'isoniazide et diminution de celuides glucocorticoïdes.
Surveillance clinique et biologique.
+ Topiques gastro-intestinaux : sels, oxydes et hydroxydes de magnésium,aluminium et calcium (décrit, pour la prednisolone, la dexaméthasone).
Diminution de l'absorption digestive des glucocorticoïdes.
Prendre les topiques gastro-intestinaux à distance des glucocorticoïdes(plus de 2 heures si possible).
Associations à prendre en compte+ Antihypertenseurs
Diminution de l'effet antihypertenseur (rétention hydrosodée descorticoïdes).
+ Interféron alpha
Risque d'inhibition de l'action de l'interféron.
+ Praziquantel
Diminution possible des concentrations plasmatiques de praziquantel.
+ Vaccins vivants atténués
Risque de maladie généralisée éventuellement mortelle. Ce risque estmajoré chez les sujets déjà immunodéprimés par la maladie sous-jacente.
Utiliser un vaccin inactivé lorsqu'il existe (poliomyélite).
Problèmes particuliers du déséquilibre de l'INR
De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ontété rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexteinfectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patientapparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaîtdifficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitementdans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classesd'antibiotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment desfluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certainescéphalosporines.
4.6. Fertilité, grossesse et allaitement
En cas d'administration oculaire le passage systémique est non négligeable.Toutefois, par rapport à une forme collyre, le passage systémique à partird'une forme pommade est vraisemblablement très faible.
La présence de framycétine conditionne la conduite à tenir en cas degrossesse et en cas d'allaitement.
GrossesseLes études effectuées chez l'animal ont mis en évidence une atteinte del'appareil cochléo-vestibulaire et de la fonction rénale sur plusieursespèces.
En clinique, quelques cas d'atteinte cochléo-vestibulaire ont été décritsavec certains aminosides.
En conséquence, l'utilisation de ce médicament est déconseillée pendantla grossesse. Cet élément ne constitue pas l'argument systématique pourconseiller une interruption de grossesse, mais conduit à une attitude deprudence et à une surveillance prénatale orientée (oreilles, reins).
AllaitementLe passage des aminosides dans le lait maternel est mal connu maisprobablement faible.
L'absorption de ces substances par le tractus digestif du nouveau-né estconsidérée comme négligeable. Leur présence dans l'intestin du nouveau-népeut provoquer une destruction de la flore digestive et entraîner la survenuede candidoses ou de diarrhées. De plus, l'oto-néphrotoxicité des aminosidesconstitue un risque potentiel supplémentaire.
En conséquence, l'utilisation de ce médicament pendant l'allaitement estdéconseillé.
4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines
En cas de gêne oculaire importante liée à l'adhérence de la formepommade, il est recommandé d'attendre la fin des symptômes pour conduire unvéhicule ou utiliser une machine.
4.8. Effets indésirables
Risque de réaction d'hypersensibilité cutanéo-conjonctivale.
Affections oculaires :
· Possibilité d'irritation locale transitoire : prurit et gonflement despaupières et érythème conjonctival.
· En usage prolongé : hypertension oculaire cortico-induite, opacificationdu cristallin, kératite superficielle due à la présence de corticoïde.
· En cas d'ulcération cornéenne ou sclérale, les corticoïdes peuventretarder la cicatrisation et favoriser la surinfection.
· Fréquence indéterminée : Vision floue (voir rubrique 4.4).
Troubles endocriniens :
Fréquence indéterminée : Syndrome de Cushing, inhibition de la fonctionsurrénalienne (voir rubrique 4.4).
Déclaration des effets indésirables suspectésLa déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://www.ansm.sante.fr“>www.ansm.sante.fr.
4.9. Surdosage
Aucun cas de surdosage n'a été rapporté. Cependant des applicationsrépétées de façon prolongée peuvent entraîner un passage systémique nonnégligeable des principes actifs, une hypertension oculaire cortico-induite,une opacification du cristallin, une kératite superficielle, et un retard decicatrisation.
Comme pour toutes les préparations ophtalmiques contenant un corticoïde,l'usage prolongé nécessite une surveillance ophtalmologique particulièrementattentive de la cornée, de la tension oculaire et du cristallin : on arapporté des cas d'amincissement de la cornée et des cas de cataracte aprèsun traitement prolongé par certains corticoïdes locaux.
5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
5.1. Propriétés pharmacodynamiques
Classe pharmacothérapeutique : CORTICOIDE ET ANTI-INFECTIEUX ENASSOCIATION par voie locale (S = organes sensoriels), code ATC : S01CA01.
La dexaméthasone base est un ANTI-INFLAMMATOIRE stéroïdien puissant.
La framycétine est un antibiotique de la famille des aminosides.
SPECTRE D'ACTIVITE ANTI-BACTERIENNE DE LA FRAMYCETINE
La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de lagéographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposerd’informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour letraitement d’infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu’uneorientation sur les probabilités de la sensibilité d’une souche bactérienneà cet antibiotique.
Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France estconnue pour une espèce bactérienne, elle est indiquée dans le tableauci-dessous :
Catégories | Fréquence de résistance acquise en France (> 10%) (valeurs extrêmes) |
ESPÈCES SENSIBLES | |
Aérobies à Gram positif | |
Corynebacterium | |
Listeria monocytogenes | |
Staphylococcus méti-S | |
Aérobies à Gram négatif | |
Acinetobacter (essentiellement Acinetobacter baumannii) | 50 – 75 % |
Branhamella catarrhalis | |
Campylobacter | |
Citrobacter freundii | 20 – 25 % |
Citrobacter koseri | |
Enterobacter aerogenes | ? |
Enterobacter cloacae | 10 – 20 % |
Escherichia coli | 15 – 25 % |
Haemophilus influenzae | 25 – 35 % |
Klebsiella | 10 – 15 % |
Morganella morganii | 10 – 20 % |
Proteus mirabilis | 20 – 50 % |
Proteus vulgaris | ? |
Providencia rettgeri | ? |
Salmonella | ? |
Serratia | ? |
Shigella | ? |
Yersinia | ? |
Catégories | Fréquence de résistance acquise en France (> 10%) (valeursextrêmes) |
ESPÈCES MODÉRÉMENT SENSIBLES | |
(in vitro de sensibilité intermédiaire) | |
Aérobies à Gram négatif | |
Pasteurella | |
ESPÈCES RÉSISTANTES | |
Aérobies à Gram positif | |
Entérocoques | |
Nocardia asteroides | |
Staphylococcus méti-R <em></em> | |
Streptococcus | |
Aérobies à Gram négatif | |
Alcaligenes denitrificans | |
Burkholderia | |
Flavobacterium sp. | |
Providencia stuartii | |
Pseudomonas aeruginosa | |
Stenotrophomonas maltophilia | |
Anaérobies | |
Bactéries anaérobies strictes | |
Autres | |
Chlamydia | |
Mycoplasmes | |
Rickettsies |
La fréquence de résistance à la méticilline est environ de 30 à 50 %de l’ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieuhospitalier.
Remarque : ce spectre correspond à celui des formes systémiquesd’antibiotique appartenant à la famille des aminosides. Avec lesprésentations pharmaceutiques locales, les concentrations obtenues in situ sonttrès supérieures aux concentrations plasmatiques. Quelques incertitudesdemeurent sur la cinétique des concentrations in situ, sur les conditionsphysico-chimiques locales qui peuvent modifier l’activité de l’antibiotiqueet sur la stabilité du produit in situ.
5.2. Propriétés pharmacocinétiques
Non renseignée.
5.3. Données de sécurité préclinique
Non renseignée.
6. DONNEES PHARMACEUTIQUES
6.1. Liste des excipients
Mélange vaseline/paraffine liquide.
Composition du mélange vaseline/paraffine liquide : vaseline (65 %),paraffine liquide (35 %).
6.2. Incompatibilités
Sans objet.
6.3. Durée de conservation
2 ans.
6.4. Précautions particulières de conservation
A conserver à une température inférieure à 25°C.
6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur
Tube en aluminium de 5 g recouvert intérieurement d'un vernisépoxyphénolique et fermé par un bouchon en polypropylène.
6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation
Pas d’exigences particulières.
Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformémentà la réglementation en vigueur.
7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
LABORATOIRE CHAUVIN
416, RUE SAMUEL MORSE – CS99535
34961 MONTPELLIER CEDEX 2
[Tel, fax, e-Mail : à compléter ultérieurement par le titulaire]
8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
· CIP 34009 326 452 1 3 : 5 g en tube (aluminium verni).
9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
Date de première autorisation:{JJ mois AAAA}
Date de dernier renouvellement:{JJ mois AAAA}
10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
{JJ mois AAAA}
11. DOSIMETRIE
Sans objet.
12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES
Sans objet.
CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE
Liste I
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