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FURADANTINE 50 mg, gélule - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - FURADANTINE 50 mg, gélule

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

FURADANTINE 50 mg, gélule

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Nitrofurantoïne­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............50,0 mg

Pour une gélule.

Excipient(s) à effet notoire : amidon de blé (gluten) et lactose.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Gélule.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

FURADANTINE 50 mg, gélule est indiqué dans le traitement curatif de lacystite documentée due à des germes sensibles chez la femme adulte,l’adoles­cente et la petite fille à partir de l’âge de 6 ans,lorsqu’aucun autre antibiotique présentant un meilleur rapportbénéfice-risque ne peut être utilisé par voie orale.

Une attention particulière doit être portée aux informations disponiblessur la sensibilité microbiologique aux antibiotiques des bactéries impliquéesdans l’infection et sur la sécurité d’emploi de la nitrofurantoïne­incluant une information sur l’utilisation de cet antibiotique en traitementpro­babiliste (voir rubriques 4.2, 4.3, 4.4, 4.8 et 5.1).

Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernantl'u­tilisation appropriée des antibactériens.

4.2. Posologie et mode d'administration

Posologie
Femme adulte

300 mg (6 gélules) par jour, en 3 prises journalières.

Petite fille à partir de l’âge de 6 ans et adolescente

5 à 7 mg/kg/jour, en 3 prises journalières, sans dépasser la posologiede l’adulte.

Insuffisant rénal

La dose recommandée chez la femme adulte est la même pour les patientesâgées, excepté pour celles qui présentent une atteinte de la fonctionrénale (clairance de la créatinine < 45 ml/mn) chez lesquelles lanitrofurantoïne est contre-indiquée (voir rubriques 4.3 et 4.4)

Durée de traitement

5–7 jours.

Compte tenu des données disponibles concernant le potentiel génotoxique etcarcinogène de la nitrofurantoïne chez l’animal ainsi que des potentielseffets indésirables graves, le traitement curatif ne doit pas excéder unedurée de plus de 7 jours (voir rubriques 4.3, 4.4, 4.8 et 5.3)

Mode d’administration

Voie orale.

Avaler les gélules de préférence au cours des repas.

4.3. Contre-indications

· Hypersensibilité à la nitrofurantoïne ou à un autre dérivé dunitrofurane, ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1 (voirrubriques 4.4 et 4.8) ;

· Insuffisance rénale (TFGe inférieur à 45 ml/min) ;

· Traitement prophylactique (continu ou intermittent) par lanitrofurantoïne (voir rubriques 4.4 et 4.8) ;

· Traitement curatif prolongé par la nitrofurantoïne (voir rubriques4.4 et 4.8) ;

· Déficit en glucose-6-phosphate-déshydrogénase (G6PD) ;

· Chez les patients présentant une allergie au blé (autre que la maladiecœliaque) ;

· Chez l'enfant de moins de 6 ans en raison du risque de fausse route.

· Chez les patientes en fin de grossesse (pendant le travail etl’accouchement), en raison de la possibilité théorique d’anémiehémolytique chez le fœtus et le nouveau-né, liée à l’immaturité dusystème enzymatique érythrocytaire (voir rubrique 4.6).

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

· Des effets indésirables graves à type d’atteintes pulmonaires(fi­broses, pneumopathies interstitielles), d’atteintes hépatiques (hépatitescyto­lytiques, hépatites cholestatiques, hépatites chroniques, cirrhoses), demême que des symptômes d’hypersensibilité ont été rapportés avec lanitrofurantoïne pouvant conduire dans de rares cas à une issue fatale. Ceseffets qui peuvent être d’origine immuno-allergique ont été décritsessenti­ellement lors de traitements prolongés, continus ou intermittents,ren­dant notamment incompatibles l’utilisation de la nitrofurantoïne entraitement prophylactique d’infections urinaires (voir rubriques4.3 et 4­.8).

· Au cours d’un traitement par nitrofurantoïne, les patientes quidéveloppent des signes d’atteinte pulmonaire (notamment toux, gênerespiratoire), d’atteinte hépatique (notamment nausées, ictère,démange­aisons, tendance au saignement, trouble de la conscience ou de lavigilance), et/ou de symptômes d’hypersensibilité doivent arrêterimmédi­atement le traitement et bénéficier rapidement d’une prise en chargeadaptée. C’est pourquoi il est important d’informer les patients de cessymptômes évocateurs aspécifiques afin que la survenue de ces effets,généralement d’installation insidieuse, soit particulièremen­tsurveillée.

· Ces effets pouvant être d’origine immuno-allergique, il ne peut êtreexclu que la répétition de ce traitement expose à un risque accru dedévelopper de telles atteintes. Par conséquent, un interrogatoire approfondiavant de débuter le traitement est nécessaire afin de rechercher toutantécédent d’effets indésirables sous nitrofurantoïne. La réintroductionjugée indispensable chez une patiente ayant des antécédents d’atteintehépatique ou pulmonaire potentiellement liée à la prise de nitrofutantoïnedoit imposer une surveillance renforcée.

Au vu de ces risques, il importe que les recommandations suivantes soientrespectées :

· Le traitement curatif des infections urinaires par nitrofurantoïne nedoit être instauré qu’après évaluation attentive du rapportbénéfice-risque :

Le traitement curatif par nitrofurantoïne sera débuté après documentation­microbiologique de l’épisode en cours (examen cytobactériologique desurines) (voir rubrique 4.1).

Toutefois au vu du contexte épidémiologique, une utilisation de lanitrofurantoïne peut être envisagée en traitement curatif probabiliste,u­niquement en cas d’urgence à instaurer un traitement et/ou d’aprèsl’histoire de la maladie de la patiente (antécédents connus de cystitesrécidi­vantes dues à des bactéries multi-résistantes) selon lesrecommandations en vigueur.

· Il convient de ne pas utiliser la nitrofurantoïne en traitement curatifdes cystites pour une durée excédent 7 jours.

· Ces effets indésirables pulmonaires et hépatiques étant plusfréquemment rapportés chez les patients de plus de 65 ans, une surveillancepar­ticulière est recommandée chez les patients âgés, population pourlaquelle la prescription devra tenir compte de la fonction rénale (voirrubriques 4.3 et 4.8).

Hépatotoxicité

Les réactions hépatiques, notamment l’hépatite, l’hépatiteauto-immune, l’ictère cholestatique, l’hépatite chronique active et lanécrose hépatique, sont rares. Des décès ont été signalés. L’apparitiond’une hépatite chronique active peut être insidieuse. Il convient donc desurveiller régulièrement les patients afin de déceler toute modificationé­ventuelle des tests biochimiques indiquant une lésion hépatique. En casd’hépatite, le médicament doit être retiré immédiatement et des mesuresappropriées doivent être prises.

Limites du cadre d’utilisation de cette spécialité

Le traitement par nitrofurantoïne n’est pas adapté aux infectionsurinaires chez l’homme, ce d’autant qu’il n’existe pas de données surla diffusion prostatique.

Population pédiatrique

L’expérience pédiatrique du traitement curatif des infections urinairesest limitée. Compte tenu des pathogènes-cibles et des caractéristiqu­espharmacodyna­miques-pharmacocinétiques de la nitrofurantoïne, il est attenduque l’efficacité de cet antibiotique dans le traitement des cystites chezl’adolescentes et la petite fille soit la même que chez la femme adulte etque le profil de sécurité d’emploi ne soit pas différent.

La prise de gélule est contre-indiquée chez l’enfant âgé de moins de6 ans, car elle peut entraîner une fausse route.

Excipients à effet notoire

· Ce médicament contient du lactose. Les patients présentant uneintolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome demalabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) nedoivent pas prendre ce médicament.

· Ce médicament peut être administré en cas de maladie coeliaque.L’amidon de blé peut contenir du gluten mais seulement à l’état de trace,et est donc considéré comme sans danger pour les sujets atteints d’unemaladie coeliaque.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Associations faisant l'objet de précautions d’emploi

Trisilicate de magnésium (antiacides) :

Diminution de l'absorption digestive de la nitrofurantoïne.

Prendre les antiacides à distance de la nitrofurantoïne (plus de deuxheures, si possible).

Problèmes particuliers du déséquilibre de l'INR :

De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ontété rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexteinfectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patientapparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaîtdifficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitementdans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classesd'anti­biotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment desfluoroquino­lones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certainescépha­losporines.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effettératogène.

Les données publiées chez les femmes enceintes exposées à lanitrofurantoïne en traitement aigu sont nombreuses et rassurantes. Il n’y apas de données publiées chez des femmes enceintes exposées à un traitementchro­nique.

Cependant, l'utilisation de la nitrofurantoïne est contre-indiquée chez lafemme enceinte pendant le travail et l’accouchement, en raison du risquepotentiel d’anémie hémolytique chez le nouveau-né, liée à l’immaturitédes globules rouges.

L’utilisation de la nitrofurantoïne ne doit être envisagée au cours dela grossesse que si nécessaire.

Allaitement

L'allaitement est possible si l'enfant a plus d'un mois et en l'absence dedéficit en G6PD (risque d'hémolyse), car des traces de nitrofurantoïne sontretrouvées dans le lait maternel.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

Les effets de la nitrofurantoïne sur l’aptitude à conduire des véhiculeset à utiliser des machines n’ont pas été étudiés. Cependant, lanitrofurantoïne peut avoir une incidence sur l’aptitude à conduire desvéhicules ou à utiliser des machines en raison de manifestations neurologiques(sen­sations vertigineuses, voir rubrique 4.8).

Les patients doivent être informés de ces risques potentiels et doiventconnaître leurs réactions à ce médicament avant de conduire un véhicule oud’utiliser des machines.

4.8. Effets indésirables

Les fréquences sont définies comme suit : très fréquent (≥ 1/10),fréquent (≥ 1/100, < 1/10), peu fréquent (≥ 1/1 000, < 1/100), rare(≥ 1/10 000, < 1/1 000), très rare (< 1/10 000), fréquenceindé­terminée (ne peut être estimée sur la base des donnéesdisponi­bles).

· Affections gastro-intestinales : fréquents : nausées, vomissements,dou­leurs abdominales, diarrhée, atténués par la prise simultanée denourriture.

· Affections de la peau et du tissu sous-cutané : rares : rashs cutanés,urticaires, dermites exfoliatrices, érythèmes polymorphes, syndromes deStevens-Johnson.

· Affections du système nerveux : fréquents : sensations vertigineuses,ne­uropathies périphériques liées à un surdosage par défaut d'excrétion(in­suffisance rénale) ou un facteur favorisant (diabète, éthylisme, sujetâgé, traitement prolongé).

· Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales : très rares :pneumopathies aiguës (fièvre, frissons, toux, douleur thoracique, dyspnée,infil­tration pulmonaire, épanchement pleural, éosinophilie). A noter que lorsde traitements prolongés, la fréquence de ces effets indésirables étaitaugmentée et les atteintes ont pu évoluer vers la fibrose (voir rubriques4.3 et 4­.4).

· Affections hépatobiliaires : très rares : hépatites cytolytiques,hé­patiques cholestatiques. A noter que lors de traitements prolongés, lafréquence de ces effets indésirables était augmentée et des hépatiteschroniques actives, cirrhoses, nécroses hépatiques ou hépatites fulminantesont été rapportées (voir rubriques 4.3 et 4.4). Fréquence indéterminée :hépatite auto-immune.

· Affections hématologiques et du système lymphatique : rares :leucopénie, thrombopénie.

· Affections du système immunitaire : fréquents : réactions allergiquescutanées (prurit, urticaire), manifestations pseudo-lupiques (fièvre,frissons, arthralgie) parfois associées à des signes pulmonaires, angiœdème(voir rubrique 4.4). Fréquence indéterminée : vascularite cutanée.

· Affection du rein et des voies urinaires : fréquence indéterminée :coloration brune des urines, néphrite interstitielle.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

De très rares cas de surdosage ont été rapportés, n’induisant pas desymptômes spécifiques autres que ceux décrits dans la rubrique 4.8.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : Autres antibactériens, code ATC :J01XE01.

La nitrofurantoïne est un antibactérien de la famille des nitrofuranes.Elle agit par inhibition de plusieurs systèmes enzymatiques bactériens sur desespèces à Gram négatif et à Gram positif.

SPECTRE D'ACTIVITE ANTIBACTERIENNE

Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches desensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :

Recommandations EUCAST (v.5.0, 2015–01–01)

Enterobacteriaceae 1

S ≤ 64 mg/l et R > 64 mg/l

Staphylococcus spp. 2

S ≤ 64 mg/l et R > 64 mg/l

Enterococcus spp.

S ≤ 64 mg/l et R > 64 mg/l

Streptococcus du groupe B 3

S ≤ 64 mg/l et R > 64 mg/l

1 Concentrations critiques définies pour E. coli

2 Concentrations critiques définies pour S. saprophyticus

3 Concentrations critiques définies pour S. agalactiae (streptocoques duGroupe B)

La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de lagéographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposerd'infor­mations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour letraitement d'infections sévères. Si nécessaire il est souhaitable d’obtenirun avis spécialisé principalement lorsque l’intérêt du médicament danscertaines infections peut être mis en cause du fait du niveau de prévalence dela résistance locale.

Classes

ESPÈCES HABITUELLEMENT SENSIBLES

Aérobies à Gram positif

Enterococcus faecalis

Staphylococcus epidermidis

Staphylococcus saprophyticus

Streptococcus du groupe B

Aérobies à Gram négatif

Escherichia coli

ESPÈCES INCONSTAMMENT SENSIBLES

(RESISTANCE ACQUISE ≥ 10 %)

Aérobies à Gram négatif

Enterobacter sp.

Klebsiella sp.

ESPÈCES NATURELLEMENT RÉSISTANTES

Aérobies à Gram négatif

Morganella morganii

Proteus mirabilis

Proteus vulgaris

Providencia stuartii

Pseudomonas aeruginosa

Serratia marcescens

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Absorption

L'absorption digestive de la nitrofurantoïne est rapide. Elle se faitprincipalement au niveau de l'intestin grêle. La présence de nourriturefavorise l'absorption.

Distribution

Aux doses thérapeutiques les concentrations sanguines sont faibles : 1 à2 µg, et les concentrations tissulaires infra-thérapeutiques. La demi-vied'élimination plasmatique est de 20 à 30 minutes. La nitrofurantoïne­circulante est liée aux protéines plasmatiques dans une proportion de20 à 60%.

Biotransformation

La moitié environ de la nitrofurantoïne absorbée est métabolisée.

Excrétion

La fraction métabolisée est excrétée en majeure partie par voieintestinale. Environ 40% de la dose absorbée est retrouvée dans les urinessous forme inchangée active. Aux doses thérapeutiques, les concentration­surinaires maximales sont de 50 à 150 µg/ml durant les trois premièresheures. La clairance rénale est réduite en cas d'insuffisance rénale.

5.3. Données de sécurité préclinique

Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effettératogène.

Cancérogenèse, mutagenèse et altération de la fertilité :

L’activité carcinogène de la nitrofurantoïne a été évaluée lorsd’études à long terme chez la souris et le rat. Les résultats de cesétudes ne permettent pas de conclure sur le potentiel carcinogène de lanitrofurantoïne chez les animaux.

Des études in vitro ont montré que la nitrofurantoïne induisait desmutations et des altérations de l’ADN. Les résultats des études demutagénicité in vivo chez le rat et la souris sont équivoques.

La pertinence de ces données de mutagénicité et de carcinogénicité de lanitrofurantoïne, pour l’espèce humaine et aux doses thérapeutiques n’estpas connue.

L’administration de fortes doses de nitrofurantoïne chez le rat et lasouris altère la spermatogenèse.

Aucun effet n’a été observé sur la spermatogenèse des animaux étudiésà des doses équivalentes à la dose thérapeutique chez l’homme (conversionfaite sur la base de la surface corporelle).

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Amidon de blé, talc, lactose monohydraté.

Composition de l'enveloppe de la gélule : gélatine, dioxyde de titane(E171), oxyde de fer jaune (E172).

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

3 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation

A conserver à une température inférieure à 25°C.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

Flacon contenant 21 gélules, en verre incolore de type III, fermé par unbouchon en polyéthylène.

Plaquette de 7 ou 10 gélules, constituée d'un film en poly(chlorure devinyle) et d'un film en aluminium. Boîte de 21 ou 100 gélules.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d’exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

TEVA SANTE

100–110 ESPLANADE DU GENERAL DE GAULLE

92931 PARIS LA DEFENSE CEDEX

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 312 262–0 8 : 21 gélules en flacon (verre incolore).

· 34009 329 644–9 9 : 21 gélules sous plaquettes (poly(chlorure devinyle)/alu­minium).

· 34009 553 686–3 2 : 100 gélules sous plaquettes (poly(chlorure devinyle)/alu­minium).

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I.

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