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GELDENE 0,5 POUR CENT, gel pour application locale - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - GELDENE 0,5 POUR CENT, gel pour application locale

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

GELDENE 0,5 POUR CENT, gel pour application locale

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Piroxicam....­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­..0,5 g

Pour 100 g.

Excipients à effet notoire : Ce médicament contient 200 mg/g de propylèneglycol, 10 mg/g d’alcool benzylique et 240 mg/g d’éthanol anhydre.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Gel pour application locale.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

· Traitement symptomatique des tendinites superficielles.

· Traitement symptomatique en traumatologie bénigne : entorses,contu­sions.

4.2. Posologie et mode d'administration

Posologie

2 à 4 applications par jour.

Mode d'administration

Réservé à l'adulte (plus de 15 ans).

USAGE EXTERNE.

Voie cutanée.

Faire pénétrer le gel par un massage doux et prolongé sur la régiondouloureuse ou inflammatoire.

Bien se laver les mains après chaque utilisation.

4.3. Contre-indications

Ce médicament est contre-indiqué dans les situations suivantes :

· hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipientsmen­tionnés à la rubrique 6.1,

· grossesse, à partir du début du 6ème mois (au-delà de 24 semainesd’a­ménorrhée) (voir rubrique 4.6),

· antécédents d'allergie ou d'asthme déclenché par la prise de piroxicamou de substances d'activité proche telles que les autres AINS,l’aspirine,

· peau lésée, quelle que soit la lésion : dermatoses suintantes, eczéma,lésion infectée, brûlure ou plaie.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Mises en garde spéciales

Des réactions cutanées graves, dont certaines d’évolution fatale,incluant syndrome d’hypersensibilité médicamenteuse avec éosinophilie etsymptômes systémiques (syndrome DRESS), syndrome de Steven-Johnson etnécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell), ont été rapportées lorsd’un traitement systémique par piroxicam.

Ces réactions n’ont pas été associées à l’application locale depiroxicam mais la possibilité d’apparition de ces réactions avec piroxicampour application locale ne peut être exclue. Des cas d’érythème pigmentéfixe (FDE) ont été rapportés avec le piroxicam. Le piroxicam ne doit pasêtre réintroduit chez les patients présentant des antécédents de FDE liéeau piroxicam. Une réactivité croisée potentielle pourrait survenir avecd’autres oxicams.

Les patients doivent être informés des symptômes et étroitementsur­veillés pour les réactions cutanées. Le risque d’apparition du syndromede Steven-Johnson ou du syndrome de Lyell est plus important pendant lespremières semaines de traitement.

Le traitement par piroxicam doit être interrompu dès l’apparition desymptômes du syndrome de Steven-Johnson ou du syndrome de Lyell (par ex. unrash cutané évolutif avec cloques ou lésions des muqueuses). Le traitementpar piroxicam ne doit plus être repris chez un patient ayant développé unsyndrome de Steven-Johnson ou un syndrome de Lyell suite à l’administrationde piroxicam.

Les meilleurs résultats dans la prise en charge des syndromes deSteven-Johnson et de Lyell ont été obtenus grâce au diagnostic précoce et àl’interruption immédiate du traitement mis en cause. Le retrait anticipé estassocié à un meilleur pronostic.

Les patients présentant un asthme associé à une rhinite chronique, à unesinusite chronique et/ou à une polypose nasale, ont un risque de manifestationa­llergique lors de la prise d'aspirine et/ou d'anti-inflammatoires nonstéroïdiens, plus élevé que le reste de la population. L'administration dece médicament peut entraîner une crise d'asthme.

Ne pas appliquer sur les muqueuses, ni sur les yeux. En cas d'applicationac­cidentelle, rincer abondamment à l'eau.

L'apparition d'une réaction cutanée après application du gel imposel'arrêt immédiat du traitement.

Ce médicament contient du propylène glycol et peut provoquer desirritations cutanées.

Les AINS, dont le piroxicam, peuvent provoquer une néphrite interstitielle,un syndrome néphrotique et une insuffisance rénale. Des cas de néphriteinter­stitielle, de syndrome néphrotique et d'insuffisance rénale ontégalement été rapportés avec le piroxicam pour application locale bien quela relation de cause à effet entre ces atteintes et le traitement par piroxicampour application locale n'ait pas été établie. On ne peut donc pas exclure lapossibilité que ces événements soient en rapport avec l'utilisation depiroxicam pour application locale.

Précautions d'emploi

Eviter toute application sous pansement occlusif.

En cas d'utilisation fréquente par un professionnel de santé, le port degants est recommandé.

Informations sur les excipients

Ce médicament contient de l'éthanol, du propylène glycol et de l'alcoolbenzylique (voir rubrique 2).

L'éthanol peut provoquer une sensation de brûlure sur une peau endommagée.Chez les nouveau-nés (nouveau-nés prématurés et nés à terme), desconcentrations élevées d'éthanol peuvent provoquer des réactions localessévères et une toxicité systémique en raison d'une absorption significativepar la peau immature (en particulier sous occlusion).

Le propylène glycol peut provoquer une irritation cutanée. GELDENE0,5 POUR CENT, gel pour application locale ne doit pas être utilisé chez lesnouveau-nés présentant des plaies ouvertes ou de grandes zones de peau léséeou endommagée (telles que des brûlures).

L'alcool benzylique peut provoquer une légère irritation locale et peutégalement provoquer une hypersensibilité.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

En raison du faible passage systémique lors d'un usage normal du gel, lesinteractions médicamenteuses signalées pour le piroxicam en per os sont peuprobables.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

L’inhibition de la synthèse des prostaglandines par les AINS peut affecterle déroulement de la grossesse et/ou le développement de l’embryon oudu fœtus.

Risques associés à l’utilisation au cours du 1er trimestre

Les données des études épidémiologiques suggèrent une augmentation durisque de fausse-couche, de malformations cardiaques et de gastroschisis, aprèstraitement par un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines en début degrossesse. Le risque absolu de malformation cardiovasculaire est passé de moinsde 1 % dans la population générale, à approximativement 1,5 % chez lespersonnes exposées aux AINS. Le risque paraît augmenter en fonction de la doseet de la durée du traitement. Chez l’animal, il a été montré quel’administration d’un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines­provoquait une perte pré et post-implantatoire accrue et une augmentation de lalétalité embryo-foetale. De plus, une incidence supérieure de certainesmalfor­mations, y compris cardiovasculaires, a été rapportée chez des animauxayant reçu un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines au cours de laphase d’organogénèse de la gestation.

Risques associés à l’utilisation à partir de la 12ème semained’aménorrhée et jusqu’à la naissance :

· A partir de la 12ème semaine d’aménorrhée et jusqu’à lanaissance, tous les AINS, par l’inhibition de la synthèse desprostaglandines, peuvent exposer le fœtus à une atteinte fonctionnelle­rénale :

o in utero pouvant s'observer dès 12 semaines d'aménorrhée (mise enroute de la diurèse fœtale) : oligoamnios (le plus souvent réversible àl'arrêt du traitement), voire anamnios en particulier lors d'une expositionpro­longée.

o à la naissance, une insuffisance rénale (réversible ou non) peutpersister en particulier en cas d'exposition tardive et prolongée (avec unrisque d'hyperkaliémie sévère retardée).

Risques associés à l’utilisation au-delà de la 24ème semained’aménorrhée et jusqu’à la naissance :

Au-delà de la 24ème semaine d’aménorrhée, les AINS peuvent exposer lefœtus à une toxicité cardio-pulmonaire (fermeture prématurée du canalartériel et hypertension artérielle pulmonaire). La constriction du canalartériel peut survenir à partir du début du 6ème mois (au-delà de la 24èmesemaine d’aménorrhée) et peut conduire à une insuffisance cardiaque droitefœtale ou néonatale voire à une mort fœtale in utero. Ce risque est d'autantplus important que la prise est proche du terme (moindre réversibilité). Ceteffet existe même pour une prise ponctuelle.

En fin de grossesse, la mère et le nouveau-né peuvent présenter :

· un allongement du temps de saignement du fait d’une actionanti-agrégante pouvant survenir même après administration de très faiblesdoses de médicament ;

· une inhibition des contractions utérines entraînant un retard de termeou un accouchement prolongé.

En conséquence :

Sauf nécessité absolue, ce médicament ne doit pas être prescrit chez unefemme qui envisage une grossesse ou au cours des 5 premiers mois de grossesse(24 pre­mières semaines d’aménorrhée). Si ce médicament est administréchez une femme souhaitant être enceinte ou enceinte de moins de 6 mois, ladose devra être la plus faible possible et la durée du traitement la pluscourte possible. Une prise prolongée est fortement déconseillée.

A partir du début du 6ème mois (au-delà de 24 semaines d'aménorrhée) :toute prise de ce médicament, même ponctuelle, est contre-indiquée. Une prisepar mégarde à partir de cette date justifie une surveillance cardiaque etrénale, fœtale et/ou néonatale selon le terme d'exposition. La durée decette surveillance sera adaptée à la demi-vie d'élimination de lamolécule.

Allaitement

Les AINS passant dans le lait maternel, ce médicament est déconseillé chezla femme qui allaite.

En cas d'allaitement, ce médicament ne doit en aucun cas être appliqué surla poitrine.

Fertilité

Comme tous les AINS, l'utilisation de ce médicament peut temporairemen­taltérer la fertilité féminine en agissant sur l’ovulation ; il est doncdéconseillé chez les femmes souhaitant concevoir un enfant. Chez les femmesrencontrant des difficultés pour concevoir ou réalisant des tests defertilité, l'arrêt du traitement doit être envisagé.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

Sans objet.

4.8. Effets indésirables

Réactions cutanées :

· allergiques de type rash, prurit, érythème, réactions cutanéesbulleuses, réactions de photosensibili­sation, dermatite de contact,eczéma.

· possibilité de pigmentation de la peau.

· syndrome d’hypersensibilité médicamenteuse (syndrome DRESS).

· érythème pigmenté fixe – fréquence indéterminée.

Autres effets systémiques des AINS : ils sont fonction du passagetransder­mique du principe actif et donc de la quantité de gel appliquée, de lasurface traitée, du degré d'intégrité cutanée, de la durée de traitementet de l'utilisation ou non d'un pansement occlusif (effets digestifs,rénaux).

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de Santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance. – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

En cas de surdosage, rincer abondamment à l'eau.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : Anti-inflammatoire non stéroïdien entopique, code ATC : M02AA07

Le piroxicam est un anti-inflammatoire non stéroïdien du groupe desoxicams. Sous forme de gel, il possède une activité anti-inflammatoire etantalgique.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Absorption

Appliqué localement sous forme de gel, le piroxicam est absorbé lentementà travers la peau. Il s'accumule peu dans l'organisme. Le passage systémiquedu gel par rapport à celui des formes orales de piroxicam est de l'ordre de5 %.

Distribution

La demi-vie plasmatique est d'environ 50 heures.

La fixation aux protéines plasmatiques est importante : de l'ordre de99 %.

Biotransformation-Elimination

Le piroxicam est éliminé lentement. Il est presque totalementméta­bolisé.

Une proportion importante est éliminée dans les urines sous forme dehydroxy-5-métabolite.

5.3. Données de sécurité préclinique

Des études portant sur la toxicité subaiguë et chronique ont été menéeschez le rat, la souris, le chien et le singe à des doses orales allant de0,3 mg/kg/jour à 25 mg/kg/jour.

Les données non cliniques montrent des effets typiques d’un AINS nonCOX-sélectif, à savoir une nécrose papillaire rénale et des lésionsgastro-intestinales. En ce qui concerne ce dernier point, le singe s’estavéré relativement résistant à cet effet, et le chien, inhabituellemen­tsensible.

Dans les études de toxicité sur la reproduction, le piroxicam augmentel’incidence de la dystocie et retarde la mise bas des animaux lorsquel’admi­nistration du médicament s’est poursuivie durant la gestation. Il aégalement été montré que l’administration d’inhibiteurs de la synthèsedes prostaglandines entraînait une augmentation des pertes avant et après lanidation. Ces observations ont été faites suite à une administration par voieorale, et, comme mentionné en rubrique 5.2, les taux plasmatiques de piroxicamà l’équilibre obtenus chez les patients utilisant le gel atteignentseulement environ 5 % des taux obtenus avec une dose équivalente du produitadministré par voie orale.

De plus, la toxicité aiguë et chronique, ainsi que l'irritation, ont étéétudiées avec le produit utilisé en application locale.

Dans une étude sur la toxicité aigüe menée chez des rats albinos ayantreçu une application locale unique de 5 g/kg (soit 200–300 foisl'application clinique recommandée), aucun décès, signe de toxicité ouirritation cutanée n'a été observé et aucune modification macroscopique n'aété rapportée à l'autopsie.

Une étude d'un mois a été menée sur des rats albinos. Un groupe a reçuune application quotidienne de gel sur la peau du dos, à une dose de 1 g parrat, un autre groupe a été traité avec le véhicule et un troisième, nontraité, constituait le groupe contrôle.

Aucune irritation cutanée n'a été rapportée sur les sites d’applicationet aucune modification liée au traitement n'a été observée sur lesparamètres hématologiques, chimiques, le poids des organes, les résultatsd'autopsie ou l'histopathologie.

Le gel a aussi été évalué en termes d'irritation cutanée primaire,d'irri­tation oculaire et de photo-toxicité chez le lapin et en termes dephoto-allergie et de potentiel de sensibilisation cutanée chez le cochond'inde, dans le respect de protocoles standard établis.

Aucune réaction cutanée n'a été observée après application du gel à0,5 % ni après application du véhicule sur la peau intacte de lapins. Sur lapeau abrasée, le gel de piroxicam a produit un léger érythème et un œdèmelégèrement plus important qu'avec le véhicule.

Les effets anti-inflammatoires et analgésiques du gel de piroxicam à 0,5 %ont été étudiés chez le rat et le cochon d’inde à l'aide de modèlesstandards de la douleur et de l'inflammation, comme l'œdème de la patte induitpar carraghénanes chez le rat, l'érythème induit par les ultraviolets chez lecochon d'inde, l'œdème traumatique chez le rat, la douleur induite par levureschez le rat, l'érythème induit par l'huile de croton sur l'abdomen de cochond'inde, la formation de granulome induite par tampon d'ouate chez le rat etl'arthrite induite par adjuvant chez le rat. Le gel de piroxicam à 0,5 % aété comparable au gel d'indométacine à 1 % dans tous ces modèles et aupiroxicam administré par voie orale sur l'inhibition de l'inflammation dans lemodèle d'œdème de la patte chez le rat.

Le piroxicam topique est un agent anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS)qui possède aussi des propriétés analgésiques. Les œdèmes, lesérythèmes, la prolifération tissulaire, la fièvre et la douleur peuventêtre inhibés chez les animaux de laboratoire par l'administration du gel depiroxicam.

Aucun effet tératogène n'a été observé lorsque le piroxicam a étéadministré par voie orale lors des tests sur l'animal. Le piroxicam inhibe lasynthèse et la libération de la prostaglandine par inhibition réversible del'enzyme cyclo-oxygénase. Cet effet, comme avec les autres AINS, s'accompagned'une augmentation de l'incidence de dystocie et de retard de parturition chezles animaux gravides lorsque l'administration du médicament est poursuivie tardpendant la grossesse. Les AINS sont aussi connus pour provoquer une fermeture ducanal artériel chez le nourrisson.

Une étude préliminaire indique que le piroxicam est présent dans le laitmaternel à une concentration correspondant à environ 1 % de la concentration­plasmatique atteinte après administration o­rale.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Alcool éthylique à 99,9 pour cent V/V (éthanol), diisopropanola­mine,carbomère (carbopol 980), hydroxyéthylce­llulose, eau purifiée, propylèneglycol (E1520) et alcool benzylique (E1519).

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

3 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation

A conserver à une température ne dépassant pas 25 °C.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

25 ou 50 g en tube aluminium laqué intérieurement (résineépoxy-phénol).

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d'exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

PFIZER HOLDING FRANCE

23–25, AVENUE DU DOCTEUR LANNELONGUE

75014 PARIS

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 331 669 5 3 : 25 g en tube aluminium laqué intérieuremen­t(résine époxy-phénol).

· 34009 331 670 3 5 : 50 g en tube aluminium laqué intérieuremen­t(résine époxy-phénol).

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I.

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