Résumé des caractéristiques - LERCANIDIPINE TEVA 10 mg, comprimé pelliculé sécable
1. DENOMINATION DU MEDICAMENT
LERCANIDIPINE TEVA 10 mg, comprimé pelliculé sécable
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Chlorhydrate de lercanidipine.............................................................................................10,00 mg
Pour un comprimé pelliculé sécable.
Excipient à effet notoire : lactose (30 mg/comprimé).
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
3. FORME PHARMACEUTIQUE
Comprimé pelliculé sécable.
Le comprimé peut être divisé en doses égales.
4. DONNEES CLINIQUES
4.1. Indications thérapeutiques
Hypertension artérielle essentielle.
4.2. Posologie et mode d'administration
PosologieCe médicament est réservé à l'adulte.
Le traitement peut être initié à la dose de 5 mg chez certains patients,et cette dose peut être suffisante.
La posologie usuelle est de 10 mg par voie orale une fois par jour. La dosepeut être augmentée si nécessaire jusqu'à 20 mg selon la réponseindividuelle du patient.
En cas de contrôle tensionnel insuffisant, un autre antihypertenseur pourraêtre associé.
Chez les sujets âgés, les données pharmacocinétiques et l'expérienceclinique indiquent qu'il n'est pas nécessaire d'ajuster les doses.
Mode d’administrationVoie orale.
Les comprimés seront administrés une fois par jour avec un peu de liquide,de préférence le matin, avant le petit déjeuner.
Les comprimés ne doivent pas être pris avec du jus de pamplemousse.
4.3. Contre-indications
Ce médicament NE DOIT JAMAIS ETRE UTILISE en cas de :
· hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipientsmentionnés à la rubrique 6.1,
· grossesse et allaitement,
· femmes en âge de procréer en l’absence de contraception efficace,
· angor instable,
· infarctus du myocarde datant de moins d'un mois,
· patients avec insuffisance rénale sévère dont la clairance de lacréatinine est < 10 ml/min, patients sous dialyse,
· insuffisance hépatique sévère.
Ce médicament EST GENERALEMENT DECONSEILLE en association avec ledantrolène, le kétoconazole et l'itraconazole (voir rubrique 4.5).
4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi
Mises en garde spécialesChez les patients ayant un obstacle à l'éjection du ventricule gauche(cardiomyopathie hypertrophique, sténose aortique) et chez les patients ayantune maladie sinusale (en l'absence de stimulateur cardiaque), la prudence estrecommandée.
Précautions d'emploiEn cas d'insuffisance cardiaque, d'altération de la fonction ventriculairegauche, l'état hémodynamique du patient sera surveillé tout particulièrementen début de traitement.
Il a été suggéré que certaines dihydropyridines à action brèvepourraient être associées à une augmentation du risque cardiovasculaire chezles patients atteints d'insuffisance coronarienne. Bien que LERCANIDIPINE TEVAait une action prolongée, des précautions sont également requises chez cetype de patient.
Excipients
Lactose
Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit enlactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladieshéréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
Sodium
Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé,c’est-à-dire qu’il est essentiellement ≪ sans sodium ≫.
4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions
Associations déconseillées+ Dantrolène (perfusion) (par mesure de prudence)
Chez l'animal, des cas de fibrillations ventriculaires mortelles sontconstamment observés lors de l'administration de vérapamil et de dantrolènepar voie IV.
L'association d'un antagoniste du calcium et de dantrolène est doncpotentiellement dangereuse.
Cependant, quelques patients ont reçu l'association nifédipine etdantrolène sans inconvénient.
+ Kétoconazole, Itraconazole
Risque majoré d'œdèmes, par diminution du métabolisme hépatique de ladihydropyridine.
Associations faisant l'objet de précautions d’emploi+ Baclofène
Majoration de l'effet antihypertenseur.
Surveillance de la pression artérielle et adaptation posologique del'antihypertenseur si nécessaire.
+ Rifampicine
Diminution des concentrations plasmatiques de l'antagoniste du calcium paraugmentation de son métabolisme hépatique.
Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie del'antagoniste du calcium pendant le traitement par la rifampicine et aprèsson arrêt.
+ Anticonvulsivants inducteurs enzymatiques
Diminution des concentrations plasmatiques de la dihydropyridine paraugmentation de son métabolisme hépatique.
Surveillance clinique et adaptation éventuelle de la posologie de ladihydropyridine pendant le traitement par l'inducteur et après son arrêt.
+ Ciclosporine
Augmentation modérée des concentrations plasmatiques de l'immunosuppresseuret augmentation plus notable des concentrations de lercanidipine.
Décaler les prises des deux médicaments. Dosage des concentrationssanguines de l'immunosuppresseur, et adaptation, si nécessaire, de saposologie pendant l'association et après son arrêt.
Associations à prendre en compte+ Amifostine
Majoration de l'effet antihypertenseur.
+ Jus de pamplemousse
Risque majoré d'effets indésirables, notamment d'œdèmes, par diminutiondu métabolisme hépatique de la lercanidipine.
+ Alphabloquants à visée urologique: alfuzosine, prazosine, térazosine,tamsulosine
Majoration de l'effet hypotenseur. Risque d'hypotension orthostatiquemajorée.
+ Bêta-bloquants
Hypotension, défaillance cardiaque chez les malades en insuffisancecardiaque latente ou non contrôlée (effet inotrope négatif in vitro desdihydropyridines, plus ou moins marqué en fonction des produits, et susceptiblede s'additionner aux effets inotropes négatifs des bêta-bloquants).
La présence d'un traitement bêta-bloquant peut minimiser par ailleurs laréaction sympathique réflexe mise en jeu en cas de répercussionhémodynamique excessive.
+ Antidépresseurs imipraminiques (tricycliques), neuroleptiques
Effet antihypertenseur et risque d'hypotension orthostatique majorés (effetadditif).
+ Corticoïdes, tétracosactide (voie générale) (sauf hydrocortisoneemployée comme traitement substitutif dans la maladie d'Addison)
Diminution de l'effet antihypertenseur (rétention hydrosodée descorticoïdes).
4.6. Fertilité, grossesse et allaitement
GrossesseLes études réalisées chez l'animal n'ont pas mis en évidence de risquetératogène de la lercanidipine, mais ces effets ont été observés avecd’autres dihydropyridines (voir rubrique 5.3).
Aucune donnée clinique concernant les grossesses exposées à lalercanidipine n’est disponible. Par conséquent, la lercanidipine ne doit pasêtre utilisée pendant la grossesse ou chez les femmes planifiant unegrossesse. AllaitementL’excrétion de la lercanidipine ou de ses métabolites dans le laitmaternel n’est pas connue. Par conséquent, la lercanidipine ne doit pas êtreutilisée au cours de l’allaitement.
Fertilité
Aucune donnée clinique n'est disponible avec la lercanidipine. Desmodifications biochimiques réversibles de la tête des spermatozoïdes pouvantaltérer la fertilité ont été rapportées chez des patients traités par desinhibiteurs des canaux calciques. En cas d’échecs répétés de fécondationsin vitro et lorsque aucune autre explication ne peut être trouvée, laresponsabilité des inhibiteurs calciques doit être envisagée.
4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines
Sans objet.
4.8. Effets indésirables
Cliniques· Les effets indésirables se manifestent plutôt au début du traitement oulors des augmentations de doses. Ils sont pour la plupart bénins etdisparaissent dès l'arrêt de celui-ci: maux de tête, rougeurs du visageaccompagnées ou non de bouffées de chaleur, palpitations, œdèmes des membresinférieurs. Dans l'étude récente COHORT, le taux observé d'œdèmes desmembres inférieurs (suivi de 6 à 24 mois) est de 9,3 % sous lercanidipine,de 19,0 % sous amlodipine (p < 0,0001) et de 4,3 % sous lacidipine pour unabaissement tensionnel non significativement différent dans les trois groupes.Dans l'étude récente de Lund-Johansen, le taux observé d'œdèmes des membresinférieurs était significativement plus faible (p = 0,02) dans le groupelercanidipine (9,1 %) que dans le groupe amlodipine (28,6 %). La baisse de lapression artérielle n'était pas significativement différente dans les2 groupes (-21.2/9.5 mmHg sous lercanidipine vs –23.3/13.1 mmHg sousamlodipine).
Des étourdissements ont également été rapportés.
· Plus rarement: fatigue, troubles gastro-intestinaux tels que dyspepsie,nausées, vomissements, douleurs épigastriques et diarrhées; polyurie,éruptions cutanées, somnolence et myalgie.
· Une hypotension peut apparaître dans de rares cas.
· Bien qu'elle n'ait pas été observée durant les essais cliniques, unehyperplasie gingivale a été signalée dans de rares cas après l'utilisationd'autres dihydropyridines.
· Ainsi que les autres substances vasoactives, la lercanidipine peutentraîner des douleurs angineuses survenant en début de traitement. Ellesimposent l'arrêt du traitement.
Des cas exceptionnels de syndrome extrapyramidal ont été rapportés aveccertains inhibiteurs calciques.
BiologiquesDes augmentations transitoires des enzymes hépatiques peuvent survenir souslercanidipine. Elles sont réversibles à l'arrêt du médicament.
Déclaration des effets indésirables suspectésLa déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://www.signalement-sante.gouv.fr“>www.signalement-sante.gouv.fr.
4.9. Surdosage
En cas de surdosage par la lercanidipine, les symptômes sont une chute de lapression artérielle, un choc et des troubles du rythme cardiaque (tachycardieet bradycardie).
Traitement du surdosage chez l'homme :
Les mesures générales à mettre en œuvre en cas de surdosage par lalercanidipine sont le lavage gastrique avec addition de charbon actif, et lemaintien des fonctions vitales (oxygénothérapie, éventuellement ventilationmécanique, remplissage vasculaire).
Les troubles du rythme, en particulier la bradycardie, relèvent d'untraitement symptomatique par bêta-sympathomimétiques; si ces troubles mettentle patient en danger, il peut être nécessaire de poser un stimulateurcardiaque temporaire.
En cas de surdosage massif : une perfusion de gluconate de calcium sembleindiquée. Veillez au maintien du rythme, de la conduction et du débitcardiaque. Une hypotension importante peut être contrôlée par perfusion detout mode d'expansion volémique.
En raison de l'effet pharmacologique prolongé de la lercanidipine en cas desurdosage, il est important de surveiller l'état cardiovasculaire des patientspendant au moins 24 heures. Il n'existe pas d'information sur l'utilité d'unedialyse.
Le médicament étant fortement lipophile, les taux plasmatiques ne sont pasun indicateur de la durée de la période de risque et la dialyse pourrait êtreinefficace.
5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
5.1. Propriétés pharmacodynamiques
Classe pharmacothérapeutique : ANTAGONISTE CALCIQUE / ANTIHYPERTENSEUR,code ATC : C08CA13 : système cardiovasculaire.
La lercanidipine est un antagoniste calcique appartenant à la famille desdihydropyridines. Elle bloque sélectivement les canaux calciquesvoltage-dépendants de type L. Son action antihypertensive est liée à un effetrelaxant direct sur les muscles vasculaires lisses. Les résistancespériphériques totales sont donc diminuées. Malgré sa courte demi-vieplasmatique, la lercanidipine possède une activité antihypertensiveprolongée, ceci peut être lié à un coefficient de partage membranaireélevé. La lercanidipine est dépourvue d'effet inotrope négatif.
La vasodilatation induite par LERCANIDIPINE TEVA survenant progressivement,les cas d'hypotension aiguë avec tachycardie réflexe ont rarement étéobservés chez les patients hypertendus.
Comme pour les autres 1,4-dihydropyridines asymétriques, l'activitéantihypertensive de la lercanidipine est due principalement à sonénantiomère (S).
5.2. Propriétés pharmacocinétiques
AbsorptionLERCANIDIPINE TEVA est complètement absorbé après administration orale etles pics plasmatiques, apparaissent 1,5 à 3 heures environ après la prisemédicamenteuse.
DistributionLa biodisponibilité absolue du LERCANIDIPINE TEVA administré par voie oraleest relativement faible en raison d'un métabolisme de premierpassage élevé.
La biodisponibilité de la lercanidipine est de l'ordre de 10 %.
La distribution tissulaire est rapide et généralisée.
BiotransformationLa métabolisation de la lercanidipine est importante et implique lecytochrome P 450, au niveau des isoenzymes CYP 3A4. Certains inhibiteurs du CYP3A4 pourraient modifier les concentrations plasmatiques de la lercanidipine maisle retentissement clinique est improbable.
Le taux de fixation de la lercanidipine aux protéines sériques estsupérieur à 98 %.
La teneur en protéines plasmatiques étant réduite chez les patientssouffrant d'une insuffisance hépatique ou rénale sévère, la fraction libredu médicament peut être augmentée dans ces cas.
La fixation de la lercanidipine aux membranes lipidiques est élevée.
ÉliminationL'élimination se produit essentiellement par biotransformation.
La demi-vie d'élimination est de 8 à 10 heures. Aucune accumulation n'aété observée à la suite d'une administration répétée.
L'administration de LERCANIDIPINE TEVA par voie orale conduit à desconcentrations plasmatiques de lercanidipine qui ne sont pas directementproportionnelles à la dose (cinétique non linéaire). Il existe une saturationprogressive du métabolisme de premier passage. En conséquence, labiodisponibilité augmente avec la dose.
La biodisponibilité de la lercanidipine administrée par voie orale estquadruplée lorsque LERCANIDIPINE TEVA est ingéré dans les 2 heures quisuivent un repas riche en lipides. En conséquence, LERCANIDIPINE TEVA doitêtre pris avant les repas.
Chez les patients âgés et chez ceux atteints d'une insuffisance rénaleet/ou hépatique légère à modérée, le comportement pharmacocinétique de lalercanidipine s'est avéré similaire à celui qui a été observé pourl'ensemble de la population de patients étudiés; ceux atteints d'insuffisancerénale sévère dont la clairance de la créatinine est < 10 ml/min ou lespatients sous dialyse avaient des concentrations du médicament plus élevées(environ 70 %). Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique sévère,la biodisponibilité systémique de la lercanidipine devrait être augmentée,étant donné que le médicament est essentiellement métabolisé parle foie.
5.3. Données de sécurité préclinique
Les données précliniques ne révèlent aucun risque particulier pourl’homme d’après les études conventionnelles de pharmacologie sur lasécurité d’emploi, de toxicité à doses répétées, de génotoxicité, depotentiel carcinogène et de toxicité sur la reproduction.
Des études pharmacologiques de sécurité réalisées chez l'animal à dosesantihypertensives n'ont montré aucun effet sur le système nerveux autonome, lesystème nerveux central ou la fonction gastro-intestinale.
Les effets significatifs observés dans les études long terme chez le rat etle chien ont été reliés, directement ou indirectement, aux effets connus desinhibiteurs calciques à fortes doses, reflétant essentiellement uneexagération de l’activité pharmacodynamique.
La lercanidipine n’a montré ni génotoxicité ni risque cancérigène.
Le traitement par la lercanidipine n'a eu aucune incidence sur la fertiliténi sur la capacité générale de reproduction générale chez le rat.
Aucun effet tératogène n'a été observé chez le rat et le lapin.Cependant, chez le rat, la lercanidipine administrée à des doses élevées aentraîné des pertes avant et après implantation et un retard dudéveloppement fœtal.
Administrée pendant le travail, à fortes doses (12 mg/kg/jour), lechlorhydrate de lercanidipine a entraîné une dystocie.
La distribution de lercanidipine et/ou de ses métabolites chez l’animalgravide et leur excrétion dans le lait maternel n’ont pas étéétudiées.
Les métabolites n’ont pas fait l’objet d’études de toxicitéséparées.
6. DONNEES PHARMACEUTIQUES
6.1. Liste des excipients
Lactose monohydraté, cellulose microcristalline, carboxyméthylamidonsodique, povidone, stéarate de magnésium.
Pelliculage : OPADRY II Jaune 85F32553 (alcool polyvinylique, dioxyde detitane (E171), macrogol, talc, oxyde de fer jaune (E172).
6.2. Incompatibilités
Sans objet.
6.3. Durée de conservation
3 ans.
6.4. Précautions particulières de conservation
A conserver dans l’emballage d’origine, à l’abri del’humidité.
A conserver à une température ne dépassant pas 25°C.
6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur
14, 28, 30, 35, 50, 90 ou 100 comprimés sous plaquettes(Aluminium/PVC/PVDC).
Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.
6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation
Pas d’exigences particulières.
7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
RATIOPHARM GMBH
GRAF-ARCO-STRASSE 3
89079 ULM
ALLEMAGNE
8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
· 34009 320 289 1 7: 14 comprimés sous plaquettes(Aluminium/PVC/PVDC).
· 34009 320 339 9 7: 28 comprimés sous plaquettes(Aluminium/PVC/PVDC).
· 34009 320 676 5 7: 30 comprimés sous plaquettes(Aluminium/PCV/PVDC).
· 34009 320 826 7 4: 35 comprimés sous plaquettes(Aluminium/PVC/PVDC).
· 34009 321 020 6 8: 50 comprimés sous plaquettes(Aluminium/PVC/PVDC).
· 34009 321 021 2 9: 90 comprimés sous plaquettes(Aluminium/PVC/PVDC).
· 34009 321 022 9 7: 100 comprimés sous plaquettes(Aluminium/PVC/PVDC).
9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
11. DOSIMETRIE
Sans objet.
12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES
Sans objet.
CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE
Liste I
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