La Pharmacia De Garde Ouvrir le menu principal

LOPERAMIDE TEVA 2 mg, comprimé pelliculé - résumé des caractéristiques

Contient la substance active :

ATC classification:

Dostupné balení:

Résumé des caractéristiques - LOPERAMIDE TEVA 2 mg, comprimé pelliculé

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

LOPERAMIDE TEVA 2 mg, comprimé pelliculé

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Chlorhydrate de lopéramide...­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­..2,00 mg

Quantité correspondant à lopéramidebase­.............­.............­.............­.............­.............­..........1,86 mg

Pour un comprimé pelliculé.

Excipient à effet notoire : lactose.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Comprimé pelliculé.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Traitement symptomatique des diarrhées aiguës et chroniques.

Le traitement ne dispense pas de mesures diététiques et d'uneréhydratation si elle est nécessaire.

L'importance de la réhydratation par soluté de réhydratation orale ou parvoie intraveineuse doit être adaptée en fonction de l'intensité de ladiarrhée, de l'âge et des particularités du patient (maladiesasso­ciées,…,).

4.2. Posologie et mode d'administration

Posologie

Réservé à l'adulte et à l'enfant de plus de 8 ans.

· Diarrhée aiguë :

La posologie initiale est de 2 comprimés chez l'adulte et d'un compriméchez l'enfant.

Après chaque selle non moulée, un comprimé supplémentaire seraadministré.

· Diarrhée chronique :

o La posologie initiale est de 2 comprimés par jour chez l'adulte etd’un comprimé chez l’enfant.

o Cette posologie initiale devra être ajustée afin d’obtenir 1 à2 selles moulées par jour, généralement avec une dose d’entretien de 1 à6 comprimé(s) par jour.

La dose maximale en cas de diarrhée aiguë et de diarrhée chronique est de8 comprimés par jour chez l’adulte.

Chez l’enfant, elle doit être calculée en fonction du poids corporel(3 com­primés/20 kg) mais ne doit pas dépasser 8 comprimés par jour.

Sujets âgés

Aucun ajustement posologique n'est nécessaire.

Insuffisance rénale

Aucun ajustement posologique n'est nécessaire.

Insuffisance hépatique

Bien qu'il n'existe pas de données pharmacocinétiques chez les patientsinsuf­fisants hépatiques, le lopéramide doit être utilisé avec précautionchez ces patients du fait de la réduction de l'effet de premier passage (voirrubrique 4.4).

Mode d’administration

Voie orale.

Les comprimés doivent être avalés avec un liquide.

4.3. Contre-indications

· Hypersensibilité au lopéramide ou à l'un des constituants mentionnésà la rubrique 6.1.

· Poussées aiguës de rectocolite hémorragique (risque de colectasie).

· En cas de diarrhée hémorragique et/ou de fièvre importante (dysenterieaiguë).

· Chez les patients souffrant d’entérocolite bactérienne due à unebactérie invasive telle que Salmonella, Shigella ou Campylobacter.

· Chez les patients souffrant de colite pseudomembraneuse associée àl'administration d'antibiotiques à large spectre.

· Enfant de moins de 8 ans.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Mises en gardes spéciales

Le traitement de la diarrhée par le lopéramide est uniquementsym­ptomatique. Lorsqu’une étiologie sous-jacente peut être déterminée, untraitement spécifique doit être administré, le cas échéant.

Si au bout de 2 jours de traitement la diarrhée persiste, le traitement parlopéramide devra être arrêté et les patients doivent être invités àconsulter leur médecin. La nécessité d'une réhydratation par soluté deréhydratation orale ou par voie intraveineuse devra être envisagée.

Ce médicament contient du lactose. Les patients présentant une intoléranceau galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption duglucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendrece médicament.

Précautions d'emploi

· Le lopéramide ne doit pas être utilisé comme traitement de premièreintention dans les dysenteries aiguës avec présence de sang dans les selles etfièvre importante.

· Le lopéramide ne doit pas être utilisé en cas de diarrhées survenantau cours d'un traitement antibiotique à large spectre. En effet, on doitcraindre alors une colite pseudomembraneuse avec toxi-infection. Dans ce cas,tout traitement entraînant une stase fécale doit être évité.

· En règle générale, le lopéramide ne doit pas être utilisé lorsqu'uneinhi­bition du péristaltisme doit être évitée et son administration doitêtre interrompue en cas d'apparition de constipation ou de distensionabdo­minale du fait du risque de séquelles importantes incluant iléus,mégacôlon ou syndrome colestasique.

· Les patients sidéens traités par lopéramide en cas de diarrhée doiventcesser le traitement dès l’apparition des premiers signes de distensionabdo­minale. Des cas isolés de constipation avec risque accru de mégacôlontoxique ont été rapportés chez des patients sidéens atteints de coliteinfectieuse à agents pathogènes viraux et bactériens, et traités par lelopéramide.

· Des effets cardiaques, y compris un allongement de l'intervalle QT et unélargissement du complexe QRS, et des torsades de pointes, ont été signalésen relation avec un surdosage. Pour certains de ces cas, l’évolution a étéfatale (voir la rubrique 4.9). Le surdosage peut révéler un syndrome deBrugada existant. Les patients ne doivent pas dépasser la dose et/ou la duréede traitement recommandées.

· L'insuffisant hépatique doit faire l'objet d'une surveillancepar­ticulière du fait de l'important effet de 1er passage, notamment au niveaudes signes de toxicité du système nerveux central (SNC).

· Le patient devra être informé de la nécessité de :

o se réhydrater par des boissons abondantes, salées ou sucrées, afin decompenser les pertes de liquide dues à la diarrhée (la ration quotidiennemoyenne en eau de l'adulte est de 2 litres) ;

o s'alimenter le temps de la diarrhée,

§ en excluant certains apports et particulièrement les crudités, lesfruits, les légumes verts, les plats épicés, ainsi que les aliments ouboissons glacées ;

§ en privilégiant les viandes grillées, le riz.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Des données non-cliniques ont indiqué que le lopéramide est un substrat dela glycoprotéine P. L’administration concomitante de lopéramide (dose uniquede 16 mg) avec la quinidine, ou le ritonavir, qui sont des inhibiteurs de laglycoprotéine P, a entraîné des concentrations plasmatiques de lopéramide2 à 3 fois plus élevées. On ignore dans quelle mesure cette interactionphar­macocinétique avec les inhibiteurs de la glycoprotéine P est cliniquementsig­nificative lorsque le lopéramide est utilisé aux doses recommandées.

La co-administration de lopéramide (dose unique de 4 mg) etd’itraconazole, un inhibiteur du CYP3A4 et de la glycoprotéine P, aentraîné des concentrations plasmatiques de lopéramide 3 à 4 fois plusélevées. Au cours de la même étude, un inhibiteur du CYP2C8, le gemfibrozil,a doublé les concentrations plasmatiques de lopéramide. La combinaisonitra­conazole et gemfibrozil a augmenté les concentrations plasmatiquesma­ximales de lopéramide de 4 fois et l’exposition plasmatique totale de13 fois. Ces augmentations n’ont pas été associées à des effetsmesurables sur le système nerveux central (SNC), tels que mesurés par destests psychomoteurs (par ex. la somnolence subjective et le test de substitutionchiffre-symbole).

L’administration concomitante de lopéramide (dose unique de 16 mg) et dekétoconazole, un inhibiteur du CYP3A4 et de la glycoprotéine P, a donné lieuà des concentrations plasmatiques de lopéramide 5 fois plus élevées. Cetteaugmentation n’est pas liée à un renforcement des effets pharmacodynami­questels que mesurés par pupillométrie.

L’administration concomitante de lopéramide et de desmopressine orale aaugmenté de 3 fois la concentration plasmatique de la desmopressine,pro­bablement à cause du ralentissement de la motilité gastro-intestinale.

On prévoit que les médicaments ayant les mêmes propriétésphar­macologiques peuvent potentialiser l’effet de lopéramide, et que lesmédicaments accélérant le transit gastro-intestinal peuvent diminuerson effet.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. Enl'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dansl'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substancesres­ponsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révéléestératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deuxespèces.

En clinique, l'utilisation du lopéramide au cours d'un nombre limité degrossesses n'a apparemment révélé aucun effet malformatif ou fœtotoxique àce jour. Toutefois, des études complémentaires sont nécessaires pour évaluerles conséquences d'une exposition en cours de grossesse.

Ce médicament ne doit pas être administré pendant la grossesse, enparticulier pendant le premier trimestre, à moins que cela ne soit cliniquementjus­tifié.

En cas de traitement prolongé, tenir compte de ses propriétés opiacéespouvant en particulier retentir sur les fonctions digestives du nouveau-né.

Allaitement

De faibles quantités de lopéramide peuvent être retrouvées dans le laitmaternel humain. Par conséquent, ce médicament n’est pas recommandé pendantl’alla­itement.

En cas de traitement prolongé, tenir compte de ses propriétésopiacées.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

LOPERAMIDE TEVA 2 mg, comprimé pelliculé provoque parfois une somnolencediscrète et transitoire, des vertiges ou de la fatigue.

L'attention est appelée, notamment chez les conducteurs de véhicules et lesutilisateurs de certaines machines, sur les risques éventuels attachés àl'emploi de ce médicament.

4.8. Effets indésirables

La sécurité du lopéramide a été évaluée auprès de 3076 adultes etenfants âgés de plus de 12 ans qui ont participé à 31 études cliniquescontrôlées et non contrôlées, lors desquelles le chlorhydrate de lopéramidea été utilisé pour le traitement de diarrhées. Parmi celles-ci, 26 étudesportaient sur la diarrhée aiguë (N = 2755), et 5 autres sur la diarrhéechronique (N = 321).

Les effets indésirables les plus fréquemment signalés (avec une incidence≥ 1 %) dans les essais cliniques avec le chlorhydrate de lopéramide pour ladiarrhée aiguë étaient : constipation (2,7 %), flatulences (1,7 %), maux detête (1,2 %) et nausées (1,1 %).

Lors des essais cliniques pour la diarrhée chronique, les effetsindésirables les plus fréquemment signalés (avec une incidence ≥ 1 %)étaient : flatulences (2,8 %), constipation (2,2 %), nausées (1,2 %) etvertiges (1,2 %).

Les effets indésirables présentés ci-dessous sont classés par systèmeorgane et par ordre de fréquence. La classification selon la fréquence utilisela convention suivante : effets très fréquents (≥ 1/10), fréquents (≥1/100 ; < 1/10), peu fréquents (≥ 1/1 000 ; < 1/100), rares (≥1/10 000 ; < 1/1 000) et très rares (< 1/10 000).

Tableau 1 : Fréquence des effets indésirables rapportés lors del’utilisation du chlorhydrate de lopéramide au cours d’essais cliniqueschez l’adulte et l’enfant âgé de plus de 12 ans

Classes de systèmes d’organes

Indication

Diarrhée aiguë (N = 2755)

Diarrhée chronique (N = 321)

Affections du système nerveux

Céphalées

Fréquent

Peu fréquent

Vertiges

Peu fréquent

Fréquent

Affections gastro-intestinales

Constipation, nausées, flatulences

Fréquent

Fréquent

Douleurs abdominales, inconfort abdominal, bouche sèche

Peu fréquent

Peu fréquent

Douleur abdominale haute, vomissements

Peu fréquent

Dyspepsie

Peu fréquent

Distension abdominale

Rare

Affections de la peau et du tissu sous-cutané

Eruption cutanée

Peu fréquent

Effets indésirables issus des données post-commercialisation :

Le processus de détermination des effets indésirablespost-commercialisation pour le chlorhydrate de lopéramide n’a pas permis defaire la distinction entre les indications pour la diarrhée aiguë ouchronique, et entre adultes et enfants. Par conséquent, les effetsindésirables listés ci-dessous représentent les indications et lespopulations de patients combinées.

Les effets indésirables identifiés au cours de la surveillancepost-commercialisation pour le chlorhydrate de lopéramide sont listésci-dessous par système organe-classe et d’après la classification­MedDRA :

Affections du système immunitaire : réactions d’hypersensibi­lité,réaction anaphylactique (y compris choc anaphylactique), réactionanaphy­lactoïde.

Affections du système nerveux : somnolence, perte de conscience, stupeur,diminution du niveau de conscience, hypertonie, troubles de la coordination.

Affections oculaires : myosis.

Affections gastro-intestinales : iléus (y compris iléus paralytique),mé­gacôlon (y compris mégacôlon toxique), glossodynie.

Affections de la peau et du tissu sous-cutané : éruption bulleuse (ycompris syndrome de Stevens Johnson, nécrolyse épidermique toxique etérythème polymorphe), œdème de Quincke, urticaire, démangeaisons.

Affections du rein et des voies urinaires : rétention urinaire.

Troubles généraux et anomalies au site d’administration : fatigue.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr

4.9. Surdosage

Symptômes

En cas de surdosage (y compris de surdosage lié à une insuffisancehé­patique), une dépression du système nerveux central (diminution de lavigilance, somnolence, myosis, hypertonie, dépression respiratoire,in­coordination motrice), une rétention urinaire et un iléus peuvent êtreobservés. Les enfants peuvent être plus sensibles aux effets sur le systèmenerveux central.

Des effets cardiaques, tels qu’un allongement de l'intervalle QT et unélargissement du complexe QRS, des torsades de pointes, d’autres arythmiesventri­culaires graves, un arrêt cardiaque et une syncope, ont été observéschez les personnes ayant ingéré des doses excessives de de lopéramide (voirla rubrique 4.4). Des cas mortels ont également été signalés. Le surdosagepeut révéler un syndrome de Brugada existant.

Procédure d'urgence, antidote

La naloxone peut être utilisée comme antidote. La durée d'action de laspécialité étant plus longue que celle de la naloxone (1 à 3 heures), ilpeut être nécessaire de renouveler l'administration de cette dernière. Enconséquence, le patient doit être maintenu sous surveillance médicale pendantau moins 48 heures pour déceler toute dépression du système nerveuxcentral.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : ANTI-DIARRHEIQUE, Code ATC : A07DA03 (A :appareil digestif et métabolisme).

· Antidiarrhéique analogue structurel des opiacés.

· Activité antisécrétoire par augmentation du flux hydro-électrolytiquede la lumière intestinale vers le pôle plasmatique de l'entérocyte etréduction du flux inverse.

· Ralentissement du transit colique avec augmentation des contractionsseg­mentaires.

· Effets rapides et durables.

· Respecte les caractères bactériologiques et parasitologiques desselles.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Le lopéramide est peu résorbé par voie digestive. Il subit un importanteffet de premier passage hépatique.

Les concentrations plasmatiques sont faibles (2 ng/ml aprèsl'adminis­tration d'environ 8 mg de lopéramide par jour).

Chez l'homme, le pic plasmatique se situe entre 2 et 4 heures.

Le lopéramide est principalement métabolisé par le foie, et sa demi-vied'élimination est de 10,8 heures avec des variations allant de 9 à14 heures. Les études de distribution chez le rat montrent une forte affinitépour la paroi intestinale, le lopéramide se liant préférentiellement auxrécepteurs de la couche musculaire longitudinale. Chez l'homme, le lopéramideest bien absorbé par l'intestin, mais il est pratiquement complètementmé­tabolisé par le foie où il est conjugué et excrété par la bile. Du faitdu très grand effet de premier passage hépatique, les concentration­splasmatiques en lopéramide restent extrêmement faibles. Son élimination sefait essentiellement dans les fèces.

5.3. Données de sécurité préclinique

Des études non cliniques in vitro et in vivo avec le chlorhydrate delopéramide n’indique aucun effet significatif sur l’électrophysi­ologiecardiaque à des concentrations correspondantes à la marge thérapeutique etpour d’importants multiples de cette marge (jusqu’à 47 fois). Cependant,à des concentrations extrêmement élevées associées à un surdosage (voirrubrique 4.4), le lopéramide agit sur l’électrophysi­ologie cardiaque eninhibant les canaux potassiques (hERG) et sodiques, et provoque desarythmies.

Les études de toxicité aiguë et chronique du lopéramide ne montrentaucune toxicité spécifique. Les résultats des études in vivo et in vitromontrent que le lopéramide n'est pas génotoxique. Dans les études dereproduction, de très fortes doses de lopéramide (40 mg/kg/jour –240 fois la dose maximale chez l'homme) diminuent la fertilité et la surviefœtale, en relation avec une toxicité maternelle chez le rat.

Des doses plus faibles sont sans effet sur la santé maternelle ou fœtale etn'affectent pas le développement péri et postnatal.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Amidon de maïs, lactose monohydraté, cellulose microcristalline, copovidone(Kollidon VA 64), silice colloïdale anhydre (Aerosil 200), stéarate demagnésium, hypromellose, macrogol 6 000, émulsion de silicone.

Composition de l'émulsion de silicone : diméticone, silice colloïdaleanhydre, méthylcellulose, acide sorbique, eau purifiée.

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

3 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation

Ce médicament ne nécessite pas de précautions particulières deconservation.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

20 comprimés sous plaquettes (PVC/Aluminium).

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d’exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

TEVA SANTE

100–110 Esplanade du Général de Gaulle

92931 PARIS LA DEFENSE CEDEX

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 343 616–9 2 : 20 comprimés sous plaquettes(PVC/A­luminium).

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste II

Retour en haut de la page