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NALSCUE 0,9 mg/0,1 ml, solution pour pulvérisation nasale en récipient unidose - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - NALSCUE 0,9 mg/0,1 ml, solution pour pulvérisation nasale en récipient unidose

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

NALSCUE 0,9 mg/0,1ml, solution pour pulvérisation nasale en récipientunidose

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Composition pour unpulvérisate­ur...........­.............­.............. chlorhydrate denaloxone anhydre 0,9 mg

Pour un récipient unidose (pulvérisateur) de 0,1 mL

Excipient à effet notoire : alcool benzylique (0,5 mg dans 0,1 ml)

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Solution pour pulvérisation nasale en récipient unidose.

Solution transparente, incolore à légèrement jaune.

pH entre 3,5 et 5,0.

Osmolarité entre 350 et 450 mOsm.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

NALSCUE 0,9 mg/0,1ml, solution pour pulvérisation nasale en récipientunidose est indiqué chez l’adulte et l’enfant d’un mois et plus dans letraitement d’urgence des surdosages aux opioïdes, caractérisés oususpectés, se manifestant par une dépression respiratoire et dans l’attented’une prise en charge par une structure médicalisée.

L’utilisation de NALSCUE 0,9 mg/0,1ml, solution pour pulvérisation nasaleen récipient unidose ne se substitue pas aux soins d’urgence dispensés parune structure médicale.

4.2. Posologie et mode d'administration

Posologie

La première dose correspond à l’administration de 2 pulvérisations (unpulvérisateur par narine).

Si l’état du patient ne s’améliore pas, une deuxième dose,correspondant à 2 autres pulvérisations (un pulvérisateur par narine), doitêtre administrée 3 à 5 minutes après la première dose.

Une dose de NALSCUE à administrer correspond à 1,8 mg de chlorhydrate denaloxone.

Un pulvérisateur délivre 0,9 mg de chlorhydrate de naloxone contenu dans0,1 ml. Chaque pulvérisateur doit être utilisé pour une seule narine et nepeut délivrer qu’une seule pulvérisation.

Une boîte contient 4 pulvérisateurs, soit 2 doses.

Population pédiatrique

NALSCUE peut être utilisé chez l’enfant d’un mois et plus. La posologieest la même que chez l’adulte. Cependant, une surveillance médicaleappropriée est nécessaire après administration de NALSCUE chez l’enfant enraison d’un risque de syndrome de sevrage sévère.

En raison de la présence d’alcool benzylique, ce médicament estcontre-indiqué chez les prématurés et les nouveau-nés à terme (voirrubrique 4.3).

Population spéciale

En l’absence de données chez les patients atteints d’une insuffisancehé­patique ou rénale et chez les patients âgés de plus de 65 ans, cespatients devront faire l’objet d’une surveillance médicale appropriéeaprès administration de NALSCUE.

Mode d’administration

Administration par voie nasale uniquement.

Un pulvérisateur ne peut délivrer qu’une seule pulvérisation.

Les instructions suivantes doivent être fournies au patient et à sonentourage dès la prescription et/ou la dispensation de NALSCUE :

· Prévenir immédiatement et systématiquement les structures d’urgence(appeler le 15 ou le 112).

· Allonger le patient sur le dos.

· Administrer 2 pulvérisateurs, un pulvérisateur par narine.

· Noter l’heure d’administration de NALSCUE.

· Rester auprès du patient, surveiller son état d’éveil et safréquence respiratoire : le patient doit être capable de respirer sans aide àune fréquence de 10 à 12 inspirations par minute. Dans ce cas, installer lepatient en position latérale de sécurité.

· Si la fréquence respiratoire ou l’état d’éveil du patient nes’améliore pas au bout de 3–5 minutes après l’administration de NALSCUE,ou si après une légère amélioration, la fréquence respiratoire ou l’étatdu patient se dégrade, répéter l’administration de 2 nouvellespul­vérisations (un pulvérisateur par narine).

· Installer le patient en position latérale de sécurité, c’est-à-direlégèrement sur le côté.

· Attendez l’arrivée des secours et leur remettre les pulvérisateur­susagés.

· La demi-vie d’élimination de la naloxone étant courte, les symptômesd’un surdosage aux opioïdes peuvent réapparaitre à distance d’unepremière amélioration. Dans tous les cas, une surveillance du patient deplusieurs heures en milieu hospitalier est nécessaire.

Il est important que le patient ayant une dispensation de NALSCUE informe lespersonnes de son entourage de l’existence de ce médicament chez lui ou surlui et leur présente la notice d’instruction explicitant ses modalitésd’ad­ministration.

4.3. Contre-indications

· Hypersensibilité au chlorhydrate de naloxone ou à l’un des excipientsdu médicament (voir rubrique 6.1).

· En raison de la présence d’alcool benzylique, ce médicament estcontre-indiqué chez les prématurés et les nouveau-nés à terme (âgé demoins d’un mois).

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

NALSCUE est un traitement d'urgence et il convient de s’assurer que lepatient comprenne l’importance d’une prise en charge médicale aprèsl’utilisation de ce médicament. Les patients à risque de faire un surdosageaux opioïdes et les personnes susceptibles d’administrer NALSCUE doiventrecevoir des instructions claires quant aux circonstances et modalitésd’ad­ministration de ce médicament.

Durée d’action

La durée d’action de certains opioïdes (dihydrocodéine, oxycodone,fentanyl et méthadone, par exemple) peut être plus longue que celle de lanaloxone conduisant à un risque de résurgence de la dépression respiratoiremême après une première amélioration des symptômes. C’est pourquoi il esttrès important d’appeler immédiatement les structures d’urgence avantmême d’avoir administré la première dose de NALSCUE, de garder le patientsous surveillance continue et d’administrer une nouvelle dose de NALSCUE sinécessaire.

Efficacité limitée en cas de surdosage d’agoniste partiel, tel que labuprénorphine

L’efficacité de la naloxone peut être limitée en cas de dépressionres­piratoire due à un agoniste partiel des récepteurs opioïdes tel que labuprénorphine. Par conséquent, une prise en charge médicale est nécessaireaprès administration de NALSCUE.

Précipitation du syndrome de sevrage aux opioïdes

Chez les sujets ayant consommé des opioïdes, la levée brutale et complètede l’action des opioïdes par la naloxone peut précipiter l’apparitiond’un syndrome de sevrage important caractérisé par les signes et symptômessuivants : courbatures, diarrhées, tachycardie, fièvre, écoulement nasal,éternuements, pilo-érection, transpiration, bâillements, nausées ouvomissements, nervosité, agitation ou irritabilité, frissons ou tremblements,cram­pes abdominales, fatigue et augmentation de la tension artérielle. Cerisque ne doit en aucun cas remettre en question l’administration de NALSCUEou nécessiter une adaptation posologique.

Effets cardiovasculaires

En post-opératoire, les événements suivants ont été rapportés lors dela levée brutale de l’action des opioïdes par la naloxone : des nausées,des vomissements, des sueurs, des tremblements, une tachycardie, unehypotension, une hypertension, des convulsions, une tachycardie et unefibrillation ventriculaires, un œdème pulmonaire et un arrêt cardiaque. Undécès, un coma, et une encéphalopathie ont été rapportées comme séquellesde ces événements. Ces événements ont principalement été rapportés chezdes patients ayant des antécédents cardiovasculaires ou recevant desmédicaments ayant des effets indésirables cardiovasculaires potentiels. Enconséquence, ces patients doivent faire l’objet d’une surveillancemé­dicale appropriée.

Population pédiatrique

L’absorption de la naloxone après administration intranasale chezl’enfant peut être irrégulière ou retardée. Une surveillance médicaleappropriée est nécessaire après administration de la naloxone chezl’enfant.

L’administration de naloxone chez les enfants peut entrainer la levéecomplète et brutale des effets opioïdes, précipitant un syndrome de sevragesévère. L’enfant à qui est administré la naloxone, doit êtremédicalement surveillé pendant au moins 24 heures.

Un syndrome de sevrage aux opioïdes chez un nouveau-né (avant un mois),peut être mortel, s’il n’est pas diagnostiqué et pris en chargerapidement, contrairement à ce qui est observé chez l’adulte. Il peutprésenter les symptômes suivants : convulsions, pleurs excessifs et reflexeshyperac­tifs.

Par conséquent, si un surdosage aux opioïdes est suspecté chez unnouveau-né d’une mère consommant des opioïdes, afin d’éviterl’appa­rition brutale d’un syndrome de sevrage, l’utilisation d’une formeinjectable de naloxone permettant une définition de la dose en fonction dupoids et une titration en fonction de la réponse doit être privilégiée enstructure médicalisée.

Ce médicament contient 0,5 mg/0,1 ml d’alcool benzylique. Il peutprovoquer des réactions toxiques et des réactions de type anaphylactoïde chezles nourrissons et les enfants jusqu’à 3 ans.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

+ Analgésiques morphiniques de palier II et III

Diminution de l’effet antalgique

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

L’administration de NALSCUE chez une femme enceinte présentant unsurdosage aux opioïdes est possible. Après administration, une surveillanceap­propriée de la mère et du fœtus en structure médicalisée estnécessaire.

Lors des études de toxicité menées au cours de la reproduction animale, lechlorhydrate de naloxone a été administré pendant l'organogenèse à dessouris et des rats à des doses, respectivement, de 4 fois et 8 fois plusélevées, que la dose de 10 mg/jour chez l’homme. Ces études n'ontrévélé aucun effet toxique pour l'embryon ou tératogène.

Dans l’espèce humaine, la naloxone passe le placenta.

Chez une femme enceinte dépendante aux opioïdes, l’administration denaloxone peut précipiter un syndrome de sevrage chez le fœtus ou lenouveau-né. Par conséquent, en cas d’administration pendant la grossesse, lefœtus ou le nouveau-né devra être étroitement surveillé en structuremédi­calisée.

Allaitement

Il n’est pas établi si le chlorhydrate de naloxone est excrété dans lelait maternel ou s’il a une influence sur le nouveau-né allaité. Il est doncrecommandé d’éviter l’allaitement pendant une période de tempsappropriée après l’administration de NALSCUE.

Fertilité

Aucune donnée clinique sur la fertilité n’est disponible, toutefois, lesdonnées disponibles chez le rat ne montrent pas d’effet sur la fertilité(voir rubrique 5.3).

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

Les patients ayant reçu de la naloxone pour traiter les effets des opioïdesdoivent être avertis de ne pas conduire d’automobiles ou de machines et de nepas entreprendre d’activités demandant une attention particulière ou uneaptitude physique spécifique.

4.8. Effets indésirables

Résumé du profil de sécurité

Dans les deux études cliniques, la dysgueusie est l’effet indésirable leplus couramment signalé chez les sujets qui ont reçu une administratio­nintranasale de naloxone.

Liste des effets indésirables

Le tableau 1 résume les effets indésirables rapportés à partir de deuxétudes cliniques impliquant l'administration intranasale et les effetsindésirables issues des rapports post-commercialisation sur la naloxone,solution pour injection.

La fréquence des effets indésirables rapportés listés ci-dessous estdéfinie selon la convention suivante : Très fréquent (³1 / 10), fréquent(³1 / 100 à <1/10), peu fréquent (³1/1,000 to <1/100), rare(³1/10,000 to <1/1,000), et très rare (<1/10,000).

Tableau 1: Effets indésirables liés au traitement et rapportés lors desessais cliniques de naloxone intranasale

Classes de système d’organes

Très fréquent

Fréquent

Peu fréquent

Rare

Très rare

Affections du système nerveux

Dysgueusie

Céphalées

Paresthésie

Parosmie

Crises convulsives*

Affections cardiaques

Tachycardie*

Arythmie cardiaques*

Affections vasculaires

Hypertension

Hypotension

Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales

Congestion nasale

Hypersécrétion du sinus paranasal

Hyperventilation*†

Œdème pulmonaire*

Affections gastro-intestinales

Nausée

Vomissement

Troubles généraux et anomalies au site d’administration

Syndrome de sevrage aux opiacés

Effets indésirables des rapports de post-commercialisation de la naloxone,solution injectable

† En raison de la levée rapide de l’effet analgésique del’opioïde

Description de la sélection des effets indésirables

Les effets indésirables cardiovasculaires, tels que l'hypotension,l'hy­pertension, la tachycardie et les troubles du rythme cardiaque (y compris latachycardie ventriculaire et la fibrillation), ont été signalés le plussouvent chez les patients ayant des antécédents de troubles cardiovasculairesou lors d'une utilisation concomitante avec des médicaments ayant des effetsindésirables cardiovasculaires similaires (voir rubrique 4.4).

La levée brutale des effets morphiniques chez les sujets ayant consommé unopioïde peut précipiter l’apparition d’un syndrome de sevrage importantcarac­térisé par les signes et symptômes suivants : courbatures, fièvre,transpi­ration, écoulement nasal, éternuements, pilo-érection, bâillements,fa­tigue, frissons ou tremblements, agitation ou irritabilité, diarrhées,nausées ou vomissements, crampes abdominales, augmentation de la tensionartérielle, tachycardie (voir rubrique 4.4).

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.ansm.sante­.fr“>www.ansm­.sante.fr.

4.9. Surdosage

Un surdosage de naloxone entraîne la levée brutale de la dépression dueaux opioïdes et précipite l’apparition d’un syndrome de sevrage important(voir rubrique 4.4).

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : ANTIDOTE, code ATC : V03AB15.

La naloxone est un antagoniste pur et spécifique des récepteurs opioïdesqui bloque les effets des morphinomimétiques par compétition pour les mêmessites de liaison du récepteur.

Lorsque la naloxone est administrée chez un sujet ayant reçu unmorphinomimé­tique, elle inhibe ses effets tels que la dépression respiratoire,la sédation, l’analgésie et l’hypotension. En revanche, administrée chezun patient non exposé aux opioïdes, elle est dépourvue de propriétésphar­macologiques.

Elle est sans effet sur la dépression respiratoire d’origine nonopioïde.

La durée d’action dépend de l’opioïde responsable du surdosage ainsique de la dose, de la voie d’administration et de l’intervalle séparant2 administrations de chlorhydrate de naloxone.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Dans une étude incluant 36 volontaires sains, après administration nasaled’une dose de 1,8 mg de chlorhydrate de naloxone, le Tmax médian de naloxoneétait atteint en 20 minutes (variant de 15 à 45 minutes), avec un Cmaxmoyen de 1,78 ng/mL (± 0,97). La demi-vie plasmatique moyenne de la naloxonechez les sujets sains était de 1,39 heure (± 0,33). Dans la même étude,après administration d’une dose de 0,4 mg de naloxone par voieintramuscu­laire, le Tmax médian était atteint en 10 minutes (variant de5 minutes à une heure), avec une moyenne de Cmax de 1,05 ng/mL (± 0,35). Lamoyenne de la demi-vie plasmatique était de 1,34 heure (± 0,24). Lesparamètres de pharmacocinétique sont présentés dans la table2 ci-après.

Tableau 2. Paramètres pharmacocinétiques (moyenne ± S.D.) de la naloxoneaprès administration de chlorhydrate de naloxone sous forme de spray nasal(NALSCUE) et sous forme intramusculaire

Paramètres PK

Dose de chlorhydrate de naloxone

1,8 mg sous forme nasal

0,4 mg sous forme IM

Naloxone

Cmax (ng/ml)

1,78 (± 0.97)

1,05 (± 0.35)

Tmax (min) médian, (min-max)

20 (15–45)

10 (5–60)

AUCinf (ng.hr/ml)

2,63 (± 1,27)

1,67 (± 0,37)

t1/2 (hr)

1,39 (± 0,33)

1,34 (± 0,24)

Absorption

La biodisponibilité de la naloxone administrée avec le pulvérisateur­NALSCUE par voie nasale est approximativement de 37 %.

Distribution

La naloxone est distribuée rapidement dans l'organisme et traversefacilement la barrière placentaire. La naloxone se lie relativement faiblementaux protéines plasmatiques, principalement à l’albumine.

Biotransformation

La naloxone subit une importante biotransformation hépatique, très peu denaloxone est excrétée sous forme inchangée. La naloxone est métaboliséedans le foie, principalement par glycurono-conjugaison, lenaloxone-3-glucuronide étant le principal métabolite.

Élimination

La moyenne de la demi-vie plasmatique suivant l’administration intranasalede 1,8 mg de NASLCUE chez l’adulte sain est de 1,39 heure (± 0,33).

25 à 40% de la naloxone est éliminée par voie urinaire dans les6 heures, 50% en 24 heures et 60 à 70% en 72 heures.

5.3. Données de sécurité préclinique

Les données précliniques issues des études conventionnelles de toxicologieen administration unique ou répétée n’ont pas révélé de risqueparticulier pour l’homme.

Le chlorhydrate de naloxone s’est révélé faiblement positif dans le testd’Ames et le test in vitro d’aberration chromosomique sur lymphocyteshumains et négatif dans les essais de mutagenèse HGPRT des cellules V79 dehamster chinois et dans l’étude in vivo des aberrations chromosomiques sur lamoelle osseuse de rat.

Aucune étude du potentiel cancérogène du chlorhydrate de naloxone n’aété réalisée à ce jour.

Des modifications dose-dépendantes de la vitesse du développementne­urocomportemen­tal postnatal et des anomalies cérébrales ont été observéeschez des rats après une exposition in utero. De plus, une augmentation de lamortalité néonatale et une diminution du poids corporel ont été observéesaprès une exposition en fin de gestation chez les rats.

Aucun effet sur la fertilité n’a été observé dans les études desfonctions de la reproduction chez le rat et chez la souris après exposition àdes doses de 4 à 8 fois la dose administrée chez l’homme de10 mg/jour.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Acide citrique anhydre

EDTA disodique dihydraté

Alcool benzylique

Chlorure de sodium

Acide chlorhydrique

Hydroxyde de sodium

Eau purifiée

6.2. Incompati­bilités

En l’absence d’études de compatibilité, ce médicament ne doit pasêtre mélangé avec d’autres médicaments.

6.3. Durée de conservation

3 ans

6.4. Précautions particulières de conservation

A conserver à une température ne dépassant pas 25°C.

A conserver dans l’emballage d’origine.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

Boîte contenant quatre récipients unidoses (pulvérisateurs) de 0,1 mL enflacon verre avec embout nasal en polypropylène.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Chaque pulvérisateur de NALSCUE ne peut être utilisé qu’uneseule fois.

Le piston reste enfoncé après usage indiquant que le pulvérisateur a étéutilisé.

Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformémentà la réglementation en vigueur.

Le médicament utilisé doit être remis aux services d’urgence prenant encharge le patient.

Tenir hors de la vue et de la portée des enfants

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

INDIVIOR EUROPE LIMITED

27 WINDSOR PLACE

DUBLIN 2

IRLANDE

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 301 107 5 1 : 4 pulvérisateur(s) unidose(s) de 0,1 ml en flaconverre avec embout nasal en polypropylène.

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Médicament non soumis à prescription médicale.

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