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NEOSYNEPHRINE 2,5 % FAURE, collyre en solution en récipient unidose - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - NEOSYNEPHRINE 2,5 % FAURE, collyre en solution en récipient unidose

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

NEOSYNEPHRINE 2,5 % FAURE, collyre en solution en récipient unidose

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Chlorhydrate dephényléphri­ne...........­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.......10 mg

Pour un récipient unidose

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Collyre en solution en récipient unidose

Solution limpide, incolore à jaune

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Ce collyre est indiqué pour obtenir :

· une mydriase à visée diagnostique,

· une mydriase thérapeutique,

· une mydriase pré-opératoire.

4.2. Posologie et mode d'administration

Posologie

1 goutte de collyre (environ 20 µL) contient en moyenne 0,50 mg desubstance active (chlorhydrate de phényléphrine).

L'unidose de 0,4 ml contient en moyenne 20 gouttes de collyre ce quicorrespond à 10 mg de phényléphrine (20 × 0,50 mg)

La phényléphrine est en général utilisée si nécessaire avec un collyreatropinique, le plus souvent le tropicamide, pour obtenir une dilatationoptimale.

ADULTE

Une instillation dans l’œil à renouveler si nécessaire après15 minutes (voire 20 minutes), sans dépasser trois instillations.

Chez les sujets âgés, une prudence particulière est nécessaire (voirrubrique 4.4).

Population pédiatrique

Prématuré, nouveau-né (0 à 27 jours) et nourrisson (28 jours à2 ans)

Une instillation limitée à 1 seule goutte dans l’œil sansrenouvellement (voir rubrique 4.4).

Chez les prématurés de poids ≤ 1500 g, les données disponibles sontlimitées.

Chez les enfants (2 ans à 12ans)

Une instillation dans l’œil. Il n’est généralement pas nécessaire derenouveler l’application.

Chez les adolescents (12 à 18 ans)

Si nécessaire, l’instillation sera renouvelée après 15 minutes (voire20 minutes). La dose maximale ne doit pas dépasser deux instillations (voirrubrique 4.4).

Mode d’administration

Comme pour tous les collyres, effectuer, dans l’ordre, les opérationssui­vantes :

· Se laver soigneusement les mains

· Eviter de toucher l’œil ou les paupières avec l’embout du récipientunidose.

· Pour instiller ce collyre, regarder vers le haut et tirer légèrement lapaupière inférieure vers le bas.

· L’œil fermé, essuyer proprement l’excédent, notamment surla joue.

· Comprimer l’angle interne de l’œil pendant 1 minute après chaqueinstilla­tion*.

· En cas de traitement concomitant par un autre collyre, espacer de15 minutes les instillations.

· Jeter le récipient unidose après utilisation.

Afin d’éviter les effets systémiques induits par le passage dephényléphrine dans la circulation générale par les voies lacrymo-nasales,par la peau et par l’ingestion orale, il est recommandé de comprimerl’angle interne de l’œil pendant 1 minute après chaque instillation afind’occlure les points lacrymaux. Il convient aussi de fermer la paupière etd’essuyer l’excédent de collyre qui s’écoule sur la joue afind’éviter tout risque d’ingestion, surtout chez l’enfant (voir aussirubrique 4.4).

4.3. Contre-indications

· Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipientsmen­tionnés à la rubrique 6.1.

· Chez les nouveaux-nés et les nourrissons avec comorbidités cardio- etcérébrovascu­laires

· Chez certains sujets âgés avec comorbidités artérioscléro­tiques,cardio- ou cérébrovascula­ires graves

· Risque de glaucome par fermeture d’angle.

· En association aux IMAO non sélectifs.

· En association aux autres sympathomimétiques indirects.

· En association aux sympathomimétiques alphas (voies orale et/ounasale).

Ce médicament ne doit GENERALEMENT pas être utilisé, sauf avis contrairedu médecin, dans les cas suivants :

· Pendant le premier trimestre de grossesse et en cas d’allaitement.

· Pendant le premier trimestre de grossesse et en cas d’allaitement.

· En association avec les IMAO-A sélectifs.

· En association avec le linézolide.

· En association avec les alcaloïdes de l’ergot de seigle dopaminergiqueset vasoconstricteurs.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Ne pas laisser à la portée des enfants car il existe un risqued’intoxi­cation aiguë par ingestion accidentelle.

· Comme pour tout collyre, il y a un passage de la phényléphrine dans lacirculation générale.

· Afin d’éviter les effets systémiques induits par le passage dephényléphrine dans la circulation générale par les voies lacrymo-nasales,par la peau et par l’ingestion orale, il convient de procéder aux gestessuivants :

o Essuyer l’excédent de collyre qui s’écoule sur la joue afind’éviter tout risque d’ingestion, surtout chez l’enfant (voir rubrique4.2) ;

o Fermer l’œil et comprimer en même temps l’angle interne de l’œilpendant 1 minute après chaque instillation afin d’occlure les pointslacrymaux.

· Le risque de toxicité est plus élevé chez l’enfant et lesujet âgé

· La phényléphrine collyre doit être administrée avec précaution chezles patients à risques en particulier cardiovasculaire : HTA, insuffisanceco­ronaire, hyperthyroïdie, troubles du rythme.

· Afin d’éviter les surdosages, il convient d’éviter les instillationsré­pétées et ne pas dépasser les posologies maximales recommandées dans unintervalle de temps donné (voir rubrique 4.2). Respecter l’espacementre­commandé entre les instillations.

· Chez tous les enfants, il convient de ne pas dépasser les posologiesmaximales recommandées dans un intervalle de temps donné (respecterl’es­pacement recommandé entre les instillations).

NEONATOLOGIE

NEOSYNEPHRINE 2,5 % FAURE collyre en solution en récipient unidose doitêtre administré avec prudence chez les nouveau-nés et les nourrissons anciensprématurés (utilisation dans le cadre de la surveillance de la rétinopathiedu prématuré) en raison d’effets hémodynamiques liés à unevasoconstriction puissante. Ces effets peuvent se traduire cliniquement par unmalaise, des pauses respiratoires, une hypertension artérielle, desbradycardies profondes et une désaturation. Il convient donc de surveillerétro­itement le nouveau-né ou le nourrisson ancien prématuré, par monitoringcar­diorespiratoi­re et contrôle tensionnel durant au moins 30 minutes suivantl’insti­llation.

De plus :

· Limiter l’administration à une seule goutte de collyre par œil lors dechaque instillation (ne pas doubler l’administration sauf si la premièregoutte n’a absolument pas atteint l’œil)

· Bien essuyer la peau surtout chez le prématuré pour éviter le passagecutané et/ou l’ingestion

· Evaluer soigneusement et prendre en compte les risques supplémentairesliés à une éventuelle co-morbidité (notamment cardio etcérébro-vasculaires et atteintes du SNC).

· En cas d’anesthésie générale, les associations éventuelles enparticulier avec les anesthésiques volatils halogénés devront être prises encompte. Il est important que l’anesthésiste soit prévenu del’administration de phényléphérine collyre avant ou pendantl’inter­vention ophtalmologique.

· Les iris foncés se dilatent moins facilement que les iris clairs. En casd’iris foncé, il est nécessaire de faire particulièrement attention aurisque de surdosage. En cas de dilatation insuffisante, si l’instillation doitêtre répétée pour obtenir une mydriase suffisante, attendre au moins30 minutes avant de répéter l’instillation.

· Ne pas injecter ;

· Le collyre ne doit pas être administré en injection péri ouintraoculaire.

· La phényléphrine est susceptible de déclencher une crise de glaucomeaigu par obstruction mécanique des voies d’élimination de l’humeur aqueusechez les sujets présentant un angle iridocornéen étroit.

· En cas d'hypersensibilité à la phényléphrine, interrompre letraitement.

· En cas de non-respect des doses préconisées (instillations répétées),un effet rebond peut survenir.

· Du fait de la présence de phényléphrine, le port de lentilles decontact hydrophiles souples est déconseillé pendant le traitement.

· L'attention des sportifs est attirée sur le fait que ce collyre contientune substance active (la phényléphrine) pouvant induire une réaction positivedes tests pratiqués lors des contrôles antidopage.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Bien qu’administré par voie locale, ce médicament peut entraîner deseffets systémiques qu’il convient de prendre en compte.

Associations contre-indiquées

+ IMAO non sélectifs

Hypertension paroxystique, hyperthermie pouvant être fatale. Du fait de ladurée d’action de l’IMAO, cette interaction est encore possible 15 joursaprès l'arrêt de l'IMAO.

+ Autres sympathomimétiques indirects

Risque de vasoconstriction et/ou crises hypertensives.

+ Sympathomimétiques alpha (voies orale et/ou nasale)

Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

Associations déconseillées

+ Alcaloïdes de l’ergot de seigle dopaminergiques

Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

+ Alcaloïdes de l’ergot de seigle vasoconstricteurs

Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

+ IMAO-A sélectifs

Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

+ Linézolide

Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

Associations nécessitant des précautions d’emploi

+ Anesthésiques volatils halogénés

Poussée hypertensive peropératoire.

Il est important que l’anesthésiste soir prévenu de l’administration dephényléphrine collyre avant ou pendant l’intervention ophtalmologique.

Associations à prendre en compte

Sans objet

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Il n'y a pas de données fiables de tératogenèse chez l'animal. Enclinique, il n’existe pas de données spécifiques par voie oculaire chez lafemme enceinte. De manière générale, les résultats des étudesépidémi­ologiques ne permettent pas d’établir, sur des effectifs importants,qu’il existe un effet malformatif de la phényléphrine après exposition(toutes voies confondues) au 1er trimestre de la grossesse.

Cependant, compte tenu de ses puissantes propriétés vasoconstricti­ves,l’utilisa­tion de phényléphrine par voie oculaire ne doit être envisagéeque si nécessaire au cours de la grossesse. En cas d’administration, il estrecommandé de suivre les règles précédemment citées pourl’instillation.

Allaitement

Il n'y a pas de données concernant le passage de la phényléphrine dans lelait maternel. Cependant, compte tenu des possibles effets cardiovasculaires etneurologiques des vasoconstricteurs, l’allaitement est déconseillé en cas detraitement oculaire par phényléphrine.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

L'instillation de ce médicament entraîne une mydriase gênante pendantquelques heures. En conséquence, après instillation, la conduite de véhiculeset/ou l'utilisation de machines sont à déconseiller pendant toute la duréedes troubles visuels.

4.8. Effets indésirables

Effets indésirables oculaires

· Mydriase gênante, photophobie.

· Risque de glaucome aigu par fermeture de l’angle.

· Possibilité d’irritation ou de picotements transitoires.

· Possibilité de réactions allergiques : blépharite, conjonctivite,ké­ratite ponctuée superficielle.

Effets indésirables systémiques

La phényléphrine en collyre passe dans la circulation générale et peutentraîner des effets systémiques (voir rubriques 4.2 et 4.4) dont il fauttenir compte :

· Elévation de la pression artérielle, tachycardie.

· Chez le prématuré et nouveau-né : possibilité de malaise, pausesrespira­toires, hypertension artérielle, bradycardie, désaturation ; l’effetvasocon­stricteur peut entraîner une souffrance mésentérique et potentialisel’effet sur le tube digestif d’un collyre atropinique souventcoadmi­nistré.

· Tremblements, pâleur, céphalées.

· Risque d’accidents majeurs tels que :

o Hypertension sévère.

o Œdème pulmonaire, syndrome coronaire aigu, infarctus du myocarde,troubles du rythme.

Effets indésirables cutanés

· Eczéma de contact.

Population pédiatrique

Pâleur périorbitaire chez les patients prématurés – Fréquenceinconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet :<ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

2 situations sont possibles :

· Soit par surdosage lors de l’administration du collyre (notamment lorsdes instillations répétées),

· Soit du fait d’une ingestion accidentelle d’un flacon de collyremultidose, notamment par l’enfant.

· Des cas d’accidents majeurs ont été rapportés tels que :

· Hypertension sévère.

· Œdème pulmonaire aigu.

· Syndrome coronarien aigu, infarctus du myocarde.

· Troubles du rythme ventriculaire.

· Accident vasculaire cérébral.

· Convulsion.

· Coma.

Le délai d’apparition est en général rapide, le traitement estsymptomatique.

La prise en charge doit s’effectuer en milieu spécialisé.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : MYDRIATIQUE SYMPATHOMIMETIQUE ALPHA, CodeATC : S01FB01

(S : organes sensoriels).

La phényléphrine est un mydriatique puissant, résistant à l'ouverture dela chambre antérieure, mais de durée d'action limitée et sans effetcycloplégique notable.

La phényléphrine possède les propriétés et les effets indésirables dessympathomi­métiques alpha 1. Elle provoque :

· une mydriase active (en 15 à 60 minutes), qui est l’effetthérape­utique recherché en ophtalmologie ; la durée de la mydriase obtenueest de quelques heures (5 à 7 heures en moyenne) ;

· une vasoconstriction responsable d’une hypertension artérielle etd’une diminution du débit cardiaque.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Il n'y a pas de données pertinentes publiées concernant labiodisponibilité oculaire de la phényléphrine.

Il est extrêmement difficile de savoir quelle quantité de principe actifarrive à l’œil. Seule une faible proportion du volume d’une goutte atteintla chambre antérieure de l’œil pour une action locale. Le reste est drainérapidement par le canal lacrymo-nasal ; ce drainage favorise un passagesystémique à l’origine d’effets indésirables potentiellement graves. Onpeut estimer que 90% de la quantité de principe actif qui arrive à l’œilpassera dans la circulation générale.

La phényléphrine administrée localement par voie oculaire peut passer dansla circulation générale par trois voies : par les vaisseaux de la conjonctive,par le segment antérieur de l’œil et par les muqueuses nasales etoropharyngées. La phényléphrine passe alors directement dans la circulationsanguine sans subir de premier passage hépatique.

Chez le nouveau-né, on considère que le passage de la phényléphrine dansla circulation générale suite à une administration locale est plus importanten raison d'un volume lacrymal plus faible, d'un volume plasmatique moinsimportant et d'un système métabolique encore immature.

La pénétration oculaire dépend de l’état de la cornée. Lorsquel’épithélium est altéré, la fonction barrière de la cornée etl’activité locale métabolique sont réduites, ce qui peut générer uneabsorption plus importante.

Il convient donc d’être prudent en utilisant le collyre à 2,5% chez leprématuré, le nouveau-né, le nourrisson, les personnes âgées et lespatients souffrant de diabète, d’hypertension artérielle,d’hy­perthyroïdie, d’artériosclérose généralisée ou d’autres maladiescardi­ovasculaires, pour lesquels la tension artérielle doit être attentivementcon­trôlée.

5.3. Données de sécurité préclinique

Dans l’étude de tolérance oculaire chez le lapin adulte et juvénile, laphényléphrine à 2,5% en solution ophtalmique, instillée deux fois à1 heure d’intervalle n’induit pas d’effet local ou de signe clinique.

Dans une étude chez le rat, l’administration de phényléphrine seule aprovoqué une diminution du débit sanguin utérin (86,8 % de réduction) à ladose de 12,5 mg/kg (s.c.) mais n’a pas induit de malformations viscérale etsquelettique jusqu’à 15 mg/kg (s.c.). Toutefois, dans cette même étude, laco-administration de phényléphrine et d’acétazolamide a entraîné unepotentialisation des effets tératogènes (ectrodactylie) del’acétazolamide.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Acide borique, borax, édétate disodique, eau pour préparationsin­jectables.

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

2 ans

6.4. Précautions particulières de conservation

Récipient à usage unique. Jeter immédiatement après usage.

Conserver les récipients unidoses dans l’emballage extérieur, à l’abride la lumière. Ne pas congeler.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

Récipient unidose (PEBD) de 0,4 ml conditionné en sachet.

Boîtes de 1, 20 ou 100 récipients unidose.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d’exigences particulières pour l’élimination.

Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformémentà la réglementation en vigueur.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

LABORATOIRES EUROPHTA

« LES INDUSTRIES »

2 RUE DU GABIAN

98000 MONACO

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 278 931–6 ou 34009 278 931 6 2 : 20 récipient(s) unidose(s)poly­éthylène basse densité (PEBD) de 0,4 ml.

· 278 934–5 ou 34009 278 934 5 2 : 100 récipient(s) unidose(s)poly­éthylène basse densité (PEBD) de 0,4 ml.

· 279 092–8 ou 34009 279 092 8 3 : 1 récipient unidose polyéthylènebasse densité (PEBD) de 0,4 ml.

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

Date de première autorisation : 25 Juin 2014

Date de dernier renouvellement : {JJ mois AAAA}

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

Février 2021

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Médicament non soumis à prescription médicale.

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