Résumé des caractéristiques - NEULEPTIL 10 mg, gélule
1. DENOMINATION DU MEDICAMENT
NEULEPTIL 10 mg, gélule
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Propériciazine........................................................................................................................10 mg
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
3. FORME PHARMACEUTIQUE
Gélule.
4. DONNEES CLINIQUES
4.1. Indications thérapeutiques
Etats psychotiques aigus.
Etats psychotiques chroniques (schizophrénies, délires chroniques nonschizophréniques : délires paranoïaques, psychoses hallucinatoireschroniques).
4.2. Posologie et mode d'administration
PosologieRéservé à l'adulte
Voie orale.
La posologie minimum efficace sera toujours recherchée. Si l'état cliniquedu patient le permet, le traitement sera instauré à dose faible, puisaugmenté progressivement par paliers.
La dose quotidienne sera répartie en 2 ou 3 prises.
La posologie est de 30 à 100 mg/jour.
Dans certains cas exceptionnels, la posologie pourra être augmentéejusqu'à 200 mg/j maximum.
4.3. Contre-indications
· Hypersensibilité à la propériciazine ou à l'un des excipientsmentionnés à la rubrique 6.1.
· Risque de glaucome par fermeture de l'angle.
· Risque de rétention urinaire lié à des troublesurétro-prostatiques.
· Antécédents d'agranulocytose.
· Association avec :
o les dopaminergiques hors Parkinson (cabergoline, quinagolide) (voirrubrique 4.5).
4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi
Mises en garde spécialesTout patient doit être informé que l'apparition de fièvre, d'angine oud'une autre infection impose d'avertir tout de suite le médecin traitant et decontrôler immédiatement l'hémogramme. En cas de modification franche de cedernier (hyperleucocytose, granulopénie), l'administration de ce traitementsera interrompue.
Syndrome malin des neuroleptiques : en cas d'hyperthermie inexpliquée, ilest impératif de suspendre le traitement, car ce signe peut être l'un deséléments du syndrome malin décrit avec les neuroleptiques (pâleur,hyperthermie, troubles végétatifs, altération de la conscience, rigiditémusculaire).
Les signes de dysfonctionnement végétatif, tels que sudation etinstabilité artérielle, peuvent précéder l'apparition de l'hyperthermie etconstituer, par conséquent, des signes d'appels précoces. Bien que cet effetdes neuroleptiques puisse avoir une origine idiosyncrasique, certains facteursde risque semblent y prédisposer, tels que la déshydratation ou des atteintesorganiques cérébrales.
Allongement de l'intervalle QT : les neuroleptiques de la classe desphénothiazines prolongent de façon dose-dépendante l'intervalle QT. Cet effetconnu pour potentialiser le risque de survenue de troubles du rythmeventriculaire graves, notamment à type de torsades de pointe, est majoré parl'existence d'une bradycardie, d'une hypokaliémie, d'un QT long congénital ouacquis (association à un médicament augmentant l'intervalle QT) (voir rubrique4.8). Il convient donc lorsque la situation clinique le permet, de s'assureravant toute administration, de l'absence de facteurs pouvant favoriser lasurvenue de ce trouble du rythme :
· Bradycardie inférieure à 55 battements par minute.
· Hypokaliémie.
· Allongement congénital de l'intervalle QT.
· Traitement en cours par un médicament susceptible d'entraîner unebradycardie marquée (< 55 battements par minute), une hypokaliémie, unralentissement de la conduction intracardiaque, un allongement de l'intervalleQT (voir rubriques 4.3 et 4.5).
Hormis les situations d'urgence, il est recommandé d'effectuer un ECG dansle bilan initial des patients devant être traités par un neuroleptique.
Accident vasculaire cérébral : dans des études cliniques randomiséesversus placebo réalisées chez des patients âgés atteints de démence ettraités avec certains antipsychotiques atypiques, il a été observé un risqueplus élevé d'accident vasculaire cérébral comparé au placebo. Le mécanismed'une telle augmentation de risque n'est pas connu. Une élévation du risqueavec d'autres antipsychotiques ou chez d'autres populations de patients ne peutêtre exclue. Ce médicament doit être utilisé avec prudence chez les patientsprésentant des facteurs de risque d'accident vasculaire cérébral.
Patients âgés déments : le risque de mortalité est augmenté chez lespatients âgés atteints de psychose associée à une démence et traités parantipsychotiques.
Les analyses de 17 études contrôlées versus placebo (durée moyenne de10 semaines), réalisées chez des patients prenant majoritairement desantipsychotiques atypiques, ont mis en évidence un risque de mortalité 1,6 à1,7 fois plus élevé chez les patients traités par ces médicamentscomparativement au placebo.
A la fin du traitement d'une durée moyenne de 10 semaines, le risque demortalité a été de 4,5 % dans le groupe de patients traités comparé à2,6 % dans le groupe placebo.
Bien que les causes de décès dans les essais cliniques avec lesantipsychotiques atypiques aient été variées, la plupart de ces décèssemblait être soit d'origine cardiovasculaire (par exemple insuffisancecardiaque, mort subite) soit d'origine infectieuse (par exemple pneumonie).
Des études épidémiologiques suggèrent que, comme avec lesantipsychotiques atypiques, le traitement avec les antipsychotiques classiquespeut augmenter la mortalité.
La part respective de l'antipsychotique et des caractéristiques des patientsdans l'augmentation de la mortalité dans les études épidémiologiques n'estpas claire.
Thromboembolie veineuse : des cas de thromboembolies veineuses (TEV) ontété rapportés avec les antipsychotiques. Les patients traités par desantipsychotiques présentant souvent des facteurs de risque acquis de TEV, toutfacteur de risque potentiel de TEV doit être identifié avant et pendant letraitement par NEULEPTIL et des mesures préventives doivent être mises enœuvre (voir rubrique 4.8).
En dehors de situations exceptionnelles, ce médicament ne doit pas êtreutilisé en cas de maladie de Parkinson.
La survenue d'un iléus paralytique, pouvant être révélé par unedistension et des douleurs abdominales, impose une prise en charge enurgence.
La prise de ce médicament est déconseillée en association avec lalévodopa et les antiparkinsoniens dopaminergiques (voir rubrique 4.5).
L'absorption d'alcool ainsi que la prise de médicament contenant de l'alcoolsont fortement déconseillées pendant la durée du traitement.
Précautions d'emploiLa surveillance du traitement par propériciazine doit êtrerenforcée :
· Chez les épileptiques en raison de la possibilité d'abaissement du seuilépileptogène; la survenue de crises convulsives impose l'arrêt dutraitement.
· Chez le sujet âgé présentant :
o Une plus grande sensibilité à l'hypotension orthostatique, à lasédation et aux effets extrapyramidaux.
o Une constipation chronique (risque d'iléus paralytique).
o Une éventuelle hypertrophie prostatique.
· Chez les sujets porteurs de certaines affections cardiovasculaires, enraison de effets quinidiniques, tachycardisants et hypotenseurs de cette classede produits.
· En cas d'insuffisances hépatique et/ou rénale sévères, en raison durisque d'accumulation.
En raison du risque de photosensibilisation, les patients doivent éviterl’exposition au soleil et aux rayonnements ultraviolets.
Des cas d'hyperglycémie ou d'intolérance au glucose et la survenue oul'exacerbation d'un diabète ont été rapportés chez des patients traités pardes phénothiazines (voir rubrique 4.8).
Les patients traités par antipsychotiques, incluant NEULEPTIL, doivent fairel'objet d'une surveillance clinique et biologique conforme aux recommandationsen vigueur. Il est recommandé de porter une attention particulière auxpatients diabétiques ou ayant des facteurs de risque de diabète.
4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions
Médicaments abaissant le seuil épileptogèneL'utilisation conjointe de médicaments proconvulsivants, ou abaissant leseuil épileptogène, devra être soigneusement pesée, en raison de lasévérité du risque encouru. Ces médicaments sont représentés notamment parla plupart des antidépresseurs (imipraminiques, inhibiteurs sélectifs de larecapture de la sérotonine), les neuroleptiques (phénothiazines etbutyrophénones), la méfloquine, la chloroquine, le bupropion, le tramadol.
Médicaments atropiniquesIl faut prendre en compte le fait que les substances atropiniques peuventadditionner leurs effets indésirables et entraîner plus facilement unerétention urinaire, une poussée aiguë de glaucome, une constipation, unesécheresse de la bouche, etc…
Les divers médicaments atropiniques sont représentés par lesantidépresseurs imipraminiques, la plupart des antihistaminiques H1atropiniques, les antiparkinsoniens anticholinergiques, les antispasmodiquesatropiniques, le disopyramide, les neuroleptiques phénothiaziniques ainsi quela clozapine.
Médicaments sédatifsIl faut prendre en compte le fait que de nombreux médicaments ou substancespeuvent additionner leurs effets dépresseurs du système nerveux central etcontribuer à diminuer la vigilance. Il s'agit des dérivés morphiniques(analgésiques, antitussifs et traitements de substitution), des neuroleptiques,des barbituriques, des benzodiazépines, des anxiolytiques autres que lesbenzodiazépines (par exemple, le méprobamate), des hypnotiques, desantidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxépine, miansérine, mirtazapine,trimipramine), des antihistaminiques H1 sédatifs, des antihypertenseurscentraux, du baclofène et de la thalidomide.
Association contre-indiquée+ Dopaminergiques hors Parkinson (cabergoline, quinagolide)
Antagonisme réciproque de l'agoniste dopaminergique et desneuroleptiques.
Associations déconseillées+ Consommation d’alcool
Majoration par l'alcool de l'effet sédatif de ces substances. L'altérationde la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules etl'utilisation de machines.
Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant del'alcool.
+ Lévodopa
Antagonisme réciproque de la lévodopa et des neuroleptiques.
Chez le patient parkinsonien, utiliser les doses minimales efficaces dechacun des deux médicaments.
+ Antiparkinsoniens dopaminergiques (amantadine, apomorphine, bromocriptine,entacapone, lisuride, pergolide, piribédil, pramipexole, rasagiline,ropinirole, sélégiline)
Antagonisme réciproque du dopaminergique et des neuroleptiques.
Le dopaminergique peut provoquer ou aggraver les troubles psychotiques. Encas de nécessité d'un traitement par neuroleptiques chez le patientparkinsonien traité par dopaminergique, ces derniers doivent être diminuésprogressivement jusqu'à l'arrêt (leur arrêt brutal expose à un risque de «syndrome malin des neuroleptiques »).
Associations faisant l'objet de précautions d’emploi+ Lithium
Risque d’apparition de signes neuropsychiques évocateurs d’un syndromemalin des neuroleptiques ou d’une intoxication au lithium.
Surveillance clinique et biologique (lithémie) régulière, notamment endébut d’association.
+ Topiques gastro-intestinaux, antiacides et adsorbants
Diminution de l'absorption digestive des neuroleptiquesphénothiaziniques.
Prendre les topiques gastro-intestinaux et antiacides à distance desneuroleptiques phénothiaziniques (plus de 2 heures, si possible).
Associations à prendre en compte+ Antihypertenseurs
Majoration du risque d'hypotension notamment orthostatique.
+ Autres médicaments atropiniques
Addition des effets indésirables atropiniques à type de rétentionurinaire, constipation, sécheresse de la bouche…
+ Autres médicaments sédatifs
Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peutrendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
+ Autres médicaments abaissant le seuil épileptogène
Risque accru de convulsions.
+ Bêta-bloquants (sauf esmolol et sotalol)
Effet vasodilatateur et risque d'hypotension, notamment orthostatique (effetadditif).
+ Bêta-bloquants dans l'insuffisance cardiaque
Effet vasodilatateur et risque d'hypotension, notamment orthostatique (effetadditif).
+ Dérivés nitrés et apparentés
Majoration du risque d'hypotension, notamment orthostatique.
4.6. Fertilité, grossesse et allaitement
GrossesseLe maintien d’un bon équilibre psychique maternel est souhaitable tout aulong de la grossesse pour éviter toute décompensation. Si une prise en chargemédicamenteuse est nécessaire pour assurer cet équilibre, elle doit êtreinstituée ou poursuivie à dose efficace tout au long de la grossesse.
Les nouveau-nés exposés aux antipsychotiques (dont NEULEPTIL) pendant letroisième trimestre de la grossesse, présentent un risque d’événementsindésirables incluant des symptômes extrapyramidaux et/ou des symptômes desevrage, pouvant varier en terme de sévérité et de durée après lanaissance. Les réactions suivantes ont été rapportées : agitation,hypertonie, hypotonie, tremblements, somnolence, détresse respiratoire,troubles de l’alimentation.
Les données cliniques avec la propéricazine sont insuffisantes et lesétudes effectuées chez l'animal sont insuffisantes pour permettre de concluresur la toxicité de la reproduction.
Compte-tenu de ces données, l'utilisation du NEULEPTIL n'est pasrecommandée au cours de la grossesse et il est nécessaire de surveillerétroitement les nouveau-nés en cas de traitement en fin de grossesse.
AllaitementEn l’absence de données sur le passage dans le lait maternel,l'allaitement est déconseillé pendant la durée du traitement.
FertilitéIl n’y a pas suffisamment de données sur la fertilité chez lesanimaux.
Chez l’Homme, la periciazine interagissant avec les récepteursdopaminergiques, elle peut provoquer une hyperprolactinémie pouvant êtreassociée à une baisse de la fertilité féminine et/ou masculine.
4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines
L'attention est attirée, notamment chez les conducteurs de véhicules et lesutilisateurs de machines, sur les risques de somnolence liés à ce médicament,surtout en début de traitement.
4.8. Effets indésirables
Dès les faibles dosesTroubles neurovégétatifs
· Hypotension orthostatique.
· Effets anticholinergiques à type de sécheresse de la bouche,constipation voire iléus paralytique (voir rubrique 4.4), troubles del'accommodation, risque de rétention urinaire.
Troubles neuropsychiques
· Sédation ou somnolence, plus marquée en début de traitement.
· Indifférence, réactions anxieuses, variation de l'état thymique,agitation.
A doses plus élevéesTroubles neuropsychiques
· Dyskinésies précoces (torticolis spasmodiques, crises oculogyres,trismus…).
· Dyskinésies tardives, survenant lors de cures prolongées.
Les antiparkinsoniens anticholinergiques sont sans action ou peuventprovoquer une aggravation.
Syndrome extrapyramidal :
· Akinétique avec ou sans hypertonie, et cédant partiellement auxantiparkinsoniens anticholinergiques.
· Hyperkinéto-hypertonique, excito-moteur.
· Akathisie.
Troubles endocriniens et métaboliques
· Hyperprolactinémie : aménorrhée, galactorrhée, gynécomastie,impuissance, frigidité.
· Prise de poids.
· Dysrégulation thermique.
· Hyperglycémie, diabète, altération de la tolérance au glucose (voirrubrique 4.4).
Rarement et dose-dépendantTrouble cardiaque
· Risque d'allongement de l'intervalle QT.
Plus rarement et non dose-dépendantsTroubles cutanés
· Réactions cutanées allergiques.
· Photosensibilisation.
Troubles hématologiques
· Agranulocytose exceptionnelle : des contrôles réguliers de la formulesanguine sont recommandés.
· Leucopénie.
Troubles ophtalmologiques
· Dépôts brunâtres dans le segment antérieur de l'œil, dus àl'accumulation du produit, en général sans retentissement sur la vision.
Autres troubles observés
· Positivité des anticorps antinucléaires sans lupus érythémateuxclinique.
· De très rares cas d'ictère cholestatique et d'atteintes hépatiques,principalement de type cholestatique, cytolytique ou mixte, ont étérapportés.
· Syndrome malin des neuroleptiques (voir rubrique 4.4).
· Très rares cas de priapisme.
Par ailleurs, des cas isolés de mort subite d'origine cardiaque ainsi quedes cas de mort subite inexpliquée ont été rapportés chez des patientstraités par des neuroleptiques antipsychotiques à structure phénothiazinique,butyrophénone ou benzamide (voir rubrique 4.4).
Des cas de thrombœmbolies veineuses, y compris des cas d'emboliespulmonaires ainsi que de thromboses veineuses profondes, ont été rapportésavec les antipsychotiques – fréquence inconnue (voir rubrique 4.4).
Grossesse, puerpérium et conditions périnatales : syndrome de sevragenéonatal (voir rubrique 4.6).- fréquence indéterminée.
Déclaration des effets indésirables suspectésLa déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://www.ansm.sante.fr“>www.ansm.sante.fr.
4.9. Surdosage
De fortes doses peuvent causer une dépression du système nerveux central,caractérisée par une léthargie, une dysarthrie, une ataxie, une stupeur, unealtération de la conscience allant jusqu’au coma, des convulsions ; unemydriase, des symptômes cardio-vasculaires (liés au risque de l’allongementde l’intervalle QT), tels que l’hypotension, les arythmies et tachycardiesventriculaire ; une dépression respiratoire ; une hypothermie. Ces effetspeuvent être potentialisés par d’autres médicaments ou par l’alcool. Lesyndrome anticholinergique est important. Un syndrome parkinsonien gravissime,voire un coma peuvent survenir.
Traitement symptomatique, surveillance respiratoire et cardiaque continue(risque d'allongement de l'intervalle QT) qui sera poursuivie jusqu'àrétablissement du patient (voir rubrique 4.4).
5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
5.1. Propriétés pharmacodynamiques
Classe pharmacothérapeutique : Antipsychotique, Code ATC : N05AC01
Les antipsychotiques possèdent des propriétés antidopaminergiques qui sontresponsables :
· De l'effet antipsychotique recherché en thérapeutique.
· D'effets secondaires (syndrome extrapyramidal, dyskinésies,hyperprolactinémie).
Dans le cas de la propériciazine, cette activité antidopaminergique estd'importance moyenne : l'activité antipsychotique est modérée et les effetsextrapyramidaux sont modérés.
La molécule possède également des propriétés antihistaminiques (àl'origine d'une sédation non négligeable, éventuellement recherchée enclinique), adrénolytiques et anticholinergiques marquées
5.2. Propriétés pharmacocinétiques
Sans objet.
5.3. Données de sécurité préclinique
Sans objet.
6. DONNEES PHARMACEUTIQUES
6.1. Liste des excipients
Hydrogénophosphate de calcium, stéarate de magnésium.
Composition de l'enveloppe de la gélule : dioxyde de titane, gélatine.
6.2. Incompatibilités
Sans objet.
6.3. Durée de conservation
Pour le conditionnement en tube : 5 ans.
Pour le conditionnement sous plaquettes : 3 ans.
6.4. Précautions particulières de conservation
Pour le conditionnement en tube : pas de précautions particulières deconservation.
Pour le conditionnement sous plaquettes : à conserver à une température nedépassant pas + 25°C.
6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur
50 ou 500 gélules en tube (polypropylène).
50 gélules sous plaquettes (PVC/Aluminium).
6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation
Pas d’exigences particulières
7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
SANOFI-AVENTIS FRANCE
82 AVENUE RASPAIL
94250 GENTILLY
8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
· 34009 307 166 7 0 : 50 gélules en tube (polypropylène).
· 34009 550 347 3 5 : 500 gélules en tube (polypropylène).
· 34009 354 271 8 2 : 50 gélules sous plaquettes (PVC/Aluminium).
9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION
A compléter ultérieurement par le titulaire.
10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE
A compléter ultérieurement par le titulaire.
11. DOSIMETRIE
Sans objet.
12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES
Sans objet.
CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE
Liste I
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