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OROKEN 200 mg, comprimé pelliculé - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - OROKEN 200 mg, comprimé pelliculé

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

OROKEN 200 mg, comprimé pelliculé

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Céfixime trihydraté

Quantité correspondant à céfixime anhydre......­.............­.............­.............­.............­.............­....200 mg

Pour un comprimé pelliculé

Pour la liste complète des excipients : voir rubrique 6.1

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Comprimé pelliculé.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Elles sont limitées chez l’enfant de plus de 12 ans et l’adulte auxinfections dues aux germes définis comme sensibles, lorsque ces infectionsper­mettent une antibiothérapie orale et notamment :

· Pyélonéphrites aiguës sans uropathie,

· Infections urinaires basses compliquées ou non à l'exception desprostatites,

· Surinfections bactériennes des bronchites aigües et exacerbations desbronchites chroniques,

· Pneumopathie d’allure bactérienne,

· Sinusites et otites aigües,

· Urétrite gonococcique masculine

Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernantl'u­tilisation appropriée des antibactériens.

4.2. Posologie et mode d'administration

La présentation OROKEN 200 mg, comprimé est préconisée chez l’enfantde plus de 12 ans et chez l’adulte. Posologie
Chez l’enfant de plus de 12 ans et chez l'adulte
La posologie d'OROKEN 200 mg, comprimé est de 400 mg/j, en deuxadministra­tions, à 12 heures d'intervalle.

Dans les urétrites gonococciques l'efficacité est obtenue avec une priseunique de deux comprimés à 200 mg.

Chez le sujet âgé
Lorsque la fonction rénale est normale, il n'est pas nécessaire demodifier la posologie chez le sujet âgé.
Chez l'insuffisant rénal
Lorsque les valeurs de la clairance de la créatinine sont supérieures à20 ml/min, il n'est pas utile de modifier la posologie. Pour des valeursinférieures, y compris chez les patients hémodialysés, la posologie decéfixime ne devra pas dépasser 200 mg/j en une administration.
Chez l'insuffisant hépatique
Il n'est pas nécessaire de modifier la posologie.
Mode d’administration

Voie orale.

4.3. Contre-indications

Hypersensibilité connue au céfixime ou à un antibiotique du groupe descéphalosporines, ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Mises en garde

· La survenue de toute manifestation allergique impose l'arrêt dutraitement.

· La prescription de céphalosporines nécessite un interrogatoire­préalable. L'allergie aux pénicillines étant croisée avec celle auxcéphalosporines dans 5 à 10 % des cas :

o L'utilisation des céphalosporines doit être extrêmement prudente chezles patients pénicillino-sensibles ; une surveillance médicale stricte estnécessaire dès la première administration.

o L'emploi des céphalosporines est à proscrire formellement chez lessujets ayant des antécédents d'allergie de type immédiat auxcéphalosporines. En cas de doute, la présence du médecin auprès du patientest indispensable à la première administration, afin de traiter l'accidentanap­hylactique possible.

· Les réactions d'hypersensibilité (anaphylaxie) observées avec ces deuxtypes de substances, peuvent être graves et parfois fatales.

· Des cas de colite liée à l’administration d’un produitantibac­térien et de colite pseudo membraneuse ont été signalés avec presquetous les produits antibactériens, y compris avec céfixime, avec une gravitéallant de légère à menaçant le pronostic vital. Par conséquent, il estimportant de prendre en compte ce diagnostic chez les patients qui présententdes diarrhées pendant ou après l’administration de céfixime. L'arrêt dutraitement par céfixime et l’administration d’un traitement spécifiquecontre Clostridium difficile doivent être envisagés. Toute administration­d’inhibiteurs du péristaltisme est à proscrire.

· Des réactions cutanées graves telles que la nécrolyse épidermiquetoxique (NET, aussi appelée syndrome de Lyell), le syndrome de Stevens-Johnson(SSJ), le syndrome d’hypersensibilité médicamenteuse avec éosinophilie etsymptômes systémiques (DRESS) et la pustulose exanthématique aiguëgénéralisée (PEAG) ont été rapportées chez des patients traités parcéfixime. Les patients doivent être informés des signes et symptômes desmanifestations cutanées graves et doivent être étroitement surveillés. Letraitement par céfixime doit être immédiatement arrêté dès la premièreapparition d’une éruption cutanée, de lésions au niveau des muqueuses ou detout autre signe d’hypersensibilité cutanée.

· Des cas graves d’anémie hémolytique, incluant des décès, ont étérapportés chez des patients recevant des antibactériens de la classe descéphalosporines (effet de classe). La réapparition d’une anémiehémolytique après réintroduction d’une céphalosporine chez un patientayant un antécédent d’anémie hémolytique sous céphalosporine, y compriscéfixime, a également été décrite. Si un patient développe une anémiesous céfixime, le diagnostic d’anémie associée aux céphalosporines doitêtre envisagé et le cefixime arrêté jusqu’à ce que l’étiologie soitétablie (voir rubrique 4.8).

· Les bêtalactamines incluant le céfixime prédisposent le patient aurisque d’encéphalopathie (qui peut inclure des convulsions, une confusion,des troubles de la conscience ou des mouvements anormaux), et,particulière­ment, en cas de surdosage ou d’atteinte de la fonctionrénale.

Précautions particulières d’emploi

· Chez les patients allergiques à d'autres bêtalactamines, il faut tenircompte de la possibilité d'allergie croisée.

· En cas d'insuffisance rénale sévère, il peut être nécessaired'adapter la dose quotidienne en fonction de la clairance de la créatinine(voir rubriques 4.2 et 5.2).

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Interactions médicamenteuses

Aucune interaction cliniquement significative n'a été rapportée au coursdes essais cliniques. En pharmacocinétique, il a été montré quel'association de 1 g de probénécide au céfixime entraînait une diminutionde 25 % de la clairance totale du produit. Chez l'homme, l'association d'unanti-acide ne diminue pas l'absorption du céfixime.

Interactions avec les examens de laboratoire

· Réactions faussement positives lors de la recherche de cétones dans lesurines (par méthode au nitroprussiate).

· Réactions faussement positives lors de la recherche d'une glycosurie(employer de préférence les méthodes de dosage utilisant le glucoseoxydase).

· Une fausse positivation du test de Coombs a été décrite au cours dutraitement par les céphalosporines.

Problèmes particuliers du déséquilibre de l'INR

De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ontété rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexteinfectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patientapparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaîtdifficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitementdans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classesd'anti­biotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment desfluoroquino­lones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certainescépha­losporines.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

En raison du bénéfice attendu, l’utilisation du céfixime peut êtreenvisagée au cours de la grossesse si besoin. En effet, bien que les donnéescliniques soient insuffisantes, les données animales n’ont pas mis enévidence d’effet malformatif ou foetotoxique.

Allaitement

Il n’y a pas de données de passage dans le lait maternel du céfixime.Cependant, l’allaitement est possible en cas de prise de cet antibiotique.Tou­tefois, interrompre l’allaitement (ou le médicament) en cas de survenue dediarrhée, de candidose ou d’éruption cutanée chez le nourrisson.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

En cas de survenue d’effets indésirables tel qu’une encéphalopathie(qui peut inclure des convulsions, une confusion, des troubles de la conscienceou des mouvements anormaux) (voir rubriques 4.4, 4.8, 4.9), le patient ne doitpas conduire ou utiliser de machines.

4.8. Effets indésirables

Les fréquences sont déterminées de la façon suivante : très fréquent(≥ 1/10) ; fréquent (≥ 1/100, < 1/10) ; peu fréquent (≥ 1/1 000,< 1/100) ; rare (≥ 1/10 000, < 1/1 000) ; très rare (< 1/10 000)et fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des donnéesdisponi­bles).

Affections hématologiques et du système lymphatique

· Hyperéosinophilie, thrombocytose, thrombocytopénie, leucopénie,ne­utropénie et agranulocytose.

· Très rares : cas d’anémie hémolytique (voir rubrique 4.4).

Affections gastro-intestinales

· Douleurs abdominales, diarrhées (voir rubrique 4.4), nausées,vomis­sements, dyspepsie.

Troubles généraux et anomalies au site d'administration

· Fièvre.

Infections et infestations

· Colites pseudo-membraneuses.

Affections du système immunitaire

· Rares cas de réactions anaphylactiques telles qu’urticaire ouangioedème.

Investigations

· Elévation modérée et transitoire des transaminases ASAT et ALAT et desphosphatases alcalines.

· Faible augmentation de l'urée sanguine et de la créatininémie.

Affections du système nerveux

· Céphalées, vertiges

· Fréquence inconnue : des cas de convulsion ont été rapportés avec lescéphalosporines incluant le céfixime.

Les bêtalactamines incluant le céfixime prédisposent le patient au risqued’encép­halopathie (qui peut inclure des convulsions, une confusion, destroubles de la conscience ou des mouvements anormaux) et, particulièrement, encas de surdosage ou d’atteinte de la fonction rénale.

Affections du rein et des voies urinaires

· Insuffisance rénale aiguë par néphrite interstitielle.

Affections de la peau et du tissu sous-cutané

· Eruption cutanée, prurit.

· Très rares cas d'éruptions bulleuses (érythème polymorphe, Syndrome deStevens-Johnson (SSJ), nécrolyse épidermique toxique (NET, aussi appeléeSyndrome de Lyell)), syndrome d’hypersensibilité médicamenteuse avecéosinophilie et symptômes systémiques (DRESS), pustulose exanthématiqueaiguë généralisée (PEAG) (voir rubrique 4.4).

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

Les bêtalactamines incluant le céfixime prédisposent le patient au risqued’encép­halopathie et, particulièrement, en cas de surdosage ou d’atteintede la fonction rénale.

En cas d'ingestion de quantités importantes de céfixime, un traitementsym­ptomatique sera initié. Il n'existe pas d'antidote spécifique.L'hé­modialyse ou la dialyse péritonéale ne permet pas d'éliminer lecéfixime du plasma.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : Antibiotique de la famille desbêtalactamines, du groupe des céphalosporines de 3ème génération – codeATC : J01DD08

Comme les autres céphalosporines, le mécanisme d'action du céfixime reposesur l'inhibition de la synthèse des parois bactériennes.

Le céfixime présente une activité bactéricide in vitro vis-à-vis denombreux germes à Gram positif ou à Gram négatif.

SPECTRE D'ACTIVITE ANTIBACTERIENNE

Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches desensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :

S £ 1 mg/l et R > 2 mg/l

La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de lagéographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposerd'infor­mations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour letraitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'uneorientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienneà cet antibiotique.

Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France estconnue pour une espèce bactérienne, elle est indiquée dans le tableauci-dessous :

Catégories

Fréquence de résistance acquise en France (> 10 %) (valeursextrêmes)

ESPÈCES SENSIBLES

Aérobies à Gram positif

Streptococcus

Streptococcus pneumoniae

30 – 70 %

Aérobies à Gram négatif

Branhamella catarrhalis

Citrobacter koseri

Escherichia coli

5 – 15 %

Haemophilus influenzae

Klebsiella

0 – 20 %

Neisseria gonorrhoeae

Pasteurella

Proteus mirabilis

Proteus vulgaris

Providencia

Anaérobies

Fusobacterium

10 – 20 %

Prevotella

30 – 70 %

ESPÈCES RÉSISTANTES

Aérobies à Gram positif

Corynebacterium diphtheriae

Entérocoques

Listeria

Staphylococcus

Aérobies à Gram négatif

Acinetobacter

Citrobacter freundii

Pseudomonas

Serratia

Anaérobies

Sauf Prevotella et Fusobacterium

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Chez l'adulte Absorption

· Après administration par voie orale, en prise unique de 200 mg, lesconcentrations sériques maximales (Cmax) sont, en moyenne, de3 microgrammes/ml et sont atteintes (Tmax) en 3 à 4 heures environ.

· Après administration d'une dose de 400 mg, les concentrations sériquesmaximales sont plus élevées (3,4 – 5 microgrammes/ml), mais de façon nonproportionnelle à l'augmentation des doses.

· Après administrations répétées pendant 15 jours de doses de400 mg/jour en une ou deux administrations, les concentrations sériques et labiodisponibilité ne sont pas modifiées, traduisant ainsi l'absenced'ac­cumulation du principe actif.

· La biodisponibilité du céfixime est d'environ 50 % à la dose de200 mg. Elle n'est pas modifiée par la prise de repas. Le temps d'apparitiondes concentrations sériques maximales est toutefois retardé d'environune heure.

Distribution

· Le volume apparent de distribution est de l'ordre de 15 litres. Chezl'animal, le céfixime diffuse dans la grande majorité des tissus étudiés, àl'exception du cerveau. Chez l'homme, après des prises de 200 mg à 12 heuresd'in­tervalle, les concentrations pulmonaires, 4 et 8 heures après ladernière prise, sont de l'ordre de 1 microgramme/g de tissu, cesconcentrations étant supérieures aux C.M.I. 90 % des germes sensibles,res­ponsables des infections pulmonaires.

Elimination

· L'élimination du céfixime se caractérise par une demi-vie (T½)comprise entre 3 et 4 heures (moyenne : 3,3 heures). Le produit est éliminépar voie rénale sous forme inchangée (16 à 20 % de la dose ingérée),l'éli­mination extra-rénale est essentiellement biliaire (25 %).

· Aucun métabolite, sérique ou urinaire, n'a pu être mis en évidencechez l'animal comme chez l'homme.

· En cas d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <20 ml/mn) l'augmentation de la demi-vie d'élimination plasmatique et desconcentrations sériques maximales rendent nécessaire une réduction de laposologie quotidienne de 400 à 200 mg/jour.

· Chez l'insuffisant hépatique, l'élimination est ralentie (T½ =6,4 heures), mais il n'est pas nécessaire de modifier la posologie.

· La fixation aux protéines sériques est de l'ordre de 70 % et se faitprincipalement sur l'albumine, indépendamment de la concentration (aux dosesthérapeu­tiques).

Les caractéristiques pharmacocinétiques du céfixime sont trèslégèrement modifiées chez le sujet âgé. La faible augmentation desconcentrations sériques maximales, de la biodisponibilité et la faiblediminution de la quantité excrétée (15 à 25 %) n'imposent aucuneréduction de posologie dans cette population.

5.3. Données de sécurité préclinique

Non renseignée.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Amidon prégélatinisé, hydrogénophosphate de calcium, stéarate demagnésium, cellulose microcristalline.

Pelliculage : OPADRY OY-S-38906 blanc : hypromellose, macrogol 6000,dioxyde de titane (E171).

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

2 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation

Conserver à une température inférieure à 25°C.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

2, 8, 10, 12, 14, 16, 18, 20, 40, 50, 80 ou 100 comprimés sous plaquettes(PVC – Aluminium).

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d’exigences particulières.

Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformémentà la réglementation en vigueur.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

SANOFI-AVENTIS FRANCE

82 AVENUE RASPAIL

94250 GENTILLY

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 332 147–2 2 : 2 comprimés sous plaquettes (PVC-Aluminium).

· 34009 331 311–3 5 : 8 comprimés sous plaquettes (PVC-Aluminium).

· 34009 331 313–6 4 : 10 comprimés sous plaquettes(PVC-Aluminium).

· 34009 331 314–2 5 : 12 comprimés sous plaquettes(PVC-Aluminium).

· 34009 331 315–9 3 : 14 comprimés sous plaquettes(PVC-Aluminium).

· 34009 331 316–5 4 : 16 comprimés sous plaquettes(PVC-Aluminium).

· 34009 331 317–1 5 : 18 comprimés sous plaquettes(PVC-Aluminium).

· 34009 331 318–8 3 : 20 comprimés sous plaquettes(PVC-Aluminium).

· 34009 556 460–6 8 : 40 comprimés sous plaquettes(PVC-Aluminium).

· 34009 556 461–2 9 : 50 comprimés sous plaquettes(PVC-Aluminium).

· 34009 556 462–9 7 : 80 comprimés sous plaquettes(PVC-Aluminium).

· 34009 556 463–5 8 : 100 comprimés sous plaquettes(PVC-Aluminium).

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[A compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

A compléter ultérieurement par le titulaire.

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I

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