La Pharmacia De Garde Ouvrir le menu principal

OXYTOCINE PANPHARMA 5 UI/1 ml, solution injectable - résumé des caractéristiques

Contient la substance active :

ATC classification:

Dostupné balení:

Résumé des caractéristiques - OXYTOCINE PANPHARMA 5 UI/1 ml, solution injectable

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

OXYTOCINE PANPHARMA 5 UI/1 ml, solution injectable

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Oxytocine....­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.....5 U.I.

Pour 1 ml de solution injectable.

Excipient à effet notoire :

Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par millilitre,c.-à-d. qu’il est essentiellement « sans sodium ».

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Solution injectable.

Solution claire.

pH = 3,5 à 4,5.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

· Insuffisance des contractions utérines, en début ou en cours detravail.

· Chirurgie obstétricale (césarienne, interruption de grossesse….):ob­tention d'une bonne rétraction utérine.

· Atonie utérine consécutive à une hémorragie de la délivrance.

4.2. Posologie et mode d'administration

Insuffisance des contractions utérines au début ou au cours dutravail :

5 U.I. en perfusion I.V. lente (5 U.I. dilués dans 500 ml de sérumglucosé isotonique en perfusion I.V. continue, ou de préférence par le biaisd’une pompe à perfusion à vitesse variable pendant plus de 5 minutes).

La vitesse de perfusion doit être strictement contrôlée et adaptée à laréponse utérine, en commençant par 2 à 8 gouttes par minute (correspondantà 1 à 4 mU.I. ou 0,1 à 0,4 ml par minute) avec un maximum de40 gouttes/minute (soit 20 mU.I. ou 2 ml par minute).

La vitesse de perfusion peut être augmentée progressivement, à desintervalles minimum de 20 minutes et chaque palier ne devra pas dépasser 1–2mU.I. par minute jusqu’à ce qu’une contraction similaire à celle obtenuedans le cadre du travail normale soit établie.

A chaque fois que cela sera possible, le rythme de la perfusion seracontrôlé par une pompe de haute précision. Si les contractions régulièresne sont pas établies après perfusion de 500 ml (soit 5 U.I.), la perfusionsera interrompue et pourra être rétablie le jour suivant.

Chirurgie obstétricale (césarienne, interruption de grossesse…) :

Obtention d'une bonne rétraction utérine: immédiatement aprèsl’accouche­ment, 5 à 10 U.I. en perfusion I.V. lente (5 U.I. dilués dans500 ml de sérum glucosé isotonique à 10 U.I. dilués dans 1000 ml desérum glucosé isotonique en perfusion I.V. continue, ou de préférence par lebiais d’une pompe à perfusion à vitesse variable pendant plus de5 minutes).

Rarement, en cas de césarienne, la voie intra-murale peut être utilisée àla dose de 10 à 15 U.I.

Atonie utérine consécutive à une hémorragie de la délivrance:

5 à 10 U.I. par voie I.M. ou 5 U.I. en perfusion I.V. lente (5 U.I.dilués dans 500 ml de sérum glucosé isotonique en perfusion I.V. continue,ou de préférence par le biais d’une pompe à perfusion à vitesse variablependant plus de 5 minutes).

Populations spéciales

Insuffisance rénale

Aucune étude n’a été réalisée chez des patientes atteintesd’in­suffisance rénale. Compte tenu de ses propriétés antidiurétiqu­espouvant entraîner une rétention hydrique avec hyponatrémie,l’ad­ministration d’oxytocine n’est pas recommandée en casd’insuffisance rénale sévère. La prise hydrique par voie orale doit êtrelimitée et l’équilibre hydrique surveillé. Les électrolytes sériquesdoivent être mesurés lorsqu’un déséquilibre est suspecté.

Insuffisance hépatique

Aucune étude n’a été réalisée chez des patients présentant uneinsuffisance hépatique.

Enfants

Aucune étude pédiatrique n’a été réalisée.

Personnes âgées

Aucune étude n’a été réalisée chez les personnes âgées (65 anset plus).

4.3. Contre-indications

· Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipientsmen­tionnés à la rubrique 6.1;

· Dystocies;

· Fragilité ou distension excessive de l'utérus;

· Hypertonie utérine ou souffrance fœtale quand l'accouchement n'est pasimminent;

· Troubles cardiovasculaires et toxémie gravidique sévères;

· Prédisposition à l'embolie amniotiques (mort fœtale in utero, hématomerétro­placentaire);

· Placenta praevia.

· OXYTOCINE PANPHARMA ne doit pas être administré dans les 6 heuresaprès administration par voie vaginale de prostaglandines (voirrubrique 4.5).

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

En cas de surdosage, risque d'hypertonie utérine et de souffrance fœtaleréversible.

OXYTOCINE PANPHARMA ne doit pas être administré en injection intraveineuserapide en raison du risque d’hypotension immédiate transitoire avec flush ettachycardie réflexe.

Afin d’éviter des changements significatifs au niveau de la pressionartérielle et de la fréquence cardiaque, OXYTOCINE PANPHARMA doit êtreutilisé avec prudence chez les patients prédisposés à une ischémiemyocardique due à une maladie cardiovasculaire préexistante (telle qu’unecardiomy­opathie hypertrophique, maladie valvulaire et/ou maladie ischémique ducœur incluant les vasospasmes des artères coronaires).

OXYTOCINE PANPHARMA doit être administré avec prudence aux patientsprésentant un « syndrome QT long » ou des symptômes apparentés.

En cas d'accouchement dirigé, l'injection directe I.M. ou I.V. estformellement déconseillée.

Ce médicament doit être administré par perfusion I.V. et sous contrôlemédicale très strict. Il est indispensable de monitorer l'activité del'utérus et l'état de fœtus du début à la fin de l'accouchement, pourprévenir une souffrance fœtale ou une hypertonie utérine réversible àl'arrêt du traitement.

En cas d'hémorragie de la délivrance et atonie du post-partum, il estnécessaire de s'assurer de la vacuité utérine avant d'administrer lemédicament.

Les prostaglandines peuvent potentialiser l'effet de l'oxytocine etréciproquement. En conséquence, si après avoir administré desprostaglandines, l’utilisation de l’oxytocine s’avère nécessaire,l’ad­ministration séquentielle doit être réalisée avec prudence. OXYTOCINEPANPHARMA ne doit pas être administré dans les 6 heures après administrationpar voie vaginale de prostaglandines (voir rubrique 4.3).

L'induction pharmacologique du travail par dinoprostone ou oxytocine augmentele risque de coagulation intra-vasculaire disséminée (CIVD) en post-partum,dans de très rares circonstances.

Le risque est augmenté d'autant plus que la femme présente d'autresfacteurs de risque de CIVD tels que : 35 ans ou plus, complications pendant lagrossesse et âge gestationnel supérieur à 40 semaines.

Chez ces femmes, l'oxytocine ou autre alternative thérapeutique, doit êtreutilisée avec prudence et le praticien doit être alerté par des signes deCIVD (fibrinolyse).

Compte tenu de ses propriétés antidiurétiques pouvant entraîner unerétention hydrique avec hyponatrémie, l’administration d’oxytocine n’estpas recommandée en cas d’insuffisance rénale sévère (voir égalementrubrique 4.2).

Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par millilitre,c.-à-d. qu’il est essentiellement « sans sodium ».

Réaction anaphylactique chez les femmes allergiques au latex

Des cas de réactions anaphylactiques ont été signalés suite àl’administration d’oxytocine chez des femmes présentant une allergie connueau latex. Compte tenu de l’homologie structurelle existante entrel’oxytocine et le latex, une allergie/into­lérance au latex peut être unfacteur de risque important prédisposant à une réaction anaphylactiqu­esuiteà l’administration d’oxytocine.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Interaction résultant d’une utilisation concomitantecontre-indiquée
Prostaglandines et leurs analogues

Les prostaglandines et leurs analogues peuvent potentialiser l’effet del’oxytocine et réciproquement. En conséquence, l’utilisation successivedes deux produits doit être faite avec prudence: OXYTOCINE PANPHARMA ne doitpas être administré dans les 6 heures après administration par voie vaginalede prostaglandines.

Autres interactions
Anesthésiques volatils halogénés

Les anesthésiques volatils, tels que l’halothane peuvent aggraver l'effethypotenseur de l'oxytocine et réduire son action utérotonique. En casd'administration concomitante, des troubles du rythme ont aussi étérapportés.

Sympathomimétiques

Pendant ou après une anesthésie péridurale, l'oxytocine peut potentialiser­l'effet vasoconstricteur des sympathomimétiques.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Les données précliniques de l’oxytocine ne révèlent aucun risqueparticulier sur la base des études conventionnelles de toxicité aiguë à doseunique, de génotoxicité et de mutagénicité. Aucune étude sur l’effettératogène standard et sur la capacité de reproduction avec l'oxytocinen’est disponible.

Basé sur la large expérience de ce médicament, de sa structure chimique etde ses propriétés pharmacologiques, un risque d'anomalies fœtales n’est pasattendu lorsqu'il est utilisé comme indiqué.

Allaitement

L'oxytocine peut être trouvée en petite quantité dans le lait maternel.Toutefois, l'oxytocine n'est pas susceptible de provoquer des effets nocifs chezle nouveau-né, car il passe dans le tube digestif où il subit une inactivationrapide.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

Sans objet.

4.8. Effets indésirables

Après injection intraveineuse rapide d’oxytocine :

· Une hypotension immédiate transitoire avec flush et tachycardie réflexepeut être observée. Ce changement hémodynamique rapide peut provoquer uneischémie myocardique en particulier chez les patients ayant une maladiecardio­vasculaire préexistante.

Après une injection IV rapide et à doses élevées d’oxytocine :

· allongement de l’intervalle QTc

Après une perfusion trop prolongée :

· Très rarement, un effet antidiurétique qui se manifeste par uneintoxication par l’eau transitoire avec céphalées et nausées. Unehyponatrémie est également possible chez le nouveau-né.

Dans de rares circonstances, l'induction pharmacologique du travail par desagents utérotoniques, y compris l'oxytocine, augmente le risque de coagulationin­travasculaire disséminée du post-partum (voir rubrique 4.4).

Exceptionnellement, possibilité de rash, réaction anaphylactoïde, voire dechoc anaphylactique.

Les effets indésirables suivants ont été rapportés avec l’utilisation­d’OXYTOCINE PANPHARMA :

Les effets indésirables (Tableaux 1 et 2) sont classés par ordre defréquence, le plus fréquent en premier, selon la convention suivante :

· très fréquent (≥ 1 / 10) ;

· fréquent (≥ 1 / 100 – <1 / 10) ;

· peu fréquent (≥ 1 / 1000 – <1 / 100) ;

· rare (≥ 1 / 10 000 – <1 / 1 000)

· très rare (<1 / 10000), y compris cas isolés.

Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sontclassés par ordre décroissant de gravité.

Les effets indésirables rapportés dans les tableaux ci-dessous sontextraits des résultats d’essais cliniques ainsi que des rapports depharmacovigi­lance.

Les effets indésirables issus des rapports de pharmacovigilance relatifs àOXYTOCINE PANPHARMA ont été établis par le biais des rapports de casspontanés et des cas de la littérature. Du fait que ces réactions eût étévolontairement signalées par une population de taille incertaine, il estdifficile d'estimer avec fiabilité leur fréquence ainsi elles sont doncclassé comme « Fréquence indéterminée». Les effets indésirables sontprésentés par classes de systèmes d’organes selon MedDRA. Au sein de chaqueclasse de systèmes d’organes, les effets indésirables sont classés parordre décroissant de gravité.

Tableau 1 – Les effets indésirables chez la mère

Classe de système-organe

Très fréquent ≥ 1/10

Fréquent ≥ 1/100, < 1/10

Peu fréquent

≥ 1/1,000, < 1/100

Rare

≥ 1/10 000, < 1/1 000

Très rare

< 1/10 000

Fréquence indéterminée

Affections du système immunitaire

Réaction anaphylactoïde, choc anaphylactique associée à une dyspnée, unehypotension ou à un choc

Affections du système nerveux central

Céphalées

Affections cardiaques et vasculaires

Tachycardie, Bradycardie,

Arythmie

Ischémie myocardique,

Allongement du QTc

Hypotension

Affections gastro-intestinales

Nausées,

Vomissements

Affections de la peau et du tissu sous cutané

Rash

Affections gravidiques, puerpérales et périnatales

Hypertonie utérine, contractions tétaniques, rupture de l'utérus.

Troubles du métabolisme et de la nutrition

Intoxication par l’eau, hyponatrémie maternelle

Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales

Œdème pulmonaire aigu

Troubles généraux et anomalies au site d'administration

Flushing

Troubles du système sanguin et lymphatique

Coagulation intravasculaire disséminée

Tableau 2 – Les effets indésirables chez le fœtus / nouveau-né

Classe de système-organe

Très fréquent ≥ 1/10

Fréquent ≥ 1/100, < 1/10

Peu fréquent

≥ 1/1,000,

< 1/100

Rare

≥ 1/10 000, < 1/1 000

Très rare

< 1/10 000

Fréquence indéterminée

Affections gravidiques, puerpérales et périnatales

Stress fœtal (incluant asphyxie et décès)

Troubles du métabolisme et la nutrition

Hyponatrémie néonatale

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

En cas de surdosage, possibilité de :

· Souffrance fœtale (ralentissement du rythme cardiaque, hypoxie, présencede méconium dans le liquide amniotique);

· Hypertonie utérine (risque de contracture, rupture utérine etexceptionne­llement rupture placentaire et embolie amniotique).

Les symptômes et les conséquences d'un surdosage sont ceux qui sontmentionnés dans les rubriques 4.4 et 4.8. En outre, des cas de décollementpla­centaire et / ou d’embolie amniotique à la suite de la sur-stimulationutérine ont été rapportés.

Le traitement d’un surdosage nécessite l’arrêt immédiat de laperfusion d’OXYTOCINE PANPHARMA et la mise en place d’une oxygénothérapiechez la mère.

En cas d'intoxication par l'eau, le traitement est symptomatique; enparticulier, il est essentiel de réduire les apports liquidiens et de corrigerles troubles électrolytiques.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : HORMONE POST-HYPOPHYSAIRE (H: Hormonessysté­miques, Hormones sexuelles exclues), code ATC : H01BB02.

OXYTOCINE PANPHARMA est un ocytocique de synthèse, de constitution et depropriétés pharmacologiques identiques à celle de l'hormone ocytociquepost-hypophysaire naturelle. Il augmente la fréquence et l'intensité descontractions utérines.

Basé sur des études in vitro, il a été signalé que l'expositionpro­longée à l'oxytocine peut provoquer une désensibilisation des récepteursà l’oxytocine ceci étant probablement dû à une dérégulation au niveaudes sites de liaison de l'oxytocine, à la déstabilisation des récepteurs ARNmet à l'internalisation des récepteurs de l'oxytocine.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Après administration I.V ou I.M, l'oxytocine agit rapidement avec unelatence d'action inférieure à 1 minute pour la voie I.V et de 2 à4 minutes pour la voie I.M, la réponse utérine dure de 30 à 40 minutesaprès injection I.M. et peut être plus courte après administration I.V.

En perfusion intraveineuse continue, aux doses appropriées, la réponseutérine est progressive et atteint un plateau en 20 à 40 minutes. Lesconcentrations plasmatiques d’oxytocine après la perfusion intraveineuse à4 mU.I. par minute chez les femmes enceintes à terme étaient de 2 à5 mU.I./ml. Les taux plasmatiques d'oxytocine sont comparables à ceuxobservés au cours de la première période du travail spontané. Après arrêtou diminution sensible de la vitesse de perfusion (en cas de stimulationex­cessive), l'activité utérine décroît rapidement, mais peut êtrefacilement maintenue à un niveau inférieur acceptable.

L'oxytocine possède une demi-vie courte (de 3 à 17 minutes) ce qui permetle contrôle aisé de l'effet utérotonique par perfusion I.V. La liaison auxprotéines plasmatiques est faible. L'élimination est essentiellemen­thépatique et rénale.

Moins de 1 % de la dose administrée est excrété sous forme inchangéedans les urines. Le volume de distribution apparent est d'environ 0,3 I/kg dansl'espèce humaine et la clairance métabolique est de l'ordre de 20 ml/kg/min.y compris chez la femme enceinte.

5.3. Données de sécurité préclinique

Sans objet.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Chlorure de sodium, acide acétique glacial, acétate de sodium, eau pourpréparations injectables.

6.2. Incompati­bilités

En l’absence d’études de compatibilité, ce médicament ne doit pasêtre mélangé avec d’autres médicaments.

6.3. Durée de conservation

3 ans.

Après reconstitution dans une solution de glucose à 5% ou de chlorure desodium à 0,9%, la stabilité physico-chimique de la solution reconstituée aété démontrée pendant 24 heures à 25°C.

6.4. Précautions particulières de conservation

A conserver au réfrigérateur (entre 2°C et 8°C).

Pour les conditions de conservation du médicament après reconstitution,voir la rubrique 6.3.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

1 ml en ampoule (verre de type I). Boîte de 3, 10 ou 50 ampoules.

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d’exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

PANPHARMA

ZI DU CLAIRAY

35133 LUITRE

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 268 844 3 7 : 1 ml en ampoule (verre) ; boîte de 3.

· 34009 584 140 2 2 : 1 ml en ampoule (verre) ; boîte de 50.

· 34009 584 141 9 0 : 1 ml en ampoule (verre) ; boîte de 10.

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste II.

Retour en haut de la page