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PARLODEL 2,5 mg inhibition de la lactation, comprimé sécable - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - PARLODEL 2,5 mg inhibition de la lactation, comprimé sécable

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

PARLODEL 2,5 mg inhibition de la lactation, comprimé sécable

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Mésilate de bromocriptine­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­........2,87 mg

Quantité correspondant en bromocriptine base à............­.............­.............­.............­.............­.2,50 mg

Pour un comprimé sécable.

Excipients à effet notoire : Ce médicament contient du lactose(116.38 mg/com­primé) et de l’édétate de sodium (0,5 mg/comprimé).

Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé,c.à.d. qu’il est essentiellement « sans sodium ».

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Comprimé sécable.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Prévention ou inhibition de la lactation physiologique en post-partum pourraison médicale (comme en cas de décès intra-utérin, de décès néo-natal,d’infection VIH de la mère,…).

La bromocriptine n’est pas recommandée pour l’inhibition de la lactationen routine ni pour le soulagement de la douleur en post-partum ou del’engorgement mammaire qui peuvent être traités efficacement de manière nonpharmacologique (par exemple à l’aide d’un support ferme de la poitrine oupar l’application de glaçon) et/ou avec des analgésiques simples.

4.2. Posologie et mode d'administration

Posologie et Mode d’administration

Pour améliorer la tolérance digestive, l'administration du médicament doittoujours se faire au milieu des repas.

Le schéma thérapeutique est le suivant :

· 1/2 comprimé le premier jour, 1 comprimé le 2ème jour, puis2 comprimés par jour en 2 prises pendant 14 jours.

Au cas où une discrète sécrétion lactée réapparaîtrait 2 à 3 joursaprès l'arrêt du traitement, celui-ci peut être repris à la même posologiependant une semaine.

4.3. Contre-indications

· Hypersensibilité à la bromocriptine, à d'autres alcaloïdes de l'ergotde seigle ou à l’un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1.

· Pour le traitement à long terme : signe de valvulopathie cardiaquedécelé lors d'une échocardiographie réalisée avant le traitement.

· Patients présentant des facteurs de risque vasculaire ou uneartériopathie périphérique.

· La bromocriptine est contre-indiquée chez les patients présentant unehypertension non contrôlée, des troubles hypertensifs de la grossesse(notamment pré-éclampsie, éclampsie ou hypertension secondaire à lagrossesse) ou une hypertension du post-partum ou puerpérale.

· La bromocriptine est contre-indiquée dans l’inhibition de la lactationou les autres indications n’engageant pas le pronostic vital, chez lespatientes ayant des antécédents de maladie coronaires ou de troublescardi­ovasculaires sévères, ou présentant des symptômes/anté­cédents detroubles psychiatriques sévères.

· Association aux neuroleptiques antiémétiques (voir rubrique 4.5).

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Mises en garde

Dans de rares cas, des effets indésirables graves tels qu’unehypertension, un infarctus du myocarde, des convulsions, un accident vasculairecérébral ou des troubles psychiatriques ont été rapportés chez des femmestraitées avec de la bromocriptine pour l’inhibition de la lactation enpost-partum.

La plupart des incidents ou accidents cardiovasculaires observés (voirrubrique 4.8) sont survenus chez des patientes présentant des facteurs derisque vasculaire (hypertension artérielle, tabagisme, obésité), uneartériopathie périphérique, ou traitées de façon concomitante par desmédicaments vasoconstricteurs, dont l'association est déconseillée. Dans cescas, il est conseillé au prescripteur d'évaluer le rapport entre le bénéficeattendu et les risques encourus par la patiente.

Une somnolence et des accès de sommeil d'apparition soudaine ont étérapportés lors du traitement par la bromocriptine particulièrement chez lespatients atteints de maladie de Parkinson.

Un endormissement soudain pendant les activités quotidiennes, dans certainscas sans prodrome, a été très rarement rapporté. Les patients doivent êtreinformés de la possibilité de survenue de ces effets et ils doivent êtreavertis de se montrer prudents lors de la conduite automobile ou l'utilisationdes machines pendant le traitement par la bromocriptine. Les patients ayantprésenté une somnolence ou des accès de sommeil d'apparition soudaine nedoivent pas conduire de véhicules ou utiliser des machines. Une réduction desdoses ou un arrêt du traitement peut être envisagé.

Troubles du contrôle des impulsions

Les patients doivent être surveillés de façon régulière à la recherchede l’apparition de troubles du contrôle des impulsions. Les patients et lessoignants doivent être tenus informés que des troubles du contrôle desimpulsions comportant le jeu pathologique, une augmentation de la libido, unehypersexualité, des dépenses ou des achats compulsifs, une consommationex­cessive de nourriture (binge eating) et une alimentation compulsive, peuventsurvenir chez des patients traités avec des agonistes dopaminergiques, dont labromocriptine. Une diminution de la dose ou un arrêt progressif doit êtreenvisagés si ces symptômes apparaissent.

Chez les patients traités par la bromocriptine, en particulier à long termeet à fortes doses, il a été occasionnellement rapporté des épanchementsple­uraux et péricardiques, des fibroses pleuropulmonaires, et des péricarditescon­strictives. Les patients présentant des symptômes pleuropulmona­iresinexpliqu­és devront faire l'objet d'un examen approfondi et l'arrêt dutraitement par la bromocriptine devra être envisagé.

Chez quelques patients sous bromocriptine, en particulier à long terme et àfortes doses, une fibrose rétropéritonéale a été rapportée. Pour assurerun diagnostic de fibrose rétropéritonéale à un stade précoce, il estrecommandé d'en suivre chez ces patients les manifestations (douleurslombaires, œdèmes des membres inférieurs, trouble de la fonctionrénale).

La bromocriptine doit être interrompue si des fibroses rétropéritoné­alessont diagnostiquées ou suspectées.

Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total enlactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladieshéré­ditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.

Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé,c.à.d. qu’il est essentiellement « sans sodium ».

La tolérance au traitement peut être réduite par absorption simultanéed'alcool.

Précautions d'emploi

La prudence est recommandée chez les femmes récemment traitées outraitées conjointement par des médicaments susceptibles d'élever oud'abaisser la pression artérielle.

Chez certaines patientes, l’apparition de convulsions ou d’accidentvas­culaire cérébral était précédée d’une céphalée et/ou de troublesvisuels transitoires. Il est recommandé de surveiller la pression artérielleatten­tivement, en particulier les jours suivants le début du traitement. En casd’hypertension, de douleur thoracique, de céphalée sévère, progressive ousans rémission (avec ou sans troubles visuels) ou dans le cas du développementd’une toxicité du système nerveux central, il est recommandé d’arrêterle traitement par bromocriptine et d’examiner la patiente rapidement.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Associations contre-indiquées

+ Neuroleptiques antiémétiques (alizapride, métoclopramide etmétopimazine)

Antagonisme réciproque de l'agoniste dopaminergique et desneuroleptiques.

Utiliser un antiémétique dénué d'effets extrapyramidaux.

Associations déconseillées

+ Neuroleptiques antipsychotiques (sauf clozapine) (chez les patientsparkin­soniens)

Antagonisme réciproque de l'agoniste dopaminergique et des neuroleptiques­.L'agoniste dopaminergique peut provoquer ou aggraver les troubles psychotiques.En cas de nécessité d'un traitement par neuroleptiques chez les parkinsonienstra­ités par agonistes dopaminergiques, ces derniers doivent être diminuésprogres­sivement jusqu'à l'arrêt (l'arrêt brutal des dopaminergiques expose àun risque de «syndrome malin des neuroleptiques»).

+ Alcaloïdes de l'ergot de seigle vasoconstricteurs (ergotamine,di­hydroergotami­ne, méthylergométrine)

Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

+ Macrolides (sauf spiramycine)

Augmentation des concentrations plasmatiques du dopaminergique avecaccroissement possible de l'activité ou apparition de signes de surdosage.

+ Sympathomimétiques indirects (sauf phénylpropano­lamine)

Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

+ Sympathomimétique alpha (voies orale et/ou nasale)

Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

+ Tétrabénazine

Antagonisme réciproque de l'agoniste dopaminergique et dutétrabénazine.

Associations faisant l'objet de précautions d’emploi

+ Antiparkinsoniens anticholinergiques

Risque de majoration des troubles neuropsychiques.

Surveillance clinique et biologique régulière, notamment en débutd'association.

Associations à prendre en compte

+ Dapoxétine

Risque de majoration des effets indésirables, notamment à type de vertigesou de syncopes.

+ Médicaments abaissant la pression artérielle

Risque de majoration d’une hypotension, notamment orthostatique.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effettératogène.

En clinique, l'analyse d'un nombre élevé de grossesses exposées n'aapparemment révélé aucun effet malformatif ou fœtotoxique particulier de labromocriptine.

En cas de survenue d'une grossesse sous ce médicament, il n'y a pasd'indication à poursuivre le traitement.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

Possibilité de manifestations vertigineuses, de baisse de la vigilance et debaisse tensionnelle liées à l'utilisation de ce médicament.

Les patients traités par la bromocriptine présentant une somnolence et/oudes accès de sommeil d'apparition soudaine, doivent être informés qu'ils nedoivent pas conduire de véhicules ni exercer une activité où une altérationde leur vigilance pourrait les exposer eux-mêmes ou d'autres personnes à unrisque d'accident grave ou de décès (par exemple l'utilisation de machines)jusqu'à la disparition de ces effets (voir rubrique 4.4).

4.8. Effets indésirables

Les effets indésirables sont classés par ordre décroissant de fréquence,comme suit : très fréquent (≥ 1/10); fréquent (≥ 1/100, < 1/10); peufréquent (≥ 1/1000, < 1/100); rare (≥ 1/10000, < 1/1000); très rare(< 1/10000), y compris cas isolés.

Affections psychiatriques

Peu fréquent : confusion*, agitation psychomotrice*, hallucination­s*,délire.

Rare : troubles psychotiques

Ces troubles psychiatriques peuvent être observés plus particulièrementaux fortes posologies et essentiellement chez des patients présentant déjàdes signes de détérioration mentale. Ces troubles nécessitent la réductionde la posologie, voire l'arrêt du traitement.

Troubles du contrôle des impulsions

Le jeu pathologique, l’augmentation de la libido, l’hypersexualité, lesdépenses ou achats compulsifs, la consommation excessive de nourriture (bingeeating) et l’alimentation compulsive, sont des troubles qui peuvent survenirchez des patients traités avec des agonistes dopaminergiques, dont labromocriptine (voir rubrique 4.4 Mises en garde spéciales et précautionsd’em­ploi).

Affections du système nerveux

Fréquent : céphalées*, sensation vertigineuse, assoupissement*.

Peu fréquent : dyskinésies*.

Rare : somnolence.

Très rare : somnolence diurne excessive, accès de sommeil d'apparitionsou­daine.

Des cas de convulsions ont été exceptionnellement observés dans lepost-partum chez des femmes traitées par PARLODEL.

Affections cardiaques

Rare : péricardite constrictive.

Très rares : valvulopathie cardiaque (incluant régurgitation) et troublesassociés (péricardite et épanchement péricardique).

Des cas d'infarctus du myocarde ont été exceptionnellement rapportés dansle post-partum chez des femmes traitées par PARLODEL.

Affections vasculaires

Peu fréquent : hypotension, hypotension orthostatique* (conduisant à titreexceptionnel à un collapsus nécessitant la réduction de la posologie, voirel'arrêt du traitement).

Des cas d'hypertension artérielle et d'accident cérébrovasculaire ontété exceptionnellement rapportés dans le post-partum chez des femmestraitées par PARLODEL.

Très rare : pâleur réversible des extrémités déclenchée parl'exposition au froid particulièrement chez les patients présentant déjà desantécédents de syndrome de Raynaud.

Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales

Fréquent : congestion nasale*.

Rare : épanchement pleural et fibrose pleuropulmonaire chez des patientsparkin­soniens traités à long terme et à fortes doses (voir rubrique 4.4),pleurésie, dyspnée.

Affections gastro-intestinales

Fréquent : nausée, constipation*, vomissement.

Peu fréquent : sécheresse de la bouche*.

Rare : douleur abdominale, fibrose rétropéritonéale.

Affections de la peau et du tissu sous-cutané

Peu fréquent : perte des cheveux*, urticaire, eczéma, éruptionmaculo-papuleuse, éruption érythémateuse.

Affections musculo-squelettiques et systémiques

Peu fréquent : crampes au niveau des jambes*.

Troubles généraux et anomalies au site d'administration

Rare : œdème périphérique.

Très rare : syndrome ressemblant au syndrome malin des neuroleptiques en casd'arrêt brutal du traitement.

<em>Habituellement ces effets (</em>) indésirables sontdose-dépendants et peuvent être contrôlés en diminuant la posologie.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

Aucun cas mortel n'a été rapporté après surdosage aigu. La dose maximaleunique ingérée par un adulte est de 225 mg. Les troubles observés ont été: nausées, vomissements, vertiges, hypotension orthostatique, hypotension,tachy­cardie, léthargie, somnolence/ baisse de la vigilance, sueurs ethallucinations.

En cas de surdosage, l'administration de charbon actif est recommandée et encas de prise très récente un lavage gastrique peut être envisagé.

Le traitement de l'intoxication aiguë est symptomatique.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : INHIBITEURS DE LA PROLACTINE, Code ATC :G02CB01.

La bromocriptine est un agoniste dopaminergique.

Au niveau hypothalamo-hypophysaire, elle freine la sécrétion de laprolactine et réduit l'hyperprolac­tinémie, qu'elle soit d'originephysi­ologique (grossesse, post-partum) ou pathologique.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

L'absorption est rapide et complète.

Le taux d'absorption estimé, soit après administration de moléculesradi­oactives, soit par dosages radio-immunologiques, est compris entre 75 et95 %. Le maximum de la concentration plasmatique est atteint en 1 h30 environ.

Une dose orale de 5 mg de bromocriptine entraîne une Cmax de0.465 ng/ml.

Le taux de liaison aux protéines plasmatiques est de l'ordre de 96 %. Leproduit présente une forte affinité tissulaire. Le volume de distribution estvoisin de 3,4 l/kg. L'élimination a lieu essentiellement par voies biliaire etfécale. Seul un faible pourcentage de la dose (6 %) est retrouvé dans lesurines.

La bromocriptine subit une biotransformation importante lors du premierpassage hépatique, comme en témoignent les profils métaboliques complexes etl'absence quasi complète de molécule mère dans les urines et les fèces. Elleest un substrat du CYP3A4 : les inhibiteurs puissants de cette enzyme, comme lesmacrolides, par exemple, peuvent entraîner une augmentation de sesconcentrations et ralentir son élimination.

L'élimination plasmatique est biphasique, le temps de demi-vie moyen de lapremière phase a est de 6 h, celui de la deuxième phase β de 15 h.

La cinétique est linéaire dans l'intervalle 1 à 7,5 mg par voie orale.Les taux plasmatiques obtenus après administration de doses nettement plusélevées (12,5 – 100 mg) sont également dans le rapport des doses.

5.3. Données de sécurité préclinique

Non renseignée.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Amidon de maïs, acide maléïque, stéarate de magnésium, silicecolloïdale anhydre (Aérosil 200), lactose, édétate de sodium.

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

3 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation

A tenir à l'abri de la lumière.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

20 comprimés sécables sous plaquette (PVC/PVDC/Alu­minium).

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d'exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

MYLAN MEDICAL SAS

40–44 RUE WASHINGTON

75008 PARIS

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 334 157 5 4 : 20 comprimés sécables sous plaquette(PVC/PVDC/­Aluminium).

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

11 mars 2021

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I

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