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PARLODEL 5 mg, gélule - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - PARLODEL 5 mg, gélule

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

PARLODEL 5 mg, gélule

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Mésilate debromocripti­ne...........­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.........5,740 mg

Quantité correspondant en bromocriptine­base.........­.............­.............­.............­.............­.......5,000 mg

Pour une gélule.

Excipient à effet notoire : ce médicament contient du lactose(80.015 mg/gé­lule).

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Gélule.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Maladie de Parkinson

· Traitement de première intention en monothérapie.

· Traitement de première intention associé à la lévodopa (dans cedeuxième cas, afin de diminuer la dose de chacun des produits actifs et deretarder l'apparition des fluctuations d'efficacité et des mouvementsanor­maux).

· Association en cours d'évolution de la maladie en cas de :

o diminution de l'effet de la lévodopa;

o fluctuations de l'effet thérapeutique de la dopathérapie et autresphénomènes apparaissant après plusieurs années de traitement par lalévodopa: dyskinésies, dystonies douloureuses.

· Inefficacité d'emblée de la dopathérapie.

Le passage de la lévodopa à la bromocriptine doit toujours s'effectuerpro­gressivement, avec réduction des doses de lévodopa (voirrubrique 4.2).

4.2. Posologie et mode d'administration

L'adaptation de la posologie individuelle sera aussi fonction de latolérance.

La prescription de dompéridone 3 jours avant le début du traitement etpendant la progression posologique permet d'instaurer le traitement avec unebonne acceptabilité (voir rubrique 4.8).

En début de traitement, il sera fait appel aux comprimés de Parlodel dosésà 2,5 mg de bromocriptine.

Le schéma thérapeutique est le suivant :

· 1/2 comprimé le 1er jour au repas du soir,

· 1 comprimé le 2ème jour, puis augmentation progressive par paliers d'uncomprimé tous les deux jours.

A partir de 20 mg par jour, les gélules de Parlodel 5 mg puis 10 mg sesubstituent aux comprimés.

Les posologies efficaces moyennes (à répartir en 3 prises quotidiennes)sont :

· en monothérapie : 10 mg à 30 mg par jour;

· en association précoce à la lévodopa : 10 mg à 25 mg par jour.

Toutefois, chez certains patients, des doses plus élevées peuvent êtreexception­nellement nécessaires.

Chez les patients après 65 ans, la posologie journalière est compriseentre 5 et 15 mg (voir rubrique 4.4).

En association avec la lévodopa, le PARLODEL permet de réduire de 20 à60 % les doses quotidiennes de lévodopa.

Lorsqu’une diminution de la dose ou l’arrêt du traitement estnécessaire, la dose doit être réduite graduellement (voir rubrique 4.4).

4.3. Contre-indications

· Hypersensibilité à la bromocriptine, à d'autres alcaloïdes de l'ergotde seigle ou à l’un des excipients.

· Pour le traitement à long terme : signes de valvulopathie cardiaquedécelé lors d’une échocardiographie réalisée avant le traitement.

· Toxémie gravidique, hypertension du post-partum ou puerpérale.

· Insuffisance coronaire.

· Patients ayant des troubles psychiques sévères (et/ou des antécédentspsychi­atriques), présentant des facteurs de risque vasculaire ou uneartériopathie périphérique.

· Association aux neuroleptiques antiémétiques (voir rubrique 4.5).

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Mises en garde

La plupart des incidents ou accidents cardiovasculaires observés (voirrubrique 4.8) sont survenus chez des patients présentant des facteurs de risquevasculaire (hypertension artérielle, tabagisme, obésité), une artériopathie­périphérique, ou traités de façon concomitante par des médicamentsva­soconstricteurs dont l'association est déconseillée. Dans ces cas, il estconseillé au prescripteur d’évaluer le rapport entre le bénéfice attenduet les risques encourus par le patient.

Une somnolence et des accès de sommeil d’apparition soudaine ont étérapportés lors du traitement par la bromocriptine particulièrement chez lespatients atteints de maladie de Parkinson.

Un endormissement soudain pendant les activités quotidiennes, dans certainscas sans prodrome, a été très rarement rapporté. Les patients doivent êtreinformés de la possibilité de survenue de ces effets et ils doivent êtreavertis de se montrer prudents lors de la conduite automobile ou l’utilisationdes machines pendant le traitement par la bromocriptine.

Les patients ayant présenté une somnolence ou des accès de sommeild’apparition soudaine ne doivent pas conduire de véhicules ou utiliser desmachines. Une réduction des doses ou un arrêt du traitement peut êtreenvisagé.

Troubles du contrôle des impulsions

Les patients doivent être surveillés de façon régulière à la recherchede l’apparition de troubles du contrôle des impulsions. Les patients et lessoignants doivent être tenus informés que des troubles du contrôle desimpulsions comportant le jeu pathologique, une augmentation de la libido, unehypersexualité, des dépenses ou des achats compulsifs, une consommationex­cessive de nourriture et une alimentation compulsive, peuvent survenir chezdes patients traités avec des agonistes dopaminergiques, dont la bromocriptine.Une diminution de la dose ou un arrêt progressif doivent être envisagés sices symptômes apparaissent.

Risques de fibrose

Chez les patients traités par la bromocriptine, en particulier à long termeet à fortes doses, il a été occasionnellement rapporté des épanchementsple­uraux et péricardiques, des fibroses pleuropulmonaires, et des péricarditescon­strictives. Les patients présentant des symptômes pleuropulmona­iresinexpliqu­és devront faire l’objet d’un examen approfondi et l’arrêt dutraitement par la bromocriptine devra être envisagé.

Chez quelques patients sous bromocriptine, en particulier à long terme et àfortes doses, une fibrose rétropéritonéale a été rapportée. Pour assurerun diagnostic de fibrose retropéritonéale à un stade précoce il estrecommandé d’en suivre chez ces patients les manifestations (douleurslombaires, œdèmes des membres inférieurs, trouble de la fonctionrénale).

La bromocriptine doit être interrompue si des fibroses rétropéritoné­alessont diagnostiquées ou suspectées.

Utilisation chez les patients parkinsoniens

Quand une diminution de la dose ou un arrêt du traitement est nécessaire,la dose devra être réduite progressivement (voir rubrique 4.2). Une réductionbrutale de la dose ou du traitement pourrait causer un syndrome malin desneuroleptiques. De plus, une réduction brutale de la dose ou du traitement desagonistes des récepteurs dopaminergiques pourrait causer un syndrome de sevrageaux agonistes dopaminergiques (SSAD). Des données limitées suggèrent que lespatients présentant des troubles du contrôle des impulsions et ceux quireçoivent une dose journalière élevée et/ou des doses cumulatives élevéesd'agonistes dopaminergiques peuvent être plus à risque de développer un SSAD.Les symptômes de sevrage peuvent inclure l'apathie, l'anxiété, ladépression, la fatigue, la sudation et la douleur et ne répondent pas à lalévodopa. Avant de diminuer progressivement et d'arrêter le traitement, lespatients doivent être informés des symptômes de sevrage potentiels. Lespatients doivent être étroitement surveillés pendant la diminution de doseset l'arrêt du traitement. En cas de symptômes de sevrage sévères et/oupersistants, une ré-administration temporaire du traitement à la dose efficacela plus faible peut être envisagée.

Autres mises en garde

Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total enlactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladieshéré­ditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.

La tolérance au traitement peut être réduite par absorption simultanéed’alcool.

Précautions d’emploi

Les patients ne doivent être traités par bromocriptine que si lesbénéfices escomptés sont supérieurs aux risques encourus en casd’antécédents de troubles psychiques ou psychiatriques ou d’affectionscardio-vasculaires sévères ou d’ulcères gastroduodénaux.

La pression artérielle sera soigneusement contrôlée notamment les premiersjours du traitement. La prudence est recommandée chez les patients récemmenttraités ou traités par des médicaments susceptibles d'élever ou d'abaisserla pression artérielle. La survenue d'une hypertension, de céphaléespersis­tantes ou de tout autre signe neurologique impose l'arrêt dutraitement.

Les patients de plus de 65 ans doivent bénéficier d’une surveillanceten­sionnelle et psychique et une posologie journalière plus faible préconisée(voir rubrique 4.2).

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Associations contre-indiquées

+ Neuroleptiques antiémétiques (alizapride, métoclopramide etmétopimazine)

Antagonisme réciproque de l'agoniste dopaminergique et desneuroleptiques.

Utiliser un antiémétique dénué d'effets extrapyramidaux.

Associations déconseillées

+ Neuroleptiques antipsychotiques (sauf clozapine) (chez les patientsparkin­soniens)

Antagonisme réciproque de l'agoniste dopaminergique et des neuroleptiques­.L'agoniste dopaminergique peut provoquer ou aggraver les troubles psychotiques.En cas de nécessité d'un traitement par neuroleptiques chez les parkinsonienstra­ités par agonistes dopaminergiques, ces derniers doivent être diminuésprogres­sivement jusqu'à l'arrêt (l'arrêt brutal des dopaminergiques expose àun risque de « syndrome malin des neuroleptiques »).

+ Alcaloïdes de l'ergot de seigle vasoconstricteurs (ergotamine,di­hydrœrgotamine, méthylergométrine)

Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

+ Macrolides (sauf spiramycine):

Augmentation des concentrations plasmatiques du dopaminergique avecaccroissement possible de l'activité ou apparition de signes de surdosage.

+ Sympathomimétiques indirects

Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

+ Sympathomimétique alpha (voies orale et/ou nasale)

Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives

+ Tétrabénazine

Antagonisme réciproque de l'agoniste dopaminergique et dutétrabénazine.

Associations faisant l'objet de précautions d’emploi

+ Antiparkinsoniens anticholinergiques

Risque de majoration des troubles neuropsychiques.

Surveillance clinique et biologique régulière, notamment en débutd'association.

Associations à prendre en compte

+ Dapoxétine

Risque de majoration des effets indésirables, notamment à type de vertigesou de syncopes.

+ Médicaments abaissant la pression artérielle

Risque de majoration d’une hypotension, notamment orthostatique.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. Enl'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dansl'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substancesres­ponsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révéléestératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deuxespèces.

En clinique, l'analyse d'un nombre élevé de grossesses exposées n'aapparemment révélé aucun effet malformatif ou fœtotoxique particulier de labromocriptine.

En conséquence, la bromocriptine peut être prescrite pendant la grossessesi besoin.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

L'attention des conducteurs de véhicules et des utilisateurs de machinesdoit être attirée sur la possibilité de manifestations vertigineuses, debaisse de la vigilance et de baisse tensionnelle liées à l'utilisation de cemédicament.

Les patients traités par la bromocriptine présentant une somnolence et/oudes accès de sommeil d'apparition soudaine, doivent être informés qu'ils nedoivent pas conduire de véhicules ni exercer une activité où une altérationde leur vigilance pourrait les exposer eux-mêmes ou d'autres personnes à unrisque d'accident grave ou de décès (par exemple l'utilisation de machines)jusqu'à la disparition de ces effets (voir rubrique 4.4).

4.8. Effets indésirables

Les effets indésirables sont classés par ordre décroissant de fréquence,comme suit : très fréquent (≥ 1/10) ; fréquent (≥ 1/100, < 1/10) ; peufréquent (≥ 1/1000, < 1/100) ; rare (≥ 1/10,000, < 1/1000) ; trèsrare (< 1/10,000), y compris cas isolés.

Affections psychiatriques

Peu fréquent : confusion*, agitation psychomotrice*, hallucinations*.

Rare : troubles psychotiques.

Ces troubles psychiatriques peuvent être observés plus particulièrementaux fortes posologies et essentiellement chez des patients présentant déjàdes signes de détérioration mentale. Ces troubles nécessitent la réductionde la posologie, voire l’arrêt du traitement.

Troubles du contrôle des impulsions

Le jeu pathologique, l’augmentation de la libido, l’hypersexualité, lesdépenses ou achats compulsifs, la consommation excessive de nourriture etl’alimentation compulsive, sont des troubles qui peuvent survenir chez despatients traités avec des agonistes dopaminergiques, dont la bromocriptine(voir rubrique 4.4 Mises en garde spéciales et précautions d’emploi).

Affections du système nerveux

Fréquent : céphalées*, sensation vertigineuse, assoupissement*.

Peu fréquent : dyskinésies*.

Rare : somnolence.

Très rare : somnolence diurne excessive, accès de sommeil d’apparitionsou­daine.

Affections cardiaques

Rare : péricardite constrictive.

Très rares : valvulopathie cardiaque (incluant régurgitation) et troublesassociés (péricardite et épanchement péricardique).

Affections vasculaires

Peu fréquent : hypotension, hypotension orthostatique* (conduisant à titreexceptionnel à un collapsus nécessitant la réduction de la posologie, voirel’arrêt du traitement).

Très rare : pâleur réversible des extrémités déclenchée parl’exposition au froid particulièrement chez les patients présentant déjàdes antécédents de syndrome de Raynaud.

Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales

Fréquent : congestion nasale*.

Rare : épanchement pleural et fibrose pleuropulmonaire chez des patientsparkin­soniens traités à long terme et à fortes doses (cf 4.4 Mises en gardeet précautions d’emploi), pleurésie, dyspnée.

Affections gastro-intestinales

Fréquent : nausée, constipation*, vomissement.

Peu fréquent : sécheresse de la bouche*.

Rare : douleur abdominale, fibrose rétropéritonéale.

Affections de la peau et du tissu sous-cutané

Peu fréquent : perte des cheveux*, urticaire, eczéma, éruptionmaculo-papuleuse, éruption érythémateuse.

Affections musculo-squelettiques et systémiques

Peu fréquent : crampes au niveau des jambes*.

Troubles généraux et anomalies au site d'administration

Rare : œdème périphérique.

Très rare : syndrome ressemblant au syndrome malin des neuroleptiques en casd’arrêt brutal du traitement.

Fréquence indéterminée (la fréquence ne peut être estimée sur la basedes données disponibles) : Syndrome de sevrage aux agonistes dopaminergiqu­esincluant apathie, anxiété, dépression, fatigue, sudation, douleur, etc. (voirrubrique 4.4).

* Habituellement ces effets (*) indésirables sont dose-dépendants etpeuvent être contrôlés en diminuant la posologie.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

Aucun cas mortel n'a été rapporté après surdosage aigu. La dose maximaleunique ingérée par un adulte est de 225 mg. Les troubles observés ont été: nausées, vomissements, vertiges, hypotension orthostatique, hypotension,tachy­cardie, léthargie, somnolence/ baisse de la vigilance, sueurs ethallucinations.

En cas de surdosage, l'administration de charbon actif est recommandée et encas de prise très récente un lavage gastrique peut être envisagé.

Le traitement de l'intoxication aiguë est symptomatique.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : ANTIPARKINSONIENS AGONISTESDOPA­MINERGIQUES, code ATC : N04BC01.

La bromocriptine est un agoniste dopaminergique.

· Au niveau hypothalamo-hypophysaire, elle freine la sécrétion de laprolactine et réduit l'hyperprolac­tinémie, qu'elle soit d'originephysi­ologique (grossesse, post-partum) ou pathologique.

· La bromocriptine peut corriger la sécrétion inappropriée de l'hormonede croissance.

· Au niveau nigro-strié, par stimulation directe et prolongée desrécepteurs dopaminergiques post-synaptiques, la bromocriptine pallie ladéplétion en dopamine qui caractérise la maladie de Parkinson.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

L'absorption est rapide et complète.

Le taux d'absorption, estimé soit après administration de moléculesradi­oactives, soit par dosages radioimmunolo­giques, est compris entre 75 et95 %. Le maximum de la concentration plasmatique est atteint en 1 h30 environ.

Une dose orale de 5 mg de bromocriptine entraîne une Cmax de0.465 ng/ml.

Le taux de liaison aux protéines plasmatiques est de l'ordre de 96 %. Leproduit présente une forte affinité tissulaire. Le volume de distribution estvoisin de 3,4 l/kg. L'élimination a lieu essentiellement par voies biliaire etfécale. Seul un faible pourcentage de la dose (6 %) est retrouvé dans lesurines.

La bromocriptine subit une biotransformation importante lors du premierpassage hépatique, comme en témoignent les profils métaboliques complexes etl'absence quasi complète de molécule mère dans les urines et les fèces. Elleest un substrat du CYP3A4 : les inhibiteurs puissants de cette enzyme, comme lesmacrolides, par exemple, peuvent entraîner une augmentation de sesconcentrations et ralentir son élimination.

L'élimination plasmatique est biphasique, le temps de demi-vie moyen de lapremière phase a est de 6 h, celui de la deuxième phase β de 15 h.

La cinétique est linéaire dans l'intervalle 1 – 7,5 mg par voie orale.Les taux plasmatiques obtenus après administration de doses nettement plusélevées (12,5 – 100 mg) sont également dans le rapport des doses.

5.3. Données de sécurité préclinique

Non renseignée.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Silice colloïdale anhydre, stéarate de magnésium, acide maléique, amidonde maïs gélifiable, lactose monohydraté.

Composition de l'enveloppe de la gélule : indigotine (E132), dioxyde detitane (E171), gélatine.

Composition de l'encre d'impression : shellac, oxyde de fer noir (E172),hydroxyde de potassium.

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

2 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation

Conditionnement sous plaquettes thermoformées (PVC/PVDC/Alu­minium) :

A conserver à une température ne dépassant pas 25°C et à conserver dansl'emballage extérieur, à l'abri de l'humidité.

Conditionnement en flacon (verre) :

A conserver à une température ne dépassant pas 30°C.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

30 gélules sous plaquettes thermoformées (PVC/PVDC/Alu­minium).

30 gélules en flacon (verre).

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d'exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

MEDA PHARMA

40–44 RUE WASHINGTON

75008 PARIS

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 347 428 2 8 : 30 gélules sous plaquettes thermoformées(PVC/PVDC/­aluminium).

· 34009 331 953 5 9 : 30 gélules en flacon (verre).

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I

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