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PROKINYL L.P. 15 mg, gélule à libération prolongée - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - PROKINYL L.P. 15 mg, gélule à libération prolongée

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

PROKINYL L.P. 15 mg, gélule à libération prolongée

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Chlorhydrate demétocloprami­de...........­.............­.............­.............­.............­.............­.............­....15 mg

qsp une gélule.

Excipient(s) à effet notoire : saccharose

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Gélule.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

PROKINYL L.P. 15 mg, gélule à libération prolongée est indiqué chez lesadultes dans:

Ÿ la prévention des nausées et vomissements retardés induits par lesantimitotiques.

Ÿ la prévention des nausées et vomissements induits par uneradiothérapie.

Ÿ le traitement symptomatique des nausées et vomissements, incluant lesnausées et vomissements induits par une crise migraineuse. Dans les crisesmigraineuses, le métoclopramide peut être utilisé en association avec desanalgésiques oraux pour améliorer leur absorption.

4.2. Posologie et mode d'administration

Posologie

RESERVE A L’ADULTE.

La dose recommandée est de 15 mg par prise, 1 à 2 fois par jour.

La dose journalière maximale recommandée est de 30 mg ou 0,5 mg/kg.

La durée du traitement maximale recommandée est de 5 jours.

Mode d’administration

Voie orale.

Un intervalle minimal de 12 heures entre 2 administrations doit êtrerespecté, même en cas de vomissement ou de rejet de la dose (voirrubrique 4.4).

Populations particulières

Sujet âgé

Chez les sujets âgés, une diminution de la dose doit être envisagée, entenant compte de la fonction rénale et hépatique et de la fragilité globalede l’état de santé.

Insuffisance rénale

Chez les patients présentant une insuffisance rénale au stade terminal(clairance de la créatinine ≤ 15 ml/min), la dose journalière doit êtrediminuée de 75%.

Chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée à sévère(clairance de la créatinine comprise entre 15 et 60 ml/min), la dose doitêtre diminuée de 50% (voir rubrique 5.2).

Insuffisance hépatique

Chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère, la dosedoit être diminuée de 50% (voir rubrique 5.2).

D’autres formes pharmaceutiqu­es/dosages peuvent être plus appropriéspour une utilisation dans ces populations.

4.3. Contre-indications

· Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipientslisté dans la rubrique 6.1.

· Lorsque la stimulation de la motricité gastro-intestinale présente undanger : hémorragie gastro-intestinale, obstruction mécanique ou perforationdi­gestive.

· Chez les porteurs, connus ou suspectés, de phéochromocytome, en raisondu risque d’épisodes d’hypertension sévère.

· Antécédent connu de dyskinésie tardive aux neuroleptiques ou aumétoclopramide.

· Epilepsie (augmentation de la fréquence et de l’intensité descrises).

· Maladie de Parkinson.

· En association avec la lévodopa ou les agonistes dopaminergiques (voirrubrique 4.5).

· Antécédent connu de méthémoglobinémie avec le métoclopramide ou dedéficit en NADH cytochrome-b5 réductase.

· Chez l’enfant de moins de un an en raison du risque augmenté detroubles extrapyramidaux (voir rubrique 4.4).

· Ce médicament est contre-indiqué chez les patients présentant uneintolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et dugalactose ou un déficit en sucrase/isomaltase (maladies héréditairesrares).

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Mises en garde

Troubles neurologiques

Des troubles extrapyramidaux peuvent survenir, en particulier chez l’enfantet l’adulte jeune, et/ou quand des doses élevées sont utilisées. Cesréactions surviennent, en général, en début de traitement et peuventapparaître après une seule administration. En cas d’apparition de cessymptômes extrapyramidaux, il convient d’arrêter immédiatement lemétoclopramide. Ces effets sont, en général, complètement réversiblesaprès l’arrêt du traitement, mais peuvent nécessiter un traitementsym­ptomatique (benzodiazépines chez l’enfant et/ou antiparkinsoni­ensanticholiner­giques chez l’adulte).

Un intervalle d’au moins 12 heures doit être respecté entre chaque prise(voir rubrique 4.2), même en cas de vomissements ou de rejet de la dose, afind’éviter un surdosage.

Le traitement prolongé par métoclopramide peut entraîner des dyskinésiestar­dives, potentiellement irréversibles en particulier chez le sujet âgé. Ladurée du traitement ne doit pas être supérieure à 3 mois en raison durisque de dyskinésie tardive (voir rubrique 4.8). En cas d’apparition designes cliniques de dyskinésie tardive, le traitement doit être arrêté.

Un syndrome malin des neuroleptiques a été décrit avec le métoclopramideen association avec des neuroleptiques ou en monothérapie (voir rubrique 4.8).Le métoclopramide doit être arrêté immédiatement en cas de survenue desymptômes de syndrome malin des neuroleptiques et un traitement approprié doitêtre mis en œuvre.

Une attention particulière sera apportée chez les patients ayant despathologies neurologiques sous-jacentes et chez les patients traités pard’autres médicaments ayant une action centrale (voir rubrique 4.3).

Les symptômes de la maladie de Parkinson peuvent également être exacerbéspar le métoclopramide.

Méthémoglobinémie

Des cas de méthémoglobinémie, pouvant être dus à un déficit en NADHcytochrome-b5 réductase, ont été rapportés. Dans ce cas, le traitement doitêtre arrêté immédiatement et définitivement, et les mesures appropriéesdoivent être prises (tel que le traitement par le bleu de méthylène).

Troubles cardiaques

Des effets indésirables cardiovasculaires graves incluant des cas debradycardie sévère, de collapsus cardio-vasculaire, d’arrêt cardiaque etd’allongement de l’intervalle QT ont été rapportés lors del’administration de métoclopramide par voie injectable, en particulier parvoie intraveineuse (voir rubrique 4.8).

Le métoclopramide doit être administré avec précaution, en particulierpar voie intraveineuse chez les sujets âgés, les patients ayant des troublesde la conduction cardiaque (incluant un allongement de l’intervalle QT), lespatients présentant un déséquilibre de la balance électrolytique, unebradycardie et ceux prenant d’autres médicaments connus pour allongerl’inter­valle QT.

L’injection intraveineuse doit se faire sous forme de bolus lent (sur unedurée d’au moins 3 minutes) afin de réduire le risque d’effetsindési­rables (ex : hypotension artérielle, akathisie).

Insuffisance rénale et hépatique

En cas d’insuffisance rénale ou hépatique sévère, il est recommandé dediminuer la posologie (voir rubrique 4.2).

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Les études d’interaction n’ont été réalisées que chezl’adulte.

Associations contre-indiquées

Antagonisme réciproque entre les agonistes dopaminergiques ou la lévodopaet le métoclopramide (voir rubrique 4.3).

Associations déconseillées

Majoration par l’alcool de l’effet sédatif du métoclopramide

Associations à prendre en compte

En raison de l’effet prokinétique du métoclopramide, l’absorption decertains médicaments peut être modifiée.

Anticholinergiques et dérivés morphiniques

Antagonisme réciproque entre les anticholinergiques et dérivésmorphiniques et le métoclopramide sur la motricité digestive.

Dépresseurs du système nerveux central (dérivés morphiniques,an­xiolytiques, antihistaminiques sédatifs H1, antidépresseurs sédatifs,barbi­turiques, clonidine et apparentés)

Addition des effets sédatifs des dépresseurs du système nerveux central etdu métoclopramide.

Neuroleptiques

Risque d’addition des effets sur la survenue de troublesextra­pyramidaux.

Médicaments sérotoninergiques

Augmentation du risque de syndrome sérotoninergique en cas d’associationavec les médicaments sérotoninergiques tels que les ISRS.

Digoxine

Le métoclopramide peut diminuer la biodisponibilité de la digoxine. Unesurveillance étroite des concentrations plasmatiques de la digoxine estnécessaire.

Ciclosporine

Le métoclopramide augmente la biodisponibilité de la ciclosporine (Cmaxaugmentée de 46% et exposition systémique augmentée de 22%). Une surveillanceétroite des concentrations plasmatiques de la ciclosporine est nécessaire. Laconséquence clinique est incertaine.

Mivacurium and suxaméthonium

L’injection de métoclopramide peut prolonger la durée du blocageneuromus­culaire, par inhibition de la cholinestérase plasmatique.

Inhibiteurs puissants du CYP2D6

Augmentation des paramètres d’exposition au métoclopramide en casd’association avec les inhibiteurs puissants du CYP2D6 tels que la fluoxétineet la paroxétine. Bien que la pertinence clinique soit inconnue, unesurveillance des effets indésirables est requise.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Un nombre important de données chez la femme enceinte (plus de1000 grossesses) n’a mis en évidence aucun effet malformatif, nifoetotoxique. Pour des raisons pharmacologiques (par analogie avec d’autresneuro­leptiques), si le métoclopramide est administré en fin de grossesse, unsyndrome extrapyramidal néonatal ne peut être exclu. S’il est utilisé, unesurveillance du nouveau-né doit être mise en œuvre.

Allaitement

Le métoclopramide passe faiblement dans le lait maternel. Des effetsindésirables chez le nouveau-né allaité ne peuvent être exclus. Parconséquent, le métoclopramide n’est pas recommandé pendant l’allaitement.Une interruption du traitement pendant l’allaitement doit êtreenvisagée.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

PROKINYL L.P. 15 mg a une influence importante sur l’aptitude à conduiredes véhicules et à utiliser des machines.

Le métoclopramide peut entraîner une somnolence, des étourdissements, unedyskinésie et des dystonies qui peuvent affecter la vision et égalementinterférer avec la capacité à conduire des véhicules et à utiliser desmachines.

4.8. Effets indésirables

Les effets indésirables sont listés par système-organe. Les effetsindésirables ont été classés par ordre de fréquence en utilisant laconvention suivante : très fréquent (≥ 1/10) ; fréquent (≥ 1/100 à<1/10) ; peu fréquent (≥ 1/1000 à < 1/100) ; rare (≥ 1/10000 à <1/1000) ; très rare (< 1/10000), fréquence indéterminée (ne peut êtreestimée sur la base des données disponibles).

Système Organe

Fréquence

Effets indésirables

Affections hématologiques et du système lymphatique

Fréquence

indéterminée

Méthémoglobinémie, pouvant être due à un déficit de la NADHcytochrome-b5 réductase, en particulier chez le nouveau-né (voirrubrique 4.4)

Sulfhémoglobinémie, essentiellement lors de l’administration concomitantede fortes doses de médicaments libérateurs de sulfate

Affections cardiaques

Peu fréquent

Bradycardie, en particulier avec la voie intraveineuse

Fréquence indéterminée

Arrêt cardiaque, survenant rapidement après l’administration par voieinjectable, et pouvant faire suite à une bradycardie (voir rubrique 4.4) ; blocauriculo-ventriculaire, pause sinusale en particulier avec la voie intraveineuse; allongement de l’intervalle QT à l’électrocardi­ogramme ; Torsades dePointes

Affections endocriniennes*

Peu fréquent

Aménorrhée, Hyperprolactinémie

Rare

Galactorrhée

Fréquence indéterminée

Gynécomastie

Affections gastro-intestinales

Fréquent

Diarrhée

Troubles généraux et anomalies au site d’administration

Fréquent

Asthénie

Affections du système immunitaire

Peu fréquent

Hypersensibilité

Fréquence indéterminée

Réaction anaphylactique (incluant le choc anaphylactique) en particulieravec la voie intraveineuse

Affections du système nerveux

Très fréquent

Somnolence

Fréquent

Troubles extrapyramidaux (en particulier chez les enfants et les jeunesadultes et/ou lorsque la dose conseillée est dépassée, y compris aprèsadministration d’une dose unique) (voir rubrique 4.4), syndrome parkinsonien,a­kathisie

Peu fréquent

Dystonie (y compris troubles de la vision et crise oculogyre), dyskinésie,troubles de la conscience

Rare

Convulsion en particulier chez les patients épileptiques

Fréquence indéterminée

Dyskinésie tardive pouvant être persistante, au cours ou après untraitement prolongé, en particulier chez les sujets âgés (voir rubrique 4.4),syndrome malin des neuroleptiques (voir rubrique 4.4)

Affections psychiatriques

Fréquent

Dépression

Peu fréquent

Hallucination

Rare

Etat confusionnel

Affections vasculaires

Fréquent

Hypotension, en particulier avec la voie intraveineuse

Fréquence indéterminée

Tension artérielle très élevée. Choc, syncope après utilisation de laforme injectable. Crise hypertensive chez les patients ayant unphéochromocytome (voir rubrique 4.3)

* Affections endocriniennes pendant un traitement prolongé en relation avecune hyperprolactinémie (aménorrhée, galactorrhée, gynécomastie).

Les effets suivant, parfois associés, surviennent plus fréquemment lors del’utilisation de doses élevées :

– Symptômes extrapyramidaux : dystonie aigüe et dyskinésie, syndromeparkin­sonien, akathisie, y compris après l’administration d’une dose uniquedu médicament, en particulier chez les enfants et les jeunes adultes (voirrubrique 4.4).

– Somnolence, troubles de la conscience, confusion, hallucination.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

Symptômes

Des symptômes extrapyramidaux, une somnolence, des troubles de laconscience, une confusion, des hallucinations, voire un arrêtcardio-respiratoire peuvent survenir.

Conduite à tenir

En cas de symptômes extrapyramidaux liés ou non à un surdosage, letraitement est uniquement symptomatique (benzodiazépines chez l’enfant, et/ouantiparkin­soniens anticholinergiques chez l’adulte).

Un traitement symptomatique et une surveillance continue des fonctionscardi­ovasculaire et respiratoire doivent être mis en œuvre en fonction del’état clinique.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : STIMULANT DE LA MOTRICITE INTESTINALE, codeATC : A03FA01 (A : voies digestives et métabolisme)

Mécanisme d’action

Métoclopramide : neuroleptique antagoniste de la dopamine

Effets pharmacodynamiques

Il prévient les vomissements par blocage des sites dopaminergiques. Ilaugmente l’amplitude des ondes de contractions œsophagiennes, le tonus dusphincter inférieur de l’œsophage, la vitesse de vidange gastrique. Ilnormalise le péristaltisme gastroduodénal et augmente le péristaltisme­du grêle.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Distribution

Le métoclopramide est largement distribué dans les tissus. Le volume dedistribution est de 2,2 à 3,4 l/kg. Il se fixe peu aux protéinesplas­matiques. Il passe à travers le placenta et dans le lait.

Les microgranules à libération prolongée permettent par rapport à laforme galénique classique :

Ÿ d’obtenir des concentrations maximales plus basses et atteintes en destemps plus tardifs ;

de maintenir 12 heures après la prise des concentrations plasmatiques demétoclopramide supérieures de 50%.

Biotransformation

Le métoclopramide est peu métabolisé.

Élimination

Le métoclopramide est principalement éliminé dans les urines sous formelibre ou sulfoconjuguée. La demi-vie d’élimination est de 5 à 6 heures.Elle augmente en cas d’insuffisance rénale ou hépatique.

Insuffisance rénale :

La clairance du métoclopramide est diminuée jusqu’à 70% chez lespatients présentant une insuffisance rénale sévère, alors que la demi-vied’élimination plasmatique est augmentée (environ 10 heures pour uneclairance de la créatinine de 10–50 mL/minute et de 15 heures pour uneclairance de la créatinine <10 mL/minute).

Insuffisance hépatique

Une accumulation du métoclopramide a été observée chez les patientsprésentant une cirrhose hépatique, associée à une diminution de 50% de laclairance plasmatique.

5.3. Données de sécurité préclinique

Sans objet.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Copolymères d’acrylate d’éthyle, de méthacrylate de méthyle et dechlorure de triméthylamoni­oéthylméthacry­late (1:2:0,1) (solution à12,5%) (EUDRAGIT RS 12,5), talc, citrate de triéthyle, microgranules neutres(saccharose ; amidon de maïs).

Composition de l’enveloppe de la gélule : gélatine.

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

3 ans

6.4. Précautions particulières de conservation

A conserver à une température ne dépassant pas 30°C

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

30 gélules sous plaquettes thermoformées (PVC/Aluminium).

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d’exigences particulières

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

LABORATOIRES TECHNI-PHARMA

7, RUE DE L’INDUSTRIE

BP 717

MC 98014 MONACO CEDEX

MONACO

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

34009 329 758 4 6 : 30 gélules sous plaquettes thermoformées(PVC/A­luminium).

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I

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