Résumé des caractéristiques - PROPRANOLOL ACETLAB 5 mg/5 mL, solution injectable
1. DENOMINATION DU MEDICAMENT
PROPRANOLOL ACETLAB 5 mg/5 mL, solution injectable
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Chlorhydrate depropranolol.....................................................................................................5 mg
Pour 5 mL.
3. FORME PHARMACEUTIQUE
Solution injectable.
Solution claire, incolore.
pH = 2,8 – 3,2.
4. DONNEES CLINIQUES
4.1. Indications thérapeutiques
· Traitement d'urgence sous contrôle ECG de différentes formes detachycardies sympathico-dépendantes : tachycardies sinusales et jonctionnelles,tachycardie de la fibrillation et du flutter auriculaire, certaines tachycardiesd'origine ventriculaire.
· Traitement de certains troubles du rythme : supraventriculaires(tachycardies, flutters et fibrillations auriculaires, tachycardiesjonctionnelles) ou ventriculaires (extrasystolie ventriculaire, tachycardiesventriculaires).
4.2. Posologie et mode d'administration
Posologie· Adulte : injection IV très lente de 1 ml (soit 1 mg) par minute souscontrôle de l'ECG et de la tension artérielle. La dose à ne pas dépasser estde 10 mg (2 ampoules) chez l'adulte éveillé et de 5 mg seulement au coursde l'anesthésie générale.
· Enfant : chez l'enfant, l'injection se fera sous réserve des mêmesprécautions et les doses seront réduites proportionnellement à la surfacecorporelle.
Mode d’administrationIl est souhaitable de ne pratiquer l'injection qu'après administration d'unedose suffisante d'atropine (1 à 2 mg IV).
· Les perfusions ne doivent être préparées qu'avec un sérum glucosé oudu sérum physiologique. Les solutions de propranolol doivent toujours êtreprotégées de la lumière.
4.3. Contre-indications
· Broncho-pneumopathie chronique obstructive et asthme : les bêta-bloquantsnon sélectifs sont formellement contre-indiqués chez les asthmatiques (mêmesi l'asthme est ancien et non actuellement symptomatique, quelle que soit laposologie),
· insuffisance cardiaque non contrôlée par le traitement,
· choc cardiogénique,
· blocs auriculo-ventriculaires des second et troisième degrés nonappareillés,
· angor de Prinzmetal,
· maladie du sinus (y compris bloc sino-auriculaire),
· bradycardie (< 45 – 50 battements par minute),
· phénomène de Raynaud et troubles artériels périphériques,
· phéochromocytome non traité,
· hypotension artérielle,
· hypersensibilité au propranolol,
· antécédent de réaction anaphylactique,
· association à la floctafénine, au sultopride (voir rubrique 4.5),
· prédisposition à l'hypoglycémie (comme après un jeûne ou en casd'anomalie de réponse aux hypoglycémies).
4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi
Mises en garde Ne jamais interrompre brutalement le traitement chez les angineux ; L'arrêt brusque peut entraîner des troubles du rythme graves, un infarctusdu myocarde ou une mort subite. |
Interactions médicamenteuses
L'association du propranolol avec les antagonistes du calcium (diltiazem,vérapamil, bépridil) est déconseillée (voir rubrique 4.5).
Précautions d'emploiInsuffisance cardiaque
Chez l'insuffisant cardiaque contrôlé par le traitement et en cas denécessité, le propranolol sera administré à très faible doses,progressivement croissantes, et sous surveillance médicale stricte.
Bradycardie
Si la fréquence s'abaisse au-dessous de 50 – 55 pulsations par minute aurepos et que le patient présente des symptômes liés à la bradycardie, laposologie doit être diminuée.
Bloc auriculo-ventriculaire du premier degré
Etant donné leur effet dromotrope négatif, les bêta-bloquants doiventêtre administrés avec prudence aux patients présentant un blocauriculo-ventriculaire du premier degré.
Phéochromocytome
L'utilisation des bêta-bloquants dans le traitement de l'hypertension due auphéochromocytome traité nécessite une surveillance étroite de la pressionartérielle.
Sujet âgé
Chez le sujet âgé, le respect absolu des contre-indications est impératif.On veillera à initier le traitement par une posologie faible et à assurer unesurveillance étroite.
Insuffisance rénale ou hépatique
Ces deux situations nécessitent la prudence dans l'institution de laposologie initiale.
Sujet diabétique
Prévenir le malade et renforcer en début de traitement l'autosurveillanceglycémique.
Les signes annonciateurs d'une hypoglycémie peuvent être masqués, enparticulier tachycardie, palpitations et sueurs.
Hypoglycémie
Le propranolol s'oppose à la réponse des catécholamines endogènespermettant de corriger une hypoglycémie.
De plus, il masque les signes adrénergiques annonciateursd'hypoglycémie.
Il peut donc aggraver les hypoglycémies survenant dans des situations àrisque, telles que: le nouveau-né, l'enfant, le sujet âgé, le patienthémodialysé, le patient traité par antidiabétique hypoglycémiant,l'insuffisant hépatique, le jeûne, ainsi qu'en cas de surdosage.
Ces hypoglycémies associées à la prise de propranolol ont pu se présenterexceptionnellement sous forme de crise convulsive et/ou de coma.
Psoriasis
Des aggravations de la maladie ayant été rapportées sous bêta-bloquants,l'indication mérite d'être pesée.
Réactions allergiques
Chez les patients susceptibles de faire une réaction anaphylactiquesévère, quelle qu'en soit l'origine, en particulier avec des produits decontraste iodés ou la floctafénine (voir rubrique 4.5) ou au cours detraitements désensibilisants, le traitement bêta-bloquant peut entraîner uneaggravation de la réaction et une résistance à son traitement parl'adrénaline aux posologies habituelles.
Anesthésie générale
Les bêta-bloquants vont entraîner une atténuation de la tachycardieréflexe et une augmentation du risque d'hypotension. La poursuite du traitementpar bêta-bloquant diminue le risque d'arythmie, d'ischémie myocardique et depoussées hypertensives. Il convient de prévenir l'anesthésiste que le patientest traité par un bêta-bloquant.
· Si l'arrêt du traitement est jugé nécessaire, une suspension de48 heures peut être considérée comme suffisante pour permettre laréapparition de la sensibilité aux catécholamines.
· Dans certains cas le traitement bêta-bloquant ne peut êtreinterrompu :
o Chez les malades atteints d'insuffisance coronarienne, il est souhaitablede poursuivre le traitement jusqu'à l'intervention, étant donné le risquelié à l'arrêt brutal des bêta-bloquants.
o En cas d'urgence ou d'impossibilité d'arrêt, le patient doit êtreprotégé d'une prédominance vagale par une prémédication suffisanted'atropine renouvelée selon les besoins. L'anesthésie devra faire appel à desproduits aussi peu dépresseurs myocardiques que possible et les pertessanguines devront être compensées.
· Le risque anaphylactique devra être pris en compte.
Thyrotoxicose
Les bêta-bloquants sont susceptibles d'en masquer les signescardio-vasculaires
Sportifs
L'attention des sportifs est attirée sur le fait que cette spécialitécontient un principe actif pouvant induire une réaction positive des testspratiqués lors des contrôles antidopage.
4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions
De nombreux médicaments peuvent entraîner une bradycardie. C'est le cas desanti-arythmiques de la classe Ia, des bêta-bloquants, de certainsanti-arythmiques de classe III, de certains antagonistes du calcium et desanticholinestérasiques, de la pilocarpine.
Associations contre-indiquées(voir rubrique 4.3)
+ Floctafénine
En cas de choc ou d'hypotension dus à la floctafénine, réduction desréactions cardiovasculaires de compensation par les bêta-bloquants.
+ Sultopride
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades depointes.
Associations déconseillées(voir rubrique 4.4 Mises en garde)
+ Bépridil (antagoniste du calcium)
Troubles de l'automatisme (bradycardie excessive, arrêt sinusal), troublesde la conduction sino-auriculaire et auriculoventriculaire et risque majoréde troubles du rythme ventriculaire (torsades de pointes) ainsi que défaillancecardiaque.
Une telle association ne doit se faire que sous surveillance clinique et ECGétroite, en particulier chez le sujet âgé ou en début de traitement.
+ Diltiazem et Vérapamil (antagonistes du calcium)
Troubles de l'automatisme (bradycardie excessive, arrêt sinusal), troublesde la conduction sino-auriculaire et auriculoventriculaire et défaillancecardiaque.
Une telle association ne doit se faire que sous surveillance clinique et ECGétroite, en particulier chez le sujet âgé ou en début de traitement.
Associations faisant l'objet de précautions d’emploi+ Amiodarone
Troubles de la contractilité, de l'automatisme et de la conduction(suppression des mécanismes sympathiques compensateurs). Surveillance cliniqueet ECG.
+ Anesthésiques volatils halogénés
Réduction des réactions cardiovasculaires de compensation par lesbêta-bloquants. L'inhibition bêta-adrénergique peut être levée durantl'intervention par les bêta-mimétiques. En règle générale, ne pas arrêterle traitement bêta-bloquant et, de toute façon, éviter l'arrêt brutal.Informer l'anesthésiste de ce traitement.
+ Antihypertenseurs centraux : clonidine, alphaméthyldopa, guanfacine,moxonidine, rilménidine
Augmentation importante de la pression artérielle en cas d'arrêt brutal dutraitement par l'antihypertenseur central.
Eviter l'arrêt brutal du traitement par l'antihypertenseur central.Surveillance clinique.
+ Baclofène
Majoration de l'effet antihypertenseur.
Surveillance de la pression artérielle et adaptation posologique del'antihypertenseur si nécessaire.
+ Ergotamine
Ergotisme : quelques rares cas de spasmes artériels avec ischémie desextrémités ont été observés (addition des effets vasculaires).
Surveillance clinique renforcée, en particulier pendant les premièressemaines de l'association.
+ Fluvoxamine
Augmentation des concentrations plasmatiques de propranolol par inhibition deson métabolisme hépatique, avec majoration de l'activité et des effetsindésirables, par exemple : bradycardie importante.
Surveillance clinique accrue ; si besoin, adaptation de la posologie dupropranolol pendant le traitement par la fluvoxamine et après son arrêt.
+ Insuline, sulfamides hypoglycémiants
Tous les bêta-bloquants peuvent masquer certains symptômes del'hypoglycémie : palpitations et tachycardie.
Prévenir le malade et renforcer, surtout en début de traitement,l'autosurveillance glycémique.
+ Lidocaïne IV
Augmentation des concentrations plasmatiques de lidocaïne avec possibilitéd'effets indésirables neurologiques et cardiaques (diminution de la clairancehépatique de la lidocaïne).
Surveillance clinique ECG et éventuellement contrôle des concentrationsplasmatiques de lidocaïne pendant l'association et après l'arrêt dubêta-bloquant. Adaptation si besoin de la posologie de la lidocaïne.
+ Médicaments donnant des torsades de pointes (sauf sultopride)
· anti-arythmiques de la classe Ia (quinidine, hydroquinidine,disopyramide)
· anti-arythmiques de la classe III (amiodarone, dofétilide, ibutilide,sotalol)
· certains neuroleptiques: phénothiaziniques (chlorpromazine, cyamémazine,lévomépromazine, thioridazine), benzamides (amisulpride, sulpiride, tiapride),butyrophénones (dropéridol, halopéridol), autres neuroleptiques(pimozide)
· autres: cisapride, diphémanil, érythromycine IV, halofantrine,méthadone, mizolastine, moxifloxacine, pentamidine, spiramycine IV, vincamineIV, luméfantrine, véralipride.
Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades depointes.
Surveillance clinique et électrocardiographique.
+ Propafénone
Trouble de la contractilité, de l'automatisme et de la conduction(suppression des mécanismes sympathiques compensateurs).
Surveillance clinique et ECG.
+ Rizatriptan
Augmentation des concentrations plasmatiques de rizatriptan par diminution deson métabolisme hépatique par le propranolol.
Diminuer la posologie de rizatriptan de moitié en cas de traitement par lepropranolol.
+ Topiques gastro-intestinaux, antiacides et charbon
Diminution de l'absorption digestive du bêtabloquant.
Prendre les topiques gastro-intestinaux et antiacides à distance dubêta-bloquant (plus de 2 heures, si possible).
Associations à prendre en compte+ AINS
Réduction de l'effet antihypertenseur (inhibition des prostaglandinesvasodilatatrices par les AINS et rétention hydrosodée avec les AINSpyrazolés).
+ Alphabloquants à visée urologique : alfuzosine, doxazosine, prazosine,tamsulosine, térazosine
Majoration de l'effet hypotenseur. Risque d'hypotension orthostatiquemajoré.
+ Amifostine
Majoration de l'effet antihypertenseur.
+ Antidépresseurs imipraminiques, neuroleptiques
Effet antihypertenseur et risque d'hypotension orthostatique majorés (effetadditif).
+ Antihypertenseurs alpha-bloquants
Majoration de l'effet hypotenseur. Risque majoré d'hypotensionorthostatique.
+ Dihydropyridines
Hypotension, défaillance cardiaque chez les patients en insuffisancecardiaque latente ou non contrôlée (addition des effets inotropes négatifs).Le bêtabloquant peut par ailleurs minimiser la réaction sympathique réflexemise en jeu en cas de répercussion hémodynamique excessive.
+ Dipyridamole (voie IV)
Majoration de l'effet antihypertenseur.
+ Phénobarbital (par extrapolation primidone), rifampicine (inducteursenzymatiques)
Diminution des concentrations plasmatiques du propranolol avec réduction deses effets cliniques (augmentation de son métabolisme hépatique).
4.6. Fertilité, grossesse et allaitement
GrossesseSans objet.
AllaitementSans objet.
4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines
Sans objet.
4.8. Effets indésirables
Les effets indésirables suivants, présentés par fréquence et classeorgane ont été rapportés :
Fréquents (1 – 9,9 %) :Général : asthénie.
Affections cardiovasculaires : bradycardie, refroidissement des extrémités,syndrome de Raynaud.
Troubles du système nerveux central : insomnie, cauchemars.
Peu fréquents (0,1 – 0,9 %)Troubles digestifs : gastralgies, nausées, vomissements, diarrhées.
Rares (0,01 – 0,09 %)Général : sensations vertigineuses.
Système hématopoïétique : thrombocytopénie.
Affections cardiovasculaires : insuffisance cardiaque, ralentissement de laconduction auriculo-ventriculaire ou intensification d'un blocauriculo-ventriculaire existant, hypotension orthostatique pouvant êtreassociée à une syncope, aggravation d'une claudication intermittenteexistante.
Troubles du système nerveux central : hallucinations, psychoses,modifications de l'humeur, confusion, impuissance.
Système cutané : purpura, alopécie, éruptions psoriasiformes,exacerbation d'un psoriasis, rash cutané.
Troubles neurologiques : paresthésies.
Vision : sécheresse oculaire, perturbation de la vision
Système respiratoire : un bronchospasme peut survenir chez les patientsprésentant un asthme ou des antécédents d'asthme, avec parfois une issuefatale.
Très rares (<0,01 %)Système endocrinien : hypoglycémie chez les sujets à risque (voirrubrique 4.4).
Au niveau biologique : on a pu observer dans de rares cas, l'apparitiond'anticorps antinucléaires ne s'accompagnant qu'exceptionnellement demanifestations cliniques à type de syndrome lupique et cédant à l'arrêt dutraitement.
Système nerveux : des cas isolés de myasthénie ou d'exacerbation ont étérapportés.
Déclaration des effets indésirables suspectésLa déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://www.signalement-sante.gouv.fr“>www.signalement-sante.gouv.fr
4.9. Surdosage
En cas de bradycardie ou de baisse tensionnelle excessive, on aura recours àl'administration par voie veineuse :
· d'atropine, 1 à 2 mg en bolus,
· de glucagon à la dose de 10 mg en bolus lent suivi si nécessaire d'uneperfusion de 1 à 10 mg par heure,
· puis, si nécessaire,
o soit d'isoprénaline en injection lente à la dose de 15 à85 microgrammes, l'injection sera éventuellement renouvelée, la quantitétotale à administrer ne devant pas dépasser 300 microgrammes,
o soit de dobutamine 2,5 à 10 microgrammes/kg/min.
En cas de décompensation cardiaque chez le nouveau-né de mère traitée parbêta-bloquant :
· glucagon sur la base de 0,3 mg/kg,
· hospitalisation en soins intensifs,
· isoprénaline et dobutamine: les posologies en général élevées et letraitement prolongé nécessitent une surveillance spécialisée.
5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
5.1. Propriétés pharmacodynamiques
Classe pharmacothérapeutique : BETA-BLOQUANT (C: systèmecardio-vasculaire), code ATC : C07AA05.
Le propranolol se caractérise par trois propriétés pharmacologiques :
· l'absence d'activité bêta-bloquante bêta-1 cardiosélective;
· un effet anti-arythmique;
· l'absence de pouvoir agoniste partiel (ou d'activité sympathomimétiqueintrinsèque).
5.2. Propriétés pharmacocinétiques
Relation concentration-activitéLe blocage de l'effet du sympathique à l'effort (inhibition de latachycardie) est obtenu avec des concentrations plasmatiques comprises entre8 et 100 microgrammes/l (concentrations inhibitrices : CI 50 = 8 microgrammes/l; CI 100 = 100 microgrammes/l).
En tenant compte de la variabilité inter-individuelle élevée desconcentrations, un pic plasmatique de 100 microgrammes/l est obtenu avec 1 à4 mg/kg/jour chez l'adulte (ou mieux 40 à 160 mg/m2 de surfacecorporelle).
PharmacocinétiqueEn tenant compte d'un volume de distribution de 300 litres/1,73 m2, la dosede 5 mg par voie IV conduit, à l'issue de la phase de distribution (environ1 heure), à des concentrations plasmatiques d'environ 15 microgrammes/l, et10 mg, environ 30 microgrammes/l.
L'effet d'une injection IV est quasi immédiat (temps de circulation veinemyocarde) et explique la nécessité d'une injection IV lente. En tenant compted'une clairance totale de 900 ml/min/1,73 m2, le maintien d'une concentrationplasmatique de 1 5 µg/l, par exemple, sera obtenu, chez l'adulte normal, parune perfusion de 12 µg/min, soit 1,2 ml/min d'une solution faite avec uneampoule à 5 mg dans un flacon de 500 ml.
5.3. Données de sécurité préclinique
Sans objet.
6. DONNEES PHARMACEUTIQUES
6.1. Liste des excipients
acide citrique monohydraté, eau pour préparations injectables.
6.2. Incompatibilités
Ce médicament ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments àl'exception de ceux mentionnés dans la rubrique 4.2.
6.3. Durée de conservation
5 ans.
Après ouverture / reconstitution / dilution : le produit doit être utiliséimmédiatement.
6.4. Précautions particulières de conservation
A conserver dans l’emballage d’origine à l’abri de la lumière.
6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur
Ampoule en verre (type I) de 5 mL.
Boîte de 5 ampoules.
6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation
Pas d’exigences particulières.
7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
ticume
22 avenue de la liberte
luxembourg
8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
· 34009 301 302 9 2 : 5 ampoules (verre type I) de 5 mL.
9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
11. DOSIMETRIE
Sans objet.
12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES
Sans objet.
CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE
Liste I.
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