Résumé des caractéristiques - REVIA 50 mg, comprimé pelliculé sécable
1. DENOMINATION DU MEDICAMENT
REVIA 50 mg, comprimé pelliculé sécable
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Chlorhydrate denaltrexone...................................................................................................50,0 mg
pour un comprimé sécable.
Excipient à effet notoire : lactose.
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
3. FORME PHARMACEUTIQUE
Comprimé pelliculé sécable.
4. DONNEES CLINIQUES
4.1. Indications thérapeutiques
Traitement adjuvant utilisé comme aide au maintien de l’abstinence chezles patients alcoolo-dépendants, dans le cadre d'une prise en charge globalecomprenant un suivi psychologique.
4.2. Posologie et mode d'administration
PosologieLa posologie de naltrexone recommandée chez l'adulte est d'un comprime de50 mg par jour par voie orale.
La naltrexone n'est pas un traitement de la période de sevrage.
Le traitement par la naltrexone ne peut être institué qu'après la phase desevrage alcoolique, et doit être associé à la prise en charge psychologique.Ce traitement est adapté aux patients souffrant d'une alcoolo-dépendancepsychique.
Les patients susceptibles de consommer des opiacés, qu'ils soient ou nondépendants aux opiacés, doivent subir un test à la naloxone (voir rubrique4.4), à moins que l'absence de prise d'opiacés au cours des 7 à 10 joursprécédant l'instauration du traitement par naltrexone ait pu êtreétablie.
La durée du traitement est de 3 mois en l'absence de donnée clinique pourdes durées supérieures.
Lors des essais cliniques, son efficacité a été montrée chez des patientsprésentant une alcoolo‑dépendance psychique, sans autre dépendanceassociée (sauf nicotinique) ni comorbidité psychiatrique telle que psychose,démence, dépression sévère.
Population pédiatrique
REVIA n'est pas recommandé chez les enfants et adolescents de moins de18 ans, en l'absence de données cliniques. La sécurité d'emploi n'est pasétablie dans cette population.
Sujets âgés
Les données cliniques sur l'efficacité et la sécurité d'emploi de lanaltrexone chez le sujet âgé dans cette indication sont insuffisantes. Parconséquent, l'utilisation de la naltrexone dans cette population n'est pasrecommandée.
Mode d’administrationSans objet.
4.3. Contre-indications
Ce médicament NE DOIT JAMAIS être utilisé dans les cas suivants :
· Hypersensibilité à la naltrexone ou à l’un des excipients,
· Insuffisance hépatocellulaire sévère ou hépatite aiguë,
· Insuffisance rénale sévère,
· Sujets en état de dépendance aux opiacés en raison du risqued'apparition d'un syndrome de sevrage aigu (voir rubrique 4.4),
· Patients présentant des symptômes de sevrage aux opiacés, ou pourlesquels la recherche d'opiacées s'est avérée positive ou ceux ayant refuséun test à la naloxone,
· En association avec les analgésiques morphiniques de palier III, lesmorphiniques agonistes‑antagonistes et les morphiniques en traitement desubstitution dont la méthadone (voir rubrique 4.5).
4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi
Chez les sujets en état de dépendance aux opiacés, l'administration denaltrexone peut provoquer un syndrome de sevrage grave, d'installation rapide(5 min) et durable (48 h).
Aussi, la mise en route d'un traitement par la naltrexone ne doit êtreeffectuée :
· qu'après une période suffisante d'arrêt de prise d'opiacés (de l'ordrede 7 à 10 jours pour les opioïdes et d'au moins 10 jours pour laméthadone),
· et après vérification de l'absence d'élimination d'opiacés dans lesurines du malade.
Dans ces conditions, un test à la naloxone, antagoniste morphinique decourte durée d'action, est recommandé pour confirmer la non-dépendance auxopiacés (voir rubrique 5.1) ; un syndrome de sevrage induit par la naloxonesera de plus courte durée qu'un syndrome de sevrage induit par la naltrexone.Le test à la naloxone ne doit pas être réalisé chez les patients présentantdes signes visibles de syndrome de sevrage ou en cas de test urinaire auxopiacées positif.
La procédure du test à la naloxone est la suivante :
· injection intraveineuse de 0,2 mg de naloxone,
· en l'absence de réaction après 2 à 3 minutes, une nouvelle injectionde 0,6 mg de naloxone peut être faite,
· le patient doit être observé sans interruption pendant 30 minutes pours'assurer de l'absence de tout signe décelable de syndrome de sevrage.
Si des signes de syndrome de sevrage sont observés, la thérapie parnaltrexone ne doit pas être entreprise.
Si le résultat du test à la naloxone est négatif et s’il n’y a pasd’autres contre-indications, le traitement peut être initié. Si des doutespersistent concernant la consommation d'opiacés par le patient, le test peutêtre répété avec une dose de 1,6 mg de naloxone. Si aucune réactionn'apparait après cette injection, une dose de 25 mg de naltrexone peut êtreadministrée au patient.
Si malgré la contre-indication, l'état du patient nécessiterait untraitement par opiacés, par exemple analgésie ou anesthésie en situationd'urgence, la dose d'opiacés nécessaire à l'obtention de l’effetthérapeutique recherché peut dépasser les doses usuelles. Dans ce cas, ladépression respiratoire d'intensité accrue et de durée prolongée ainsi quedes effets circulatoires peuvent apparaître.
Des symptômes liés à la libération d'histamine sont également favoriséstels que gonflement du visage, prurit, érythème généralisé, diaphorèse etautres manifestation cutanéo‑muqueuses. Dans ce cas, le patient doit êtregardé sous surveillance étroite en milieu hospitalier.
L'administration simultanée de naltrexone avec un produit contenant unopiacé devra être évitée.
Les patients doivent être avertis que la levée du blocage induit par lanaltrexone, au moyen de doses d'opiacés accrues, entrainera un risqued'intoxication aigüe aux opiacés à l'arrêt de la naltrexone, potentiellementfatale.
Des états dépressifs et des tentatives de suicide ont été rapportés chezquelques sujets recevant la naltrexone ou le placebo dans les étudescontrôlées menées dans le cadre du traitement de l'alcoolo‑dépendance.Bien qu'aucune relation de cause à effet avec la naltrexone n'ait étéétablie, il apparaît que l'administration de naltrexone ne réduit pas lerisque de suicide chez ces patients.
Ce médicament contient du lactose. Son utilisation est déconseillée chezles patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactasede Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose (maladieshéréditaires rares).
En raison de la fréquence de l'altération de la fonction hépatique chezles sujets alcoolo-dépendants, du métabolisme hépatique de la naltrexone etde cas d'anomalies des tests hépatiques sous naltrexone rapportés chez despatients obèses et âgés recevant des posologies supérieures à cellerecommandée (jusqu'à 300 mg/j), une surveillance des fonctions hépatiques(notamment transaminases et yGT) doit être exercée avant l'initiation dutraitement et périodiquement durant le traitement, particulièrement en casd'insuffisance hépatique. La naltrexone ne doit pas être administrée en casd'insuffisance hépatocellulaire sévère (voir rubrique 4.3).
De même, en raison de l'élimination de la naltrexone sous forme conjuguéeet de son principal métabolite principalement dans les urines, une surveillanceparticulière doit être exercée chez l'insuffisant rénal.
4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions
Actuellement, l'expérience clinique et les données expérimentalesrelatives à l'effet de la naltrexone sur la pharmacocinétique d'autressubstances sont limitées. La prudence est de mise en cas d'associationsmédicamenteuses avec la naltrexone et un suivi particulier doit êtreinstauré. Aucune étude d'interaction n'a été réalisée.
Des études in vitro ont montré que ni la naltrexone, ni son principalmétabolite le 6 β‑naltrexol ne sont métabolisés par les enzymes ducytochrome P450 chez l'homme. Par conséquent, il est peu probable que lapharmacocinétique de la naltrexone soit affectée par des médicaments inhibantles enzymes du cytochrome P450.
A ce jour, aucune interaction entre la naltrexone et la cocaïne n'a étédécrite.
Les données d'une étude de sécurité d'emploi et la tolérance sur laco‑administration de naltrexone et d'acamprosate dans un butnon-thérapeutique chez des sujets alcoolo‑dépendants ont montré que lanaltrexone augmentait de façon significative les concentrations plasmatiquesd'acamprosate.
Médicaments sédatifs
II faut prendre en compte le fait que de nombreux médicaments ou substancespeuvent additionner leurs effets dépresseurs du système nerveux central etcontribuer à diminuer la vigilance. II s'agit des dérivés morphiniques(analgésiques, antitussifs et traitements de substitution), des neuroleptiques,des barbituriques, des benzodiazépines, des anxiolytiques autres que lesbenzodiazépines (par exemple, le méprobamate), des hypnotiques, desantidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxepine, miansérine, mirtazapine,trimipramine), des antihistaminiques H1 sédatifs, des antihypertenseurscentraux, du baclofène et de la thalidomide.
Associations contre-indiquées+ Morphiniques en traitement de substitution (méthadone, buprenorphine)
Risque d'apparition d'un syndrome de sevrage.
+ Analgésiques morphiniques de palier III (alfentanil, fentanyl,hydromorphone, morphine, oxycodone, péthidine, remifentanil, sufentanil)
Risque de diminution de l'effet antalgique.
+ Morphiniques agonistes-antagonistes (buprenorphine, nalbuphine)
Risque de diminution de l'effet antalgique et/ ou d'apparition d'un syndromede sevrage.
Associations déconseillées+ Analgésiques morphiniques de palier II (codéine, dihydrocodéine,tramadol)
Risque de diminution de l'effet antalgique.
+ Alcool (boisson ou excipient)
Majoration par l'alcool de l'effet sédatif de ces substances. L'altérationde la vigilance peut rendre dangereuse la conduite de véhicules etl'utilisation de machines.
Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant del'alcool.
Associations à prendre en compte+ Autres médicaments sédatifs
Majoration de la dépression centrale.
L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite devéhicule et l'utilisation de machines.
+ Barbituriques (phénobarbital, primidone, thiopental)
Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en cas desurdosage.
+ Benzodiazépines et apparentés
Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en cas desurdosage.
4.6. Fertilité, grossesse et allaitement
GrossesseII n'existe pas de données cliniques sur l'utilisation de la naltrexonependant la grossesse. Les données provenant d'études animales ont montré unetoxicité sur la reproduction (voir rubrique 5.3). Les données sontinsuffisantes pour établir la pertinence clinique. Le risque potentiel chezl'homme est inconnu.
La naltrexone ne sera administrée chez la femme enceinte que si, de l'avisdu prescripteur, les effets bénéfiques potentiels surpassent les risqueséventuels.
L'utilisation de la naltrexone chez les patientes alcooliques et traitéespar ailleurs au long cours par des opiacés ou en traitement de substitution auxopiacés ou dépendantes aux opiacés, expose à un risque de syndrome desevrage aigu qui peut avoir des conséquences graves pour la mère et le fœtus(voir rubrique 4.4).
En cas de prescription d'antalgiques opiacés, le traitement par naltrexonedevra être interrompu (voir rubrique 4.5).
AllaitementII n'existe pas de données cliniques sur l'utilisation de la naltrexonedurant l‘allaitement.
La naltrexone et son métabolite actif le 6 β‑naltrexol ont étédétectés dans le lait maternel.
La naltrexone ne sera administrée pendant l'allaitement que si, de l'avis duprescripteur, les effets bénéfiques potentiels surpassent les risqueséventuels.
4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines
En raison de la baisse de vigilance induite par ce médicament, l’attentiondes patients doit être attirée sur les risques liés à la conduite d’unvéhicule et/ou à l’utilisation d’une machine.
4.8. Effets indésirables
Les effets indésirables suivants ont été rapportés avant et pendant letraitement par naltrexone: La fréquence est définie en utilisant la conventionsuivante: très fréquent (> 1/10), fréquent (> 1/100, <1/10), peufréquent (> 1/1 000, <1/100), rare (> 1/10 000, < 1 000), trèsrare < 1/10 000) et fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur labase des données disponibles).
Système Organe Classe | Fréquence | Effet indésirable |
Affections hématologiques et du système lymphatique | Peu fréquent | Lymphadénopathie |
Rare | Purpura thrombopénique idiopathique | |
Affections psychiatriques | Très fréquent | Nervosité, anxiété, insomnie |
Fréquent | Irritabilité, troubles affectifs | |
Peu fréquent | Hallucination, état confusionnel, dépression, paranoïa, désorientation,cauchemar, agitation, trouble de la libido, rêves anormaux | |
Rare | Idée suicidaire, tentative de suicide | |
Affections du système nerveux | Très fréquent | Céphalée, impatience |
Fréquent | Sensation vertigineuse | |
Peu fréquent | Tremblement, somnolence | |
Affections oculaires | Fréquent | Augmentation de la sécrétion lacrymale |
Peu fréquent | Vision trouble, irritation oculaire, photophobie, gonflement oculaire,douleur oculaire ou asthénopie | |
Affections cardiaques | Fréquent | Tachycardie, palpitations, modification de l'électrocardiogramme |
Affections vasculaires | Peu fréquent | Variations de la pression artérielle, bouffée congestive |
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales | Fréquent | Douleur thoracique |
Peu fréquent | Congestion nasale, gène nasale, rhinorrhée, éternuement, douleuroro-pharyngée, expectoration augmentée, trouble des sinus, dyspnée,dysphonie, toux, bâillement | |
Affections gastro-intestinales | Très fréquent | Douleur abdominale, nausée et/ou vomissement |
Fréquent | Diarrhée, constipation | |
Peu fréquent | Flatulence, hémorroïdes, ulcères, sécheresse buccale | |
Affections hépatobiliaires | Peu fréquent | Trouble du foie, bilirubinémie augmentée, hépatite (au cours dutraitement, une augmentation des transaminases hépatiques peut survenir. Apresl'arrêt de REVIA, les transaminases sériques reviennent généralement à desvaleurs normales en quelques semaines). |
Affections de la peau et du tissu sous cutanés | Fréquent | Rash |
Peu fréquent | Séborrhée, prurit, acné, alopécie | |
Affections musculo-squelettiques et systémiques | Très fréquent | Arthralgie et myalgie |
Peu fréquent | Douleur inguinale | |
Très rare | Rhabdomyolyse | |
Affections des organes de reproduction et du sein | Fréquent | Ejaculation retardée, dysérection |
Affections du rein et des voies urinaires | Peu fréquent | Pollakiurie, dysurie |
Indéterminée | Insuffisance rénale | |
Affection de l'oreille et du labyrinthe | Peu fréquent | Malaise de l'oreille, douleur auriculaire, acouphènes, vertige |
Infections et infestations | Peu fréquent | Herpes buccal, pied d'athlète |
Trouble du métabolisme et de la nutrition | Fréquent | Appétit diminué |
Troubles généraux | Très fréquent | Asthénie |
Fréquent | Soif, énergie accrue, frissons, hyperhidrose | |
Peu fréquent | Appétit augmenté, perte de poids, gain de poids, fièvre, douleur, froideurdes extrémités, sensation de chaleur. |
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://www.ansm.sante.fr“>www.ansm.sante.fr.
4.9. Surdosage
L'expérience de surdosage avec REVIA 50 mg comprimé pelliculé sécablechez des patients est limitée.
L'administration massive de 800 mg de naltrexone par jour pendant sept jourschez des volontaires n'a pas entrainé de manifestation de toxicité.
Cependant, en cas de surdosage, les patients doivent être surveillés ettraités de façon symptomatique sous étroit contrôle médical.
5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
5.1. Propriétés pharmacodynamiques
Classe pharmacothérapeutique : Médicaments utilisés dans lesphénomènes de dépendance, code ATC : N07BB04.
La naltrexone est un antagoniste des opiacés. Elle agit par compétitionstéréospécifique avec la morphine et les opiacés sur les récepteurslocalisés principalement dans le système nerveux central etpériphérique.
Administré seul, le produit a des actions pharmacologiques minimes :élévation modérée transitoire de la pression diastolique, baisse de latempérature, diminution de la fréquence respiratoire.
Le mécanisme d’action de la naltrexone chez le sujet alcoolo-dépendantn’est pas complètement élucidé.
Il a été montré, chez des rats, que l’alcool entraîne une secrétionsd’opiacés endogènes qui met en jeu le système limbique. La naltrexonebloquerait ce phénomène de renforcement.
La naltrexone n’est pas un antidote et ne provoque pas de réaction de typeantabuse en cas de consommation d’alcool.
5.2. Propriétés pharmacocinétiques
Lorsqu'il est administré par voie orale, le produit est rapidement etpresque complètement absorbé.
Il subit un effet de premier passage hépatique et la concentrationplasmatique maximum est atteinte en une heure environ.
Il présente un large volume de distribution apparent, et 21 % environ de ladose absorbée est liée aux protéines plasmatiques.
Le produit est hydroxylé dans le foie essentiellement en 6 β‑naltrexol,et de façon minoritaire en 2‑hydroxy‑3‑méthoxy‑6 β‑naltrexol. Le6 β‑naltrexol présente une activité pharmacologique proche de celle de lanaltrexone.
La naltrexone sous forme conjuguée et son principal métabolite sontéliminés principalement dans les urines
La demi-vie plasmatique est de 4 heures environ pour la naltrexone, et de12 heures pour le 6 β‑naltrexol.
5.3. Données de sécurité préclinique
L'administration de fortes doses de naltrexone chez le rat (100 mg/kg, soitapproximativement 140 fois la dose thérapeutique chez l'homme) a accrul'incidence des pseudo-gestations et entraîné une diminution du taux defertilité.
La relation entre ces observations et la fertilité chez l'homme n'a pasété établie.
6. DONNEES PHARMACEUTIQUES
6.1. Liste des excipients
Lactose monohydraté (FAST FLO), cellulose microcristalline (AVICEL PH 102),crospovidone (POLY PLASDONE XL), silice colloïdale anhydre (CAB‑O‑SIL),stéarate de magnésium.
Pelliculage : Opadry jaune pâle (YS‑1‑6378‑G).
Composition de l’Opadry jaune pâle YS‑1‑6378‑G : hypromellose,dioxyde de titane, macrogol 400, polysorbate 80, oxyde de fer jaune, oxyde defer rouge.
6.2. Incompatibilités
Sans objet.
6.3. Durée de conservation
3 ans.
6.4. Précautions particulières de conservation
A conserver à une température ne dépassant pas 25 °C.
6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur
28 comprimés sous plaquette thermoformée (PVC/PE/Aclar)
28 comprimés sous plaquette thermoformée (PVC/Aclar/PVC/Aluminium).
6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation
Pas d’exigences particulières.
7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
BRISTOL-MYERS SQUIBB
3 RUE JOSEPH MONIER
92500 RUEIL-MALMAISON
FRANCE
8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
· 341 751–6 ou 34009 341 751–6 9 : 28 comprimés sous plaquettethermoformée (PVC/PE/Aclar) ; boîte de 1.
· 398 972–1 ou 34009 398 972 1 9 : 28 comprimés sous plaquettethermoformée (PVC/Aclar/PVC/Aluminium) ; boîte de 1.
9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION
A compléter ultérieurement par le titulaire
10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE
{JJ mois AAAA}
11. DOSIMETRIE
Sans objet.
12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES
Sans objet.
CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE
Liste I
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