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SOLUDACTONE 200 mg, lyophilisat et solution pour usage parentéral - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - SOLUDACTONE 200 mg, lyophilisat et solution pour usage parentéral

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

SOLUDACTONE 200 mg, lyophilisat et solution pour usage parentéral

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Canrénoate depotassium..­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­........0,200 g

Trométamol...­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­..0,010 g

Pour un flacon de lyophilisat.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Lyophilisat et solution pour usage parentéral.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Affections médicales et chirurgicales comportant un hyperaldostéronisme etun risque de déplétion potassique.

Chirurgie :

· prophylaxie des troubles électrolytiques post-opératoires et de leursconséquences.

· chirurgie cardiovasculaire : prophylaxie des troubles du rythmesecondaires per et post-opératoires (extrasystole auriculaire ou ventriculaire,fi­brillation auriculaire).

Médecine :

· œdèmes de l'insuffisance cardiaque.

· ascites cirrhotiques.

En thérapeutique adjuvante des états hypokaliémiques en particulierlorsque l'hypokaliémie constitue un facteur aggravant :

· troubles du rythme avec hyperexcitabilité myocardique.

· intoxication digitalique.

4.2. Posologie et mode d'administration

Voie intraveineuse

Posologie

La dose quotidienne moyenne se situe entre 400 mg et 600 mg, en IV ou enperfusion. La dose maximale recommandée est de 800 mg par 24 heures, et400 mg en une seule injection.

L'injection IV lente d'une ampoule ne doit pas se faire en un tempsinférieur à 3 minutes.

En raison du pH variable des solutés glucosés à 5 p. cent et isotoniquesde chlorure de sodium et afin d'éviter les risques de précipitation deSoludactone, il est recommandé de ne pas diluer une ampoule de Soludactone dansun volume supérieur à 100 ml de soluté glucosé ou à 500 ml de solutéisotonique de chlorure de sodium.

On peut également diluer Soludactone dans un sérum glucosé à 5 % desérum physiologique.

La durée de traitement n'excédera pas trois mois.

4.3. Contre-indications

Hypersensibilité aux substances actives ou à l’un des excipientsmen­tionnés à la rubrique 6.1.

Contre-indications :

· insuffisance rénale sévère,

· hyperkaliémie,

· troubles graves de la conduction auriculo-ventriculaire,

· stade terminal de l'insuffisance hépatique,

· Associations contre-indiquées : diurétiques hyperkaliémiants (exceptéen cas d'hypokaliémie),

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

· La surveillance de l'ionogramme sanguin (en particulier la kaliémie) eturinaire, un bilan rénal et hépatique, sont indispensables chez les maladesgraves. Cette surveillance est justifiée chez tous les patients en cas detraitement simultané par un diurétique puissant.

· En cas de diabète, l'hyperglycémie favorise le risqued'hyper­kaliémie.

· Déconseillé chez le cirrhotique quand la natrémie est inférieure à125 mmol/l et chez les sujets susceptibles de présenter une acidose.

· L'attention des sportifs est attirée sur le fait que cette spécialitécontient un principe actif pouvant induire une réaction positive des testspratiqués lors des contrôles anti-dopage.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Associations contre-indiquées

+ Autres diurétiques épargneurs de potassium (seuls ou associés)

Hyperkaliémie potentiellement létale, notamment chez l’insuffisant rénal(addition des effets hyperkaliémants).

Contre-indiqué sauf s’il existe une hypokaliémie.

Associations déconseillées

+ Antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II, inhibiteurs del’enzyme de conversion

Risque d’hyperkaliémie (potentiellement létale) surtout en casd’insuffisance rénale (addition des effets hyperkaliémiants).

Si l'association est justifiée, contrôle strict de la kaliémie et de lafonction rénale.

+ Ciclosporine, tacrolimus

Hyperkaliémie potentiellement létale, surtout lors d'une insuffisancerénale (addition des effets hyperkaliémiants).

+ Potassium

Pour une quantité de potassium > à 1 mmol/prise, hyperkaliémie­potentiellement létale, notamment chez l’insuffisant rénale (addition deseffets hyperkaliémiants).

Sauf en cas d’hypokaliémie.

Associations faisant l'objet de précautions d’emploi

+ Anti-inflammatoires non stéroïdiens

Insuffisance rénale aiguë chez le patient à risque (âgé, déshydraté,sous diurétiques, avec une fonction rénale altérée) par diminution de lafiltration glomérulaire secondaire à une diminution de la synthèse desprostaglandines rénales. Ces effets sont généralement réversibles. Parailleurs, réduction de l'effet antihypertenseur.

Hydrater le malade et surveiller la fonction rénale en début de traitementet régulièrement pendant l’association.

+ Metformine

Acidose lactique due à la metformine déclenchée par une éventuelleinsuf­fisance rénale fonctionnelle liée aux diurétiques et plus spécialementaux diurétiques de l'anse.

Ne pas utiliser la metformine lorsque la créatininémie dépasse135 micromoles/litre chez l'homme et 110 micromoles/li­tres chezla femme.

+ Produits de contraste iodés

En cas de déshydratation provoquée par les diurétiques, risque majoréd'insuf­fisance rénale fonctionnelle aiguë, en particulier lors d'utilisationde doses importantes de produits de contraste iodés.

Réhydratation avant administration du produit iodé.

+ Diurétiques hypokaliémiants

L'association rationnelle, utile pour certains patients, n'exclut pas lasurvenue d'hypokaliémie ou, en particulier chez l'insuffisant rénal et lediabétique, d'hyperkaliémie.

Surveiller la kaliémie, éventuellement l’E.C.G. et s'il y a lieu,reconsidérer le traitement.

+ Acide acétylsalicylique

Pour des doses anti-inflammatoires d'acide acétylsalicylique (≥ 1 g parprise et/ou ≥ 3 g par jour) ou pour des doses antalgiques ou antipyrétiques(≥ 500 mg par prise et/ou < 3 g par jour) : Insuffisance rénale aiguëchez le patient à risque (âgé, déshydraté, avec une fonction rénalealtérée), par diminution de la filtration glomérulaire secondaire à unediminution de la synthèse des prostaglandines rénales. Par ailleurs,réduction de l'effet antihypertenseur.

Hydrater le malade et surveiller la fonction rénale en début de traitementet régulièrement pendant l’association.

+ Hydroquinidine/qu­inidine

Augmentation des concentrations plasmatiques de l'hydroquinidine ou de laquinidine et risque de surdosage (diminution de l'excrétion rénale del'hydroquinidine ou de la quinidine par alcalinisation des urines).

Surveillance clinique, ECG et éventuellement contrôle des concentrations del'hydroquinidine ou de la quinidinémie ; si besoin, adaptation de la posologiependant le traitement alcalinisant et après son arrêt.

+ Lithium

Augmentation de la lithémie avec signes de surdosage en lithium, comme lorsd’un régime désodé (diminution de l’excrétion urinaire du lithium).

Surveillance stricte de la lithémie et adaptation éventuelle de laposologie du lithium.

Associations à prendre en compte

+ Neuroleptiques

Majoration du risque d’hypotension, notamment orthostatique.

+ Antidépresseurs imipraminiques

Majoration du risque d’hypotension, notamment orthostatique.

+ Dérivés nitrés et apparentés

Majoration du risque d’hypotension, notamment orthostatique.

+ Amifostine

Majoration du risque d’hypotension, notamment orthostatique.

+ Corticoïdes (voie générale), tétracosactide

Diminution de l'effet antihypertenseur (rétention hydrosodée descorticoïdes).

+ Alpha-bloquants à visée urologique (sauf doxazosine), antihypertense­ursalpha-bloquants

Majoration de l’effet hypotenseur. Risque d’hypotension orthostatique­majoré.

+ Doxazosine

Majoration de l’effet hypotenseur. Risque d’hypotension orthostatique­sévère.

+ Autres hyperkaliémants

Risque de majoration de l’hyperkaliémie, potentiellement létale.

+ Autres médicaments hyponatrémiants

Majoration du risque d’hyponatrémie.

+ Médicaments à l’origine d’une hypotension orthostatique

Risque de majoration d’une hypotension, notamment orthostatique­.+Phénylbutazo­ne (voie générale)

Diminution de l'effet antihypertenseur (rétention hydrosodée desanti-inflammatoires pyrazolés).

+ Digoxine

Il a été montré que le canrénoate de potassium pouvait augmenter lademi-vie de la digoxine. Cela entraîne une augmentation des concentrations dedigoxine et ensuite une intoxication digitalique. Il peut être nécessaire deréduire les doses d'entretien de digoxine lorsque le canrénoate de potassiumest prescrit, et de contrôler régulièrement le patient afin d'éviter toutsous ou surdosage digitalique.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Fertilité

Le canrénoate de potassium n’a pas eu d’effet indésirable sur lafertilité chez les animaux.

Grossesse

Les études réalisées chez l'animal montrent un risque d’effetdélétère pour le fœtus aux doses toxiques pour la mère.

Les études réalisées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effettératogène, toutefois à fortes doses il a été décrit une féminisation desfœtus mâles lorsque le canrénoate de potassium était administré en fin degestation.

Dans l'espèce humaine le risque n'est pas connu, cependant aucun cas deféminisation n'a été rapporté à ce jour.

En conséquence, le canrénoate de potassium est déconseillé pendant toutela grossesse et ce d'autant plus que son administration ne se justifie, ni dansle traitement des œdèmes et les états de rétention hydrosodée gravidiques,ni dans l'HTA gravidique.

Allaitement

L'allaitement est déconseillé pendant toute la durée du traitement, enraison de l'excrétion du canrénoate de potassium clans le lait maternel.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

Aucune donnée connue.

4.8. Effets indésirables

· Troubles généraux et anomalies au site d'administration : douleur localeau point de l'injection, gêne au point d'injection.

· Affections du métabolisme et de la nutrition : hyperkaliémie en casd'insuffisance rénale.

· Affections du système nerveux : somnolence,

· Affections de la peau et du tissu sous-cutané : éruptions cutanées,urticaire.

· Affections des organes de reproduction et du sein : dysfonction érectile,menstru­ations irrégulières, tension mammaire.

· Comme pour les autres spironolactones, le canrénoate s'il était utiliséen traitement prolongé, serait susceptible d'être à l'origine degynécomasties. Le développement de gynécomasties semble être lié à la doseainsi qu’à la durée du traitement. Elles sont, réversibles en général àl'arrêt du traitement. Dans de rares cas, elles peuvent persister.

· Affections gastro-intestinales : troubles gastro-intestinaux.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

Symptômes :

Somnolence, confusion mentale, hypotension, éruption maculo-papuleuse ouérythémateuse, nausées et vomissements, diarrhée. Hyponatrémie ouhyperkaliémie (éventuelle).

Traitement :

Procéder à un lavage gastrique, corriger les éventuelles variations desélectrolytes.

L’hyperkaliémie peut être traitée par l'administration rapide de glucose(20–50 %) et d'insuline en respectant le ratio 0,25 à 0,5 unité d'insulinepar gramme de glucose. Les diurétiques et les résines échangeuses d'ionspeuvent également être administrés pour augmenter l'excrétion du potassium ;renouveler l’opération si besoin. Tout apport en potassium (y compris lessources alimentaires) et en canrénoate de potassium doit être suspendu.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmaceutique : diurétique distal (épargneur de potassium) (C :système cardiovasculaire), code ATC : C03DA02.

Activité antialdostérone rénale, natriurétique et épargneurpotas­sique.

Action inotrope positive.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Après l'injection IV de 200 mg de canrénoate de potassium on retrouve dansle plasma trois métabolites :

· l'acide canrénoïque,

· l'aldadiène ou canrénone,

· le glycuroconjugué de l'aldadiène.

dont les deux premiers s'éliminent rapidement du plasma : leurs demi-viessont de 0,073 et 0,85 heure respectivement. Le glycuroconjugué s'élimineplus lentement, sa demi-vie est de 43,31 heures. Il constitue 90 % de laradioactivité totale plasmatique au bout de 24 heures.

La voie principale d'élimination est urinaire : 47 % de la radioactivitétotale sont éliminés par les urines en cinq jours, dont 25 à 30 % sontconstitués par l'aldadiène.

Enfin, 14 % s'éliminent par les fèces.

Le canrénoate de potassium ou ses métabolites peuvent passer la barrièreplacen­taire.

La canrénone est excrétée dans le lait maternel.

5.3. Données de sécurité préclinique

L'acide canrénoïque est transformé dans l'organisme en canrénone.

Par ailleurs, il existe une réaction d'équilibre entre l'acidecanrénoïque et la canrénone.

Le canrénoate de potassium n’était mutagène ni pour les bactéries nipour les levures. Le dosage de l’activité del’hypoxanthine-guanine-phosphoribosyl-transférase (HGPRT) dans des cellulesd’ovaire de hamster de Chine a montré un effet mutagène seulement à uneconcentration associée à une cytotoxicité sévère. Le dosage de la thymidinekinase (TK) sur cellules de lymphome de souris a montré que le canrénoate depotassium n’était mutagène que moyennant une activation métabolique. Deslésions chromosomiques et/ou de l’ADN ont été observées avec lecanrénoate de potassium dans des cellules d’ovaire de hamster de Chine avecet sans activation métabolique ainsi que dans des cultures d’hépatocytes derats et d’être humain, mais pas dans des cultures de lymphocytes humains.Contra­irement à ces résultats in vitro, le canrénoate de potassium n’étaitpas génotoxique in vivo.

Le canrénoate de potassium a été associé à une incidence accrue detumeurs chez les rats qui recevaient des doses supérieures ou égales à50 mg/kg/jour dans des études à long terme. Dans une étude d’une durée de6 mois, des tumeurs mammaires ont été observées à des doses supérieures ouégales à 60 mg/kg/jour dès 4 mois, tandis que, dans une étude d’unedurée de 12 mois, une leucémie myéloïde a été observée à des dosessupérieures ou égales à 90 mg/kg/jour, et des tumeurs mammaires ont étéobservées à une dose de 270 mg/kg/jour. Dans une étude de carcinogénici­téd’une durée de 2 ans chez le rat, le canrénoate de potassium a induit descystadénomes folliculaires de la thyroïde et des carcinomes chez les mâles àdes doses supérieures ou égales à 50 mg/kg/jour et chez les femelles à unedose de 270 mg/kg/jour. A des doses supérieures ou égales à125 mg/kg/jour, le canrénoate de potassium a induit une leucémie myéloïdechez les deux sexes, des tumeurs hépatocellulaires chez les mâles et desadénomes testiculaires à cellules de Leydig chez les mâles. Des néoplasmesdont l’apparition serait liée de manière incertaine avec l’administrationde canrénoate de potassium dans une étude d’une durée de 2 ans chez le ratcomprenaient des néoplasmes cutanés et mammaires chez les mâles à des dosessupérieures ou égales à 125 mg/kg/jour, des gliomes et des sarcomeshisti­ocytaires chez les mâles à une dose de 270 mg/kg/jour, et desnéoplasmes mammaires malins chez les femelles à une dose de 270 mg/kg/jour.Le développement des adénomes à cellules de Leydig peut être en rapport avecles effets anti‑androgènes du canrénoate de potassium. Les inducteurs desenzymes microsomales hépatiques, telle que la spironolactone (une substancesimilaire au canrénoate sur le plan structurel et pharmacologique) ont étéassociés à un développement de tumeurs du foie et de tumeurs de la thyroïde(par augmentation de la clairance des hormones thyroïdiennes) chez lesrongeurs, et ces tumeurs ne sont généralement pas considérées comme étantindicatives d’un risque pour les êtres humains.

Contrairement aux résultats obtenus chez les rats, aucune tumeur n’a étéobservée chez les macaques auxquels étaient administrés jusqu’à60 mg/kg/jour pendant au moins 4 ans.

Les effets potentiels du canrénoate de potassium sur la fertilité et sur ledéveloppement embryonnaire précoce ont été évalués dans 2 études chezles rats. Dans la première étude, la seule modification liée au médicamentdans les paramètres de reproduction était une légère diminution del’indice de fertilité à une dose de 70 mg/kg/jour. Dans la deuxièmeétude, la toxicité parentale (gain de poids moins important) a été observéepour les deux sexes à une dose de 650 mg/kg/jour tout au long de la périodede traitement. La fertilité n’était pas affectée.

Les effets potentiels du canrénoate de potassium sur le développementembryo-fœtal ont été évalués chez les souris, les rats et les lapins. Lecanrénoate de potassium n’était tératogène dans aucune de ces troisespèces. Chez les animaux gravides, une toxicité sur le développement a étéobservée chez les souris à une dose de 60 mg/kg/jour, chez les rats à unedose de 650 mg/kg/jour, et chez les lapins à une dose de 125 mg/kg/jour.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Solvant :

Eau pour préparations injectables.

6.2. Incompati­bilités

En l'absence d'études de compatibilité, ce médicament ne doit pas êtremélangé avec d'autres médicaments à l'exception de ceux mentionnés dans larubrique 4.2.

6.3. Durée de conservation

2 ans.

Après ouverture/recon­stitution/dilu­tion : le produit doit être utiliséimmédi­atement.

6.4. Précautions particulières de conservation

A conserver à une température ne dépassant pas 25°C et à l'abri de lachaleur et de l'humidité.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

Lyophilisat en flacon (verre) + 2 ml de solvant en ampoule (verre) ; boîtede 5.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d'exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

PFIZER HOLDING FRANCE

23–25, AVENUE DU DOCTEUR LANNELONGUE

75014 PARIS

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 325 225 1 4 : lyophilisat en flacon (verre) + 2 ml de solvant enampoule (verre) boîte de 5.

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

Date de première autorisation : 12 octobre 1988

Date de dernier renouvellement : 09 juillet 2014 (illimité).

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I.

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