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STAGID 700 mg, comprimé sécable - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - STAGID 700 mg, comprimé sécable

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

STAGID 700 mg, comprimé sécable

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Embonate demetformine.­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.......700,0 mg

Quantité correspondant en metformine baseà........­.............­.............­.............­.............­.........280,0 mg

Pour un comprimé sécable.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Comprimé sécable.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

1) Diabète non acidocétosique, non insulinodépendant de l'adulte (diabètede type 2), en particulier avec surcharge pondérale, lorsque le régimeprescrit n'est pas suffisant pour rétablir à lui seul l'équilibregly­cémique.

2) Diabète insulinotraité en complément de l'insulinothé­rapie :

· dans le diabète de type 1 (DID),

· dans le diabète de type 2, en particulier en cas de surcharge pondéraleimportante associée à une résistance secondaire à l'action del'insuline.

4.2. Posologie et mode d'administration

Adultes dont la fonction rénale est normale (DFG ≥ 90 mL/min)
Diabète non insulinodépendant de type 2

· La posologie moyenne est de 3 comprimés par jour en 3 prises, matin,midi et soir (administrés au cours ou à la fin des repas).

Au bout de 10 à 15 jours, la posologie sera adaptée en fonction desrésultats biologiques.

Adapter ensuite en fonction des résultats.

· Association aux sulfamides hypoglycémiants : associer STAGID à laposologie de 3 comprimés/jour, 1 le matin, 1 le midi et 1 le soir.

Diabète insulinotraité

Dans le diabète insulinodépendant, la metformine ne remplace jamaisl'insuline mais son association avec elle permet d'en réduire les doses etd'obtenir une meilleure stabilisation de la glycémie. La mesure de la glycémiecapillaire permet une adaptation quotidienne de la posologie d'insuline.

· Si la dose d'insuline est inférieure à 40 unités, STAGID estadministré à la posologie habituelle de 3 comprimés/jour : 1 le matin,1 le midi et 1 le soir. Simultanément, l'insuline est réduite de 2 à4 unités tous les deux jours.

· Si la dose d'insuline dépasse 40 unités/jour, il est préférabled'hos­pitaliser le malade pour réaliser l'association ; la dose quotidienned'in­suline sera réduite le premier jour de 30 à 50 %. Les glycémiescapi­llaires obtenues guideront ensuite la diminution progressive des dosesd'insuline.

La dose maximale recommandée de STAGID est de 8 comprimés par jour, en3 prises distinctes.

Insuffisance rénale

Le DFG doit être évalué avant toute initiation de traitement par unmédicament contenant de la metformine et au moins une fois par an parla suite.

Chez les patients dont l’insuffisance rénale risque de progresser et chezles patients âgés, la fonction rénale doit être évaluée plus fréquemment,par exemple tous les 3 à 6 mois.

DFG mL/min

Dose journalière totale maximale de STAGID (à répartir en 2 à 3 prisesquoti­diennes)

Autres éléments à prendre en compte

60–89

8 comprimés

Une diminution de la dose peut être envisagée selon la détérioration dela fonction rénale.

45–59

5 comprimés

Les facteurs susceptibles d'augmenter le risque d'une acidose lactique (voirrubrique 4.4) doivent être passés en revue avant d'envisager l'instauration dela metformine.

La dose d’initiation ne peut dépasser la moitié de la dose maximale.

30–44

2 comprimés

< 30

La metformine est contre-indiquée.

4.3. Contre-indications

Ce médicament est contre-indiqué en cas de :

· Hypersensibilité à la metformine ou à l’un des excipients mentionnésà la rubrique 6.1.

· Insuffisance rénale sévère (DFG < 30 mL/min).

· Affections aiguës susceptibles d’altérer la fonction rénale tellesque : déshydratation, infection grave, choc.

· Insuffisance hépatocellulaire, intoxication alcoolique aiguë,alcoolisme.

· Tout type d'acidose métabolique aiguë (telle que l’acidose lactique,l’aci­docétose diabétique).

· Précoma diabétique.

· Maladie (en particulier maladie aiguë ou maladie chronique aggravée)pouvant entraîner une hypoxie tissulaire, telle que : insuffisance cardiaque endécompensation, insuffisance respiratoire, infarctus du myocarderécen­t, choc.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Acidose lactique

L'acidose lactique, une complication métabolique très rare mais grave,survient le plus souvent lors d’une dégradation aiguë de la fonctionrénale, d’une maladie cardio-respiratoire ou d’une septicémie. Uneaccumulation de metformine se produit en cas de dégradation aiguë de lafonction rénale et augmente le risque d’acidose lactique.

En cas de déshydratation (diarrhée, vomissements sévères, fièvre oudiminution de l’apport en liquides), la metformine doit être temporairemen­tarrêtée et il est recommandé de contacter un professionnel de la santé.

Les médicaments pouvant fortement altérer la fonction rénale (tels que lesantihyperten­seurs, les diurétiques et les AINS) doivent être instaurés avecprudence chez les patients traités par metformine. D'autres facteurs de risquede survenue d’une acidose lactique sont une consommation excessive d'alcool,une insuffisance hépatique, un diabète mal contrôlé, une cétose, un jeûneprolongé et toutes affections associées à une hypoxie, ainsi quel’utilisation concomitante de médicaments pouvant provoquer une acidoselactique (voir rubriques 4.3 et 4.5).

Les patients et/ou leurs soignants doivent être informés du risqued'acidose lactique. L'acidose lactique est caractérisée par une dyspnéeacidosique, des douleurs abdominales, des crampes musculaires, une asthénie etune hypothermie suivie d'un coma. En cas de symptômes évocateurs, le patientdoit arrêter la prise de metformine et immédiatement consulter un médecin. Lediagnostic biologique repose sur une diminution du pH sanguin (< 7,35), uneaugmentation du taux de lactates plasmatiques (>5 mmol/L) ainsi qu’uneaugmentation du trou anionique et du rapport lactate/pyruvate.

Précautions d'emploi

Tous les patients doivent poursuivre leur régime alimentaire, avec unerépartition régulière de l’apport glucidique au cours de la journée. Lespatients en surcharge pondérale doivent poursuivre le régime alimentairehypo-calorique.

Les contrôles biologiques habituels du diabète doivent êtrerégulièrement pratiqués.

Fonction rénale

Le DFG doit être évalué avant le début du traitement et régulièrementpar la suite (voir rubrique 4.2). La metformine est contre-indiquée chez lespatients avec un DFG < 30 mL/min et doit être temporairement interrompuedans des situations pouvant altérer la fonction rénale (voirrubrique 4.3).

Fonction cardiaque

Les patients souffrant d’insuffisance cardiaque ont un plus grand risqued’hypoxie et d’insuffisance rénale. Chez les patients avec une insuffisancecar­diaque chronique stable, la metformine peut être utilisée si un contrôlerégulier de la fonction cardiaque et rénale est réalisé.

La metformine est contre-indiquée chez les patients souffrantd’in­suffisance cardiaque aiguë et instable (voir rubrique 4.3).

Administration de produits de contraste iodés

L’administration intravasculaire de produits de contraste iodés peutprovoquer une néphropathie induite par le produit de contraste qui entraineraune accumulation de metformine et une augmentation du risque d’acidoselactique. La metformine doit être arrêtée avant ou au moment de l’examend'imagerie et ne doit être reprise qu’après un délai minimum de 48 heures,à condition que la fonction rénale ait été réévaluée et jugée stable,voir rubriques 4.2 et 4.5.

Intervention chirurgicale

La metformine doit être interrompue au moment de l’intervention­chirurgicale sous anesthésie générale, rachidienne ou péridurale. Letraitement ne peut être repris que 48 heures au moins après l’interventionou la reprise de l'alimentation orale, et à condition que la fonction rénaleait été réévaluée et jugée stable.

Autres précautions

La metformine utilisée seule n'entraîne pas d'hypoglycémie ; toutefois ilfaut se méfier des potentialisations d'action en cas d'administration duproduit en association avec l'insuline ou les sulfamides hypoglycémiants ou lesméglitinides.

Ce médicament contient moins de 1mmol (23 mg) de sodium par comprimépelliculé, c’est-à-dire qu’il est essentiellement « sans sodium ».

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Associations déconseillées

+ Alcool

Une intoxication alcoolique aiguë est associée à un risque accrud’acidose lactique, particulièrement en cas de jeûne, de malnutrition oud'insuffisance hépatique.

+ Produits de contraste iodés

La metformine doit être arrêtée avant, ou au moment de l’examend'imagerie et ne doit être reprise qu’après un délai minimum de 48 heures,à condition que la fonction rénale ait été réévaluée et jugée stable,voir rubriques 4.2 et 4.4.

Associations faisant l'objet de précautions d’emploi

Certains médicaments peuvent altérer la fonction rénale, augmentant ainsile risque d'acidose lactique, par exemple les AINS, y compris les inhibiteurs dela cyclo-oxygénase II (COX), les inhibiteurs de l'enzyme de conversion, lesantagonistes du récepteur de l'angiotensine II et les diurétiques, enparticulier les diurétiques de l'anse. Lors de l’introduction ou del'utilisation de tels médicaments en association avec la metformine, unesurveillance étroite de la fonction rénale est nécessaire.

+ Médicaments avec une activité hyperglycémique intrinsèque (ex. lesglucocorticoïdes (en utilisation locale ou par voie systémique) et lessympathomi­métiques)

Il peut être nécessaire de contrôler plus fréquemment la glycémie,spéci­alement au début du traitement.

Ajustez si nécessaire la dose de metformine au cours du traitement enfonction du médicament concerné et lors de l'arrêt de celui-ci.

+ Les transporteurs de cations organiques (TCO)

La metformine est un substrat des deux transporteurs TCO1 et TCO2.

La co-administration de metformine avec :

· Les inhibiteurs de TCO1 (comme le vérapamil) peuvent réduirel'efficacité de la metformine.

· Les inducteurs de TCO1 (comme la rifampicine) peuvent augmenterl'ab­sorption gastro-intestinale et l'efficacité de la metformine.

· Les inhibiteurs de TCO2 (tels que la cimétidine, le dolutegravir, laranolazine, le triméthoprime, le vandetanib, l'isavuconazole) peuvent diminuerl'éli­mination rénale de la metformine et entraîner ainsi une augmentation dela concentration plasmatique de metformine.

· Les inhibiteurs de TCO1 et de TCO2 (tels que le crizotinib, l'olaparib)peuvent altérer l'efficacité et l'élimination rénale de la metformine.

La prudence est donc recommandée, surtout chez les patients atteintsd'insuf­fisance rénale, lorsque ces médicaments sont co-administrés avec lametformine, car la concentration plasmatique de metformine peut augmenter. Sinécessaire, l'ajustement posologique de la metformine peut être considérécar les inhibiteurs / inducteurs des TCO peuvent altérer l'efficacité de lametformine.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Une hyperglycémie non contrôlée dans la période périconceptionnelle etpendant la grossesse est associée à un risque accru d’anomaliescon­génitales, de fausse-couche, d’hypertension artérielle gravidique, deprééclampsie et de mortalité périnatale. Il est important de maintenir laglycémie à un niveau le plus proche possible de la normale tout au long de lagrossesse afin de réduire le risque d’effets indésirables liés àl’hyperglycémie pour la mère et son enfant.

La metformine traverse le placenta avec des taux pouvant atteindre lesconcentrations maternelles.

Un grand nombre de données chez la femme enceinte (plus de 1000 casexposés) issues d’une étude de cohorte basée sur un registre et de donnéespubliées (méta-analyses, études cliniques et registres) n'indiquent aucuneaugmentation du risque d'anomalies congénitales ni de la toxicitéfœtale/né­onatale après une exposition à la metformine dans la périodepéricon­ceptionnelle et/ou pendant la grossesse.

Les données quant aux effets de la metformine sur les résultats à longterme relatifs au poids des enfants exposés in utero sont limitées et peuconcluantes. La metformine ne semble pas affecter le développement moteur etsocial des enfants exposés pendant la grossesse jusqu’à l’âge de 4 ans,bien que les données sur les résultats à long-terme soient limitées.

Lorsqu’elle est cliniquement justifiée, l’utilisation de la metforminepeut être envisagée pendant la grossesse et dans la périodepéricon­ceptionnelle comme traitement d'appoint ou comme alternative àl'insuline.

Allaitement

La metformine est excrétée dans le lait maternel humain. Aucun effetindésirable n’a été observé chez le nouveau-né et le nourrisson allaité.Cependant, les données disponibles étant limitées, l’allaitement n’estpas recommandé pendant le traitement par la metformine. La décision depoursuivre ou non l’allaitement doit être prise en tenant compte desbénéfices de l’allaitement et du risque potentiel d’effets indésirablespour l’enfant.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

La metformine en monothérapie n’entraîne pas d’hypoglycémie et n’adonc pas d’effet sur l’aptitude à conduire des véhicules ou à utiliserdes machines.

Par contre, il convient d’attirer l’attention des patients sur lesrisques de survenue d’hypoglycémie lorsque la metformine est utilisée enassociation avec d’autres antidiabétiques (comme les sulfamideshypo­glycémiants, l’insuline, les méglitinides).

4.8. Effets indésirables

Les effets indésirables suivants peuvent apparaître sous traitement par lametformine. La fréquence est définie de la manière suivante :

· très fréquent : ≥ 1/10 ;

· fréquent : ≥ 1/100, < 1/10 ;

· peu fréquent : ≥ 1/1 000, < 1/100,

· rare : ≥ 1/10 000, < 1/1 000 ;

· très rare : < 1/10 000,

Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sontprésentés suivant un ordre décroissant de gravité.

Affections du système nerveux

Fréquent : perturbation du goût.

Affections gastro-intestinales

Très fréquent : les troubles gastro-intestinaux, notamment nausées,vomis­sements, diarrhée, douleurs abdominales et perte d’appétit. Ces effetsindésirables surviennent le plus souvent lors de l’instauration dutraitement, et régressent spontanément dans la plupart des cas. Pour lesprévenir, il est recommandé d’administrer la metformine en deux ou troisprises dans la journée, au cours ou à la fin des repas. Une augmentationpro­gressive de la posologie peut aussi permettre d’améliorer la tolérancegastro-intestinale.

Affections de la peau et du tissu sous-cutané

Très rare : réactions cutanées comme érythème, prurit, urticaire.

Troubles du métabolisme et de la nutrition

Très rare :

· acidose lactique (voir rubrique 4.4) ;

· diminution de l’absorption de la vitamine B12 avec une réduction destaux sériques lors d’un traitement de longue durée par la metformine. Il estrecommandé d’envisager une telle étiologie lorsqu’un patient présente uneanémie mégaloblastique.

Affections hépatobiliaires

Très rare : cas isolés d’anomalies des tests de la fonction hépatique ouhépatite disparaissant à l’arrêt du traitement par la metformine.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr

4.9. Surdosage

lI n'a pas été observé d'hypoglycémie même avec des doses de metformineatte­ignant 85 g bien que dans de telles conditions une acidose lactique soitsurvenue. Un surdosage important de metformine ou l’existence de risquesconcomitants peuvent conduire à une acidose lactique. L’acidose lactique estune urgence médicale et doit être traitée en milieu hospitalier. Letraitement le plus efficace est l’élimination des lactates et de lametformine par hémodialyse.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : ANTIDIABETIQUES ORAUX (Appareil digestif etmétabolisme), code ATC : A10BA02.

La metformine est un biguanide antidiabétique à distinguer des sulfamideshypo­glycémiants par son mécanisme d'action, ses indications et sesprécautions d'emploi.

Contrairement aux sulfamides, la metformine ne stimule pas la sécrétiond'insuline : elle n'a pas d'effet hypoglycémiant chez le sujet non diabétique; chez le diabétique, elle permet de réduire l'hyperglycémie sans entraînerd'accident hypoglycémique (sauf en cas de jeûne ou d'association synergique,voir rubrique 4.4).

Le mode d'action périphérique de la metformine est objectivé par :

· une augmentation de la sensibilité périphérique à l'insuline et del'utilisation cellulaire du glucose,

· une diminution de la production hépatique de glucose,

· un ralentissement de l'absorption intestinale du glucose.

Chez l'homme, indépendamment de son action sur la glycémie, la metformine ades effets favorables sur le métabolisme lipidique. Ceci a été démontré àdose thérapeutique dans des études contrôlées à moyen ou long terme : lametformine réduit le cholestérol et les triglycérides totaux, ainsi que leLDL-Cholestérol.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Par voie orale, l'absorption de la metformine est relativement rapide maisincomplète. Le pic plasmatique est atteint en moyenne en 2 heures.

La biodisponibilité est d'environ 50 %.

La metformine n'est pas métabolisée. Sa fixation sur les protéinesplas­matiques est négligeable.

La metformine est excrétée par voie rénale sous forme inchangée. Saclairance rénale est élevée (en moyenne 440 ml/min) témoignant del'existence d'une filtration glomérulaire et d'une sécrétion tubulaire.

La demi-vie plasmatique d'élimination de la metformine est en moyenne de3 heures.

En cas d'insuffisance rénale, la demi-vie de la metformine est augmentée,exposant à un risque d'accumulation.

5.3. Données de sécurité préclinique

Les données non cliniques issues des études conventionnelles depharmacologie de sécurité, toxicologie en administration répétée,génoto­xicité, cancérogénèse, et de toxicité reproductive, n’ont pasrévélé de risque particulier pour l’homme. Ces études ont étéréalisées avec du chlorhydrate de metformine.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Povidone K30, macrogol 4000, glycolate sodique d'amidon (type A), stéaratede magnésium, macrogol 6000, diméticone utilisée comme lubrifiant47 V 300.

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

3 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation

Pas de précautions particulières de conservation.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

30, 100 comprimés sous plaquettes (PVC/PVDC/alu­minium).

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d’exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

MERCK SANTE

37, RUE SAINT-ROMAIN

69008 LYON

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 3400931927501 : 30 comprimés sous plaquettes (PVC/PVDC/alu­minium).

· 3400931927679 : 100 comprimés sous plaquettes(PVC/PVDC­/aluminium).

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I.

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