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THIOPECTOL ADULTES, sirop - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - THIOPECTOL ADULTES, sirop

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

THIOPECTOL ADULTES, sirop

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Codéine......­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­....0,08 g

Elixir deterpine*...­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­........33,00 g

Pour 100 g de sirop

*Composition de l'élixir de terpine :

Alcoolat degarrus.....­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­...11,62 g

Hydrate deterpine....­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.....0,16 g

Eau distillée de fleurd'oranger­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­....2,38 g

Teinture devanille....­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­......0,12 g

Teinture desafran.....­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.....0,05 g

Solution desaccharose.­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­............18,43 g

Extrait fluide decapillaire.­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­...........0,24 g

Pour 33 g d'élixir de terpine

Titre alcoolique (V/V) : 15,8°

Excipient(s) à effet notoire : saccharose, éthanol.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Sirop.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Traitement symptomatique des toux non productives gênantes chezl’adulte.

Remarque : l'association d'un antitussif et d'un expectorant n'est pasjustifiée

4.2. Posologie et mode d'administration

RESERVE A L’ADULTE.

Voie orale.

1 cuillère à soupe (15 mL) contient 15 mg de codéine.

Le traitement symptomatique doit être court (quelques jours) et limité auxhoraires où survient la toux.

Les prises devront être espacées de 6 heures au minimum.

En l'absence d'autre prise médicamenteuse apportant de la codéine ou toutautre antitussif central, la dose quotidienne de codéine base à ne pasdépasser est de 120 mg chez l'adulte.

La posologie usuelle est de :

· Chez l'adulte : 1 à 2 cuillères à soupe (15mL), à renouveler, sibesoin, après un délai minimum de 6 heures, sans dépasser 8 cuillères àsoupe par jour.

· Chez le sujet âgé ou en cas d'insuffisance hépatique : la posologieinitiale sera diminuée de moitié par rapport à la posologie conseillée chezl'adulte, et pourra éventuellement être augmentée en fonction de latolérance et des besoins.

4.3. Contre-indications

· Hypersensibilité à l'un des constituants (voir liste des excipients àla rubrique 6.1),

· Association à l’oxybate de sodium (voir rubrique 4.5.),

· Association à l’acitrétine (voir rubrique 4.5.),

· Insuffisance respiratoire,

· Toux de l'asthmatique,

· Allaitement (voir rubrique 4.6),

· Epilepsie ou antécédent de convulsion (les terpènes peuvent abaisser leseuil épileptogène),

· Patients connus comme étant des métaboliseurs ultrarapides des substratsdu CYP2D6.

D’une façon générale la codéine est contre indiquée chez les enfantsâgés de moins de 12 ans, en

raison d'un risque accru d'effets indésirables graves pouvant engager lepronostic vital (rubrique 4.4).

En outre, l'utilisation de la codéine n'est pas recommandée chez lesenfants âgés de 12 à 18 ans dont

la fonction respiratoire est altérée (voir rubrique 4.4).

Ce médicament est généralement déconseillé en association avec l'alcoolet certains médicaments

(voir rubrique 4.5).

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Mises en garde

ATTENTION : LE TITRE ALCOOLIQUE DE CE MEDICAMENT EST DE 15,8° (soit 15,8°v/v d’éthanol) SOIT 1,9 g D'ALCOOL PAR CUILLERE A SOUPE (15 mL de sirop).L’utili­sation de ce médicament est dangereuse pour les sujets alcooliques etdoit être prise en compte chez les femmes enceintes ou allaitant, les enfantset les groupes à haut risque tels que les insuffisants hépatiques ou lesépileptiques.

Un traitement prolongé par la codéine à forte dose peut conduire à unétat de dépendance.

Les toux productives, qui sont un élément fondamental de la défensebroncho-pulmonaire, sont à respecter.

Il est illogique d'associer un expectorant ou mucolytique à unantitussif.

Avant de prescrire un traitement antitussif, il convient de rechercher lescauses de la toux qui requièrent un traitement spécifique.

Si la toux résiste à un antitussif administré à une posologie usuelle, onne doit pas procéder à une augmentation des doses, mais à un réexamen de lasituation clinique.

Cette spécialité contient des dérivés terpéniques qui ont pu entraînerà des doses excessives des accidents neurologiques à types de convulsions chezle nourrisson et chez l'enfant.

L'association de ce médicament est déconseillée avec les morphiniquesa­gonistes-antagonistes, avec les morphiniques antagonistes partiels, avecl'iproniazide, l'insuline, cefamandole, disulfirame, glibenclamide, glipizide,gri­seofulvine, ketoconazole, metronidazole, ornidazole, procarbazine,sec­nidazole, tenonitrozole, tinidazole, les autres médicaments sédatifs, lamétformine, les sulfamides hypoglycémiants, des boissons alcoolisées oud'autres médicaments contenant de l'alcool (voir rubrique 4.5)

Métabolisme par le CYP2D6

La codéine est métabolisée en morphine, son métabolite actif, par lecytochrome CYP2D6 au niveau hépatique. En cas de déficit ou d'absence totalede cette enzyme, l'effet thérapeutique attendu ne sera pas obtenu. On estimeque jusqu'à 7 % de la population caucasienne pourrait présenter ce déficit.Toutefois, si le patient est un métaboliseur important ou ultrarapide, lerisque de survenue d'effets secondaires liés à la toxicité des opiacés estaccru, même aux doses habituellement prescrites. Chez ces patients, lemétabolisme de la codéine en morphine est plus rapide, ce qui entraîne destaux sériques de morphine plus élevés.

Les symptômes d'un effet toxique des opiacés comprennent : confusionmentale, somnolence, polypnée (respiration superficielle), myosis, nausées,vomis­sements, constipation et perte d'appétit. Dans les cas sévères, il peutsurvenir une défaillance circulatoire et respiratoire, pouvant engager lepronostic vital, avec une issue fatale rapportée dans de très rares cas.

Les estimations de la prévalence des métaboliseurs ultrarapides dansdifférentes populations sont résumées ci-dessous :

Population

prévalence (%)

Africain/Éthiopien

29%

Afro-américain

3,4% à 6,5%

Asiatique

1,2% à 2%

Caucasien

3,6% à 6,5%

Grec

6,0%

Hongrois

1,9%

Européen du Nord

1% à 2%

Enfants dont la fonction respiratoire est altérée

L'utilisation de la codéine n'est pas recommandée chez les enfants dont lafonction respiratoire est altérée, y compris en cas de déficitneuromus­culaire, d'affections cardiaques ou respiratoires sévères,d'infec­tions des voies aériennes supérieures ou des poumons, depolytraumatisme ou d'interventions chirurgicales lourdes. Ces facteurs peuventaggraver les symptômes liés à la toxicité de la morphine.

Précautions d’emploi

La prudence est requise en cas d’hypertension intracrânienne qui pourraitêtre majorée par la prise de codéine.

En cas de diabète ou de régime hypoglucidique, tenir compte de la teneur ensaccharose (10.3 g par cuillère à soupe de 15 mL).

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Interactions liées à la codéine
Médicaments sédatifs

Il faut prendre en compte le fait que de nombreux médicaments ou substancespeuvent additionner leurs effets dépresseurs du système nerveux central etcontribuer à diminuer la vigilance. Il s'agit des dérivés morphiniques(a­nalgésiques, antitussifs et traitements de substitution), des neuroleptiques,des barbituriques, des benzodiazépines, des anxiolytiques autres que lesbenzodiazépines (par exemple, le méprobamate), des hypnotiques, desantidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxépine, miansérine, mirtazapine,tri­mipramine), des antihistaminiques H1 sédatifs, des antihypertense­urscentraux, du baclofène et du thalidomide.

Associations contre-indiquées (voir rubrique 4.3)

+ Oxybate de sodium

Risque majoré de dépression respiratoire pouvant être fatale en cas desurdosage

Associations déconseillées (voir rubrique 4.4)

+ Alcool (boisson ou excipient)

Majoration par l'alcool de l'effet sédatif des antitussifs centraux.L'al­tération de la vigilance peut rendre dangereuse la conduite de véhiculeset l'utilisation de machines.

Eviter la prise de boissons alcoolisées et de d'autres médicamentscon­tenant de l'alcool.

+ Morphiniques agonistes-antagonistes (buprénorphine, nalbuphine)

Diminution de l'effet antalgique ou antitussif du morphinique, par blocagecompétitif des récepteurs, avec risque d'apparition d'un syndrome desevrage.

+ Morphiniques antagonistes partiels (nalméfène, naltrexone)

Associations à prendre en compte

+ Autres analgésiques morphiniques agonistes (alfentanil, dihydrocodeine,fen­tanyl, hydromorphone, morphine, oxycodone, pethidine, remifentanil,su­fentanil, tapentadol, tramadol)

Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en cas desurdosage.

+ Autres médicaments sédatifs

Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peutrendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.

+ Antitussifs morphine-like (dextrométhorphane, noscapine, pholcodine)

Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en cas desurdosage.

+ Autres antitussif morphinique vrai : éthylmorphine

Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en cas desurdosage.

+ Barbituriques (phénobarbital, primidone, thiopental)

Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en cas desurdosage.

+ Benzodiazépines et apparentés

Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en cas desurdosage.

+Méthadone

Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en cas desurdosage.

Interaction liée à la présence de terpine
Médicaments abaissant le seuil épileptogène

L'utilisation conjointe de médicaments proconvulsivants, ou abaissant leseuil épileptogène, devra être soigneusement pesée, en raison de lasévérité du risque encouru. Ces médicaments sont représentés notamment parla plupart des antidépresseurs (imipraminiques, inhibiteurs sélectifs de larecapture de la sérotonine), les neuroleptiques (phénothiazines etbutyrophénones), la méfloquine, la chloroquine, les fluoroquinolones, lebupropion , le tramadol.

Association à prendre en compte

+ Autres médicaments abaissants le seuil épileptogène

Risque accru de convulsions.

Interactions liées à la présence d'alcool comme excipient (1,9 g parcuillère à soupe)

Association contre-indiquée (voir rubrique 4.3)

+ Acitrétine

Chez la femme en âge de procréer, risque de transformation de l'acitrétineen étrétinate, puissant tératogène dont la demi-vie très prolongée(120 jou­rs) expose à un risque tératogène majeur en cas de grossesse,pendant le trai tement et les 2 mois suivant son arrêt.

Associations déconseillées (voir rubrique 4.4)

+ IMAO irréversible: iproniazide

Majoration des effets hypertenseurs et/ou hyperthermiques de la tyramineprésente dans certaines boissons alcoolisées (chianti, certainesbières, et­c).

Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant del'alcool.

+Insuline

Augmentation de la réaction hypoglycémique (inhibition des réactions decompensation pouvant faciliter la survenue de coma hypoglycémique). Eviter laprise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.

+ Médicaments et réaction antabuse (cefamandole, disulfirame,gli­benclamide, glipizide, griseofulvine, ketoconazole, metronidazole,or­nidazole, procarbazine, secnidazole, tenonitrozole, tinidazole)

Effet antabuse (chaleur, rougeurs, vomissements, tachycardie). Eviter laprise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool. Tenircompte de l'élimination complète des médicaments en se référant à leurdemi-vie avant la reprise de boissons alcoolisées ou du médicament contenantde l'alcool.

+ Médicaments sédatifs

Majoration par l'alcool de l'effet sédatif de ces substances. L'altérationde la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules etl'utilisation de machines. Eviter la prise de boissons alcoolisées et d'autresmédicaments contenant de l'alcool.

+ Metformine

Risque majoré d'acidose lactique lors d'intoxication alcoolique aiguë,particu­lièrement en cas de jeûne ou dénutrition, ou bien d'insuffisance­hépatocellula­ire. Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicamentscon­tenant de l'alcool.

+ Sulfamides hypoglycémiants

Effet antabuse, notamment pour glibenclamide, glipizide, tolbutamide.Au­gmentation de la réaction hypoglycémique (inhibition des réactions decompensation) pouvant faciliter la survenue de coma hypoglycémique. Eviter laprise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.

Association à prendre en compte

+ Acide nicotinique

Risque de prurit, de rougeur et de chaleurs liées à une potentialisation del'effet vasodilatateur.

+ Antivitamines K (acénocoumarol, fluindione, warfarine)

Variations possibles de l'effet anticoagulant, avec augmentation en casd'intoxication aiguë ou diminution en cas d'alcoolisme chronique (métabolismeau­gmenté).

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence un effettératogène de la codéine.

En clinique, les données épidémiologiques menées sur des effectifsrestreints de femmes n'ont cependant pas mis en évidence un risque malformatifpar­ticulier de la codéine.

Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique decodéine par la mère, et cela quelle que soit la dose, peut être à l'origined'un syndrome de sevrage chez le nouveau-né.

En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sontsusceptibles d'entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.

· Terpine :

En clinique, aucun effet malformatif ou fœtotoxique n’est apparu à cejour. Toutefois le suivi de grossesses exposées à la terpine est insuffisantpour exclure tout risque.

En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pasutiliser ce médicament au cours de la grossesse.

Allaitement

Ce médicament est contre-indiqué pendant l’allaitement (voirrubrique 4.3).

La codéine passe dans le lait maternel ; quelques cas d'hypotonie et depauses respiratoires ont été décrits chez les nourrissons, après ingestionpar les mères de codéine à doses supra-thérapeutiques.

Aux doses thérapeutiques habituelles, la codéine et son métabolite actifpassent très faiblement dans le lait maternel, ce qui a priori, n’expose pasle nourrisson allaité au risque de survenue d’effets indésirables. Toutefoissi la femme qui allaite est un métaboliseur ultrarapide des substrats duCYP2D6, des taux plus élevés du métabolite actif, la morphine, peuvent êtreprésents dans le lait maternel ce qui peut, dans de très rares cas, entraînerdes effets des opiacés qui peuvent être fatals pour le nourrissonallaité.

En outre ce médicament ne doit pas être utilisé pendant l’allaitement dufait :

· de l'absence de données cinétiques sur le passage des dérivésterpéniques dans le lait,

· et de leur toxicité neurologique potentielle chez le nourrisson.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

THIOPECTOL ADULTES, sirop a une influence modérée sur l’aptitude àconduire des véhicules et à utiliser des machines.

4.8. Effets indésirables

· Aux doses thérapeutiques : les effets indésirables de la codéine sontcomparables à ceux des autres opiacés, mais ils sont plus rares et modérés.Possibilité de constipation, somnolence, états vertigineux, nausées,vomis­sements. Rarement : bronchospasme, réactions cutanées allergiques,dé­pression respiratoire (voir rubrique 4.3).

· Aux doses supra-thérapeutiques : il existe un risque de dépendance et desyndrome de sevrage à l'arrêt brutal, qui peut être observé chezl'utilisateur et chez le nouveau-né de mère intoxiquée à la codéine.

En raison de la présence de dérivés terpéniques et en cas de non-respectdes doses préconisées : possibilité d'agitation et de confusion chez lessujets âgés.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.ansm.sante­.fr“>www.ansm­.sante.fr.

4.9. Surdosage

Signes chez l'adulte :

· dépression aiguë des centres respiratoires (cyanose, bradypnée),

· somnolence, rash, vomissements,

· prurit,

· ataxie,

· œdème pulmonaire

Population pédiatrique

Signes chez l'enfant (seuil toxique : 2 mg/kg en prise unique) :

· bradypnée, pauses respiratoires,

· myosis,

· convulsions,

· flush et œdème du visage,

· éruption urticarienne, collapsus,

· rétention d'urine.

Traitement :

· assistance respiratoire,

· naloxone en cas d'intoxication massive.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : ANTITUSSIF OPIACE (R. systèmerespira­toire), code ATC : R05CA

Mécanisme d’action

Codéine : alcaloïde de l'opium ; antitussif d'action centrale, ayant uneffet dépresseur sur les centres respiratoires.

Elixir de terpine : expectorant.

Efficacité et sécurité clinique

Ce médicament contient des dérivés terpéniques qui peuvent abaisser leseuil épileptogène.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Absorption

Codéine par voie orale :

· Le temps d'obtention du pic de concentration plasmatique est de l'ordred'une heure.

Distribution

· Traverse le placenta et diffuse dans le lait maternel.

Biotransformation

· Métabolisme hépatique.

· Environ 10 % de la codéine est déméthylée et transformée en morphinedans l'organisme.

Élimination

· Demi-vie plasmatique de l'ordre de 3 heures (chez l'adulte).

5.3. Données de sécurité préclinique

Non Renseignée.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Extrait concentré pour sirop d’eucalyptus, alcool, sirop de baume de tolu,solution de saccharose.

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

3 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation

Pas de précautions particulières de conservation.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

150 mL ou 250 mL en flacon (verre incolore de type III) avec bouchon(polyét­hylène).

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Sans objet.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

GIFRER BARBEZAT

8 A 10, RUE PAUL BERT

69150 DECINES-CHARPIEU

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· CIP : 34009 341 803 6 1 : 150 mL en flacon (verre)

· CIP : 34009 341 810 2 3 : 250 mL en flacon (verre)

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste II

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