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VICTAN 2 mg, comprimé pelliculé sécable - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - VICTAN 2 mg, comprimé pelliculé sécable

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

VICTAN 2 mg, comprimé pelliculé sécable

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Loflazépated'ét­hyle.........­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.......2,000 mg

Pour un comprimé pelliculé sécable.

Excipients à effet notoire : lactose, huile de ricin, jaune orangé S(E110).

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Comprimé pelliculé sécable.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

· Traitement symptomatique des manifestations anxieuses sévères et/ouinvalidantes.

· Prévention et traitement du delirium tremens et des autres manifestationsdu sevrage alcoolique.

4.2. Posologie et mode d'administration

Réservé à l'adulte.

Posologie

Dans tous les cas, le traitement sera initié à la dose efficace la plusfaible et la dose maximale ne sera pas dépassée.

La posologie habituelle chez l'adulte varie de un demi à un comprimé etdemi par jour (le plus souvent un comprimé) en une ou plusieurs prises.

Cette posologie peut éventuellement être augmentée dans les cas sévères,notamment en milieu psychiatrique.

Chez le sujet âgé, l'insuffisant rénal ou hépatique : il est recommandéde diminuer la posologie, de moitié par exemple.

Durée

Le traitement doit être aussi bref que possible. L'indication seraréévaluée régulièrement surtout en l'absence de symptômes. La duréeglobale du traitement ne devrait pas excéder 8 à 12 semaines pour lamajorité des patients, y compris la période de réduction de la posologie(voir rubrique 4.4).

Dans certains cas, il pourra être nécessaire de prolonger le traitementau-delà des périodes préconisées. Ceci suppose des évaluations précises etrépétées de l'état du patient.

Prévention et traitement du delirium tremens et des autres manifestations dusevrage alcoolique : traitement bref de l'ordre de 8 à 10 jours.

4.3. Contre-indications

· Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipientsmen­tionnés à la rubrique 6.1,

· Insuffisance respiratoire sévère,

· Syndrome d'apnée du sommeil,

· Insuffisance hépatique sévère, aiguë ou chronique (risque de survenued'une encéphalopathie),

· Myasthénie.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Mises en garde

Ce médicament contient du lactose. Son utilisation est déconseillée chezles patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactasede Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose (maladieshéré­ditaires rares).

Ce médicament contient de l'huile de ricin et peut provoquer des troublesdigestifs (effet laxatif léger, diarrhée).

Ce médicament contient un agent colorant azoïque (E110) et peut provoquerdes réactions allergiques.

TOLERANCE PHARMACOLOGIQUE

L'effet anxiolytique des benzodiazépines et apparentés peut diminuerprogres­sivement malgré l'utilisation de la même dose en cas d'administrati­ondurant plusieurs semaines.

DEPENDANCE

Tout traitement par les benzodiazépines et apparentés, et plusparticulière­ment en cas d'utilisation prolongée, peut entraîner un état depharmacodépen­dance physique et psychique.

Divers facteurs semblent favoriser la survenue de la dépendance :

· Durée du traitement,

· Dose,

· Antécédents d'autres dépendances médicamenteuses ou non, y comprisalcoolique.

Une pharmacodépendance peut survenir à doses thérapeutiques et/ou chez despatients sans facteur de risque individualisé.

Cet état peut entraîner à l'arrêt du traitement un phénomène desevrage.

Certains symptômes sont fréquents et d'apparence banale : insomnie,céphalées, anxiété importante, myalgies, tension musculaire,irri­tabilité.

D'autres symptômes sont plus rares : agitation voire épisode confusionnel,pa­resthésies des extrémités, hyperréactivité à la lumière, au bruit, etau contact physique, dépersonnalisation, déréalisation, phénomèneshallu­cinatoires, convulsions.

Les symptômes du sevrage peuvent se manifester dans les jours qui suiventl'arrêt du traitement.

Pour les benzodiazépines à durée d'action brève, et surtout si elles sontdonnées à doses élevées, les symptômes peuvent même se manifester dansl'intervalle qui sépare deux prises. Cela n'est pas attendu avec leloflazépate compte tenu de sa longue demi-vie (voir rubrique 5.2).

L'association de plusieurs benzodiazépines risque, quelle qu'en soitl'indication anxiolytique ou hypnotique, d'accroître le risque depharmacodépen­dance. Des cas d'abus ont également été rapportés.

PHENOMENE DE REBOND

Ce syndrome transitoire peut se manifester sous la forme d'une exacerbationde l'anxiété qui avait motivé le traitement par les benzodiazépines etapparentés.

AMNESIE ET ALTERATIONS DES FONCTIONS PSYCHOMOTRICES

Une amnésie antérograde ainsi que des altérations des fonctionspsycho­motrices sont susceptibles d'apparaître dans les heures qui suiventla prise.

TROUBLES DU COMPORTEMENT

Chez certains sujets, les benzodiazépines et produits apparentés peuvententraîner un syndrome associant à des degrés divers une altération del'état de conscience et des troubles du comportement et de la mémoire.

Peuvent être observés :

· Aggravation de l'insomnie, cauchemars, agitation, nervosité,

· idées délirantes, hallucinations, état confuso-onirique, symptômes detype psychotique,

· désinhibition avec impulsivité,

· euphorie, irritabilité,

· amnésie antérograde,

· suggestibilité.

Ce syndrome peut s'accompagner de troubles potentiellement dangereux pour lepatient ou pour autrui, à type de :

· Comportement inhabituel pour le patient.

· Comportement auto- ou hétéro-agressif, notamment si l'entourage tented'entraver l'activité du patient.

· Conduites automatiques avec amnésie post-événementielle.

Ces manifestations imposent l'arrêt du traitement.

RISQUE D'ACCUMULATION

Les benzodiazépines et apparentés (comme tous les médicaments) persistentdans l'organisme pour une période de l'ordre de 5 demi-vies (voirrubrique 5.2).

Chez des personnes âgées ou souffrantes d'insuffisance rénale ouhépatique, la demi-vie peut s'allonger considérablement. Lors de prisesrépétées, le médicament ou ses métabolites atteignent le plateaud'équilibre beaucoup plus tard et à un niveau beaucoup plus élevé. Ce n'estqu'après l'obtention d'un plateau d'équilibre qu'il est possible d'évaluer àla fois l'efficacité et la sécurité du médicament.

Une adaptation posologique peut être nécessaire (voir rubrique 4.2).

RISQUE D’UTILISATION CONCOMITANTE DES BENZODIAZEPINES AVEC LESOPIOÏDES

L’utilisation concomitante de benzodiazépines, y compris le loflazépated’ét­hyle, et d’opioïdes peut entraîner une sédation, une dépressionres­piratoire, un coma et le décès. En raison de ces risques, la prescriptioncon­comitante de médicaments sédatifs tels que les benzodiazépines oumédicaments apparentés tels que le loflazépate d’éthyle avec des opioïdesdoit être réservée aux patients pour lesquels d’autres optionsthérape­utiques ne sont pas possibles.

Si la décision de prescrire le loflazépate d’éthyle en même temps quedes opioïdes est prise, la dose efficace la plus faible doit être utilisée etla durée de traitement doit être aussi courte que possible.

Les patients doivent être suivis de près pour surveiller la survenue designes et symptômes de dépression respiratoire et de sédation.

À cet égard, il est fortement recommandé d'informer les patients et leurssoignants afin qu’ils connaissent ces symptômes (voir rubrique 4.5).

Précautions d'emploi

La plus grande prudence est recommandée en cas d'antécédents d'alcoolismeou d'autres dépendances, médicamenteuses ou non (voir rubrique 4.5).

En raison de ses propriétés pharmacologiques, le loflazépate d’éthylepeut provoquer une somnolence et une altération de l’état de conscience, cequi peut conduire à des chutes et par conséquent à des blessures sévères,notamment chez le sujet âgé.
IDEE SUICIDAIRE/TEN­TATIVE DE SUICIDE/ SUICIDE ET DEPRESSION

Certaines études épidémiologiques montrent une augmentation del’incidence des idées suicidaires, de tentatives de suicide et des suicideschez les patients dépressifs ou non, et traités par des benzodiazépines etautres hypnotiques, y compris le loflazépate d’éthyle. Cependant, le lien decausalité n’a pas été établi.

Chez le sujet présentant un épisode dépressif majeur :

Les benzodiazépines et apparentés ne doivent pas être prescrits seuls carils laissent la dépression évoluer pour son propre compte avec persistance oumajoration du risque suicidaire.

MODALITES D'ARRET PROGRESSIF DU TRAITEMENT

Elles doivent être énoncées au patient de façon précise.

Outre la nécessité de décroissance progressive des doses, les patientsdevront être avertis de la possibilité d'un phénomène de rebond, afin deminimiser l'anxiété qui pourrait découler des symptômes liés à cetteinterruption, même progressive.

Le patient doit être prévenu du caractère éventuellement inconfortable decette phase.

SUJET AGE, INSUFFISANT RENAL OU HEPATIQUE

Le risque d'accumulation conduit à réduire la posologie, de moitié parexemple (voir « Mises en garde »).

INSUFFISANT RESPIRATOIRE

Chez l'insuffisant respiratoire, il convient de prendre en compte l'effetdépresseur des benzodiazépines et apparentés (d'autant que l'anxiété etl'agitation peuvent constituer des signes d'appel d'une décompensation de lafonction respiratoire qui justifie le passage en unité de soins intensifs).

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Associations déconseillées

+ Alcool (Boisson ou excipient)

Majoration par l'alcool de l'effet sédatif des benzodiazépines etapparentés.

L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite devéhicules et l'utilisation de machines.

Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant del'alcool.

Associations à prendre en compte

+ Autres médicaments sédatifs : dérivés morphiniques (analgésiques,an­titussifs et traitements de substitution autres que buprénorphine) ;neuroleptiques ; barbituriques ; autres benzodiazépines ; autres anxiolytiques; hypnotiques ; antidépresseurs sédatifs ; antihistaminiques H1 sédatifs ;antihypertenseurs centraux ; baclofène ; thalidomide.

Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peutrendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.

De plus, pour les dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs ettraitements de substitution), barbituriques : risque majoré de dépressionres­piratoire, pouvant être fatale en cas de surdosage.

+ Opioïdes

L’utilisation concomitante de médicaments sédatifs tels que lesbenzodiazépines ou médicaments apparentés tels que le loflazépated’éthyle avec des opioïdes augmente le risque de sédation, de dépressionres­piratoire, de coma et de décès en raison d’un effet dépresseur cumulatifsur le système nerveux central. La dose et la durée de l’utilisation­concomitante doivent être limitées (voir rubrique 4.4).

+ Buprénorphine

Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale.

Evaluer attentivement le rapport bénéfice/risque de cette association.In­former le patient de la nécessité de respecter les doses prescrites.

+ Clozapine

Risque accru de collapsus avec arrêt respiratoire et / ou cardiaque.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

De nombreuses données issues d'études de cohorte n'ont pas mis en évidencela survenue d'effets malformatifs lors d'une exposition aux benzodiazépines aucours du 1er trimestre de la grossesse. Cependant, dans certaines étudesépidémi­ologiques cas-témoins, une augmentation de la survenue de fenteslabie-palatines a été observée avec les benzodiazépines. Selon ces données,l'incidence des fentes labie-palatines chez les nouveau-nés serait inférieureà 2/1000 après exposition aux benzodiazépines au cours de la grossesse alorsque le taux attendu dans la population générale est de 1/1000.

En cas de prise de benzodiazépines à fortes doses aux 2ème et/ou 3èmetrimestres de grossesse une diminution des mouvements actifs fœtaux et unevariabilité du rythme cardiaque fœtal ont été décrits. Un traitement en finde grossesse par benzodiazépines même à faibles doses, peut être responsablechez le nouveau-né de signes d'imprégnation tels qu'hypotonie axiale, troublesde la succion entraînant une faible prise de poids. Ces signes sontréversibles, mais peuvent durer 1 à 3 semaines en fonction de la demi-vie dela benzodiazépine prescrite.

A doses élevées, une dépression respiratoire ou des apnées, et unehypothermie peuvent apparaître chez le nouveau-né. Par ailleurs, un syndromede sevrage néo-natal est possible, même en l'absence de signesd'imprég­nation. Il est caractérisé notamment par une hyperexcitabilité, uneagitation et des trémulations du nouveau-né survenant à distance del'accouchement. Le délai de survenue dépend de la demi-vie d'élimination dumédicament et peut être important quand celle-ci est longue.

Compte tenu de ces données, par mesure de prudence, l'utilisation deloflazépate est déconseillée au cours de la grossesse quel qu'en soitle terme.

En cas de prescription de loflazépate à une femme en âge de procréer,celle-ci devrait être avertie de la nécessité de contacter son médecin siune grossesse est envisagée ou débutée afin qu'il réévalue l'intérêt dutraitement.

En fin de grossesse, s'il s'avère réellement nécessaire d'instaurer untraitement par loflazépate, éviter de prescrire des doses élevées et tenircompte, pour la surveillance du nouveau-né, des effets précédemmentdé­crits.

Allaitement

L'utilisation de ce médicament pendant l'allaitement est déconseillée.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

Prévenir les conducteurs de véhicules et utilisateurs de machines du risquepossible de somnolence.

L'association avec d'autres médicaments sédatifs doit être déconseilléeou prise en compte en cas de conduite automobile ou d'utilisation de machines(voir rubrique 4.5).

Si la durée de sommeil est insuffisante, le risque d'altération de lavigilance est encore accru.

4.8. Effets indésirables

Ils sont en rapport avec la dose ingérée, la sensibilité individuelle dupatient.

Effets indésirables neuro-psychiatriques (voir rubrique 4.4)

· Troubles cognitifs tels que troubles de la mémoire (amnésieantéro­grade) qui peuvent survenir aux doses thérapeutiques, le risqueaugmentant proportionnellement à la dose, troubles de l’attention et troublesde la parole.

· Troubles du comportement, modifications de la conscience, irritabilité,a­gressivité, agitation.

· Dépendance physique et psychique, même à doses thérapeutiques avecsyndrome de sevrage ou de rebond à l'arrêt du traitement.

· Sensations ébrieuses, céphalées, ataxie.

· Confusion, baisse de vigilance voire somnolence (particulièrement chez lesujet âgé), insomnie, cauchemars, tension.

· Modifications de la libido.

Effets indésirables cutanés

· Eruptions cutanées, prurigineuses ou non.

Effets indésirables généraux

· Hypotonie musculaire, asthénie.

Effets indésirables oculaires

· Diplopie.

Lésions, intoxications et complications d’interventions

· Chute (voir rubrique 4.4).

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

Le pronostic vital peut être menacé, notamment dans les cas depolyintoxication impliquant d'autres dépresseurs du système nerveux central (ycompris l'alcool).

En cas de prise massive, les signes de surdosage se manifestentprin­cipalement par une dépression du SNC pouvant aller de la somnolencejusqu'au coma, selon la quantité ingérée.

Les cas bénins se manifestent par des signes de confusion mentale, uneléthargie.

Les cas plus sérieux se manifestent par une ataxie, une hypotonie, unehypotension, une dépression respiratoire, exceptionnellement un décès.

En cas de surdosage oral antérieur à 1 heure, l'induction de vomissementsera pratiquée si le patient est conscient ou, à défaut, un lavage gastriqueavec protection des voies aériennes. Passé ce délai, l'administration decharbon activé peut permettre de réduire l'absorption.

Une surveillance particulière des fonctions cardio-respiratoires en milieuspécialisé est recommandée.

L'administration de flumazénil peut être utile pour le diagnostic et/ou letraitement d'un surdosage intentionnel ou accidentel en benzodiazépines.

L'antagonisme par le flumazénil de l'effet des benzodiazépines peutfavoriser l'apparition de troubles neurologiques (convulsions), notamment chezle patient épileptique.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : ANXIOLYTIQUES, Code ATC : N05BA (N :système nerveux central).

Le loflazépate appartient à la classe des 1–4 benzodiazépines et a uneactivité pharmacodynamique qualitativement semblable à celle des autrescomposés de cette classe :

· myorelaxante,

· anxiolytique,

· sédative,

· hypnotique,

· anticonvulsivante,

· amnésiante.

Ces effets sont liés à une action agoniste spécifique sur un récepteurcentral faisant partie du complexe « récepteurs macromoléculaires GABA-OMEGA», également appelés BZ1 et BZ2 et modulant l'ouverture du canal chlore.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Absorption

La biodisponibilité du loflazépate est très faible en raison d'unimportant effet de premier passage hépatique. Seuls les métabolites ont étédétectés dans le plasma.

Des concentrations plasmatiques maximales comprises entre 45 et 65 ng/mlsont atteintes environ 1 h 30 après administration de 2 mg de loflazépatepar voie orale chez l'homme.

Élimination

La demi-vie d'élimination plasmatique est en moyenne de 77 heures.

L'élimination est essentiellement urinaire sous forme conjuguée. Lesconcentrations plasmatiques sont augmentées chez le sujet âgé etl'insuffisant rénal ou hépatique.

Le passage fœto-placentaire et dans le lait maternel a été démontré pourles benzodiazépines.

5.3. Données de sécurité préclinique

Sans objet.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Carboxyméthylamidon sodique, cellulose microcristalline, huile de ricinhydrogénée, lactose, stéarate de magnésium, jaune orangé S, laquealuminique, méthylhydroxy­propylcellulo­se, polyéthylèneglycol 6000,copolymère neutre d'esters méthacryliques et acryliques sous forme d'émulsionaqueuse à 30 pour cent (EUDRAGIT E 30 D), talc.

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

3 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation

A conserver à une température ne dépassant pas 30°C.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

30, 50 ou 60 comprimés en flacon (Polypropylène).

30 comprimés en plaquette (Polychlorure de vinyle / Aluminium).

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d’exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

SANOFI-AVENTIS FRANCE

82 AVENUE RASPAIL

94250 GENTILLY

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 34009 324 030 2 8 : 30 comprimés en flacon (Polypropylène).

· 34009 324 031 9 6 : 50 comprimés en flacon (Polypropylène).

· 34009 324 032 5 7 : 60 comprimés en flacon (Polypropylène).

· 34009 269 778 4 9 : 30 comprimés en plaquettes (polychlorure de vinyle/ aluminium).

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I.

Durée de prescription limitée à 12 semaines.

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