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XENETIX 300 (300 mg d'Iode/mL), solution injectable - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - XENETIX 300 (300 mg d'Iode/mL), solution injectable

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

XENETIX 300 (300 mg d’Iode/mL), solution injectable

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Pour 100 mL de solution :

Iobitridol...­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.........65,81 g (658,1 mg/mL)

quantité correspondant en iode.........­.............­.............­.............­.............­.............­...30 g (300 mg/mL)

· Teneur en iode par mL : 300 mg

· Masse d’iode par flacon de 20 mL : 6 g

· Viscosité à 20 °C : 11 mPa.s

· Masse d’iode par flacon de 50 mL : 15 g

· Viscosité à 37 °C : 6 mPa.s

· Masse d’iode par flacon de 60 mL : 18 g

· Osmolalité: 695 mOsm / kg H2O

· Masse d’iode par flacon de 75 mL : 22,5 g

· Masse d’iode par flacon de 100 mL : 30 g

· Masse d’iode par flacon de 150 mL : 45 g

· Masse d’iode par flacon de 200 mL : 60 g

· Masse d’iode par flacon de 500 mL : 150 g

Excipient exerçant un effet connu : Sodium (jusqu’à 3,5 mg pour100 mL).

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Solution injectable.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Ce médicament est à usage diagnostique uniquement.

Produit de contraste destiné à être utilisé pour:

· Urographie intraveineuse

· tomodensitométrie

· angiographie numérisée par voie intraveineuse

· artériographie

· angiocardiographie

· cholangiopancré­atographie par endoscopie rétrograde,

· arthrographie

· hystérosalpin­gographie.

· administration intraveineuse chez la femme adulte dans le cadre d’unemammographie spectrale avec rehaussement de contraste visant à identifier deslésions mammaires connues ou suspectées.

La mammographie spectrale avec rehaussement de contraste estparticulièrement indiquée :

· chez les femmes qui présentent des seins denses.

· en alternative à l’IRM, notamment dans les cas de contre-indications oude difficulté d’accessibilité à cet examen.

4.2. Posologie et mode d'administration

Posologie

Les doses doivent être adaptées à l'examen et aux territoires à opacifierainsi qu'au poids et à la fonction rénale du sujet, notamment chezl'enfant.

Posologie moyenne recommandée pour les voies intravasculaires :

Indications

Dose moyenne

Volume total

mL/kg

(mini-maxi) mL

Urographie en injection :

· intraveineuse rapide

1,2

50–100

· intraveineuse lente

1,6

100

Tomodensitométrie :

· crâne

1,4

20–100

· corps entier

1,9

20–150

Angiographie numérisée par voie

intraveineuse

1,7

40–270

Artériographie :

· cérébrale

1,8

42–210

· membres inférieurs

2,8

85–300

Angiocardiographie

1,1

70–125

Cholangiopancré­atographie par endoscopie rétrograde

0,7

< 50 mL

Administration intraveineuse chez la femme adulte dans le cadre d’unemammographie spectrale avec rehaussement de contraste

1,5

50–150

Posologie moyenne recommandée pour les voies intra-utérine etintra-articulaire :

Indications

Volume moyen

Remarques

mL

Arthrographie

5 à 20

Volume à adapter à l’articulation

Hystérosalpin­gographie

5 à 20

A adapter selon le volume utérin

Mode d’administration

Xenetix est utilisé en voie intravasculaire, intra-utérine ouintra-articulaire et en utilisation monodose pour les présentations 20, 50, 60,75, 100, 150 et 200 mL

4.3. Contre-indications

· Hypersensibilité au iobitridol ou à l'un des excipients.

· Antécédent de réaction immédiate majeure ou cutanée retardée (voirrubriques 4.4 et 4.8) à l’injection du XENETIX 300.

· Thyréotoxicose manifeste

· Hystérosalpin­gographie en cas de grossesse.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

· Quelles que soient la voie d’administration et la dose, un risqueallergique existe.

· le risque d’intolérance n’est pas univoque quand il s’agit despécialités administrées localement pour l’opacification de cavitéscorpore­lles :

a) l’administration par certaines voies particulières (articulaire,bi­liaire, intrathécale, intra-utérine…) entraîne un passage systémique nonnégligeable : des effets systémiques peuvent être observés.

b) l’administration per os ou par voie rectale entraîne normalement unediffusion systémique très limitée ; si la muqueuse digestive est normale, onne retrouve alors dans l’urine qu’au plus 5% de la dose administrée, lereste étant éliminé par les fécès. Par contre en cas d’altération de lamuqueuse, l’absorption est augmentée ; elle est totale et rapide en cas deperforation avec passage dans la cavité péritonéale et le médicament estéliminé par voie urinaire. L’éventuelle survenue d’effets systémiquesdose-dépendants est donc fonction de l’état de la muqueuse digestive.

c) Le mécanisme immuno-allergique est en revanche non dose-dépendant ettoujours susceptible d’être observé, quelle que soit la voied’adminis­tration.

Donc, du point de vue de la fréquence et de l’intensité des effetsindésirables, s’opposent :

· Les spécialités administrées par voie vasculaire et certaines voieslocales

· Les spécialités administrées par voie digestive et peu absorbées àl’état normal

4.4.1. Mentions générales correspondant à l’ensemble des produits decontraste iodés
4.4.1.1 Mises en garde

En l'absence d'études spécifiques, la myélographie n'est pas uneindication de XENETIX.

Tous les produits de contraste iodés peuvent être à l’origine deréactions mineures ou majeures, pouvant mettre en jeu le pronostic vital. Ellespeuvent être immédiates (moins de 60 minutes), ou retardées (jusqu’à7 jours). Elles sont souvent imprévisibles.

Le risque de réaction majeure implique d’avoir à disposition immédiateles moyens nécessaires à une réanimation d’urgence.

Plusieurs mécanismes ont été évoqués :

· toxicité directe sur l’endothélium vasculaire et les protéinestissu­laires.

· action pharmacologique modifiant la concentration de certains facteursendogènes (histamine, fractions du complément, médiateurs del’inflammation), plus fréquente avec les produits hyperosmolaires.

· allergie immédiate de type IgE dépendante au produit de contrasteXENETIX (anaphylaxie)

· réactions allergiques de mécanisme cellulaire (réactions cutanéesretardées)

Les patients ayant déjà présenté une réaction lors d’une précédenteadmi­nistration d’un produit de contraste iodé ont un risque augmenté denouvelle réaction en cas de ré administration du même, ou éventuellementd’un autre, produit de contraste iodé et sont donc considérés comme sujetsà risque.

Produits de contraste iodés et thyroïde (voir aussi 4.4.1.2.5.)

Il convient de s’assurer avant l’administration de produits de contrasteiodés que le patient ne va pas bénéficier d’une exploration scintigraphiqueou biologique de la thyroïde ou d’une administration d’iode radioactif àvisée thérapeutique.

En effet, l’administration, quelle qu’en soit la voie, de produits decontraste iodés perturbe les dosages hormonaux et la fixation d’iode par lathyroïde ou les métastases de cancer thyroïdien jusqu’à la normalisationde l’iodurie.

Autres mises en garde

L’extravasation est une complication peu fréquente (0,04 % à 0,9 %) del’injection intraveineuse de produits de contraste. Plus fréquentes avec lesproduits à forte osmolarité, la plupart des lésions sont mineures, mais deslésions graves, à type d’ulcération cutanée, de nécrose tissulaire ou desyndrome compartimental, peuvent être associées à n’importe quel produit decontraste iodé. Les facteurs de risque et/ou de sévérité sont liés aupatient (état vasculaire médiocre ou fragile) et à la technique (utilisationd’une seringue électrique, volume important). Il convient d’identifier cesfacteurs, d’optimiser le site d’injection et la technique en conséquence etd’effectuer une surveillance avant, pendant et après l’injection deXenetix.

4.4.1.2. Précau­tions d’Emploi
4.4.1.2.1. In­tolérance aux produits de contraste iodés :

Avant l’examen :

· identifier les sujets à risque par un interrogatoire précis sur lesantécédents.

Les corticostéroïdes et les antihistaminiques H1 ont été proposés commeprémédication chez les patients présentant le plus grand risque de réactiond’into­lérance (intolérants connus à un produit de contraste iodé). Ilsn’empêchent cependant pas la survenue d’un choc anaphylactique grave oumortel. Pendant la durée de l’examen, il convient d’assurer:

· une surveillance médicale

· le maintien d’une voie d’abord veineuse

Après l’examen :

· Après l’administration d’un produit de contraste, le patient doitrester en observation au moins 30 minutes, car la majorité des effetsindésirables graves surviennent dans ce délai.

· Le patient doit être prévenu de la possibilité de réactions retardées(jusqu’à 7 jours) (cf. rubrique 4.8 Effets indésirables).

Effets indésirables cutanés sévères

Des effets indésirables cutanés sévères (EICS), tels que le syndromed’hyper­sensibilité médicamenteuse systémique avec éosinophilie (DRESS), lesyndrome de Stevens-Johnson (SJS), le syndrome de Lyell (nécrolyse épidermiquetoxique ou NET) et la pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG),potenti­ellement mortels, ont été rapportés chez des patients auxquels duXenetix avait été administré (voir rubrique 4.8 Effets indésirables). Aumoment de l’instauration du traitement, les patients doivent être informésdes signes et symptômes et être suivis de près pour détecter les réactionscutanées graves. Le Xenetix doit être interrompu immédiatement en cas desuspicion d’une réaction d’hypersensibilité sévère. Dans le cas desurvenue d’un effet indésirable cutané sévère chez un patient utilisant duXenetix, Xenetix ne doit en aucun cas être ré-administré à ce patient (voirrubrique 4.3).

4.4.1.2.2. In­suffisance rénale

Les produits de contraste iodés peuvent provoquer une altérationtran­sitoire de la fonction rénale ou aggraver une insuffisance rénalepréexistante. Les mesures préventives sont les suivantes :

· identifier les patients à risque : patients déshydratés, insuffisantsrénaux, diabétiques, insuffisants cardiaques sévères, atteints d’unegammapathie monoclonale (myélome multiple, maladie de Waldenström), sujetsayant des antécédents d’insuffisance rénale après administration deproduits de contraste iodés, enfants de moins d’un an, sujets âgésathéromateux.

· hydrater par un apport hydrosodé approprié le cas échéant.

· éviter d’associer des médicaments néphrotoxiques, (si une telleassociation est nécessaire, il faut renforcer la surveillance biologiquerénale. Les médicaments concernés sont notamment les aminosides, lesorganoplatines, le méthotrexate à fortes doses, la pentamidine, le foscarn et,certains antiviraux (aciclovir, ganciclovir, valaciclovir, adéfovir, cidofovir,téno­fovir), la vancomycine, l’amphotéricine B, les immunosuppresseurs telsque la ciclosporine ou le tacrolimus, l’ifosfamide).

· respecter un intervalle au moins de 48 heures entre deux explorationsra­diologiques avec injection de produit de contraste, ou différer tout nouvelexamen jusqu’à la restauration de la fonction rénale initiale

· prévenir une acidose lactique chez le diabétique traité par lametformine en se fondant sur la créatininémie. Fonction rénale normale :l’administration de metformine est arrêtée dès l’administration duproduit de contraste pour une période d’au moins 48 heures ou jusqu’auretour d’une fonction rénale normale. Fonction rénale anormale : lametformine est contre-indiquée. En urgence : si l’examen s’impose, desprécautions doivent être mises en place : arrêt de la metformine,hy­dratation, suivi de la fonction rénale et recherche des signes d’acidoselactique.

Les patients hémodialysés peuvent recevoir des produits de contrasteiodés, car ces derniers sont dialysables. Il convient de prendre l’avispréalable du service d’hémodialyse.

4.4.1.2.3. In­suffisance hépatique

Une attention particulière est nécessaire lorsqu’une insuffisancehé­patique s’ajoute à une insuffisance rénale chez un patient, situation quimajore le risque de rétention du produit de contraste.

Il convient d’être prudent en cas d’insuffisance rénale ou hépatique,de diabète ou chez les patients atteints d’anémie falciforme.

Un état d’hydratation correct doit être assuré chez tous les patientsavant et après l’administration de produits de contraste et, en particulier,chez les insuffisants rénaux et les diabétiques, chez qui il est important demaintenir l’hydratation pour diminuer la dégradation de la fonctionrénale.

4.4.1.2.4. Asthme

L’équilibration de l’asthme est recommandée avant injection d’unproduit de contraste iodé.

Une attention particulière est nécessaire en cas de crise d’asthmedéclarée dans les 8 jours avant l’examen, en raison du risque accru desurvenue d’un bronchospasme.

4.4.1.2.5. Dys­thyroïdie

A la suite de l’injection d’un produit de contraste iodé, enparticulier chez les patients porteurs de goitre ou ayant des antécédents dedysthyroïdie, il existe un risque, soit de poussée d’hyperthyroïdie, soitd’induction d’une hypothyroïdie. Il existe également un risqued’hypot­hyroïdie chez le nouveau-né qui a reçu, ou dont la mère a reçu, unproduit de contraste iodé.

Par conséquent, la fonction thyroïdienne chez ce nouveau-né doit êtreévaluée et étroitement surveillée afin de s’assurer de sa normalité

4.4.1.2.6. Af­fections cardio-vasculaires (voir rubrique 4.8 Effetsindé­sirables)

Chez les patients souffrant d’une maladie cardio-vasculaire (par exemple,d’insuf­fisance cardiaque débutante ou établie, de maladie coronarienne,d’hy­pertension artérielle pulmonaire, de valvulopathie ou de troubles durythme cardiaque, le risque de réaction cardio-vasculaire est augmenté aprèsl’adminis­tration d’un produit de contraste iodé. L’injectionin­travasculaire du produit de contraste iodé peut entraîner un œdème dupoumon chez les patients atteints d’insuffisance cardiaque patente ou latente,tandis que l’administration en cas d’hypertension artérielle pulmonaire oude valvulopathie cardiaque peut provoquer des troubles hémodynamique­simportants. La fréquence et le degré de gravité semblent liés à lasévérité des troubles cardiaques. En cas d’hypertension artériellesévère et chronique, le risque de lésion rénale secondaire àl’administration du produit de contraste et aussi au cathétérisme lui-mêmepeut être aggravé. Une évaluation soigneuse du rapport bénéfice/risque estindispensable chez ces patients.

4.4.1.2.7. Troubles du système nerveux central

Le rapport bénéfice/risque doit être estimé au cas par cas :

· en raison du risque d’aggravation de la symptomatologie neurologiquechez les patients présentant un accident ischémique transitoire, un infarctuscérébral aigu, une hémorragie intracrânienne récente, un œdèmecérébral, une épilepsie idiopathique ou secondaire (tumeur, cicatrice).

· en cas d’utilisation par voie intra-artérielle chez un éthylique(éthylisme aigu ou chronique) et chez les toxicomanes à d’autressubstances.

4.4.1.2.8. Phé­ochromocytome

Les patients atteints de phéochromocytome peuvent développer une crisehypertensive après administration intravasculaire de produit de contraste etnécessitent une prise en charge adaptée avant l’examen.

4.4.1.2.9. My­asthénie

L’administration de produit de contraste peut aggraver les symptômes demyasthénie.

4.4.1.2.10. Ma­joration des effets secondaires

Les manifestations des effets indésirables liés à l’administration deproduit de contraste iodé peuvent être majorées par les états prononcésd’ex­citation, l’anxiété et la douleur. Une prise en charge adaptée peuts’avérer nécessaire pouvant aller jusqu’à la sédation.

4.4.1.2.11. Ex­cipients

Ce médicament contient du sodium. Le taux de sodium est inférieur à1 mmol par 100 mL, c’est à dire pratiquement « sans sodium ».

4.4.1.2.12. Mam­mographie spectrale avec rehaussement de contraste :

La mammographie spectrale avec rehaussement de contraste conduit à uneexposition des patientes aux rayonnements ionisants, légèrement plus élevéeque la mammographie standard. Par conséquent, il est important que la doseglobale d’irradiation soit inférieure à la limite de dose de rayonnementacceptée sur le plan international (3 mGy).

4.4.2. Mises en garde et Précautions d’emploi propres à certaines voiesd’adminis­tration avec diffusion systémique notable
4.4.2.1. Spéci­alités administrables par voie intra utérine
Contre-indication

Grossesse dans l’hystérosalpin­gographie.

Précautions d’emploi

Par l’interrogatoire et par des mesures appropriées, recherchersys­tématiquement chez la femme en âge de procréer l’éventualité d’unegrossesse L’exposition aux rayons X des voies génitales féminines doit fairel’objet d’une évaluation attentive du rapport bénéfice/risque.

En cas d’inflammation ou d’infection pelvienne aiguë,l’hysté­rosalpingograp­hie ne peut être réalisée, qu’après évaluationattentive du rapport bénéfice/risque.

4.4.2.2. Pancré­atite aiguë en cas de pancréatographie rétrograde parvoie endoscopique (PRE).

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

4.5.1. Médicaments

+ Metformine chez le diabétique (cf. rubrique 4.4 Précaution­sd’emploi — Insuffisance rénale).

+ Radiopharmace­utiques (cf. rubrique 4.4 Mise en garde)

Les produits de contraste iodés perturbent pendant plusieurs semaines lacapture de l’iode radioactif par le tissu thyroïdien pouvant entraînerd’une part un défaut de fixation dans la scintigraphie thyroïdienne etd’autre part une baisse d’efficacité du traitement par l’iode 131.

Lorsqu’une scintigraphie rénale réalisée par injection deradiopharma­ceutique secrété par le tubule rénal est prévue, il estpréférable de l’effectuer avant l’injection de produit decontraste iodé.

+ Béta-bloquants, substances vasoactives, inhibiteurs de l’enzyme deconversion de l’angiotensine, antagonistes des récepteurs del’angiotensine.

Ces médicaments entraînent une baisse de l’efficacité des mécanismes decompensation cardiovasculaire des troubles tensionnels : le médecin doit enêtre informé avant l’injection de produit de contraste iodé et disposer desmoyens de réanimation.

+ Diurétiques

En raison du risque de déshydratation induit par les diurétiques, uneréhydratation hydroélectrolytique préalable est nécessaire pour limiter lesrisques d’insuffisance rénale aiguë.

+ Interleukine 2

Il existe un risque de majoration de réaction aux produits de contraste encas de traitement récent par l’interleukine 2 (voie intraveineuse) :éruption cutanée ou plus rarement hypotension, oligurie, voire insuffisancerénale.

4.5.2. Autres formes d’interactions

Des concentrations élevées de produit de contraste iodé dans le plasma etl’urine peuvent interférer avec les dosages in vitro de bilirubine, deprotéines et de substances inorganiques (fer, cuivre, calcium et phosphate) ;il est recommandé de ne pas faire pratiquer ces dosages dans les 24 heures quisuivent l’examen.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Embryotoxicité

Les études effectuées chez l’animal n’ont pas mis en évidenced’effet tératogène.

En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatifdans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, lessubstances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sontrévélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduitessur deux espèces.

Fœtotoxicité

La surcharge iodée ponctuelle consécutive à l’administration du produità la mère peut entraîner une dysthyroïdie fœtale si l’examen a lieuaprès 14 semaines d’aménorrhée. Cependant, la réversibilité de cet effetet le bénéfice maternel attendu justifient de ne pas surseoir àl’administration ponctuelle d’un produit de contraste iodé dans le cas oùl’indication de l’examen radiologique chez une femme enceinte estbien pesée.

Mutagénicité et fertilité

Le produit n’est pas mutagène dans les conditions de test utilisées.

Aucune donnée sur la fonction de reproduction n’est disponible.

Allaitement

Les produits de contraste iodés sont faiblement excrétés dans le laitmaternel. Leur administration ponctuelle à la mère comporte donc un risquefaible d’effets indésirables pour le nourrisson. Il est préférable desuspendre l’allaitement maternel pendant 24 heures après l’administrationdu produit de contraste iodé.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

Sans objet.

4.8. Effets indésirables

Au cours des essais cliniques menés chez 905 patients, 11 % d’entre euxont présenté un effet indésirable lié à l’administration de Xenetix (endehors de la sensation de chaleur), les plus fréquents étant la douleur, ladouleur au site d’injection, la dysgueusie et les nausées.

Les réactions indésirables à l’utilisation de Xenetix sontgénéralement d’intensité légère à modérée et de duréetransitoire.

Les réactions indésirables les plus fréquemment rapportées au cours del’administration de Xenetix depuis sa commercialisation sont une sensation dechaleur, une douleur et un œdème au site d’injection.

Les réactions d’hypersensibilité sont habituellement immédiates (pendantl’injection ou dans l’heure qui suit le début de l’injection) ou parfoisretardées (d’une heure à plusieurs jours après l’injection) et semanifestent alors par des effets indésirables cutanés.

Les réactions immédiates comportent un ou plusieurs effets successifs ouconcomitants, généralement à type de réaction cutanée, de troublesrespi­ratoires et/ou cardio-vasculaires qui peuvent être annonciateurs d’unchoc et être mortels dans de rares cas.

De très rares cas de troubles sévères du rythme cardiaque, y compris defibrillation ventriculaire, ont été décrits chez des patients atteints decardiopathies et en dehors du cadre d’une réaction d’hypersensibi­lité(voir rubrique 4.4 Précautions d’emploi).

Les réactions indésirables sont présentées dans le tableau ci-dessous parCSO (classe de système d’organes) et par fréquence, en utilisant lesconventions suivantes : très fréquent (³ 1/10), fréquent (³ 1/100 à<1/10), peu fréquent (³ 1/1000 à < 1/100), rare (³ 1/10000 à <1/1000), très rare (<1/10000), fréquence indéterminée (ne peut êtreestimée sur la base des données disponibles). Les fréquences indiquées sontextraites des données d’une étude observationnelle portant sur352 255 pa­tients.

Classe de système d’organes

Fréquence : effet indésirable

Affections du système immunitaire

Rare : hypersensibilité

Très rare : choc anaphylactique, réaction anaphylactoïde, réactionanaphy­lactique

Affections endocriniennes

Très rare : troubles thyroïdiens

Fréquence indéterminée : hypothyroïdie néonatale transitoire

Affections du système nerveux

Rare : présyncope (réaction vasovagale), tremblements*, paresthésies*

Très rare : coma*, convulsions*, état confusionnel <em>, troublesvisuel­s</em>, amnésie*, photophobie*, cécité transitoire*, somnolence,agi­tation, céphalées

Affections de l’oreille et du labyrinthe

Rare : vertige

Très rare : troubles de l’audition

Affections cardiaques

Rare : tachycardie, bradycardie

Très rare : arrêt cardiaque, infarctus du myocarde (plus fréquent aprèsune injection intra-coronarienne), troubles du rythme, fibrillationven­triculaire, angor, Torsades de Pointes, artériospasme coronaire.

Affections vasculaires

Rare : hypotension artérielle, hypertension artérielle

Très rare : collapsus circulatoire

Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales

Rare : dyspnée, toux, sensation de gorge serrée, éternuements

Très rare : arrêt respiratoire, œdème pulmonaire, bronchospasme,la­ryngospasme, œdème laryngé

Affections gastro-intestinales

Peu fréquent : nausées

Rare : vomissements

très rare : douleurs abdominales

Affections de la peau et des tissus sous-cutanés

Rare : œdème angioneurotique, urticaire (localisé ou étendu),érythème, pru­rit

Très rare : pustulose exanthémateuse généralisée aiguë, syndrome deStevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique, eczéma, rash maculopapuleux(il s’agit dans tous les cas de réactions d’hypersensibilité retardée)(voir rubrique 4.4)

Fréquence indéterminée : syndrome d’hypersensibilité

médicamenteuse systémique avec éosinophilie (DRESS) (voirrubrique 4.4)

Affections du rein et des voies urinaires

Très rare : insuffisance rénale aiguë, anurie

Troubles généraux et anomalies au site d’administration

Peu fréquent : sensation de chaleur

Rare : œdème facial, malaise, frissons, douleur au site d’injection

Très rare : nécrose au site d’injection après extravasation, œdème ausite d’injection, inflammation au site d’injection après extravasation

Investigations

Très rare : augmentation de la créatininémie

*Examens pendant lesquels la concentration du produit de contraste iodé dansle sang artériel est élevée

Comme cela est décrit dans la rubrique 4.4, un syndrome compartimental peutêtre observé après une extravasation.

Les effets indésirables suivants ont été rapportés avec d’autresproduits de contraste iodés hydrosolubles :

Classe de système d’organes

Fréquence : effet indésirable

Affections du système nerveux

Paralysie, parésie, hallucinations, troubles du langage

Affections gastro-intestinales

Pancréatite aiguë (après ERP), douleurs abdominales, diarrhée,tumé­faction parotidienne, hypersécrétion salivaire, dysgueusie

Affections de la peau et des tissus sous-cutanés

Erythème polymorphe

Affections vasculaires

Thrombophlébite

Investigations

Anomalies électroencépha­lographiques, augmentation des amylasessériques

Un collapsus cardio-vasculaire de gravité variable peut se produireimmédi­atement, sans signes annonciateurs, et compliquer les manifestation­scardio-vasculaires mentionnées dans le tableau ci-dessus.

Les douleurs abdominales et la diarrhée, non rapportées avec Xenetix, sontessentiellement liées à l’administration par voie orale ou rectale.

Une douleur locale et un œdème peut apparaître au site d’injection enl’absence d’extravasation du produit injecté; ils sont de nature bénigneet transitoire.

Au cours de l’administration intra-artérielle, la sensation de douleur ausite d’injection dépend de l’osmolalité du produit injecté.

Effets indésirables associés à des examens spécifiques :

Arthrographie : Des arthralgies ont été fréquemment rapportées au coursdes essais cliniques (4%). Hystérosalpin­gographie : Des douleurs pelviennesont été fréquemment rapportées au cours des essais cliniques (3%).

Population pédiatrique

Les effets indésirables de Xenetix chez les enfants devraient être de lamême nature que ceux observés chez les adultes. Leur fréquence ne peut pasêtre estimée sur la base des données disponibles.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

En cas de très forte dose, la perte hydrique et électrolytique doit êtrecompensée par une réhydratation appropriée. La fonction rénale doit êtresurveillée pendant au moins trois jours. Si nécessaire, une hémodialyse peutêtre réalisée.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : PRODUIT DE CONTRASTE IODE, code ATC :V08AB11

XENETIX 300 est un produit de contraste uroangiographique, hydrosoluble, nonionique, d’osmolalité 695 mosm/kg.

Efficacité et sécurité cliniques

Sept études ont évalué la performance diagnostique de la mammographies­pectrale avec rehaussement de contraste (contrast-enhanced spectralmammo­graphy, CESM) utilisant Xenetix® 300 ou 350, incluant un total de550 patientes (25 à 86 ans, dont 50% à 59% ayant une densité mammaire detype C-D selon l’ACR [seins denses]). Chez les patientes avec des résultatssuspects ou non-concluants en mammographie ± échographie (4 études),l’ajout de la mammographie spectrale a montré un gain de sensibilitésig­nificatif (93% vs. 78%; p<0,001), sans diminution de la spécificité (63%vs. 58%, p=0,63). La mammographie spectrale et l’IRM avec produit de contrastene différaient pas en termes de sensibilité alors que la spécificité étaitsignifica­tivement supérieure avec la mammographie spectrale. Chez les patientesprésentant des lésions malignes du sein prouvées histologiquemen­t(3 études), la sensibilité en termes de détection de la lésion index étaitde 77,9% à 82,5% pour la mammographie, 94% à 100 % pour la mammographies­pectrale et 95% à 97,4 % pour l’IRM.

En considérant toutes les lésions, la sensibilité était significative­mentplus faible avec la mammographie (55%) qu’avec la mammographie spectrale (72%)et l’IRM (76%), avec une spécificité de respectivement 95%, 94% et 88%.L’amélioration de la sensibilité était significativement plus importantechez les femmes ayant des seins denses (49% avec la mammographie et 71% avec lamammographie spectrale versus respectivement 62% et 72% en cas de seinsnon-denses).

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Injecté par voie vasculaire, iobitridol se distribue dans le compartimentin­travasculaire et l'espace interstitiel. Chez l’homme, la demi-vied’élimination est de 1.8 h, le volume de distribution de 200 mL/kg et laclairance totale de 93 mL/min en moyenne. La liaison aux protéinesplas­matiques est négligeable (< 2%). Il est éliminé principalement parvoie rénale (filtration glomérulaire sans réabsorption, ni sécrétiontubulaire) sous forme inchangée. L’effet de diurèse osmotique induit parXENETIX 300 est en rapport avec l’osmolalité et le volume injecté.

En cas d'insuffisance rénale, l’élimination se produit de façonprépondérante par voie biliaire. La substance est dialysable.

5.3. Données de sécurité préclinique

Au plan toxicologique, les résultats montrent par voie intraveineusel'ab­sence d'effets ou leur apparition dans des conditions très éloignées desconditions prévues en clinique humaine (posologie, répétition des doses). Enadministration unique à fortes doses (9 à 18g iode/kg) XENETIX provoque dessignes transitoires d'hypothermie, de dépression respiratoire et des lésionshistolo­giques de survenue dose-dépendante dans les organes cibles (foie, rein)de type vacuolisation hépatocytaire, vacuolisation et ectasie tubulaires. Enadministration réitérée pendant 28 jours chez le chien à dose élevée(2.8g iode/kg) on observe une dégénérescence granulo‑vacuolaire réversibleà l'arrêt du traitement.

Un effet irritant local peut être observé en cas d’extravasation.

Les résultats des études animales n'ont pas mis en évidence d'effettératogène.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Calcium édétate de sodium, trométamol, chlorhydrate de trométamol,hy­droxyde de sodium ou acide chlorhydrique, eau pour préparationsin­jectables.

6.2. Incompati­bilités

En l’absence d’études de compatibilité, ce médicament ne doit pasêtre mélangé avec d’autres médicaments.

6.3. Durée de conservation

3 ans

6.4. Précautions particulières de conservation

Flacons : A conserver à une température ne dépassant pas 30°C et àl’abri de la lumière.

Poches : A conserver dans son emballage extérieur d’origine à l’abride la lumière.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

Flacon de verre (type II) de 20 mL (monodose), 50 mL (monodose), 60 mL(monodose), 75 mL (monodose), 100 mL (monodose), 150 mL (monodose), 200 mL(monodose) ou 500 mL avec bouchon en élastomère (chlorobutyle).

Flacon de verre (type II) de 50 mL (monodose) ou 60 mL (monodose) avecbouchon en élastomère (chlorobutyle) + seringue en matière plastique à basede polypropylène, cathéter en matière plastique à base de polychlorure devinyle, prolongateur en matière plastique à base de polychlorure devinyle.

Flacon de verre (type II) de 50 mL (monodose) 75 mL (monodose), 100 mL(monodose) ou 150 mL (monodose) avec bouchon en élastomère (chlorobutyle)avec nécessaire d’administration pour injecteur Medrad Stellant : seringue enmatière plastique à base de polyéthylène téréphthalate, prolongateur enmatière plastique à base de polychlorure de vinyle et cathéter à base depolyuréthane.

Flacon de verre (type II) de 100 mL (monodose) ou 150 mL (monodose) avecbouchon en élastomère (chlorobutyle) avec nécessaire d’administration pourinjecteur CT Exprès : set patient à base de polyméthacrylate butadiènestyrène, perforateur à base de polyméthacrylate butadiène styrène etcathéter à base de polyuréthane.

Poche en polypropylène de 100 mL (monodose), 150 mL (monodose), 200 Ml(monodose) ou 500 mL.

Poche en polypropylène de 100 mL (monodose) ou 150 mL (monodose) avecnécessaire d’administration pour injecteur Medex SBI : prolongateur enmatière plastique à base de polychlorure de vinyle et cathéter à base depolyuréthane.

Poche en polypropylène de 100 mL (monodose) ou 150 mL (monodose) avecnécessaire d’administration pour injecteur FlowSens : prolongateur enmatière plastique à base de polychlorure de vinyle et cathéter à base depolyuréthane.

Poche en polypropylène de 100 mL (monodose) ou 150 mL (monodose) avecnécessaire d’administration pour injecteur Medrad Stellant : seringue enmatière plastique à base de polyéthylène téréphthalate, prolongateur enmatière plastique à base de polychlorure de vinyle et cathéter à base depolyuréthane.

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

La présentation 500 mL est pour exportation uniquement.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d’exigences particulières pour l’élimination.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

GUERBET

BP 57400

95943 ROISSY CDG CEDEX

FRANCE

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 269 079–9 ou 34009 269079 9 0 : 1 flacon en verre de 20 mL rempli à20 mL

· 337 767–9 ou 34009 337767 9 4 : 1 flacon en verre de 30 mL rempli à20 mL

· 337 768–5 ou 34009 337768 5 5 : 1 flacon en verre de 50 mL

· 337 769–1 ou 34009 337769 1 6 : 1 flacon en verre de 60 mL

· 269 080–7 ou 34009 269080 7 2 : 1 flacon en verre de 100 mL remplià 75 mL

· 346 624–2 ou 34009 346624 2 3 : 1 flacon en verre de 125 mL remplià 75 mL

· 269 081–3 ou 34009 269081 3 3 : 1 flacon en verre de 100 mL remplià 100 mL

· 337 771–6 ou 34009 337771 6 6 : 1 flacon en verre de 125 mL remplià 100 mL

· 337 772–2 ou 34009 337772 2 7 : 1 flacon en verre de 150 mL

· 337 705–3 ou 34009 337705 3 2 : 1 flacon en verre de 200 mL

· 337 707–6 ou 34009 337707 6 1 : 1 flacon en verre de 500 mL

· 337 708–2 ou 34009 337708 2 2 : 1 flacon en verre de 50 mL avecmatériel(s) de perfusion PVC

· 337 709–9 ou 34009 337709 9 0 : 1 flacon en verre de 60 mL avecmatériel(s) de perfusion PVC

· 560 157–2 ou 34009 560157 2 6 : 1 flacon en verre de 50 mL ; boîtede 25

· 584 220–6 ou 34009 584220 6 5 : 1 flacon en verre de 100 mL remplià 100 mL ; boîte de 10.

· 560 158–9 ou 34009 560158 9 4 : 1 flacon en verre de 125 mL remplià 100 mL ; boîte de 10.

· 34009 301 645 2 5 : Boite de 1 flacon en verre de 50 mL avecnécessaire d'administration pour injecteur Medrad Stellant (1 seringue +1 prolongateur + 1 cathéter sécurisé 20G)

· 34009 301 645 3 2 : Boite de 1 flacon en verre de 100 mL rempli à75 mL avec nécessaire d'administration pour injecteur Medrad Stellant(1 seringue + 1 prolongateur + 1 cathéter sécurisé 20G)

· 34009 301 645 4 9 : Boite de 1 flacon en verre de 125 mL rempli à75 mL avec nécessaire d'administration pour injecteur Medrad Stellant(1 seringue + 1 prolongateur + 1 cathéter sécurisé 20G)

· 34009 301 074 2 3 : Boite de 1 flacon en verre de 100 mL rempli à100 mL avec nécessaire d'administration pour injecteur Medrad Stellant(1 seringue + 1 prolongateur + 1 cathéter sécurisé 20G)

· 34009 301 645 5 6 : Boite de 1 flacon en verre de 125 mL rempli à100 mL avec nécessaire d'administration pour injecteur Medrad Stellant(1 seringue + 1 prolongateur + 1 cathéter sécurisé 20G)

· 34009 301 074 4 7 : Boite de 1 flacon en verre de 150 mL avecnécessaire d'administration pour injecteur Medrad Stellant (1 seringue +1 prolongateur + 1 cathéter sécurisé 20G)

· 34009 301 893 7 5 : Boite de 1 flacon en verre de 100 mL rempli à100 mL avec nécessaire d'administration pour injecteur CT Exprès (1 setpatient + 1 perforateur + 1 cathéter sécurisé 20G)

· 34009 301 893 8 2 : Boite de 1 flacon en verre de 125 mL rempli à100 mL avec nécessaire d'administration pour injecteur CT Exprès (1 setpatient + 1 perforateur + 1 cathéter sécurisé 20G)

· 34009 301 893 9 9 : Boite de 1 flacon en verre de 150 mL avecnécessaire d'administration pour injecteur CT Exprès (1 set patient +1 perforateur + 1 cathéter sécurisé 20G)

· 369 144–7 ou 34009 369144 7 6 : 1 poche polypropylène de 100 mL

· 369 147–6 ou 34009 369147 6 6 : 1 poche polypropylène de 150 mL

· 369 149–9 ou 34009 369149 9 5 : 1 poche polypropylène de 200 mL

· 369 151–3 ou 34009 369151 3 8 : 1 poche polypropylène de 500 mL

· 570 820–6 ou 34009 570820 6 2 : 1 poche polypropylène de 100 mL ;boîte de 10

· 570 821 2 ou 34009 570821 2 3 : 1 poche polypropylène de 150 mL ;boîte de 10

· 570 822–9 ou 34009 570822 9 1 : 1 poche polypropylène de 200 mL ;boîte de 10

· 570 823–5 ou 34009 570823 5 2 : 1 poche polypropylène de 500 mL ;boîte de 10

· 273 715–3 ou 34009 273715 3 0 : Boite de 1 poche de 100 mL (enpolypropylène) avec nécessaire d'administration pour injecteur Medex SBI(1 prolongateur + 1 cathéter 20G)

· 273 717–6 ou 34009 273717 6 9 : Boite de 1 poche de 150 mL (enpolypropylène) avec nécessaire d'administration pour injecteur Medex SBI(1 prolongateur + 1 cathéter 20G)

· 279 603–2 ou 34009 279 603 2 1 : Boite de 1 poche de 100 mL (enpolypropylène) avec nécessaire d'administration pour injecteur FlowSens(1 pro­longateur + 1 cathéter sécurisé 20G)

· 279 604–9 ou 34009 279 604 9 9 : Boite de 1 poche de 150 mL (enpolypropylène) avec nécessaire d'administration pour injecteur FlowSens(1 pro­longateur + 1 cathéter sécurisé 20G

· 34009 301 074 5 4 : Boite de 1 poche de 100 mL (en polypropylène)avec nécessaire d'administration pour injecteur Medrad Stellant (1 seringue +1 prolongateur + 1 cathéter sécurisé 20G)

· 34009 301 074 6 1 : Boite de 1 poche de 150 mL (en polypropylène)avec nécessaire d'administration pour injecteur Medrad Stellant (1 seringue +1 prolongateur + 1 cathéter sécurisé 20G)

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I

Médicament soumis à prescription médicale.

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