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ZARONTIN 250 mg/5 ml, sirop - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - ZARONTIN 250 mg/5 ml, sirop

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

ZARONTIN 250 mg/5 ml, sirop

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Ethosuximide.­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.............­.........250,00 mg

Pour 5 ml de sirop.

Excipients à effet notoire :

Chaque 5 ml de sirop contient 5 mg de glucose, 3 g de saccharose, 42 mgpropylène glycol (E 1520) et 12 mg de benzoate de sodium (E 211)

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Sirop.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Chez l’adulte :

· soit en monothérapie,

· soit en association à un autre traitement antiépileptique:

o traitement des épilepsies généralisées: absences, crises myocloniqueset atoniques.

Chez l’enfant :

· soit en monothérapie,

· soit en association à un autre traitement antiépileptique:

o traitement des épilepsies généralisées: absences, crises myocloniqueset atoniques.

4.2. Posologie et mode d'administration

Posologie

Utilisez le godet-doseur (le godet doseur est gradué à 2,5 ml, 5 ml,10 ml et 15 ml).

Il est recommandé de débuter par : 10 ml de sirop à partir de 6 ans.

En fonction de la réponse, la posologie sera augmentée trèsprogressivement de 5 ml de sirop tous les 4 à 7 jours jusqu'au contrôlecomplet des crises.

La posologie chez l'enfant entre 3 et 6 ans est 5 ml de siroppar jour.

Chez l'adulte, la posologie efficace se situe à 20 mg/kg/jour soit 30 mlde sirop (1,5 g). La posologie maximale est de 2 g par jour (40 ml desirop).

Chez l'enfant, la posologie efficace varie entre 20 et 30 mg/kg/jour, et laposologie maximale est 1 g par jour. Si une posologie plus importante étaitnécessaire, elle nécessiterait une surveillance médicale stricte et l'étudedes taux plasmatiques.

L'étude des taux plasmatiques doit être effectuée en cas de mauvaiscontrôle des crises ou d'apparition d'une toxicité, elle peut l'êtreégalement à titre de surveillance tous les 6 mois.

Mode d’administration

Voie orale.

La dose journalière doit être répartie en 2 prises à absorber aux repasdu matin et du soir ; quand le contrôle des crises est obtenu, une seule prisequotidienne est possible, étant donné la longue demi-vie del'éthosuximide.

Rincer soigneusement le godet doseur après administration.

4.3. Contre-indications

· Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipientsmen­tionnés à la rubrique 6.1.

· En association avec le millepertuis.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

Mises en garde

La tolérance et l'efficacité de l'éthosuximide n'ont pas été établieschez l'enfant de moins de 3 ans.

Toute augmentation ou diminution de la posologie de l'éthosuximide doitêtre effectuée de façon progressive. Tout arrêt brutal est susceptibled'en­traîner un état de mal épileptique.

L'introduction d'un médicament antiépileptique peut, rarement, être suivied'une recrudescence des crises ou de l'apparition d'un nouveau type de crisechez le patient, et ce indépendamment des fluctuations observées danscertaines maladies épileptiques. En ce qui concerne l'éthosuximide, les causesde ces aggravations peuvent être : un choix de médicament mal approprié visà vis des crises ou du syndrome épileptique du patient, une modification dutraitement antiépileptique concomitant ou une interaction pharmacocinéti­queavec celui-ci, une toxicité ou un surdosage. Il peut ne pas y avoir d'autreexplication qu'une réaction paradoxale.

Des idées et comportements suicidaires ont été rapportés chez despatients traités par des antiépileptiques dans plusieurs indications. Uneméta-analyse d’études randomisées contrôlées contre placebo demédicaments antiépileptiques a également montré une légère augmentation durisque d’idées et comportements suicidaires. Le mécanisme de ce risque estinconnu et les données disponibles ne permettent pas d’exclure lapossibilité d’un risque accru avec ZARONTIN. Les patients doivent parconséquent être surveillés pour détecter des signes d’idées etcomportements suicidaires et un traitement approprié doit être envisagé. Ilconvient de recommander aux patients (et à leur soignants) de consulter unmédecin en cas d’apparition de signes d’idées ou comportementssu­icidaires.

Réactions cutanées sévères

Des réactions dermatologiques graves, incluant le syndrome de StevensJohnson (SJS) et la réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômessysté­miques (DRESS), ont été rapportées avec le traitement àl’éthosuximide. Le SJS et les DRESS peuvent être mortels. Les patientssemblent être les plus exposés à ces réactions au début du traitement,l'ap­parition de la réaction se produisant dans la majorité des cas au cours dupremier mois de traitement. L'éthosuximide doit être arrêté dèsl'apparition des premiers signes et symptômes de réactions cutanées graves,telles qu'une éruption cutanée, des lésions des muqueuses ou tout autre signed'hypersen­sibilité.

Précautions d’emploi

· En cas d'absences associée à une autre forme d'épilepsie (crisesgénéralisées ou partielles), dont l'éthosuximide utilisé seul estsusceptible d'augmenter la fréquence, il est recommandé de lui associer unautre antiépileptique.

· Une attention particulière doit être accordée aux symptômes cliniquesd’une lésion de la moelle osseuse (fièvre, angine, hémorragie) (voirrubrique 4.8). Il est recommandé de contrôler la numération sanguinerégulière­ment (initialement tous les mois, puis tous les six mois après unan) afin d’identifier l’apparition potentielle d’une lésion de la moelleosseuse. En cas d’une formule leucocytaire inférieure à 3 500/mm³ oud’un ratio de granulocytes inférieur à 25 %, la dose doit être réduite oule traitement arrêté. Un contrôle des enzymes hépatiques doit aussi se fairerégulièrement.

· En cas d'affection rénale, ou hépatique, l'éthosuximide doit êtreutilisé avec prudence puisque des altérations des fonctions rénales ethépatiques ont été rapportées ; des bilans urinaires et des testshépatiques devront être pratiqués régulièrement.

· La possibilité de survenue d'un lupus érythémateux disséminé doitêtre prise en compte.

Excipients à effet notoire
Glucose et saccharose :

Contient 3 g de saccharose et 5 mg de glucose par 5 mL. Ceci est àprendre en compte pour les patients atteints de diabète sucré. Les patientsprésentant une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption duglucose et du galactose ou un déficit en sucrase/isomaltase (maladieshéré­ditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.

Peut être nocif pour les dents.

Benzoate de sodium (E 211) :

Ce médicament contient 12 mg d’acide benzoïque/de sel de benzoate (E211) par 5 mL équivalent à 2,4 mg/mL. L’augmentation de la bilirubinémiesuite à son déplacement grâce à l’albumine peut accroître le risqued’ictère néonatal pouvant se transformer en ictère nucléaire (dépôts debilirubine non conjuguée dans le tissu cérébral).

Propylène glycol (E 1520) :

Ce médicament contient 42 mg de propylène glycol par 5 mL équivalent à8,4 mg/mL. L’administration concomitante avec n’importe quel substrat pourl’alcool déshydrogénase comme l’éthanol peut induire des effetsindésirables graves chez les nouveau-nés.

Sodium :
Ce médicament contient 5,8 mg de sodium par 5 mL, ce qui équivaut à0,3% de l’apport alimentaire quotidien maximal recommandé par l’OMS de 2 gde sodium par adulte.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

Associations contre-indiquées

+ Millepertuis

Risque de diminution des concentrations plasmatiques et de l'efficacité del'anticonvul­sivant.

Associations faisant l'objet de précautions d’emploi

+ Carbamazépine

Diminution des concentrations plasmatiques d'éthosuximide.

Surveillance clinique et dosage plasmatique d'éthosuximide et adaptationéven­tuelle de sa posologie.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

· Risque lié à l'épilepsie et aux antiépileptiques :

Tous antiépileptiques confondus, il a été montré que dans la descendancedes femmes épileptiques traitées, le taux global de malformations est 2 à3 fois supérieur à celui (3% environ) de la population générale. Bienqu’on constate une augmentation du nombre d'enfants malformés avec lapolythérapie, la part respective des traitements et de la maladie n'a pas étéréellement établie.

Les malformations le plus souvent rencontrées sont des fentes labiales etdes malformations cardio-vasculaires.

L'interruption brutale du traitement antiépileptique peut entraîner pour lamère une aggravation de la maladie préjudiciable au fœtus.

· Risque lié à l'éthosuximide :

Les données animales ont mis en évidence un effet tératogène(mal­formations squelettiques). Dans l’espèce humaine, les données cliniquessont insuffisantes.

Compte tenu de ces données :

Si une grossesse est envisagée, c’est l’occasion de peser à nouveaul’indication du traitement antiépileptique.

L’utilisation d’éthosuximide est déconseillée au cours de lagrossesse. Toutefois, il convient de ne pas interrompre le traitementbru­talement. Si l’interruption du traitement compromet l’équilibre de lapatiente, sa poursuite est envisageable avec une surveillance échographique­orientée sur le squelette.

Allaitement

L’éthosuximide passe dans le lait maternel et expose le nouveau-né à desdoses importantes susceptibles d’entrainer des effets indésirables (voirrubriques 4.4 et 4.8).

En cas de traitement par ce médicament, l’allaitement maternel est doncdéconseillé.

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

L'attention est attirée, notamment chez les conducteurs des véhicules etles utilisateurs de machines, sur les risques de somnolence, vertiges,léthargie, fatigue, ataxie, attachés à l'emploi d'éthosuximide.

4.8. Effets indésirables

Les effets indésirables ci-dessous, sont listés selon la classification­MedDRA par système-organe et par ordre de fréquences :

Fréquent (≥1/100, <1/10), peu fréquent (≥1/1000, <1/100),fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des donnéesdisponi­bles).

MedDRA

System Organ Class

Fréquence

Effets indésirables

Affections hématologiques et du système lymphatique

Peu fréquent

Agranulocytose*, anémie aplastique*, éosinophilie*, leucopénie,pan­cytopénie

Indéterminée

Thrombocytopénie

Troubles du métabolisme et de la nutrition

Fréquent

Diminution de l’appétit

Peu fréquent

Amaigrissement

Affections psychiatriques

Peu fréquent

Dépression*, idées suicidaires*

Troubles psychotiques*, troubles du sommeil*

Affections du système nerveux

Fréquent

Céphalées, ataxie, somnolence, vertiges

Peu fréquent

Léthargie, hyperactivité*

Indéterminée

Exacerbation possible de l’épilepsie à crise généralisée ou partielleassociées aux absences

Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales

Peu fréquent

Hoquet

Affections gastro-intestinales

Fréquent

Douleurs épigastriques, douleurs abdominales,nau­sées, vomissements

Peu fréquent

Hypertrophie gingivale*

Affections de la peau et du tissu sous-cutané

Fréquent

Rash érythémateux, urticaire

Peu fréquent

Réaction cutanées graves incluant syndrome de Stevens-Johnson(SJS)<em>, réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômessysté­miques (voir rubrique 4.4) (DRESS)</em>, syndromed’hyper­sensibilité aux anticonvulsivants

Affections musculo-squelettiques et systémiques

Peu fréquent

Lupus érythémateux disséminé*

Affections hépatobiliaires

Peu fréquent

Fonction hépatique anormale

Troubles généraux et anomalies au site d'administration

Peu fréquent

Fatigue, irritabilité*

* Fréquences estimées pour les effets indésirables observés après lacommerciali­sation, non observés dans les essais cliniques (basées sur lalimite supérieure de l'intervalle de confiance de 95%).

** Ces effets indésirables peuvent s'observer en début du traitement. Cesmanifestations cèdent habituellement rapidement ou après diminutionposo­logique et ne réapparaissent pas ultérieurement.

Résumé du profil de sécurité

Affections de la peau et du tissu sous-cutané :

Des effets indésirables cutanés graves (SCAR), incluant le syndrome deStevens-Johnson (SJS) et la réaction médicamenteuse avec éosinophilie etsymptômes systémiques (DRESS) ont été rapportées en association avec letraitement à l'éthosuximide (voir rubrique 4.4).

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

Aucun cas d'intoxication aiguë n'ayant été rapporté chez l'homme, la doselétale minima est estimée à 5 g.

Symptômes :

Somnolence, nausées, vomissements, vertiges, incoordination, irritabilité,ner­vosité, céphalées, anorexie, diarrhée, confusion, troubles psychologiquesou psychiatriques.

En cas de surdosage, il n'existe pas d'antidote spécifique ; il fautpratiquer un lavage gastrique et instituer un traitement symptomatique etadjuvant en tenant compte de la très longue demi-vie de l'éthosuximide.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Classe pharmacothéra­peutique : Antiépileptique, code ATC : N03AD01

L'éthosuximide est un antiépileptique spécifique des absences, il supprimel'activité paroxystique, pointes-ondes à 3 cycles par seconde, associée auxpertes de conscience, caractéristiques des crises des absences.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Absorption

Après administration par voie orale, l'éthosuximide est rapidement etpresque complètement absorbé. Des pics plasmatiques de 38 mcg/ml en moyennesont observés 3 à 7 heures après administration d'une dose unique de500 mg chez l'enfant. Chez l'adulte, l'état d'équilibre est atteint en7 jours environ. Les taux plasmatiques résiduels se situent à 34 mcg/ml enmoyenne, pour une prise quotidienne de 500 mg. Les taux sanguinsthéra­peutiques de l'éthosuximide varient entre 40 et 100 mcg/ml.

Distribution

Le volume de distribution de l'éthosuximide est d'environ 0,7 l/kg. Il estcomparable à celui du compartiment liquidien de l'organisme.

L'éthosuximide ne se lie pas aux protéines plasmatiques. Il diffuse danstous les tissus et traverse la barrière hématoencéphalique et le placenta. Ilest retrouvé dans le liquide céphalo-rachidien, la salive, les larmes et lelait maternel à des concentrations comparables à celles du plasma.

Biotransformation

L'éthosuximide est fortement métabolisé essentiellement par voie oxydativeen au moins 3 métabolites. Seuls 20 % de la dose administrée sont retrouvésdans les urines. Le métabolite principal retrouvé dans les urines etreprésentant 60% de la dose totale est le 2-(1-hydroxyethyl)-2-methylsuximide.

La demi-vie d'élimination plasmatique est d'environ 60 heures chez l'adulteet d'environ 30 heures chez l'enfant en raison d'une plus forte clairanceméta­bolique.

Élimination

L'excrétion de l'éthosuximide est essentiellement rénale sous formeinchangée (20%) et sous forme de métabolites libres et conjugués.

5.3. Données de sécurité préclinique

Non renseignée.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Citrate de sodium dihydraté, benzoate de sodium (E 211), saccharine sodique,saccharose, glycérol (E422), arôme artificiel de framboise (<em>), acidecitrique monohydraté, eau purifiée.</em>

() Composition de l'arôme artificiel de framboise: jus de fraise concentré,jus de framboise concentré, vanilline, acétate de benzyle, alpha-ionone,acétate d'amyle, acétate d'éthyle, phénylglycinate d'éthyle, butyrated'amyle, acide acétique, acétate d'isobutyle, acide propionique, carbonate deméthylheptine, anthranilate d'éthyle, propylène glycol (E 1520), glucose.

6.2. Incompati­bilités

L'éthosuximide est incompatible avec les acides forts et les basesfortes.

6.3. Durée de conservation

3 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation

Ce médicament ne nécessite pas de précautions particulières deconservation.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

200 ml en flacon (verre brun) avec bouchon (aluminium) ou bouchon(polypro­pylène) avec sécurité enfant et godet-doseur (polypropylène) graduéà 2,5 ml, 5 ml, 10 ml et 15 ml.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d’exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

ESSENTIAL PHARMA (M) LTD

VISION EXCHANGE BUILDING,

TRIQ IT-TERRITORJALS, ZONE 1,

CENTRAL BUSINESS DISTRICT,

BIRKIRKARA, CBD 1070

MALTE

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

34009 325 079 5 5 : 200 ml en flacon (verre brun) avec godet-doseur(polypro­pylène).

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste II

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