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RANITIDINE MYLAN 300 mg, comprimé pelliculé - résumé des caractéristiques

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Résumé des caractéristiques - RANITIDINE MYLAN 300 mg, comprimé pelliculé

1. DENOMINATION DU MEDICAMENT

RANITIDINE MYLAN 300 mg, comprimé pelliculé

2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Chaque comprimé pelliculé contient 300 mg de ranitidine sous forme dechlorhydrate de ranitidine.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

3. FORME PHARMACEUTIQUE

Comprimé pelliculé.

Comprimé blanc à beige, convexe, pelliculé, en forme de gélule avec lagravure « G » sur un côté et « 0031 » sur l’autre côté.

4. DONNEES CLINIQUES

4.1. Indications thérapeutiques

Adultes

Ulcère gastrique et duodénal, en prophylaxie de l'ulcère duodénal, dansl'œsophagite par reflux et dans le traitement du syndrome deZollinger-Ellison.

Enfants (3 à 18 ans)

· Traitement à court terme des ulcères gastroduodénaux,

· Traitement du reflux gastro-œsophagien, y compris les œsophagites parreflux et le soulagement des symptômes liés au reflux gastro-œsophagien.

4.2. Posologie et mode d'administration

Posologie
Adultes, enfants et jeunes personnes de plus de 12 ans

Traitement de l'ulcère gastrique et duodénal : 150 mg 2 fois par jour ou300 mg une fois par jour après le dîner ou au coucher. Pour l'ulcèreduodénal, la posologie peut être augmentée à 300 mg, 2 fois par jourpendant 4 semaines au maximum.

Chez les personnes âgées et chez les patients présentant une insuffisancerénale et/ou hépatique, la dose sera réduite à 150 mg au coucher pour unepériode de 4 à 8 semaines.

Traitement prophylactique de l'ulcère duodénal : 150 mg ou 300 mg unefois par jour après le dîner ou au coucher.

Œsophagite par reflux : 300 mg par jour ou 150 mg, 2 fois par jourpendant 4 à 8 semaines ou, si nécessaire, jusqu'à 12 semaines.

Syndrome de Zollinger-Ellison : 150 mg 3 à 4 fois par jour. La posologiepeut être augmentée à 300 mg 4 fois par jour. Des doses plus élevéespeuvent être administrées. Des traitements utilisant des doses allant jusqu'à6 g/jour ont été tolérés.

Patients insuffisants rénaux

La posologie devra être réduite chez les patients présentant uneinsuffisance rénale.

Selon les valeurs de la clairance de la créatinine (mL/min) ou de lacréatinine sérique, les posologies suivantes sont recommandées :

Clairance de la créatinine (mL/min)

Créatinine sérique (approx*) (mg/100 mL)

Posologie de ranitidine par jour (orale)

jusqu'à 30 supérieure à 30

supérieure à 2,6 inférieure à 2,6

150 mg 300 mg

*Les teneurs en créatinine sérique sont présentées à titre indicatif etne reflètent pas le même degré d'insuffisance chez tous les patients chezlesquels la fonction rénale est réduite. Ceci concerne notamment les patientsâgés, chez lesquels la fonction rénale est surestimée par les concentrationsen créatinine sérique.

La formule suivante peut être utilisée pour estimer la clairance de lacréatinine à partir des teneurs en créatinine sérique mesurées (mg/100 mL),l'âge (en année) et le poids corporel (en kg). Chez les femmes, le résultatdoit être multiplié par le facteur 0,85.

Les patients dialysés devront recevoir la dose de ranitidine la plus basseà l'issue de la dialyse, car la ranitidine n'est pas éliminée par ceprocessus.

Population pédiatrique

Enfants de 12 ans et plus

Pour les enfants de 12 ans et plus, la posologie adulte est donnée.

Enfants de 3 à 11 ans et de plus de 30 kg

Voir rubrique 5.2 -Populations spéciales de patients.

Traitement de l’ulcère gastroduodénal aigu

La posologie par voie orale recommandée pour le traitement de l’ulcèregastro­duodénal chez les enfants est de 4 mg /kg /jour à 8 mg/kg/jourad­ministrés en deux doses séparées, avec une dose maximale de 300 mg parjour de ranitidine durant 4 semaines.

Pour les patients ayant une guérison incomplète, 4 semainessup­plémentaires de traitement sont indiquées, étant donné que la guérisonsurvient généralement après 8 semaines de traitement.

Reflux gastro-œsophagien

La posologie par voie orale recommandée pour le traitement du refluxgastro-œsophagien chez les enfants est de 5 mg/kg/jour à 10 mg/kg/jourad­ministrés en deux doses séparées, avec une dose maximale de 600 mg parjour (posologie maximale susceptible de s’appliquer aux enfants et auxadolescents de poids élevé et ayant des symptômes sévères).

Nouveau-nés

La sécurité et l’efficacité chez les nouveau-nés n’ont pas étéétablies.

Patients âgés (plus de 50 ans)

Voir rubrique 5.2, Populations spéciales de patients.

Insuffisance hépatique

Réduction de la dose.

Mode d’administration

Voie orale.

4.3. Contre-indications

· Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipientsmen­tionnés à la rubrique 6.1.

· De rares cas cliniques ont évoqué un lien entre porphyrie aiguë ettraitement par la ranitidine. Il convient de ne pas traiter les patients ayantdes antécédents de porphyrie aiguë avec de RANITIDINE MYLAN.

4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi

La possibilité de pathologie maligne doit être exclue avant de commencer untraitement chez des patients souffrant d’ulcère gastrique, car un traitementpar la ranitidine peut masquer les symptômes d’un carcinome gastrique.

La ranitidine est excrétée par voie rénale ; par conséquent, les tauxplasmatiques du médicament sont plus élevés chez les patients atteintsd’insuf­fisance rénale sévère. La prudence s’impose chez les patientsâgés, chez lesquels la fonction rénale peut être diminuée.

Pour les patients insuffisants rénaux et/ou hépatiques aussi bien que chezles patients âgés, la posologie doit être ajustée de la manière décriteci-dessus (voir rubrique 4.2.).

De rares rapports cliniques indiquent que la ranitidine peut accélérer lasurvenue de crises de porphyrie aiguë. L’utilisation de ranitidine doit doncêtre évitée chez les patients ayant des antécédents de porphyrie aiguë(voir rubrique 4.3).

Chez des patients tels que des personnes âgées, des personnes souffrantd’une pathologie pulmonaire chronique, les patients diabétiques ouimmunodéprimés, il peut y avoir un risque accru de développement d’unepneumonie extrahospitalière. Une vaste étude épidémiologique a mis enévidence un risque accru de développement d’une pneumonie extrahospitalièrechez les utilisateurs actuels de ranitidine seule par rapport à ceux qui ontarrêté le traitement, avec une augmentation de 1,82 (IC 95 % : 1,26–2,64)du risque relatif ajusté observé.

Une surveillance régulière des patients qui prennent desanti-inflammatoires non stéroïdiens en association avec la ranitidine estrecommandée, en particulier chez les patients âgés et chez ceux ayant desantécédents d’ulcère peptique.

Par rapport au sucralfate, la ranitidine augmente nettement les complicationsin­fectieuses associées aux antagonistes des récepteurs histaminiquesad­ministrés en prophylaxie aux patients gravement malades. Ce fait a étédémontré lors d’une étude randomisée chez 98 patients. L’augmentationdes complications infectieuses est très probablement associée àl’inhibition de la sécrétion acide et non au médicament lui-même.

4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formesd'interactions

La ranitidine peut modifier l’absorption, le métabolisme ou l’excrétionrénale d’autres médicaments. L’altération de la pharmacocinétique peutnécessiter un ajustement posologique du médicament affecté ou l’arrêt dutraitement.

Les interactions reposent sur plusieurs mécanismes, parmi lesquels :

1) Inhibition du système d’oxygénase à fonction mixte liée aucytochrome P450 : la ranitidine aux doses thérapeutiques usuelles nepotentialise pas l’activité des médicaments qui sont inactivés par cesystème enzyme, comme le diazépam, la lidocaïne, la phénytoïne, lepropranolol et la théophylline.

Une modification du temps de prothrombine a été signalée avec lesanticoagulants coumariniques (p. ex., la warfarine). Du fait de la margethérapeutique étroite, il est recommandé de surveiller soigneusementl’au­gmentation ou la diminution du temps de prothrombine lors d’untraitement concomitant par la ranitidine.

2) Compétition pour la sécrétion tubulaire rénale : La ranitidine étantpartiellement éliminée par le système cationique, elle peut affecter laclairance d’autres médicaments éliminés par cette voie. De fortes doses deranitidine (telles que celles utilisées pour le traitement du syndrome deZollinger-Ellison) pourraient diminuer l’excrétion de procaïnamide et deN-acétyl-procaïnamide, ce qui se traduirait par une augmentation des tauxplasmatiques de ces médicaments.

3) Altération du pH gastrique : La biodisponibilité de certainsmédicaments peut être affectée. Cela peut avoir pour conséquence soit uneaugmentation de l’absorption (p. ex., triazolam, midazolam, glipizide), soitune diminution de l’absorption (p. ex., kétoconazole, atazanavir,dé­lavirdine, gefitinib). L’administration concomitante de 300 mg deranitidine à de l’erlotinib a diminué l’aire sous la courbe (ASC) et laconcentration maximale (Cmax) de l’erlotinib respectivement de 33 % et 54 %.Cependant, lorsque l’erlotinib a été dosé de façon espacée, 2 heuresavant ou 10 heures après l’administration de ranitidine 150 mg deux foispar jour, l’aire sous la courbe (ASC) et la concentration maximale (Cmax) del’erlotinib ont seulement diminué respectivement de 15 % et 17 %.

Il n’y a pas de mise en évidence d’une interaction entre la ranitidineet l’amoxicilline et le métronidazole. Si des doses élevées de sucralfate(2 g) sont administrées avec la ranitidine, l’absorption de ce dernier peutêtre réduite. Cet effet n’est pas vu si le sucralfate est pris après unintervalle de 2h.

4.6. Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse

La ranitidine traverse la barrière placentaire. Comme d’autresmédica­ments, la ranitidine ne doit être utilisée pendant la grossesse qu’encas de nécessité absolue.

Allaitement

La ranitidine est excrétée dans le lait maternel humain. Comme d’autresmédica­ments, la ranitidine ne doit être utilisée pendant l’allaitementqu’en cas de nécessité absolue.

Fertilité

Il n’existe pas de données sur les effets de la ranitidine sur lafertilité humaine. Il n’y a pas eu d’effets sur la fertilité mâle etfemelle au cours des études chez les animaux (voir rubrique 5.3).

4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser desmachines

Pas d’effets rapportés. Cependant, des maux de tête, desétourdissements, une confusion, des hallucinations peuvent survenir comme deseffets indésirables, qui sont susceptibles d'affecter la conduite etl'utilisation de machines.

4.8. Effets indésirables

Les conventions suivantes ont été utilisées pour la classification deseffets indésirables : très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100 à<1/10), peu fréquent (≥1/1 000 à <1/100), rare (≥1/10 000 à<­1/1 000), très rare (<1/10 000), fréquence indéterminée (ne peutêtre estimée sur la base des données disponibles).

Les fréquences des effets indésirables ont été estimées sur la base desrapports spontanés émanant des données issues de la surveillance postérieureà la mise sur le marché.

Système Classe-organe

Très fréquent

Fréquent

Peu Fréquent

Rare

Très rare

Fréquence indéterminée

Infections et infestations

Utilisée chez des patients gravement blessés, la ranitidine estassociée – par rapport au sucralfate – à une augmentationsta­tistiquement significative des complications infectieuses générales

Méningite aseptique

Affections hématologiques et du système lymphatique

Modifications de la numération des cellules sanguines (leucopénie,throm­bocytopénie). Ces effets sont habituellement réversibles. Agranulocytoseou pancytopénie, s’accompagnant parfois d’hypoplasie ou d’aplasiemédu­llaire.

Affections du système immunitaire

Réactions laryngées d’hypersensibilité aiguë (p. ex., éosinophilie,ur­ticaire, œdème angioneurotique, fièvre, hypotension, bronchospasme, spasme, et douleur au niveau de la poitrine).

Choc anaphylactique.

Affections psychiatriques

Confusion mentale réversible, dépression et hallucinations.

Ces effets ont été décrits principalement chez des patients gravementmalades, chez des patients âgés et chez les patients néphrotiques et ontdisparu après l’arrêt du traitement par ranitidine.

Affections du système nerveux

Maux de tête (parfois sévères), étourdissements et problèmesréver­sibles de mouvements involontaires

Affections oculaires

Vision floue réversible.

Des cas de vision floue ont été rapportés, évoquant une altération del’accommodation.

Affections cardiaques

Comme avec les autres antagonistes des récepteurs H2, arythmies, p. ex.tachycardie, bradycardie et bloc auriculo-ventriculaire

Affections vasculaires

Vasculite

Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales

Dyspnée

Affections gastro-intestinales

Douleur abdominale, diarrhée, constipation, nausées (ces symptômess’amé­liorent généralement avec la poursuite du traitement), vomissements,cram­pes abdominales

Pancréatite aiguë,

Affections hépatobiliaires

Modifications transitoires et réversibles des tests de la fonctionhépatique

Hépatite (hépatocellulaire, hépatocanaliculaire ou mixte) avec ou sansjaunisse, généralement réversible après l’arrêt du traitement par laranitidine.

Affections de la peau et du tissu sous-cutané

Éruption cutanée

Érythème polymorphe, alopécie, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyseépider­mique toxique, photosensibilité

Affections musculo-squelettiques et systémiques

Symptômes musculo-squelettiques tels qu’arthralgies et myalgies

Affections du rein et des voies urinaires

Élévation de la créatinine plasmatique (généralement peu marquée, senormalise avec la poursuite du traitement).

Néphrite interstitielle aiguë.

Affections des organes de la reproduction et du sein

Impuissance réversible, perte de la libido, diminution de la virilité,symptômes et anomalies au niveau des seins (tels que gynécomastie etgalactorrhée).

1 Ces événements ont été rapportés après l’administration d’unedose unique

Population pédiatrique

La sécurité de la ranitidine a été évaluée chez les enfants de 0 à16 ans atteints de maladie associée à un excès d’acide et ce médicament agénéralement été bien toléré, avec un profil d’événementsin­désirables ressemblant à celui observé chez les adultes. Les données desécurité à long terme sont limitées, notamment en ce qui concerne lacroissance et le développement.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapportbénéfi­ce/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent touteffet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agencenationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) etréseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : <ahref=„http://­www.signalement-sante.gouv.fr“>www­.signalement-sante.gouv.fr.

4.9. Surdosage

Symptômes

L’action de la ranitidine est extrêmement spécifique et aucun problèmeparticulier n’est anticipé après un surdosage des formulations deranitidine.

Traitement

Un traitement symptomatique et de soutien doit être administré sinécessaire.

5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynami­ques

Groupe pharmacothéra­peutique : antagoniste des récepteurs H2, code ATC :A02BA02.

Mécanisme d’action

Antagoniste sélectif et à action rapide sur les récepteurs histaminiquesH2, qui bloque les récepteurs à l'histamine au niveau des cellules pariétalesde la muqueuse du ventricule. Ce blocage entraîne une diminution de lasécrétion d'acide gastrique, à la fois en termes de volume et de teneur enacide et en pepsine. La période d'action est relativement longue puisqu'unedose de 150 mg réduit de façon efficace l'acidité gastrique pendant12 heures.

5.2. Propriétés pharmacocinéti­ques

Après une administration par voie orale, la biodisponibilité est de l'ordrede 50 %. Le pic de concentration plasmatique est normalement compris entre300–550 ng/ml, 2 à 3 heures après administration d'une dose de150 mg.

Ce médicament est principalement excrété par sécrétion tubulaire avecpeu de métabolisme.

La demi-vie d'élimination est de 2 à 3 heures. 60 à 70 % de la doseest excrétée dans les urines et 25 % dans les fèces.

Populations spéciales de patients

Enfants de 3 ans et plus

Les données parcellaires de pharmacocinétique ont montré, aprèscorrection de la masse corporelle, qu’il n’y avait pas de différencesig­nificative relative à la demi-vie (comprise entre 1,7h et 2,2h pour lesenfants de 3 ans et plus) ou à la clairance plasmatique (comprise entre 9 et22 ml/min/kg pour les enfants de 3 ans et plus) entre les enfants et lesadultes sains recevant la ranitidine par voie orale.

Patients de plus de 50 ans

Chez les patients de plus de 50 ans, la demi-vie est prolongée (3 à4 heures) et la clairance plasmatique est réduite, en partie à cause del'insuffisance rénale liée à l'âge et en raison de l'augmentation de labiodisponibilité liée à l'âge, qui est indépendant de toute diminution dela fonction rénale.

5.3. Données de sécurité préclinique

Les données non cliniques issues des études conventionnelles depharmacologie de sécurité, toxicologie en administration répétée,génoto­xicité, cancérogénèse, et des fonctions de reproduction et dedéveloppement, n’ont pas révélé de risque particulier pour l’homme.

6. DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Noyau du comprimé :

Cellulose microcristalline, stéarate de magnésium, croscarmellose­sodique,

Pelliculage :

hypromellose (E464), dioxyde de titane (E 171), polydextrose,tri­éthylcitrate, macrogol 8000.

6.2. Incompati­bilités

Sans objet.

6.3. Durée de conservation

4 ans.

6.4. Précautions particulières de conservation

Flacons en PEHD :

À conserver dans l’emballage d’origine, à l'abri de la lumière et àune température ne dépassant pas 25 °C.

Plaquettes en aluminium/aluminium :

À conserver dans l’emballage d’origine. Conserver les blisters dans laboîte en carton à l’abri de la lumière à une température ne dépassantpas 25 °C.

6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur

Flacon en PEHD avec bouchon en PP ou boîte de plaquettes enaluminium/a­luminium contenant 10, 12, 14, 20, 28, 30, 50, 56, 60, 90 ou100 comprimés pelliculés.

Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.

6.6. Précautions particulières d’élimination et demanipulation

Pas d’exigences particulières.

7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

MYLAN SAS

117 ALLÉE DES PARCS

69800 SAINT-PRIEST

8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

· 342 353–4: 12 comprimés en flacon (PEHD).

· 342 354–0: 30 comprimés en flacon (PEHD).

· 342 355–7: 50 comprimés en flacon (PEHD).

· 560 171–5: 100 comprimés en flacon (PEHD).

· 342 356–3: 12 comprimés sous film thermosoudé(A­luminium/Alumi­nium).

· 347 479–6: 14 comprimés sous film thermosoudé(A­luminium/Alumi­nium).

· 342 358–6: 30 comprimés sous film thermosoudé(A­luminium/Alumi­nium).

· 342 359–2: 50 comprimés sous film thermosoudé(A­luminium/Alumi­nium).

· 560 172–1: 100 comprimés sous film thermosoudé(A­luminium/Alumi­nium.

9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DEL’AUTORISATION

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

11. DOSIMETRIE

Sans objet.

12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACE­UTIQUES

Sans objet.

CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste II

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